Ceci est une nouvelle histoire.
Titre : Ma fille - Chapitre 1
Auteur : Pourkoipas12
Email : pourkoipas12[_at_]yahoo.ca
Personnages : 1 homme, 1 petite fille
La plus jeune fille a 10 ans
Romantique
Exhibitionisme
Voyeurisme
Inceste
Masturbation

Texte envoyé le 03/10/2010
Texte publié le 03/10/2010

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Résumé :
Le jour ou je me suis sentie attiré par ma jeune fille.

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.
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Ma fille

par Pourkoipas12

Chapitre 1

Pour commencer mon récit, je vais me présenter un peu et vous décrire la situation dans laquelle je suis actuellement. Pierre de mon prénom, j'ai divorcé depuis un peu plus de deux ans et j'ai la garde partagée de notre unique fille Cathie qui vient d'avoir 12 ans. J'avais donc 38 ans au moment du divorce.

Après le prononcé du divorce, je pouvais avoir ma fille avec moi aussi souvent que je le souhaitais. Il faut dire que mon ex femme n'a pas été exigeante envers moi. Elle me demande parfois un peu d'argent quand elle en a de besoin pour notre fille et c'est tout. Notre relation étant restée tout de même assez bonne n'a pas causé de problème à Cathie. Elle n'a pas eut à choisir qui elle aimait car sur ce point, nous les adultes avons toujours eut en priorité le bien être de notre fille. Donc elle ne se sent pas coupable de venir passer du temps chez moi ou bien rester avec sa mère. Elle est libre d'aller avec le parent qu'elle souhaite être.

Au début alors que Cathie n'avait que 10 ans, elle venait presque toutes les fins de semaine. Comme j'avais loué un appartement avec une seule chambre, elle devait dormir avec moi dans mon lit. Je lui avais bien proposé de dormir sur le divan, mais devant son refus catégorique, elle dormit avec moi dans le même lit dès sa première visite.

Bien entendu, nous avions du plaisir et nous jouions beaucoup ensemble avant de nous endormirent. Toute petite et toute menue, elle avait bien de la misère à faire étendre son papa sur le dos. A la fin, je faisais semblant qu'elle gagnait. Mais en réalité, je la laissais gagner pour son plus grand plaisir. Pendant ce temps, son rire résonnait à mes oreilles comme une douce mélodie. Cathie a toujours été une jeune fille joviale et cela pour mon bon plaisir. Elle n'était pas un enfant difficile à vivre et elle acceptait facilement les compromis.

Cependant il demeurait un fait. N'ayant plus de compagne de vie avec moi, mes seules activités sexuelles étaient la masturbation. Chose que je pratiquais à chaque fois que j'avais envie de sexe. Pour le moment je ne voulais pas me remettre en relation avec une autre femme. Je voulais aussi laisser passer un peu de temps avant d'introduire une nouvelle compagne de vie à ma fille.

Donc le premier matin en me réveillant, je vois le corps encore juste en développement de ma fille dormant auprès de moi. Sa courte chemise de nuit laissait voir ces belles et fines jambes. Et je pouvais aussi voir son embryon de poitrine qui deviendrait par le temps des seins de petite femme. Seul un petit renflement des minuscules tétons laissait paraître que ces seins commençaient à prendre forme. Il allait falloir attendre encore quelques mois avant que sa poitrine commence à se nommer ainsi.

Mais pour moi se fut un élément déclencheur me poussant ou je devrais dire éveilla en moi des désirs sexuels pour ma jeune fille de seulement 10 ans. Mon pénis se mit à faire le beau. Mon caleçon avait de la difficulté à le garder caché. Je me rendais compte pour la première fois de ma vie que ma fille m'excitait autant qu'une femme adulte. Et même encore plus.

Encore non mature et même pas développé, j'avais quand même des désirs de sexe avec elle en la voyant ainsi exposé à mes yeux. Cathie dormait encore et n'avait aucunement conscience que je matais son petit corps sans défense allongé auprès de moi. Elle ne pouvait réaliser ou comprendre tout le désir qui venait de naître en moi pour elle.

Mon pénis me faisait mal tellement il était comprimé dans mon caleçon. Je le sortis de sa cachette et je commence à me masturber auprès de ma fille. Ma jouissance fut rapide et mon sperme atterrit sur sa cuisse la plus près de moi.

J'étais un peu honteux d'avoir jouie sur elle. Mais en même temps j'avais eut la plus fabuleuse jouissance de ma vie. Rapidement, je prends le bord de la couverture pour faire disparaître les traces suspectes. Par la suite je me lève et file prendre ma douche.

Sous l'eau rafraîchissante, je pensais au geste que je venais de faire. Je ne m'en voulais pas vraiment car Cathie n'avait eut connaissance de rien. Par contre pour moi, c'était comme le début d'une descente aux enfers. Ou du moins un geste répréhensible aux yeux de la loi. Par chance, pour le moment j'étais le seul témoin de mon action indigne d'un père.

