Ceci est une nouvelle histoire complète.
Titre : La colère d'Emilie - Texte complet
Auteur : Emilie
Personnages : 1 homme, 1 petite fille
La plus jeune fille a 6 ans
Inceste
Pénétration anale
Urine
Scatophilie
Non-consensuel
Texte envoyé le 16/07/2011
Texte publié le 17/07/2011
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Résumé :
Quand Emilie est en colère, elle se salit volontairement. Elle reçoit une punition dont elle se souviendra.
Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/
Je fais mes colères quand je suis fatiguée, quand je rentre de l'école parfois et que je suis fatiguée et toi aussi. Des fois, je t'en veux pour rien du tout, parce que tu n'as pas voulu que je prenne du jus d'orange au goûter, peut être juste parce qu'il n'y en a plus, et qu'en plus tu veux que j'aille tout de suite prendre le bain et que c'est le soir ou tu dois me laver les cheveux, me mettre du shampoing dans les yeux comme toujours. Alors je me mets à pleurer, à dire que t'es trop méchant, que je n'irais pas prendre mon bain.
Au début, jamais tu ne t'énerves. Tu me parles gentiment, mais je ne me contrôle plus. Je résiste quand tu me prends par la main et je me mets par terre dans la cuisine. Tu as vu sur ma culotte, quand j'ai écarté ma robe en m'asseayant par terre, les genoux remontés, ma tête dans les genoux, que j'avais déjà du pipi au niveau de la zézette, qu'à la marque jaune de la journée d'école s'ajoutait en plus une auréole humide, rendant le coton presque transparant, dévoilant ma petite fente humide. Alors tu me dis gentiment d'aller aux toilettes avant, tu me dis que la colère ne sert à rien, que je vais aller faire pipi d'abord, puis que l'on va prendre le bain très vite.
Mais je pleure toujours et je dis non, très fort. Non, je ne veux pas aller aux toilettes, je ne veux pas prendre le bain. Tu t'es agenouillé à côté de moi et tu me parles un peu plus fermement maintenant. Tu me dis que je vais d'abord aller aux toilettes, sinon je ferai pipi dans ma culotte. Tu me dis de ne pas faire l'idiote, que tout cela est ridicule. Alors je crie que je m'en fiche de faire pipi dans ma culotte, et même caca si j'ai envie. Que si tu continues à être méchant avec moi, je ferai pipi et caca dans ma culotte et ce sera bien fait pour toi.
Tu ranges le goûter à présent, sans plus me regarder, en me demandant simplement de me calmer, en me disant que je n'ai pas intérêt à me salir e plus, que je suis déjà assez ridicule comme ça avec mon caprice. Tu me dis que toi aussi tu es fatigué, et que tu aimerais ne pas avoir à te battre avec moi pour des choses comme toi. Mais je m'en fiche, je ne t'écoute plus, je suis perdue dans ma colère, inaccessible à la raison, je te dis que tu es trop méchant, que je ne t'aimes plus. Je sais que ça te met hors de toi. Je te dis que tant pis, que j'ai déjà fait pipi dans ma culotte de toute façon, que c'est trop tard. Et en effet, j'ai fait un peu déjà, je sens mon urine trempée et chaude dans le coton blanc de ma petite culotte, même s'il y en a peu encore, que rien n'a dégouliné sur le carrelage. Et je te dis que j'ai fait caca aussi, même si ce n'est pas vrai, je te dis que j'ai fait tout mon caca dans ma culotte, qu'il y en plein, que c'est bien fait si je suis toute sale, qu'il faudra tout nettoyer. Alors tu t'énerves vraiment.
Tu me fais me relever, tu soulèves la robe pour vérifier, et heureusement il n'y a rien encore. Tu me dis que ce n'est vraiment pas drôle et tu me laisses debout dans le coin pendant que tu nettoies encore la table du gouter. Je suis tellement vexée que je pousse un peu. Je pousse et je sens un peu de caca sortir, une petite boule chaude, et mon pipi en même temps qui coule en rigole dans le coton blanc, entre mes fesses et le long de mes cuisses que je serre pour ne pas qu'il coule par terre. Je sais confusément que je devrais m'arrêter là, que je devrais te dire que je vais aux toilettes, que je n'ai rien fait de vraiment irrémédiable, encore. Mais tu me regardes et tu me dis que tu espères que je n'ai pas poussé exprès. Et je te jette un air de défi. Je te dis que je m'en fiche, que je t'avais dit que je ferai, que je m'en fiche de faire pipi caca dans ma culotte, que tu es trop méchant.
