Ceci est une nouvelle histoire.
Titre : Dans le métro - Chapitre 1
Auteur : kid95
Email : newkid95[_at_]fastmail.fm
Personnages : 3 hommes, 1 femme, 1 petite fille
La plus jeune fille a 7 ans
Oral
Pénétration anale
Texte envoyé le 10/08/2010
Texte publié le 10/08/2010
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Dans le métro (au début)
***
1975 - CARINE EST REVENUE DES GRANDS MAGASINS EN MÉTRO, AVEC SA MÈRE. LE TRAJET ÉTAIT DIRECT, MAIS ENTRE DEUX STATIONS, IL Y EUT UNE PANNE. LE MÉTRO S'ARRÊTA ET MÊME LA LUMIÈRE S'ÉTEIGNIT PENDANT PRESQUE UN QUART D'HEURE. TROIS JOURS APRÈS, LA GAMINE DE SEPT ANS RACONTE.
***
CARINE — Tu sais maman, pendant la panne, au début j'ai eu un peu peur.
MAMAN — Pourtant, comme je te l'avais demandé, tu te tenais à mon manteau, comme il y avait foule. Et comme ça tu ne pouvais pas te perdre parmi les voyageurs.
CARINE — Bien sûr, maman, c'est pas quand la lumière s'est éteinte. Derrière moi, il y avait un monsieur, j'étais coincée entre un autre monsieur et il lui. J'étais même obligée de bien tendre le bras pour ne pas te lâcher. J'ai senti la main du monsieur derrière moi sur mon dos et elle a descendu sur mon derrière.
MAMAN — Mais il fallait me le dire, crier.
CARINE — Mais, maman, tu m'as toujours interdit de crier, de faire un scandale dans un lieu public, comme tu dis. Là, y avait du monde ! J'ai pas osé. C'est pas ma faute, j'ai fait ce que tu m'avais dit.
MAMAN — Bon, d'accord. Et après ? C'était peut-être un accident, peut-être cherchait-il à atteindre son mouchoir dans une poche. CARINE — Ça, je crois pas. D'ailleurs, il a passé sa main sous ma culotte de survêtement et il a tiré l'élastique de mon slip et il a passé la main en dessous en suivant la raie de mon... entre mes fesses et il a touché le trou de mon... je sais pas comment dire, tu sais.
MAMAN — Je sais très bien de quoi tu veux parler, ma chérie, mais tu as laissé continuer ? C'est sale !
CARINE — Tu voulais pas que je me fasse remarquer, alors... Oui, je l'ai laissé faire. J'ai cru qu'il avait fini quand il a retiré sa main. Mais il a recommencé et cette fois, j'ai senti que son doigt était tout mouillé. Il a retrouvé mon... comme j'ai dit tout à l'heure, et j'ai senti son doigt qui entrait dedans. J'ai failli crier, tellement j'étais surprise. Mais je me suis souvenue de tes recommandations et j'ai rien dit. Et j'ai senti son doigt qui entrai de plus en plus loin.
MAMAN — Et tu n'as pas eu mal ?
CARINE — Un tout petit peu, au début, mais après non. C'était pas désagréable après tout. Et il a fait entrer et sortir son doigt pendant plusieurs minutes, je suppose, moi, j'ai pas de montre, et en plus même si j'en avais eu, il faisait pas clair. Un moment je l'ai entendu qui chuchotait « Ça te plaît, n'est-ce pas, alors on va essayer autre chose ».
MAMAN (tout à coup très rouge) — Et ça t'a vraiment plu ? Et qu'est-ce qu'il a essayé aussi ?
CARINE - Il a retiré son doigt de mon...
MAMAN — Écoute, ma chérie, utilise les mêmes mots que ce que tu utiliserais pour parler à une copine. Je sais bien qu'à l'école on apprend des mots qu'on ne devrait savoir que beaucoup plus tard et je vais te dire que moi aussi, je les ai appris à l'école. Alors vas-y !
CARINE — Alors, il a retiré son doigt dans mon trou du cul, et toujours sous la culotte et mon slip, il est passé devant, enfin pas lui, mais sa main et il a commencé à tripoter ma... bite.