A ma sortie de la douche, j'étais bien vêtu. En me dirigeant à la cuisine pour me faire un café, je rencontre ma petite Cathie avec encore les yeux endormit venir prendre place à la table. Elle portait encore sa courte chemise de nuit et mes yeux se régalaient du spectacle offert. Je devais faire un effort afin qu'elle ne s'aperçoive pas que je voulais encore voir la nudité de son corps sous ce fin vêtement.

Avant de s'asseoir Cathie vint me faire son câlin du matin. Je la serre fort dans mes bras et lui pose un tendre baiser sur la joue comme ceux d'un père aimant sa fille. Elle en fait de même. J'ose même poser une main sur son fessier pour la rapprocher plus près de moi durant le baiser et pour sentir les coutures de sa petite culotte. Bien entendu sous le signe de l'amour paternel. Je la serrais contre moi et ce fait là me la rendait encore plus belle et désirable. Mon sexe était encore en érection suite à ce contact avec son petit corps. Elle prit place sur la chaise près de la mienne. Je pouvais à loisir voir ces petits tétons par l'échancrure de sa chemise de nuit.

– Alors Cathie, tu as bien dormi avec moi cette nuit ?

– Oui papa. J'étais toujours contre toi. J'espère que cela ne t'a pas empêché de dormir.

– Pas du tout. Tu peux te coller à moi aussi souvent que tu le veux.

– Je me sentais si bien avec la chaleur de ton corps papa.

– Moi aussi Cathie.

– Alors, je ne dormirai jamais sur le divan ?

– Non, jamais. Si c'est cela que tu désire.

Je n'allais surtout pas pour le moment lui révéler le pourquoi je voulais tant qu'elle continue à dormir avec moi dans mon lit.

– Tu dois avoir faim ?

– Un peu.

– Que dirais tu d'une bonne omelette avec du bacon ?

– Je dis oui.

Je cuisine donc pour nous deux. Ma fille ne cessait de parler et j'étais l'homme le plus heureux de la terre de l'avoir en ce moment avec moi.

Enfin le déjeuner est prêt et nous mangeons avec appétit. A la fin, je lui demande ce qu'elle aimerait faire. Sa réponse fut d'aller au magasin car elle avait besoin d'une paire de jeans et aussi d'un maillot de bain. J'accepte volontiers sa proposition. Ceci me permettra sans aucun doute de la voir à nouveau dans son plus simple appareil.

Nous partons donc pour le magasin qu'elle souhaite aller et rendu sur place, elle trouve tout de suite son jeans. Reste son maillot. Elle doit en essayer 3 avant de choisir le bon modèle qu'elle aime. Moi de mon côté, j'étais bien fier de pouvoir la regarder par le bord du rideau de la cabine d‘essayage. A trois reprises, elle se mit flambant nue sous mes yeux voyeurs et je bandais à la voir. J'aimais voir son petit corps devant moi et juste voir son petit vagin sans aucun poil me fit décharger en silence dans mon caleçon. Je me retins d'exprimer mon plaisir pour ne pas faire voir aux gens circulant que je venais de jouir à voir ma fille essayant un maillot.

Finalement, Cathie sortie de la cabine pour me faire voir son choix. Elle était tout simplement ravissante et séduisante avec ce maillot deux pièces. Je remarquai surtout ces toutes petites fesses bien rondes et parfaitement moulées par la culotte du maillot. Pour sa poitrine, il n'y avait pas vraiment grand chose à voir pour le moment. Quoique je sache que ca commençaient à grossir ces petits seins. Dans ma tête j'avais vraiment hâte de la voir se développer plus de la poitrine afin qu'un jour je puisse téter ces mamelons et caresser ces petits seins.

– Alors papa, tu en dis quoi de mon choix ?

– Il te va à merveille ma chérie.

– Merci ! Tu veux bien me l'acheter ?

– Bien sure Cathie. Tu en as besoin alors ce n'est pas un caprice ou une dépense folle.

– Je t'aime papa.

– Moi aussi.

Au même moment ou je lui disais que je l'aimais, elle me sauta au coup pour me donner un baiser. Dans son empressement, celui-ci déborda un peu au coin de mes lèvres. Quasiment sur ma bouche à vrai dire.

– Excuse moi papa, je ne voulais pas t'embrasser sur la bouche.

– Ce n'est rien. Tu peux le refaire aussi souvent que tu le désire.

– Tu n'es pas fâché ?

– Pas du tout. Tes lèvres sont si douces. Et j'adore ton haleine de petite fille.

– Tu me rassure. Je vais aller me changer pour quitter le magasin.

– Je t'attends.

