Ceci est une nouvelle histoire complète.
Titre : Emilie fait la sieste - Texte complet
Auteur : Emilie
Personnages : 1 homme, 1 petite fille
La plus jeune fille a 6 ans
Première fois
Inceste
Pénétration anale
Urine
Scatophilie

Texte envoyé le 14/03/2011
Texte publié le 14/03/2011

Creative Commons 2011 - Emilie. Certains droits réservés.

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Résumé :
Il fait chaud dans la grande maison. Emilie s'est endormie en petite culotte et s'est un peu mouillée en dormant. Son papa entre sans bruit.

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
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Emilie fait la sieste

par Emilie

Texte complet

Je t'ai entendu rentrer tout doucement dans la chambre et j'ai gardé mes yeux fermés. J'ai pris soin de conserver un rythme régulier à mon souffle, comme si je poursuivais mon sommeil, tout en guettant ta présence, le léger craquement de tes pieds nus sur le vieux parquet. Il fait chaud dans cette chambre, comme il fait chaud de hors. Le soleil frappe sur les vieilles pierres de notre maison de campagne, sur les volets tirés de ma petite chambre rose, en haut du grand escalier de bois. Et j'achève ma sieste de l'après-midi.

J'ai senti ton poids sur le matelas lorsque tu t'es assis sur le lit à côté de moi, tout doucement pour ne pas me réveiller. Et puis la chaleur de ton corps, à côté de moi. Je suis sur le dos, comme dorment les bébés, une petite grenouille jambes écartées, bras repliés vers le haut, la tête inclinée vers l'oreiller. Je senti un très léger courant d'air me caresser le haut de mes cuisses nues lorsque tu es rentré, se faufiler à travers l'élastique entrebaillé de ma petite culotte blanche jusque sur mes fesses, et j'ai frissonné de bien être. Je sais aussi que je suis un petit peu mouillée, pas beaucoup mais juste un peu. Je le sens à la fraicheur qui entoure ma zézette, la fraicheur de ma culotte humide sur ma peau, au contact de l'air. Je sais que tu as dû le voir, même dans la pénombre de la chambre, car tu remarques toujours ces choses là. Mais ça m'est égal aujourd'hui, je fais semblant de dormir, le somnole et pensant que tu es à côté de moi et que tu crois que je ne m'en suis pas aperçu.

J'ai senti ta main se poser tout doucement sur le bas de mon ventre, sur ma peau nue, juste au dessous de mon tshirt légèrement remonté, au niveau de mon nombril. Tu as posé ta main tout doucement pour ne pas me réveiller, pour guetter peut être ma réaction. Et tu l'as laissée là un petit moment. C'est une chaleur rassurante, le contact de ta peau sur la mienne. Et puis tu la fais descendre tout doucement, tu touches le haut de ma culotte et tu fais descendre tout doucement tes doigts le long du coton, là, juste entre mes cuisses écartées, là où c'est un peu humide. Et je fais bien attention de ne pas bouger, de sentir une longue minute ta paume contre ma culotte, juste posée là, tout légèrement, comme un souffle d'air un peu plus fort.