MAMAN — Et tu n'as rien dit, pourtant, il me semble que...
CARINE — Bien sûr, maman, tu m'avais dit que se toucher à cet endroit-là, c'est un péché très grave. Mais comme c'est pas moi qui me touchais, j'ai pensé qu'il n'y avait pas de péché, pour moi mais que c'est lui qui faisait le péché. C'est pas vrai ?
MAMAN (de plus en plus rouge) — Et alors ? Qu'est-ce qu'il a fait ?
CARINE - Il a chatouillé le petit machin qui dépasse un petit peu de mon... minou, quand je suis énervée et que tu m'as ordonné de pas toucher. Alors, comme c'était pas moi, j'ai laissé faire.
MAMAN — Et alors la suite ?
CARINE — Iil a retiré sa main, il a remonté ma culotte et mon slip et il a pris ma main pour la mettre... j'ai cru un moment que c'était son poignet, mais j'ai brusquement compris que c'était pas ça.... Il l'a fait remonter et au bout c'était pas sa main. Et tout d'un coup, j'ai compris ce que c'était.
MAMAN (écarlate) — Et qu'est-ce que c'était, d'après toi, ma chérie ?
CARINE — Ben, faut que je te dise que pendant la Toussaint, à Rambouillet, mon cousin il s'a déculotté et il m'a montré sa... enfin... sa bite. Et il m'a demandé de toucher. C'était vachement dur et le bout était doux quand on touche.
MAMAN — C'était lequel ? Lucien ou Fernand ?
CARINE — Ben, les deux, mais y avait que Lucien qu'elle était comme ça. Il a dit que Fernand avait que neuf ans mais quand il aurait son âge, 14, ça ferait pareil. Et il a ajouté que j'étais trop petite pour jouer avec.
MAMAN — Lucien avait raison, tu es trop petite. Il ne t'a rien demandé d'autre ? Pourquoi tu n'as rien dit en revenant de Rambouillet ?
CARINE — Non. Mais, si je devais te dire à chaque fois qu'un copain à l'école ou un petit voisin me montre son zizi... ou que je lui montre...
MAMAN — Il faudra qu'on reparle de ça un peu plus tard. Raconte-moi la suite de ce qui s'est passé dans le métro.
CARINE — J'avais bien deviné ce que c'était, parce qu'il m'a demandé si ça me plaisait de toucher sa bite, bien sûr tout doucement à l'oreille. J'ai rien répondu.
MAMAN (couleur cerise trop mûre) — Et après ?
CARINE — Il a pris ma main, il m'a dit de la serrer et que si je faisais gentiment ce qu'il demandait, il me ferait pas de mal, et même j'aurais une récompense. Alors j'ai senti son... machin qui allait et venait dans ma main pendant qu'il me faisait des bisous un peu partout dans le cou. Tu sais, c'était pas désagréable ! J'aime bien des bisous dans le cou, tu sais bien.
MAMAN — Mais c'était pas moi qui le faisais !
CARINE — Oui, mais c'était gentil quand même. Et puis tu sais bien que j'adore les bisous dans le cou. Et à un moment, il a fait aller sa... son... enfin tu vois, de plus en plus vite et j'ai senti un liquide chaud sur mon poignet et ma main.
MAMAN — Oh ! Et alors ?
CARINE — Il m'a dit tout doucement à l'oreille que c'était gentil, que j'étais maintenant une grande fille, que je pouvais lâcher ce que je tenais et m'a conseillé de lécher ma main.
MAMAN — Et tu as fait ce qu'il disait ?
CARINE — C'était au moment où la lumière a revenu. Il avait des gouttes toutes blanches. J'ai léché. C'était pas mauvais, un peu salé, pas mauvais que ça.
MAMAN (presque en bégayant) — Tu as léché ? Tu savais où ça sortait, je suppose
CARINE — Bien sûr. Lucien a dit que j'étais trop petite pour jouer avec, mais il m'a expliqué comment s'en servaient et pourquoi on le faisait. Il a entouré sa... enfin sa bite avec sa main, il a fait aller sa main d'avant en arrière et à un moment elle a coulé, de la même couleur que celle qui était sur ma main. Il m'a demandé de baisser ma culotte.