Après avoir passé à la caisse, je lui propose d'aller manger un peu dans une petite cantine que je connais pour son bon manger. Nous bavardons de tout et de rien. Elle me dit que sa mère va être contente de ne pas avoir à lui acheter son jeans et son maillot. Elle n'est pas riche sa mère en ce moment. Je rassure ma fille que tant que ça la touche, cela ne me dérange pas de dépenser pour elle et ainsi aider sa mère. Elle semble soulagé d'épargner cette dépense à sa mère.

A la sortie de la cantine, je propose une chose à ma fille.

– Cathie, cela te ferais plaisir d'essayer ton nouveau maillot  ?

– Oui papa. Mais ou ?

– Tu ne te souviens pas de mon chalet au bord du lac ?

– Oui. Mais nous y sommes aller si peu souvent.

– Tu voudrais y aller avec moi ?

– Oui.

– Alors nous y allons et nous dormirons au chalet ce soir.

– Super papa !

Je savais en dedans de moi que le chalet était plus un prétexte pour la voir en maillot et aussi l'avoir encore contre moi durant la nuit. Comme s'était samedi, elle n'avait pas d'école le lendemain et je pouvais la ramener à sa mère le dimanche soir comme convenu.

Je fis un détour par le marcher d'alimentation afin d'avoir de quoi manger le soir et aussi durant la journée. Rapide incursion dans le marcher et ensuite nous prenons la route en direction de mon chalet. Moins de 25 minutes après, nous sommes devant la porte.

Nous déchargeons les victuailles et son magasinage et nous avons le reste de la journée et la soirée à nous. Nous pouvons repartirent tard dans l‘après-midi dimanche pour que Cathie retourne chez sa mère pour le souper.

– Alors Cathie, il ne serait pas le temps que tu enfile ton nouveau maillot ?

– Oui, tu as raison.

Comme elle allait pour se changer dans la chambre, je lui dis de le faire devant moi.

– Papa, tu veux me voir nue devant toi ?

– Pourquoi pas ? Je t'ai vu dans le magasin.

– Tu as raison.

Quel motif ou raison je n'oserais invoquer pour la voir nue devant moi ? Alors je la vis s'asseoir sur le divan dans le petit salon du chalet. Je voyais qu'elle enlevait lentement chaque pièce de vêtement pour enfin se retrouver nue devant moi. Elle ne semblait pas avoir de gêne à se montrer ainsi nue devant moi. Moi, mon excitation montait en flèche et mon pénis était bien dure dans mon jeans. Il faut dire qu'elle n'avait que 10 ans à cette époque. Et la gêne n'a jamais été présente. A croire qu'elle aimait que je la voie nue.

– Tu es vraiment belle Cathie. Tu as un très beau corps ma fille.

– Tu trouve papa ?

– Oui. Enfile ton maillot maintenant.

– D'accord.

Je voyais ma fille nue penchée devant moi chercher dans le sac de magasinage son maillot. Et moi je voyais ces belles petites fesses. Finalement, elle me demanda d'enlever l'étiquette sur le top et elle mit le bas. Voir le bébé chaton de son petit vagin caché par la culotte de son maillot m'excitais encore plus. Voir les grandes lèvres de ma fille et son petit cul si bien moulé par cette culotte de maillot faillit me faire décharger à nouveau dans mon caleçon. Lequel était déjà assez poisseux !

Au moment de mettre le top, elle me demanda de lui faire le nœud dans le dos pour qu'elle le porte bien. Ce fut un régale pour moi que de lui ajuster les bonnets qui ne servaient presque à rien et ensuite de nouer le tout dans son dos. Je ne manquai pas de glisser mes doigts sous les bonnets afin de palper ces tétons. Je fis même semblant de la chatouiller sur ces petits tétons en guise de jeu afin qu'elle ne s'aperçoive pas que moi je ne jouais pas, mais que cela m'excitais comme tout. Dans ma tête, je maudissais le temps avant qu'elle ne possède des petits seins vraiment palpables sous mes doigts.

Sans le vouloir et le savoir, Cathie m'excitait de plus en plus. Et dire que durant que je demeurais avec sa mère, je n'avais jamais pris conscience de sa beauté et de l'attirance sexuelle que je pouvais avoir pour elle.

Après avoir mit son maillot, elle me demanda si j'en avais un moi aussi. Malheureusement, je n'en avais pas. Que pouvais-je lui soumettre comme idée afin de partager notre baignade dans le beau lac avec elle ?

– Alors papa, tu viens te baigner avec moi ?

– Je ne sais pas, je n'ai pas de maillot avec moi.

– Dommage.

– Il y a par contre deux solutions.

– Lesquelles ?

– Soit je me baigne en caleçon soit nu !

– Ce serait une occasion pour que je voie ce que tu me cache depuis si longtemps.

– Que veux-tu dire par cela ?

– Voyons papa. Je ne suis pas naïve. Je sais ce que veux dire bander.

– Mais diable où as tu appris ce mot ?