A chaque fois que tu fais ça, je songe à la première fois. Tu ne sais pas que cette scène est encore dans ma tête. Tu ne t'en remettrais pas peut être, et je la garde en secret, comme sans doute l'un de mes plus vieux souvenirs de toi. J'ai à peine trois ans, je dis à peine car je suis encore dans ta chambre à toi, comme tout bébé, je n'ai pas encore la chambre rose. Je suis allongée sur ton grand lit pour la sieste. Je me souviens que j'ai pleuré. J'ai fait caca dans ma culotte, juste après le déjeuner, et tu m'as punie. Tu n'aimes pas ça, déjà. Tu ne me fesses pas, tu ne me punies pas comme aujourd'hui, mais je sais que c'est mal, que tu n'es pas content. Alors tu m'as allongée cul nu sur le lit, juste vêtue de mon petit tshirt. Je suis cul nu dans la moiteur du lit trop grand pour moi et tu es là. Je fais semblant de dormir aussi, mais je sais que tu es là. Peut être n'es tu pas sorti. Peut être t'étais tu endormi à côté de moi comme parfois et es-tu allongé sur ce lit depuis longtemps. Mais je sens ta main tout à coup. Je sens ta main sur ma zézette, ta main caresser mes toutes petites lèvres, ta main s'impreigner d'un petit peu de mon odeur, descendre tout doucement jusqu'à mon petit trou, en caresser la bordure un peu frippée, dure et élastique à la fois, la bordure où doit rester encore de mon caca mal essuyé, parce que tu m'as juste retirée la culotte pleine, tu as juste passé rapidement un papier un peu rèche avant de m'envoyer faire la sieste. Je me souviens que je n'ose bouger. Je suis tétanisée. Je ne sais plus si c'est un bon ou un mauvais souvenir. Quelque chose d'à la fois gênant, comme un secret, et de terriblement agréable à la fois. Je ressens encore le contact de ton doigt dans ces petites fosses intimes, peut être pour la première fois. Tes doigts glisser tout doucement entres mes petites cuisses écartées.

Je suis plus grande maintenant. Je ne dors plus cul nu pour la sieste, encore que ça pourrait m'arriver. Je suis plus grande, mais c'est la même sensation qui m'étreint. Le même trouble en sentant tes doigts, à travers ma culotte de coton, passer tout doucement le long de mes lèvres, appuyer juste un tout petit peu pour ne pas me réveiller. Je me laisse aller, je me détends dans mon demi sommeil. Et je lache dans ma petite culotte un petit jet de pipi. Quelque chose de tout petit, pas ces énormes flots qui laissent à mes pieds des flaques humiliantes ou de larges auréoles sur les draps. Juste un petit filet de pipi qui imprègne le coton de la culotte, juste sous tes doigts. J'ai senti tes doigts se raidir au contact de l'urine chaude. Et puis tes gestes ont recommencés, ta main qui malaxe tout doucement, qui appuie un peu plus fort sur le coton trempé, comme s'i voulait le faire rentrer dans ma zézette, qui caresser tout autour des élastiques, sur le sillon de peau tendre, entre les cuisses, qui délimite la petite bosse de ma zézette humide. C'est si doux ce que tu fais. Je ferme les yeux et m'agite un tout petit peu. C'est si doux de sentir ton doigt se faufiler dans ma culotte pleine de pipi maintenant, caresser cette petite parcelle de chair si sensible, entre la limite de ma zézette et le tout début de la raie de mes fesses, juste au bord des deux petits trous, sur cet ilot de peau si douce entre mes deux petits trous.

Je bouge un peu trop et tu retires ta main. Tu la retires un peu brusquement comme si tu avais peur que je me réveille d'un coup et que je te trouve, là, la main à cet endroit, que tu rougisses et que tu ne saches te justifier. Alors je tarde un tout petit peu pour ouvrir un oeil. Puis deux que j'écarquill doucement, qui te fixent l'air surpris, qui fixent ton sourire innocent, ton regard chaleureux à toi, ta bouche qui s'approche de ma joue pour y poser un tout petit bisous et me demander si j'ai bien dormi. Je te souris. Ce sont des scènes de douceur.

Tu me demandes tout doucement si j'ai bien dormi et je te répond par l'affirmative, juste d'un hochement de la tête comme pour ne pas briser le charme de ce que nous venons de vivre, comme si le son de ma voix allait tout briser. Je m'étire tout doucement et baille puis m'allonge sur le côté, un bras sous la tête, un sourire sur mes lèvres. Tu me murmure doucement que j'ai fais un peu pipi dans ma culotte, tu me dis que je n'ai pas dû m'en apercevoir mais que je viens de faire un petit pipi en dormant, comme quand j'étais toute petite fille. Tu as saisi ma main et l'a guidée doucement vers ma petite culotte, entre mes cuisses chaudes. Tu as posé ma paume sur la petite bosse chaude et humide, la bosse dont tu dis qu'il ressemble à un petit abricot fendu, juste mur. Et je sens maintenant le pipi contre ma main, le pipi sur ma culotte, descendu aussi le long de mes fesses. Je te dis que je suis désolée, que je ne l'ai pas fait exprès, que je ne me suis rendue compte de rien. Peut être que je rêvais que je faisais pipi, comme ça m'arrive parfois le matin et que je me réveille dans mon pyjama trempé.