MAMAN — Et tu as fait ça ? C'est honteux !
CARINE — Pourquoi ? Lui, il avait baissé son short et son slip, comme Fernand, pour moi, c'était une politesse pour leur répondre. Et il m'a expliqué tout un tas de choses et j'ai appris des mots nouveaux comme chatte, baiser, et bien entendu ce que ça voulait dire.
MAMAN (apparemment dépassée) — Pourquoi est-ce que tu as attendu aussi longtemps pour raconter tout ça ?
CARINE — Pour Lucien, ça m'a pas semblé important.
MAMAN — Mais pour le monsieur du métro ?
CARINE — Et ben, quand on a descendu à notre station, il a sorti derrière nous. Et maintenant je pense qu'il nous a suivies, vu que je l'ai revu avant-avant-hier en revenant du piano. Tu viens jamais me chercher comme c'est juste en face et que je sais traverser au feu rouge.
MAMAN — Et alors ?
CARINE — Il était en bas de l'immeuble. Je l'ai bien reconnu, tu sais. Lui aussi. Il m'a dit : bonjour ma petite chérie du métro. C'était gentil, pas vrai ? MAMAN — Et après ?
CARINE — J'ai rentré, il m'a suivie. Il m'a dit que j'étais encore plus mignonne que dans le métro. Quand on a passé devant la porte de la cave, il a demandé ce qu'il y avait derrière. Je lui ai dit et il m'a demandé si il pouvait visiter. Comme la porte elle ferme pas avec une clé, il a ouvert et on est descendu.
MAMAN (dépassée par les événements) — Tu est descendue avec lui dans la cave ? Avec un inconnu ?
CARINE — Ben, c'était pas un inconnu, c'était le gentil monsieur du métro. En bas, dans le couloir, on voyait pas bien clair, c'était une toute petite lampe qui était au plafond. Il m'a demandé de baisser ma culotte de survêtement et mon slip.
MAMAN — Alors tu as refusé et tu es partie en courant.
CARINE — Pourquoi ? Il les avait déjà baissés dans le métro. La seule différence, c'est qu'il avait rien vu mais il avait touché quand même. Et il m'a dit que ça serait drôlement gentil de ma part. Et il m'a fait un bisou dans le cou et un autre sur la bouche, comme si on était des amoureux. Alors je l'ai fait, il s'a reculé et il a baissé son pantalon. Et là, j'ai bien vu sa bite toute droite, comme celle de Lucien, beaucoup plus mince mais plus longue, je crois. Il m'a demandé si j'avais aimé le jus qui avait coulé sur ma main. Je pouvais pas dire non, tu sais que j'aime mieux les choses salées que les sucrées. Il a dit que si je voulais encore en avoir et beaucoup plus que dans le métro, il m'a dit que c'était facile, et il m'a expliqué comment faire, en prenant mon pouce et en le suçant. Ça m'a semblé facile.
MAMAN — Bien sûr, tu n'as pas voulu faire ça !
CARINE — Pourquoi ? Il me l'a demandé très gentiment. C'est à la fin que j'ai failli m'étrangler. Son liquide avait parti si fort et y en avait tellement que j'ai avalé de travers. Il avait l'air content.
MAMAN (catastrophée) — Ça, ça ne m'étonne pas ! Et après, il t'a laissée repartir.
CARINE — Pas tout de suite, après il m'a fait des mimis, un peu partout, et il a même léché ma zézette. J'ai trouvé tout ça très agréable. Après, il m'a remonté ma culotte et mon survêtement, et il m'a donné un gros billet de 50 F en me promettant de ne rien dire si moi aussi je disais rien.
MAMAN (au bord de la crise) — Et qu'est-ce que tu as fait de ce gros billet ?
CARINE — Je l'ai gardé et je l'ai mis dans mon gros dictionnaire avec les autres.