– A l'école avec mes amies. J'ai des amies plus âgées que moi qui ont déjà couché avec leur amoureux. Et elles m'en parlent parfois.

– Et toi, tu as déjà couché avec un garçon ?

– Non, Pas encore. Les gars regardent plus les filles avec des seins. Et comme moi je n'en ai pas encore, ils m'oublient.

– Ca viendra, soit sans crainte. Tu es si belle.

– Je sais. N'empêche que je n'ai encore jamais vu le truc d'un garçon.

– Ca viendra cela aussi.

– Je te propose un deal. Nous prenons notre baignade tous les deux nus. Qu'en pense tu ?

– Hum ! Ca me paraît tout de même un peu vicieux de faire cela. Je suis ton père. Ne l'oublie pas.

– Je sais. Et moi ta fille. Je ne vois pas où est le problème  ?

– Mais si jamais une personne savait que je me baigne nu avec toi, cela ferait un beau scandale.

– Je ne suis pas obligé de le dire à personne. Nous ne somme que toi et moi. Et les voisins sont loin de notre endroit de baignade.

– Tu es très intelligente toi. Tu pense à tout.

– Normal. Je suis une fille papa.

Je n'avais vraiment pas beaucoup d'argument afin de lui dire non. Il me semble qu'elle voulait se baigner avec moi, et aussi voir mon truc. Elle verra que ce n'est pas le pénis d'un petit gars de son âge qu'elle verra. Mais celui d'un adulte.

Son idée germait dans ma tête et j'avais vraiment le désir de lui faire voir mon sexe pour qu'elle apprenne la différence entre les deux sexes. D'un autre côté de la médaille, j'avais une certaine crainte qu'elle raconte le tout à sa mère. Je serais un homme mort si jamais mon ex savait que je me mets nu devant notre fille.

Si je donnais mon accord à sa demande, elle verrait mon sexe en pleine érection et je devrais répondre à toutes ces questions. Cathie est très curieuse et elle cherche toujours la raison de cela ou ça. Je vais sûrement devoir lui révéler beaucoup de choses au sujet que je bande en sa présence. Et pourquoi aussi !

Je n'ai pas eut le temps de réfléchir longuement que je voyais ma fille défaire le nœud de son top et l'enlever. Suivit la culotte qui prit le même chemin sur le divan.

Ma fille de 10 ans était debout flambant nue devant moi à attendre ma réponse afin d'aller se baigner dans le lac avec moi. Elle me faisait vraiment bander. Son petit corps si bien fait me donnait toute sorte d'envie avec elle. Je devais lui répondre rapidement avant de paraître stupide à ces yeux. L'envie me tentait beaucoup d'être corps à corps nu avec elle dans l'eau. Et aussi d'imaginer la suite des événements suite à nos contacts peau contre peau.

– Tu sais Cathie, si je dis oui à ta proposition, tu vas me voir nu comme toi.

– Je sais papa. Quel mal y a de nous voir nus ?

– Si tu n'étais pas ma fille, je n'hésiterais pas un instant. Mais tu es ma fille.

– Mais pourquoi tu hésite à te mettre nu devant moi ?

– Je suis ton père.

– Et alors ! Nous sommes en famille. Pas pire que ceux qui font du nudisme !

– Je te donne raison sur ce point. Il y a beaucoup de famille qui pratique le naturisme. Mais tu dois savoir qu'entre seul un père et sa fille, c'est très rare. De plus, il peut s'en suivre des conséquences non prévues.

– Et comme quoi ?

– Il se pourrait que je te désire comme une femme.

– Je t'aime papa même si je suis juste une petite fille.

– Je pourrais avoir des envies envers toi comme avec une femme. Tu me comprends ?

– Je commence. Même si je n'ai pas de sein, tu aime mon corps, exact ?

– Oui Cathie.

– C'est cela ton problème ?

– Exactement. Je te trouve si attirante. Encore plus qu'une femme adulte.

– Voyons papa, je suis prête moi à faire des choses avec toi. Comme ce que font mes amies ! Pourquoi tu t'inquiète autant  ?

– Et que font tes amies ?

– Certaines couchent avec leur copain et d'autres les sucent.

– Et tu connais toutes ces choses ?

– Bien sur papa. Je ne suis pas si niaiseuse que ça.

– Je n'ai pas dis ça. Juste que je sois surprit que tu en sache autant à seulement 10 ans.

– Nous ne sommes plus en 1940. On se parle entre fille.

– OK. D'accord. Je vais aller me baigner avec toi tout nu. Tu es contente ?

– Oui papa. J'ai tellement hâte de te voir en érection. Car tu es bandé en ce moment ?

– Oui je le suis.

– Super !

– Encore une chose Cathie, tu n'en parle jamais à personne. Ni à ta mère.

– Non jamais.