Tu as remonté ma main humide vers ton visage. Elle est plaquée sur ton nez et je sais que tu la sens, que tu reniffle doucement l'odeur de mon pipi. Je le fais parfois aussi, en m'endormant, et je sais que tu le fais maintenant. Je sens ta langue lécher doucement ma main pour recueillir l'humidité dans ta bouche, le goût salé et un peu âcre de mon pipi d'enfant. Tu me mumure que je suis ton petit bébé cochon, que je suis ta princesse aussi et que je mérites que tu me nettoies comme une princesse. Tu me dis de fermes les yeux et je me laisse aller de nouveau, pendant que tu glisses au pied du lit, que tu glisses ta tête entre mes cuisses que j'ai de nouveau écartées. Ton visage est à quelques centimètres à peine de ma culotte souillée, imbibée d'urine. Je sais que tu sens encore mon odeur, mon odeur si forte à cet endroit, mon odeur de pipi frais, un peu sucré, comme l'odeur du miel, qui se mèle à l'odeur plus forte de la zézette. D'un coup, j'ai senti ta langue chaude glisser sur le coton trempé de ma petite culotte, glisser le long de ma zézette à travers la culotte.

Ta langue va et vient doucement le long de mes petites lèvres entre ouvertes. Ta langue est chaude, elle me chatouille et me réchauffe à la fois. Ta langue descend un peu plus bas entre mes cuisses, jusque dans la raie de mes fesses, à travers le coton de la culotte trempé, jusque à mon petit trou. Et je peux sentir ton nez presque enfoncé dans ma zézette, l'odeur intense qui doit envahir tes narines, ton cerveau tout entier.

Instinctivement, je me tend vers toi et tu as placé ta main sour mes fesses pour m'attirer un peu plus vers ton visage. Je remue tout doucement le bassin pendant que tu lèche toujours. Je sens que ma culotte est désormais imbibée et poisseuse de mon pipi et de ta salive plus chaude. Elle colle à ma peau et se décolle doucement à chaque fois que j'imprime un petit mouvement du bassin. Tu dois voir ma zézette à travers le coton devenu presque transparent sous l'effet de mon pipi et de ta salive. Je me laisse aller. Je laisser aller un long filet d'urine de nouveau que tu aspires, comme si tu voulais la boire, que tu aspires à travers ma culotte et ça me rend un peu honteuse.

Tu me dis que ma culotte est trempée, qu'il faut me la retirer maintenant, et tu glisses tout doucement le petit carré de coton le long de mes cuisses. Tu as posée ma culotte trempée contre mon visage. Elle est imbibée et odorante. Des gouttes sont tombées sur mon cou, sur mon tshirt rose. Tu as plaquée ma culotte contre mon visage, contre mon nez, et mon visage tout entier est trempé de mon pipi maintenant. Tu appuies et un peu plus de pipi s'écoule contre mon visage. Tu me dis de sentir comme j'ai été cochonne, de sentir mon pipi qui coule partout, en appuyant toujours plus sur la culotte. Tu me caresse le nez avec ma petite culotte, puis tu la fais descendre vers la bouche. Tu me dis d'ouvrir la bouche et tu m'y enfourne le fond de ma culotte. J'ai peur d'étouffer au début, puis je sens le liquide chaud et malodorant s'écouler contre mon palais, le liquide qui s'essore de ma petite culotte pendant que tu appuie encore. Tu as approché ton visage également et mordu dans la culotte, de l'autre côté. Je sais que tu aspires toi aussi le pipi qu'elle contient. Nos lèvres se touchent presque. J'ai un peu peur mais ce que je vis me transporte en même temps. C'est un jeu d'une complicité totale.