Alors je pousse de toutes mes forces en te fixant droit dans les yeux. Mon petit visage devient rouge pendant que tu te précipites sur moi et que tu me donnes juste une petite paire de claques, en me disant d'arrêter tout de suite, que si tu trouves une seule trace de caca dans ma culotte, j'aurais la punition de ma vie, que tu n'en peux plus de mes caprices et de mes cochonneries. Alors je me remets à pleurer fort, parce que je sens bien maintenant la grosse boule de caca gras dans le fond de ma culotte. Je sens que je suis allée trop loin, je m'en veux maintenant mais c'est trop tard. Il est là, chaud, mou, dans le fond de ma culotte, pendant que mon pipi s'écoule contre mes jambes et coule maintenant tout doucement par terre.
Tu me saisis par la main et tu veux soulever ma robe. Alors je me laisse tomber à terre en pleurant de plus belle. Je me laisse tomber sur les fesses et je sens ma culotte pleine s'écraser contre le carrelage de la cuisine, dans un "splosh" dégoutant, je sens mon caca maculer mes petites fesses, fuir par les élastiques tandis que je pleure toujours plus fort et que tu me forces à me relever, que tu cries à présent que tu n'en peux plus, que tu n'en peux plus de cette petite cochonne, de ce tyran qui fait la petite fille gâtée en permanence, qui se comporte comme une cochonne en permanence, qui non seulement ne sait jamais se retenir mais en plus le fait exprès, à présent, comme si ça t'amusait de laver mes culottes, de nettoyer mes fesses sales toute la journée comme lorsque j'avais deux ans, de sentir mon odeur de caca partout dans la maison.
Tu me tires par le bras pour me forcer à me relever. Il y une trace brune sur le carrelage à l'endroit ou je me suis assise, et puis une petite marre jaune pale aussi. Tu me traines de force à travers le couloir, mes chaussettes trempées glissant sur le parquet, jusqu'à la salle de bain, et quand je rentre dans la salle de bain, et que tu refermes la porte derrière, je vois à ton visage, à ton regard sur moi, que je vais regretter ma colère sale, mais il est trop tard.
Je me suis mise à genoux, par terre, et je te regarde d'un air un peu implorant, à présent. Tu t'es mis à crier, toi aussi, que tu n'en peux plus, que tu ne plus m'aimer comme ça. Tu m'attrapes violemment sous les aisselles pendant que tu t'asseoies sur le rebord de la baignoire. Tu me couches sur tes genoux, à plat ventre, et tu me dis que je vais recevoir la correction de ma vie. Tu as relevé brusquement ma robe et tu découvre ma culotte pleine de caca, détrempée par mes pipis successifs. Mon caca a traversé le coton de la culotte. Il a également fuit par les élastiques et débordé sur le coté. Tu me cries que je pue, que je suis une grosse cochonne, que je ne mérite que la fessée, tandis que ta main droite s'élève dans les airs pour s'abattre brusquement sur ma culotte dégoutante. Mon caca gicle dans ma culotte, alors que tu continues à me fesser encore et encore. Tu alterne les claques sur mes deux fesses et sur le milieu de la raie, juste sur mon petit trou, entre mon petit trou et ma zézette. Parfois, tu maintiens ta main à cet endroit et je sens que tu appuies, comme si tu voulais faire remonter mon caca le long de mes fesses, mais aussi le faire descendre jusqu'à ma zézette, la maculer de mon caca mou et chaud. Ma culotte est désormais entièrement marron alors que je n'avais qu'un petit peu, que j'avais retenu l'énorme boudin que j'ai encore en moi.
Tu t'arretes et je tu me reposes par terre, ou je me remets à genoux en sanglotant. J'entends, sans te voir, le bruit de l'armoire à pharmacie au dessus du lavabo. Je t'entends ouvrir une boite de médicament, puis revenir vers moi, écarter ma culotte grasse sur ma fesse gauche comme pour libérer l'accès à ton petit trou. Puis, je sens l'un de tes doigts creuser son passage jusqu'à mon petit trou, caresser mon anus comme pour l'attendrir, qu'il s'ouvre plus facilement. Je ne bouge plus, tétanisée par la honte et par la peur. Je sens que tu fais pénétrer dans mon anus deux petites boules dures, que ton doigts s'attarde dans le petit trou élastique, qu'il pénètre profondément jusqu'à me faire mal, dans la pate un peu grasse de mon caca. Tu m'as aggripé la tête de ton autre main, tu me tires les cheveux pendant que ton doigt s'enfonce brusquement, va et vient dans mon intimité. Je grimasse de douleur, je te dis que j'ai mal et tu me dis que c'est bien fait, que je l'ai bien mérité.
Tu remue ton doigt de gauche à droite dans mon intestin, avant de le ressortir aussi brusquement. Je sais que qu'il est marron, tout gras. Je sais que tu le portes à ton nez comme pour respirer l'odeur forte de mon caca d'enfant. Puis, c'est à mon nez que tu le mets à présent, jusqu'à m'en maculer la peau, le dessus des lèvres. Tu me demandes de respirer, de sentir ton doigt. Tu me dis « tu voies comme tu pues, Emilie, tu sens comme tu pues ? ». Et je pleurniche doucement. J'ai des moustaches au caca, à présent, et une grosse trace sur le bout de mon petit nez.