Sans plus attendre, je commence à me déshabiller devant ma fille qui ne manquait aucun détail de mon anatomie. Rendu au slip, elle ne fit aucune mention sur le fait qu'il était trempe par ma récente décharge. A deux mains, j'écarte l'élastique pour libérer mon pénis qui occupe toute la place. Cathie a les yeux grands ouverts et ne dit pas un mot. Je le glisse à mes pieds et finalement, je suis nu comme au jour de ma naissance. Mais avec des attributs autrement plus gros.

– Alors Cathie, tu aimes ce que tu vois ?

– Ho oui papa ! Tu es vraiment un bel homme. Et ton pénis est si gros.

– C'est à cause de toi qu'il est aussi gros.

– Il n'y a pas à dire, je te fais vraiment de l'effet.

– Oui. Encore plus que ta mère. Mais ne va jamais lui dire.

– Non.

Je devais changer de sujet sinon je crois que j'aurais demandé à ma fille soit de me masturber ou de me sucer. Je lui dis de prendre sa serviette et nous sortons du chalet pour marcher en direction du lac qui est qu'à quelques dizaines de pieds devant nous.

J'y avais aménagé une petite descente et dès que nous touchons l'eau, celle-ci ne recouvre que le dessus de nos pieds pour aller plus profond à environ une trentaine de pieds plus loin avant que nous n'ayons de l'eau aux épaules. Dans le cas de Cathie et non de moi qui suis plus grand qu'elle. Le fond est sablonneux et l'eau est claire et propre. Une vraie petite plage privée.

Tout comme moi, c'est aussi la première fois que Cathie se baigne nu. Elle adore la sensation de liberté et le contact direct de l'eau avec sa petite chatte. Nous avons beaucoup de plaisir à jouer ensemble et parfois elle me saute dessus afin que je la prenne sur mes épaules pour le jeter loin dans l'eau. D'autre fois, elle reste à cheval sur mes épaules avec ses jambes que je tiens contre mon torse et me demande d'aller ou il y a plus profond d'eau.

La chaleur que dégage sa petite chatte contre ma nuque me cause beaucoup d'émotion. Lui tenir les jambes que je trouve si douces sont aussi un excellent stimulant pour moi. Dans ma tête, je me dis que j'aimerais bien mieux avoir sa petite chatte contre ma bouche et savoir quel goût a ma fille. J'ai presque mal au pénis tellement ça fait longtemps que je suis en érection. Et rien ne se passe pour que cesse mon érection.

Au bout de près d'une heure de jeux et de toucher, nous retournons où Cathie peux prendre pied. Elle a de l'eau jusqu'au fesses et moi mon mat de plaisir sort par moment la tête hors de l'eau pour prendre un peu l'air. Pour 10 ans, elle n'est pas encore très grande. Ce qui me met toute sorte d'idée en tête quand je la vois ainsi devant moi avec sa bouche presque à la bonne hauteur pour une bonne fellation. J'imagine aussi que sa petitesse est un autre facteur qui fait que je suis en adoration avec elle. J'anticipe le moment ou je vais pour la première fois sucer ses petits tétons encore non formés. Ou bien sa petite vulve encore sans aucun poil. Finalement, Cathie me sort de mes rêveries d'une façon assez surprenante.

– Papa, regarde mes tétons. Ils sont durs. Je crois que mes seins vont bientôt prendre forme.

– Tu as raison. Tu vas sûrement avoir des petits seins dans pas longtemps.

Cathie me prit les mains et les posa sur sa poitrine. Nous sommes demeurés silencieux un certain temps avant qu'elle me dise :

– Papa, touche comment mes tétons sont durs. Tu ne trouve pas  ?

– Effectivement ils sont durs. Et sens comme tes petits mamelons que je tiens entre mes doigts sont érectiles.

– Je n'avais jamais remarqué cela avant. Je crois que je vais me regarder à chaque matin pour voir si mes seins commencent à grossir. Et aussi me toucher les pointes.

– Tu vas voir que bientôt tes t-shirts vont montrer deux belles petites bosses.

– Oui. Et aussi le haut de mon maillot va me servir enfin.

– Tu as parfaitement raison ma chérie.

– Dis-moi papa, c'est normal que je ressente des choses dans mon corps quand tu me touche comme en ce moment ?

– Ceci réveille ton corps aux plaisirs.

– Quels plaisirs ?

– Je ne sais pas si je dois te parler de tout ca. Tu n'as encore que 10 ans.

– Si ce n'est pas toi, je vais demander à mes amies.

– Je vois. Les plaisirs dont je te parle sont sexuels. Tu vas découvrir ton corps et aussi la jouissance quand tu vas te caresser.

– Tu veux dire jouir ?

– Oui. Il y a plusieurs façons de jouir en se caressant ou en se faisant caresser par une autre personne.

– Par exemple par toi ?

– Ça pourrait être moi. Mais cela n'est pas permit par la loi. Les gens n'acceptent pas ce genre de contact entre un père et sa fille.

