Ceci est une nouvelle histoire complète.
Titre : Réveil mouvementé - Texte complet
Auteur : priape
Email : priapebl[_at_]fastmail.fm
Personnages : 1 homme, 1 adolescent, 2 petits garçons
Le plus jeune garçon a 10 ans
Orgie
Inceste
Oral
Pénétration anale
Homosexualité masculine

Texte envoyé le 07/12/2010
Texte publié le 09/12/2010

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Résumé :
Trois délicieux garçons viennent réveiller leur oncle.

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/

Réveil mouvementé

par priape

Texte complet

Réveil surprise

J'étais encore dans une douce somnolence, flottant langoureusement sur un nuage, conscient d'être en train de me réveiller en finissant un rêve très agréable dans lequel j'accueillais sur ma terrasse quatre adolescents de quinze ou seize ans venus quêter pour une bonne œuvre et je me souviens qu'un d'entre eux bandait et qu'il se laissait toucher avec plaisir.

J'étais conscient aussi d'avoir une bite d'airain mega grosse et mouillée. Je dormais nu dans un grand lit moelleux au possible avec des draps parfumés à la lavande. J'émergeais donc dans le lit matrimonial de mon frère et de ma belle-sœur, absents pour un grand WE qu'ils s'étaient offerts à Paris à l'occasion de leurs quinze ans de mariage.

Les merveilleux fruits de leur union était trois garçons, mes neveux, Yvan, l'aîné treize ans, railleur aux yeux bleus profonds et la tignasse blonde d'un lion, Marcel onze ans, châtain, un très gentil garçon qui à chaque fois que je venais les voir me faisait des câlin et des câlins à n'en plus pouvoir et me mettait en transes, je devais avoir le rouge aux joues, escomptant que ses parents ne s'en aperçoivent pas, et enfin Dominique dix ans, (les deux derniers étaient très rapprochés et je pense Dominique n'était pas programmé), était plutôt timide et introverti, d'une gentillesse à toute épreuve et qui était le seul rouquin de la famille. C'était un soleil permanent, ses taches de rousseur lui attiraient malheureusement aussi bien des moqueries que des regards tels les miens, d'admiration de sa beauté d'ange !

J'avais reçu un coup de téléphone il y a quelques temps de ma belle sœur :

– « Louis, tu voudrais venir 3 jours chez nous garder les garçons ? On aimerait aller en amoureux à Paris, ce serait un super service que tu nous rendrais, s'il-te-plaît ? »

Tu penses bien que je ne voulais pas refuser ! !

Comme c'est un WE spécial d'ont le lundi est férié, je suis venu, hier vendredi et j'ai accueilli chez eux mes trois garnements à la sortie de l'école, les parents ayant pris le TGV dans la matinée.

Hier soir fut animée avec une soirée spaghettis et mousse au chocolat, ma spécialité, puis un Blue-Ray d'Avatar en 3D sur le canapé du salon. Ils étaient tellement fiers de me montrer leur dernière acquisition, enfin celle des parents, un magnifique home-cinéma avec un écran LCD de plus d'un mètre et une qualité de son défiant toute concurrence cinématographique. C'était sublime.

Les trois s'étaient mis en pyjama après le repas et pendant que je rangeais la cuisine et dans la pénombre du salon éclairé par l'écran très lumineux, le nez chaussé des lunettes spéciales, nous avons visionné cet excellent film d'animation.

Déjà de voir mes neveux si désirables en pyjama, les petites fesses si bien moulées par le tissu, les bosses de l'entrejambe bien soulignées, les torses marqués et je remarquais attentivement les tétons d'Yvan pointer, me mit les sangs en chaleur, mais le point d'ébullition se rapprocha dangereusement quand Dominique d'autorité, vint s'installer sur mes genoux ! Heureusement que moi, je n'étais pas en pyjama !

Je ne sais pas où Isabelle, ma belle-sœur achète les pyjamas des ses enfants, mais il faudra à coup sur que je la félicite de son choix !

Le tissu est mince, léger, soyeux et colle parfaitement à la peau ! Bien loin de dissimuler, il révèle, accentue les morphologies plus tellement enfantines...De plus de sentir les odeurs de petits garçons bien propres, bien particulières du garçon en préadolescence et en transformation comme Yvan achevait de me bouleverser.

J'étais donc au Paradis avec Dodo assis sur moi, le dos appuyé contre ma poitrine, mes mains l'enserrant autour de son ventre et les siennes par-dessus comme pour m'empêcher de les desserrer, et les deux autres collés de chaque côté.

Je ne sais pas si c'était les avatars des filles crées de manière très érotique ou les mâles avec leur longue queue suggestive et leur petites fesses rebondies et musclées, mais je réalisais que Dodo bandait assez vite sur mes genoux !

Moi aussi, mais ce n'était pas à cause des avatars !