Abandonnant ma petite culotte, tu es redescendu le long de mon ventre, puis entre mes cuisses. Ma zézette est maintenant tout à fait libérer, toute lisse, poisseuse et odorante. Tu me dis que tu vas me nettoyer, maintenant, et je sens ta langue le long de mes petites lèvres, ta bouche contre ma zézette, ta bouche qui la goberait presque pour un peu, qui suce et qui aspire en même temps. Puis tu poursuis jusqu'à mon petit trou et c'est tellement doux, pendant que ton doigt s'attarde maintenant sur ma zézette, titille le petit bouton rose en haut de mes lèvres.

Tu as bougé ta main et ton doigt est maintenant sur mon petit trou des fesses. Tu le glisse tout doucement dans mon petit trou et je pousse instinctivement, je pousse le caca que je retiens depuis tout à l'heure, mon caca de l'après déjeuner. Je sais que seul ton doigt l'empêche de sortir, qu'il doit en être enrobé maintenant, et cette idée m'excite, m'amuse tellement tout d'un coup. Tu tournes ton doigt tout doucement dans mon petit trou, pendant que ta langue a repris son manège autour de ma zézette, tout autour de la petite boule de chair rose, si sensible et gonflée.

Je sens ton doigt fourrager dans mon petit trou pendant que je continue à lécher la culotte trempée que tu as placée sur mon visage, mes petite cuisses toujours remontée contre ma poitrine, comme une petite grenouille, ma zézette poisseuse et mes fesses ouvertes vers toi, vers ta bouche, ta langue qui fouille méthodiquement entre les lèvres de ma zézette, qui chatouille en un frisson intense ma petite boule de chair rose, tout en haut de la fente. J'ai recommencé à pousser sans réfléchir et je sens que sans ton doigt dans mon petit trou, mon caca sortirait désormais ; il sortirait de mes fesses sur les draps et tu me gronderais sans doute. Je sens ton doigt s'enfoncer dans la matière molle qui pointe à l'orée de mon petit anus et cette sensation, alliée à celle de ta langue chaude contre ma zézette, est divine. Je ferme les yeux. Je ronronne comme un petit chat pendant que de ta main libre, tu me caresse le bas du ventre, tu trace des huit tout doucement sur ma peau pâle.

Tu me demandes si ton doigt me fait mal et je te réponds juste non de la tête, les yeux toujours fermés, un sourire sur mon visage. Non, ton doigt ne me fait pas mal, ton doigt me fait du bien même, ton doigt dans mon petit trou, dans mon caca un peu mou qui pointe son nez. Alors tu me dis que tu vas me faire quelque chose que seuls les gens très amoureux font, quelque chose que l'on ne réserve qu'à ceux qu'on aime tellement fort qu'on veut rester en eux, quelque chose qui va peut être me faire un peu mal au début. Je te fais confiance, je suis bien, je ferme les yeux. Je sens ton visage s'éloigner de mon intimité, tu bouges sur le lit, tu as retiré ton pantalon. J'ai entendu le bruit de ton jean tomber sur le plancher, le froissement de l'étoffe quand tu as retiré ton slip. Je sais que tu es nu au bout du lit, nu devant moi, mes petites cuisses toujours remontées sur la poitrine, mes deux petits trous ouverts pour toi.

Tu me dis que tu arrêteras dés que je te le dirai, que tu vas faire tout doucement et qu'après je serai bien, que je serai bien comme jamais je l'ai été, et je te crois. Tu t'es mis à lècher mon petit trou, à faire passer ta langue partout, au milieu de ma raie, à mouiller de ta salive l'intérieur de mon petit trou, jusqu'à y rencontrer mon caca sans doute. Je sens la chaleur et l'humidité de ta langue en moi et ça me fait du bien. Je me dis que tu as raison, que tu me fais du bien. Puis de nouveau ton visage se retire et tu places tes deux mains sous mes fesses pour les sur élever légèrement, les surélever sur tes cuisses accroupies, les surélever jusqu'au niveau de ton zizi long et tendu, ton zizi si gros que je ne l'ai jamais vu comme ça, long et tendu vers l'intérieur de ma raie. J'ai ouvert les yeux et j'ai eu un peu peur, mais tu m'as souris de nouveau. Tu me dis de ne pas avoir peur, que tu ne veux me faire que du bien.