– C'est ce qu'ils appellent de l'inceste ?

– Oui.

– Et si je n'en parle à personne, ça pourrait être toi qui me caresse ?

– Probablement car je te trouve vraiment belle et désirable.

– Moi aussi je te trouve beau papa.

– Aller, viens, nous devons rentrer au chalet car il va venir le temps de souper.

Je ne voulais pas éterniser cette conversation car je savais que si nous continuions, j'aurais été incapable de résister à caresser ma fille. Déjà que j'avais aimé lui caresser les tétons. Pourtant, je savais bien que je sois dans l'impossibilité de lui résister encore très longtemps. Son tout mignon petit corps m'excitait au plus haut point et j'avais tellement d'idées de choses à faire avec elle malgré qu'elle ne soit âgée que de 10 ans.

A peine entré dans le chalet, je me dirige à la salle de bain sous prétexte d'un besoin. Mais mon besoin était de décharger car j'avais été trop longtemps en érection et je devais jouir pour me calmer un peu. Il ne fallut que peu de temps avant de laisser mon sperme atterrir dans le bol de la toilette. Une autre jouissance causé par ma fille.

Je passai par la chambre me vêtir et ensuite je rejoins Cathie à la cuisine. Quel ne fut pas ma surprise de voir ma fille encore nue assise à la table avec sa serviette sous son petit cul ! Elle feuilletait le journal qui datait de la dernière fois que j'étais venus au chalet.

Je demeure silencieux et en admiration devant ma fille jusqu'au moment ou elle s'aperçoit de ma présence.

– Tu es de retour papa. Je regardais le vieux journal.

– Il date de loin ce journal.

– En effet, près de deux ans.

– Ca doit être la dernière fois que je suis venu coucher ici après le divorce. J'avais aussi chargé mon bon ami Denis de veiller sur le chalet et de venir à l'occasion faire une visite pour voir que tout était correct.

– Cela veux dire qu'il pourrait venir à tout moment et me voir nu ?

– Ne t'inquiète pas Cathie. Je l'ai averti que je venais faire un séjour avec toi.

– Tu me rassure papa. Je ne voudrais pas qu'il me voit nue.

– Mais dis-moi pourquoi tu reste nue ?

– Parce que je sais que tu aime me voir et que cela me fait aussi plaisir de te montrer mon petit corps. Et je me sens bien sans vêtement sur moi.

– Tu as raison. J'aime bien voir le corps de ma petite poupée d'amour.

– Et moi te le faire voir.

– Il est temps de préparer le souper, tu veux m'aider ?

– Avec plaisir papa.

Cathie se lève de sa chaise et viens avec moi au comptoir pour m'aider à faire le souper. Sa nudité m'impressionne encore et je ne cesse de la désirer comme une femme. Je dois faire des efforts surhumain pour me retenir de la prendre dans mes bras et l'embrasser et la toucher partout sur son petit corps de jeune fille de seulement 10 ans.

Encore une fois, elle réussit à me faire bander et je me frotte contre ses petites fesses comme si je voulais lui pénétrer le cul. De par ma lubrification de mâle, mon pénis coulisse facilement entre ces fesses. J'aimerais tellement jouir contre elle, mais je dois me retenir. Je la serre contre moi pour à nouveau coller mon érection contre son petit corps. Mes mains s'échappent et lui touchent les tétons que je sens durcirent sous mes doigts. Je ne cesse à tout moment possible de la toucher et de laisser mes mains courir sur son corps de nymphette tout en déguisant le tout sous forme de jeu.

La préparation du repas dure beaucoup plus de temps que nécessaire à cause que je suis constamment en train de la tripoter. Ma gentille fille se laisse faire et répond à mes désirs. Je dois me retenir de la renverser sur la table pour lui bouffer la chatte ou la fourrer avec ma queue qui se meurt d'avoir un autre soulagement. Mais à 10 ans, je crois que je lui ferais plus de mal que de plaisir. Je me dois de me retenir d'attendre qu'elle prenne de l'âge un peu.

Finalement, nous mettons le repas à cuire et je redeviens un papa à peu près normal. Nous jasons de tout et de rien. Cathie me dit avoir aimé se baigner avec moi dans le lac et que pour sa première expérience nudiste, elle trouve le tout très satisfaisant et surtout la liberté de n'avoir à porter de maillot. Je lui rappelle qu'elle doit garder cela entre nous et que lorsqu'elle se baignera avec d'autres gens, elle devra mettre son maillot. Un petit signe d'insatisfaction se lit sur son visage, mais elle me rassure rapidement.

Le repas est près à être servit et nous allons manger sur la table ronde sur la galerie. Le lac qui est calme en ce moment et splendide est comme une invitation à y retourner. Sûrement que nous allons avoir l'occasion d'y refaire baignade avant notre retour en ville.