Je sens, en même temps, la pression monter dans mon petit ventre. Je sais que tu y as glissé des suppositoires, comme lorsque je suis trop constipée, et j'ai mal au ventre. Je te le dis. Je te dis que j'aimerais aller aux toilettes, mais ça te fait rire. Je te supplie de m'emmener aux toilettes, je te dis que j'ai compris, que je ne ferais plus jamais de colères, mais tu me réponds que c'est trop tard, que j'ai voulu être sale et que je le serai jusqu'au bout. Tu me demandes de pousser. Tu as écarté mes fesses de ta main et tu me demandes de pousser fort, de faire le reste de mon caca à présent. Mais je n'ai pas besoin de pousser. Je sens la matière brulante et molle sortir de moi, mon petit trou s'écarter pour livrer le passage à ce boudin mou resté en moi. Pendant, qu'il sortait, tu as enfoncé de nouveau ton doigt dans mon petit trou et tu fouilles mon anus qui se vide, tu étales à mesure qu'il sort mon caca le long de mes fesses, partout sur ma peau, comme la crème que tu me mettais lorsque j'étais petite et que je faisais toutes les nuits pipi au lit. Tu en étale sur le haut de mes cuisses, sur le bas de mon dos également. Je sais que je suis sale, irrémédiablement.
Puis tu me redresses, une fois mon caca fini. Tu enlève ma robe fleurie, que je tenais relevée, et tu poses mes habits maculés au fond de la baignoire. Tu me demande de m'y allonger sur le dos, toute nue, ma peau grasse de mon caca. Je te dis en pleurant que je ne veux pas prendre mon bain, comme dans un cri de défi, et tu me gifles avec tes mains sales. Je m'allonge sur le dos, tandis que tu as saisi par terre ma petite culotte souillée. Tu me dis que je l'ai oubliée, et tu me la passes sur le ventre, tu me passes longuement le fonds souillé de ma culotte sur le ventre nu, laissant de longues traînées grasses et sombres sur ma peau clair, depuis ma zézette jusqu'à mes petits tétons. Tu la pose ensuite sur mon visage. Tu me demandes de nouveau si je sens comme je pue, si j'aime l'odeur de mon caca.
Tu t'es assis sur le rebord de la baignoire. Tu as oté ton slip et tes fesses dépassent du bord, au dessus de mon ventre. Tu me dis que la punition n'est pas terminée, que puisque je fais la cochonne par caprice, exprès, je vais faire la cochonne jusqu'au bout. Je ne comprends pas ce que tu vas faire, jusqu'à ce que je vois ton anus s'écarter doucement et un long ruban de ton caca sortir pour venir s'abattre sur mon ventre. Un petit monticule de caca s'est formé sur mon ventre sale. Tu te retournes et te saisis de ma culotte sale. Tu étales ta matière et la mienne le long de mon ventre, entre mes cuisses, sur ma zézette. Tu étales cette pate qui sent si fort, tu plaques ma culotte sale contre ma zézette et dans la raie de mes fesses. Puis tu me redresses.
Tu es monté derrière moi dans la baignoire, tu t'es assis et tu me fais t'asseoir sur toi. Je sens que ton sexe est tendu contre la raie de mes fesses, pointant sur la naissance de ma petite fente. Je suis maculée de nos matières et tu me serres contre ton ventre, ton zizi durci entre mes cuisses, le long de mes fesses grasses, au bord de mon petit trou sale, à présent. Tu forces, tu cherches à rentrer dans mon petit trou beaucoup trop petit. Je te dis que j'ai mal, que j'ai si mal, je pleure mais tu me claques la main sur le haut de ma cuisses, tu me dis que j'ai mérité la punition, et tu forces de nouveau. Je sens ton zizi dur rentrer dans mon petit anus distendu, rentrer doucement comme ton doigt tout à l'heure, sauf qu'il est beaucoup plus gros que ton doigt, qu'il me fait mal, qu'il me fait honte. Ta main droite malaxe ma zézette, étale dessus un peu plus du caca jusqu'à rentrer dans ma fente, à me faire mal également.
Je sais quand tu te tends que tu as joui, je le sais aussi parce que tu pleures, parce que tu me demandes pardon, parce que tu me dis que tu ne voulais pas faire ça, et parce que tu me serres tout doucement dans tes bras, malgré notre saleté à tous les deux, que tu me caresses tout doucement à présent, avant d'ouvrir la douche et de laisser sur nos deux corps couler l'eau libératrice.