Je sens le bout de ton zizi contre mon petit trou maintenant, tes mains sur les lobes de mes fesses qui m'attire vers toi, vers ton zizi tendu. Je sens le bout de ton zizi forcer un peu contre mon petit trou. Alors tu me dis de pousser fort. Tu me dis de pousser pour faire caca, que ce n'est pas grave, que tu as envie que je fasse caca là. Tu me dis de pousser aussi fort que possible, comme si je voulais faire tout mon caca d'un coup. Et au moment ou je pousse, au moment ou je sens que mon caca va sortir de moi, je sens le bout de ton zizi forcer mon petit trou, rentrer d'un coup dans le petit trou élastique et fripé que je caresse souvent le soir, ce petit trou si serré mais qui laisser passer de si gros cacas, et qui là laisse passer le bout de ton zizi.

J'ai mal, si mal d'un coup. Mais je n'ose pas crier. Je ne veux pas te décevoir. Je sais que tu veux que je sois forte, que tu veux me faire du bien, alors je continue de pousser même si des larmes sont montées à mes yeux. Je pousse et je sens ton sexe rentrer en moi toujours plus loin, comme si un énorme boudin sortait de moi à l'envers. Tu as rentré toute la longueur de ton zizi en moi, et tu caresses intensément ma zézette en même temps, tu caresse du bout du doigt l'intérieur de ma fente, ma petite boule rose pour me faire avoir des frissons. J'ai mal, un peu peur, mais je suis fascinée par ton corps dans moi, par le va et vient tout doux, tout tendre que tu as impulsé d'un coup. Je sens que mon caca est sorti, qu'il a dû enrober tout ton zizi et qu'il est sorti autours, sur le bas de ton ventre, sur les poils autours de ton zizi. ça fait un peu "floc floc" quand tu bouges dans mon petit trou, quand tu bouges dans mon caca et j'ai un peu honte de ça. En même temps, je vibre avec toi, je m'imagine un énorme caca qui sort de moi et cette idée m'excite à mesure que tu continue de chatouiller ma zézette. Tu continues plusieurs minutes. Je remonte mes petites fesses aussi haut que possible pour que ton zizi soit en moi, et je continue de pousser fort, de faire encore un peu pipi sur tes doigts. Tu pousses un cri à un moment, après un temps qui me semble une éternité mais qui doit être rapide, en fait, rapide tant tu en avais envie, tant mon petit trou si serré compresse ton zizi, accentue le plaisir que tu dois ressentir. Tu pousses un cri et je peux presque sentir le liquide chaud laiteux qui sort de ton sexe en moi, dans mon anus, dans mon caca.

Tu ressors doucement de moi, ton zizi plein de caca, tout marron. Il y a du caca partout sur ton ventre maintenant, et aussi sur les draps. J'ai honte. Tu t'es retiré et tu m'as pris dans tes bras. Je me blottie sur tes genoux, toute sale encore, comme un petit chat pendant que tu me sers fort. Tu me dis que j'ai été formidable, que tu m'aimes si fort. Tu me demandes si j'ai eu mal et je n'ose pas te dire que j'ai failli hurler de douleur au début, que j'ai paniqué, que je n'ai pas compris ce qui se passait. Je dis non de la tête et tu m'embrasse partout sur les cheveux, tu passes ta main douce et chaude sur mon corps. Tu me dis que tu m'aimes plus que tout. Tu me dis que l'on va aller se nettoyer, maintenant, prendre une bonne douche bien chaude, changer ces draps sales et cette petite culotte, puis aller prendre tous les deux un goûter au jardin.