Manger en compagnie de ma fille face à moi encore nue me trouble toujours. De par sa position, je ne suis pas en mesure de voir son entre-jambe. Par contre, je vois bien son torse sur lequel se dessinera dans peu de temps ces tous petits seins.

A la fin du repas, nous retournons dans le chalet pour faire la vaisselle. Par la suite, je prépare un petit feu de camp pour terminer notre soirée. Je l'allume dès que la brunante pointe son nez.

Une grande chaise longue fera l'affaire pour nous deux. Comme la soirée commençait à se faire plus fraîche, Cathie alla enfiler un jogging et coton ouatée. Malgré que je ne puisse voir clairement ses belles formes, elle continuait à m'exciter.

Bien entendu, devant un feu de camp, il faut des guimauves. Ce que nous avons fait. Grillé au bout d'une branche taillée pour la cause, nous en prenions chacun une bouchée avant d'en faire une autre.

Le temps passait si vite en compagnie de ma fille et l'heure d'aller dormir vint trop rapidement à mon goût.

De retour dans le chalet, j'allume un petit feu dans le foyer pour enlever l'humidité. Cathie revient me voir torse nu ne portant que son pantalon de jogging. Elle me demande quand nous allons dormir. Ma réponse fut dans peu de temps car moi aussi je commençais à avoir sommeil.

Quel surprise elle me causa quand je la vis se débarrasser de son jogging et sauter dans le lit toute nue ! J'allais pouvoir profiter de sa nudité contre moi toute la nuit. Misère que je vais avoir de la difficulté à dormir et surtout à me retenir de poser des actes indécents avec elle.

Finalement, je prends place auprès d'elle ne portant que mon caleçon. Cathie vient se blottir dos contre moi et la douceur et la chaleur de son corps éveille aussitôt mon membre. Elle ne peux que ressentir mon érection contre ses petites fesses. Avant de dormir, nous parlons un peu et soudain elle se retourne vers moi pour se positionner contre ma virilité.

– Petit papa, je vois que ton truc est encore dur.

– En effet ma chérie.

– Mais pourquoi il est toujours dans cet état ?

– Je te l'ai dis cet après-midi.

– Oui je me souviens.

Sans ajouter un mot, elle commence à se frotter la chatte contre mon pénis tout en se tenant avec une main sur mon épaule. C'est trop excitant et je sors mon membre de mon caleçon pour avoir un contact direct avec sa petite chatte. Il ne faut que peu de temps avant qu'elle ait la chatte toute barbouillée de mon fluide et cela glisse encore mieux.

– Alors papa, tu aime ce que je fais ?

– Oui. Mais à ce rythme, tu vais me faire décharger dans pas long.

– Cela veux dire que tu vas jouir ?

– Exactement.

– Et tu aimerais, n'est-ce pas !

– Je te mentirais si je te disais le contraire.

Cathie ne parla plus, mais elle accentua la vitesse de son frottement contre mon pénis. Ce qui devait arriver arriva. Je jouis contre son vagin en expulsant mon sperme juste à l'entrée de son vagin. Elle cessa son mouvement que lorsqu'elle comprit que j'avais fini de jouir. Je l'avais drôlement arrosé et ma jouissance avait été si bonne.

– Je vois que tu es soulagé puisque ton pénis est plus petit maintenant.

– Tu as raison. Tu es vraiment une championne pour branler un homme avec ton petit vagin.

– Donc tu as aimé ?

– Le mot est trop petit pour te dire comment j'ai adoré ce que tu viens de faire.

– Je suis contente. Si tu veux, je vais le faire encore.

– J'aimerais bien. Mais souvient toi d'une chose, tu ne dois jamais en parler à personne.

– Promit papa.

Je devais nettoyer les dégâts. Donc je me lève pour aller me laver et je rapporte une serviette pour lui essuyer la fente et le ventre. A nouveau propre, nous pouvons enfin dormir ayant à nouveau ma fille contre moi. Je repense à la bonne jouissance que ma fille vient de me donner et je me sens un peu indigne d'avoir profité de son innocence. Encore plus de lui avoir dis que j'aimerais qu'elle recommence. Vu d'une autre façon, elle ne semble aucunement traumatisée par ce moment et c'est elle-même qui m'a proposé de recommencer. Ce que j'ai accepté avec joie.

Je m'endors enfin et je rêve d'en faire encore plus avec ma fille. Je me suis réveillé souvent pendant la nuit et à chaque fois, je me collais encore plus contre le petit corps de ma fille. J'osais même parfois passer ma main sur son petit téton endormie et je le caressait. Au matin, je suis encore en érection et dès que je bouge, Cathie se réveille et constate mon érection.