Je jetais de temps à autre un œil scrutateur sur les autres, ils étaient pris par le film, mais il m'a semble que Maurice, qui avait relevé ses genoux en serrant ses chevilles avec les mains cachait un assez joli piquet !

Je touchais subrepticement le zizi tendu de Dodo, qui se laissa faire, en regrettant de n'oser aller plus loin dans mes attouchements et caresses. S'il avait été seul, peut-être que j'aurai osé ?

Moi par contre je mouillais mon slip comme jamais ! Un truc de ouf, comme ils disent !

A un moment donné Dodo à demandé une pause pour aller aux toilettes et sans gêne aucune, il nous montra son mât tendre le tissu du pantalon de pyjama si bien que Marcel lui dit :

– Tu veux aller pisser ou te branler, parce que si jamais on peut t'aider !

– T'es con toi ! Quand il faudra sucer je t'appellerai !

Mes adorables neveux serait-ils en pleine découvertes homosexuelles ? C'était bien de leur âges et je ne pouvais que les en encourager !

En tout cas Dodo ne pouvais pas ne pas sentir mon gros bâton sous ses fesses ! Au moment du coucher, alors qu'ils se serraient contre moi pour les embrassades vespérale, sa bosse avait un peu diminué, celles des autres restaient marquées et je vis quelques taches significatives ! J'aurai aimé être une mouche pour me glisser furtivement dans leur chambre et assister aux branlettes, communes éventuellement qui ne manqueraient pas de précéder leur endormissement !

Donc le lendemain, je me réveillais doucement dans ce lit moelleux et j'essayais de garder mon rêve le plus longtemps possible, jouissant de ma bandaison matinale quand j'entendis un petit bruit de souris derrière la porte et entrouvrant les yeux, je vis celle-ci bailler légèrement et un regard coquin pénétrer dans la chambre. Je refermai les yeux aussitôt. Trop tard !

La porte s'ouvrit en grand et trois sioux déchainés entrèrent avec des cris perçants :

Ouaaaiis, il est réveillé ! Pour Louis sauts maximums !

Tous sur Louis ! (Louis, c'est moi !)

Et les trois monstres me sautèrent dessus secouant le lit le plus possible et sautant debout puis en se lâchant brusquement à plat ventre sur moi, m'étouffèrent de baisers et se mirent à me chatouiller, un me prenant les pieds, l'autre sous les bras et le troisième au niveau de la ceinture ! Evidement qu'en me secouant et en me tortillant de rire et de chatouillis, le duvet glissa, dévoilant ma nudité et surtout ma bite tendue !

– Salaud ! T'as vu la belle bite qu'il a le tonton ?

– Yes, trop malade !

Je ne voulais pas rester inactif à me laisser chatouiller et torturer par mes neveux déchaînés et j'en attrapais un, en l'occurrence Maurice qui était à ma portée et me mis aussi à le chatouiller à la ceinture, il s'enroula si bien pour essayer de se libérer, que dans le mouvement son pantalon de pyjama glissa dévoilant ses jolies fesses ! Il continua à rigoler, sans en faire de cas. Alors la mêlée fut générale et ce fut à qui attrapait l'autre le chatouillait ou arrivait à lui bloquer les mains pendant qu'un autre lui tenait les pieds et le troisième s'occupait de son corps ! Le jeu devint très vite très érotique et l'on vit assez vite, alors qu'il s'était tourné sur le dos qu'il avait le piquet de tente dressé ! En l'occurrence, Yvan lui enleva son pyjama nous dévoilant un bien joli membre tendu sur de petites couilles serrées qu'il se mit à chatouiller ! Totalement impubère encore, il pouvait se targuer d'une asperge d'environ douze centimètre bien proportionnée et que l'on avait envie de sucer pour en extraire la sauce !

Moi, je bandais toujours comme un malade et je remarquais que les autres étaient dans le même état ! Accidentellement ou non, les pyjamas avaient glissés, dévoilant leur virilité ! Yvan, le seul pubère était vraiment bien fait mais hormis sa pilosité pubienne, il n'en montrait que très peu à peine un duvet sur les jambes et sous les bras, mais comme blond, cela ne se voyait pas. Quant-à Dodo, il devait avoir perdu son innocence depuis un moment avec ses frères, car il caressait déjà les fesses d'Yvan son mignon zizi pointé prêt à l'enfiler dans son œil de bronze !

Tout en gigotant, je me remis sur le dos, empoignant Maurice contre moi qui tentait de m'immobiliser les mains, et serrait mes jambes contre son dos, le bloquant dans un étau d'ont il ne pouvait pas se libérer ! Je le tenais aussi par les épaules si bien qu'il en devint plus mon prisonnier que moi le sien. Et quel bien joli prisonnier.... Je sentais ses couilles impubères et douces frotter contre les miennes et son dard dur et pointé sur mon bas-ventre ! Délicieuse sensation à laquelle il céda bien vite relâchant toute pression et désir de catcheur en se laissant aller contre moi. Je l'attirais en douceur et nos bouches se joignirent dans un délicieux baiser. Quelle bouche délicieuse et le petit voyou savait embrasser, nos langues se tournèrent, s'apprivoisèrent passionnément.