Je suis dans l'impossibilité de lui cacher mon état puisque j'avais oublié de remettre un caleçon propre après ce glorieux moment passé en compagnie de ma fille la veille. Je ressens un peu de honte à exposer ma virilité à ces yeux. Mais je me ravise rapidement car elle m'a déjà assez longuement vu nu lors de notre baignade. Cathie se colle encore plus à moi et le contact de son jeune corps me donne encore plus d'envies d'elle. Je n'en reviens pas de l'attirance que j'ai pour ma jeune fille de 10 ans. Et que dire de sa complicité à me satisfaire dans mon rapport interdit avec elle. Elle est si envoûtante et consentante que cela fait que je ne me sens plus coupable de profiter de sa jeunesse.

– Papa, tu n'es pas raisonnable. Tu as encore envie.

– Que veux tu ma fille ! Je suis comme ca. C'est toi qui me met dans cet état de perpétuelle envie de toi.

– Tu me désire donc aussi fort ?

– Oui Cathie.

Je sais que je n'aurais pas dû le faire. Mais dès qu'elle commença à se frotter contre mon pénis, je l'arrêta et lui dis :

– Tu sais Cathie, il y a une autre façon de me faire plaisir.

– Ha oui ! Et comment ?

– Tu pourrais me masturber avec tes mains. Je vais te montrer comment faire.

Sans plus attendre, je me couche sur le dos et je la fait se mettre en position assise auprès de moi. Je lui prends la main pour la mettre sur mon membre engorgé de sang. Je lui dis comment faire et lui montre la manière pour bien me masturber. Je lui dis aussi de me prendre en main les testicules et de jouer avec. Rapidement, elle saisit la bonne technique et après que quelques minutes, je lui englue la main de mon sperme. Une autre fois, ma jouissance est aussi fabuleuse que la première fois ou elle m'a fait jouir.

Une rapide douche efface toute trace suspecte de notre acte illicite. Ensuite c'est le temps de déjeuner. Durant que nous mangeons, je repense à tout ce qui vient de se produire avec ma fille depuis le vendredi. J'ai vraiment l'impression que je dérape et que je suis dans l'erreur d'utiliser ma fille comme une femme adulte. Je lui propose donc d'aller visiter une attraction pour les jeunes de son âge dans la ville où nous habitons. Ceci avant d'aller la reconduire chez sa mère.

Le reste de la journée se passe bien. Je suis le père digne d'être en compagnie de sa jeune fille et je ne pose aucun geste déplacé sur ma fille.

Arrivé devant la résidence de mon ex, j'embrasse ma fille et lui rappelle ne rien dire au sujet de notre fin de semaine. Ce qu'elle me promet. Sa mère vient la rejoindre et Cathie lui dit que je lui ai acheté les vêtements qu'elle avait de besoin. Celle-ci me remercie et je lui souligne que tant que cela touche notre fille, elle peux me le demander à chaque fois. Ceci était notre accord lors de notre divorce.

Durant le trajet pour revenir chez moi, je repense à tout ce qui vient de se produire avec ma jeune fille. J'ai comme l'impression d'être devenu un agresseur sur ma fille. Ce genre d'homme que la société déteste. Je persiste quand même à dire que je ne l'ai aucunement forcé à faire des choses sexuels avec moi contre sa volonté. Cathie était ravit de me faire plaisir.

Jusqu'à quelques jours avant son onzième anniversaire, je me suis satisfait de masturbation par ma fille et aussi d'attouchement léger. Je ne ratais aucune occasion de lui toucher la poitrine qui commençait vraiment à devenir des beaux petits seins. A presque onze ans, Cathie avait à présent des seins. Encore très petit, mais tout de même palpable au bout de mes doigts. Aussi assez gros pour déformer le devant de ces t-shirts.

Je me rappelle une fois lors de sa visite ou elle portait un t-shirt. Elle m'avait dit que ces seins étaient vraiment en train de pousser. Et pour me le prouver, elle avait soulevé son vêtement pour me faire voir sa toute nouvelle petite poitrine que par la suite je ne cessais de toucher dès que l'occasion se présentait. C'est ainsi que je suis devenu accro des ces petits seins et que sa petite personne m'excitait encore plus que jamais.

Jamais je n'avais osé des attouchements à sa petite vulve. Je me contentais de sa poitrine et des ces masturbations. Ces fesses me faisaient aussi envie. Mais pas question de la sodomiser pour le moment. L'idée de me faire sucer par ma fille germait en moi. Mais je la trouvais trop jeune à 10 ans pour cela. Je risquais de lui faire de la peine et de la traumatiser et de la dégoûter du sexe. Je voulais vraiment qu'elle soit prête pour ce genre d'activité. Déjà elle m'en donnait beaucoup avec plaisir et consentement de sa part.

Tout cela changea le jour de ces onze ans. Après la fête organisée par sa mère chez elle pour son anniversaire, j'allais la chercher pour la fin de semaine en ma compagnie.

Je donnerai suite à ce texte pour les amateurs de mon genre d'écriture.

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