Et pendant ce temps les deux autres, restèrent-ils inactifs ? Que non point ! Ils auraient pu faire la même chose que nous, juste à côté, et bien non, Yvan me caressait le cul et les boules et son frère le suçait !

J'avais vraiment touché le gros avec ces trois-là !

C'est ainsi que mon réveil se transforma en partouze avec mes neveux si jeunes et aussi si mignons, mais en plus de parfaits petits pédés aguerris et vicieux....Passant d'une bite à un autre, d'une bouche, d'un cul d'un téton à un autre, je dégustais, tu dégustais, ils dégustèrent, nous dégustions. Ces petits voyous savaient parfaitement jouer de leur corps de celui des autres, n'ignoraient pas grand-chose sur la manière de jouir entre garçons, mais toutefois ils furent merveilleusement étonnés par ma leçon de dégustation de culs !

Je commençais avec le plus jeune, Dominique à qui je relevais les jambes, les maintenant des deux mains pendant que j'activais sur son petit trou si bon, Je salivais abondement ne me lassant pas une seconde de son périnée du raphé fort bien marqué et à chaque passage de ma langue dessus il sursautait de bonheur, je poussais du bout de la langue sur l'œil de bronze, revenais encore et encore. Si bien que les deux autres, forts de cette leçon pratique firent de même et je passais en revue linguistique les trois culs de mes neveux ! Je jouis une fois dans la bouche d'Yvan quand il me suçait avidement tandis que je dégustais les deux tiges de Dominique et de Marcel en même temps.

Je jouis encore une fois dans le cul d'Yvan alors que Dominique m'enfilait aussi et finissant le petit train, Marcel mettait son frère et enfin je jouis encore tout en avalant le jus de Marcel, alors Dominique et Yvan me suçait ensemble !

Evidement qu'eux aussi se vidèrent les roupettes plusieurs fois. Et bien pour un réveil en fanfare c'en était un !

Quand enfin calmés, nous étions entremêlés, câlins et joyeux sur le lit, ils me racontèrent que cela faisait quatre ans maintenant qu'ils avaient commencés à s'amuser entre eux allant de découvertes en découvertes et ils aimaient ça ! Des frères homos et incestueux !

– La première fois on était ensemble dans la baignoire, et Yvan, alors âgé de neuf ans ans avait fièrement montré son zizi tendu, un peu comme celui de Dominique aujourd'hui à ses frères de sept et six ans ! C'était un jeu rigolo qu'ils avaient tous apprécié. De fil en aiguilles au fil du temps, ils avaient appris par eux-mêmes toujours avec plaisir à découvrir de nouvelles variantes. La première sucette, la première enfilade et la subtilisation dans la pharmacie familiale du tube de vaseline.

– Et vos parents ne se doutent de rien ?

– Je ne crois pas, non répondit Yvan, maman voit bien les taches sur nos pyjamas mais elle a rien dit, oh, elle doit bien se douter qu'entre garçons on s'amuse un peu, mais elle doit penser juste à des branlettes, pas plus....

– Dis, on peut rester à poils ?

– Bien entendu pourquoi pas ? je vous propose un monstrueux petit déjeuner, enfin un brunch car à l'heure qu'il est...

Et c'est ainsi qu'entièrement nus nous nous sommes assis autour de la table familiale surchargée de bon cacao crémeux, de pain de croissants chauds que j'avais été cherché à la boulangerie me re-déshabillant après, pendant les galopins mettaient la table et préparaient tout. Ils avaient aussi sorti des fromages, des charcuteries et tout ce qui leur faisait plaisir. Nous avons donc repris de forces et des calories que nous comptions bien dépenser jeux de bouche et de corps !

Pendant que nous mangions les mains baladeuses n'arrêtaient pas et avec des jeunes ados de cet âge, il ne faut pas beaucoup pour raviver le feu. C'est ainsi que rangeant la vaisselle et débarrassant la table, les bites étaient dressés, qu'ils de frottaient, se claquaient les fesses s'échauffaient et je n'étais pas en reste. C'est alors que Dominique sorti du frigo une bombe de crème fouettée et en mis un peu sur mon nez pour me lécher aussitôt. Canaillou va, je lui pris la bombe pour lui en mettre sur la bouche et pouvoir le lécher, Yvan pris la bombe et en mis sur le gland de Marcel et le jeu était lancé ! Bientôt la bombe fut, vide la cuisine pleine de crème un peu partout et nous étions encore les quatre sur le lit à partouzer....

Le reste du WE fut entrecoupé de piscine, de sport de jeux et de baise.... Merci les parents je reviendrai quand vous voudrez !

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