MAMAN — Les autres ? Quels autres ? On t'en a donné d'autres ?
CARINE — Avant-hier, il est revenu et on est repartis à la cave.. Il avait deux copains avec lui. Il m'a demandé de me mettre toute nue pour que je tache pas mon survêtement. Comme il a demandé ça gentiment avec des gros bisous, je l'ai fait. Alors ils ont tous les trois baissé leurs culottes et et ils avaient tous les trois la bite toute raide et dure. Alors il m'a demandé de faire comme hier. Comme j'aime bien le goût, je l'ai fait. Mais cette fois-ci, je m'ai pas étranglé. Il m'avait prévenu que ça allait partir et j'ai tout avalé sans que ça déborde de ma bouche.
MAMAN (apparemment résignée) — Et après, il t'a donné 50 francs ?
CARINE — Pas tout de suite, un de ses copains me demandait de faire pareil que j'avais fait au premier, celui du métro. Il m'a promis aussi 50 francs. C'était pas difficile et puis jamais de mieux en mieux le goût du jus, alors...
MAMAN — Et je suppose que le troisième a demandé aussi de faire la même chose, pas vrai ?
CARINE — Bien sûr ! C'est marrant, le jus a pas le même goût chez tout le monde. À la fin, ils ont remonté leurs culottes et moi je me suis rhabillée. Et chacun m'a mis dans la main un billet de 50 an. Et il m'a dit : « À demain, à la même heure, demain tu auras peut-être des billets de 100 francs.. » Ou
MAMAN — Et je suppose que tu as mis les billets avec les autres.
CARINE — Bien sûr, tu m'as dit de faire attention et de faire des économies avec mon argent de poche que tu me donnes toutes les semaines, 10 francs. J'avais déjà 40 francs, maintenant j'ai quatre billets de 50 de plus. Et c'était facile, ça avait l'air de leur faire plaisir, et c'était pas difficile.
MAMAN — Bien sûr, c'était pas difficile... Mais pourquoi tu me dis tout ça aujourd'hui seulement ?
CARINE — Aujourd'hui, il est revenu avec ses deux copains. Et ils ont sorti tous les trois un gros billet de 100 francs. Alors, on a parti à la cave. Il a pas demandé d'être toute nue, mais seulement d'enlever le bas de mon survêtement et ma culotte. Il a sorti un tube de sa poche et il a mis une sorte de pommade sur son doigt, il m'a demandé de me pencher en avant, et j'ai senti son doigt, comme dans le métro qui entrait dans mon trou du... le cul. Ça glissait beaucoup mieux, ça devait être à cause de la pommade, enfin je crois. Il a rentré est ressorti plusieurs fois et il m'a demandé si j'aimais ça. Comme tu m'as dit de ne pas mentir, j'ai pas pu dire non. C'est vrai que c'était vachement bien.
MAMAN (complètement dépassée) — Et après ?
CARINE — Il m'a conduit au gros tonneau qui est au fond du couloir, je sais pas pourquoi il est là, d'ailleurs. Il a sorti sa... bite, elle était comme les autres jours vachement droite et raide et il m'a dit qu'à la place de son doigt, il allait la mettre dans mon trou, derrière. J'ai regardé et je lui ai dit que ça risquait de me faire mal parce que c'était beaucoup plus gros que son doigt. Lui, il a répondu qu'avec la pommade j'aurais peut-être un tout petit peu mal au début mais que ça deviendrait agréable petit à petit. Et il a ajouté que c'était quand même pour 100 balles. Jusque-là, tout ce qu'il avait fait, lui et ses copains d'ailleurs, c'était agréable. Alors j'ai dit oui. Il m'a donné le billet. Que j'ai mis dans la poche de ma veste de survêtement, et il a graissé sa bite. Il m'a dit de me tenir bien avec mes mains sur le rebord du tonneau et j'ai senti sa... son machin rentrer dans mon cul. Il avait dit la vérité, au début j'ai eu mal, pas beaucoup, et petit à petit, c'est devenu agréable, surtout quand sa bite sortait presque de mon trou, un peu moins quand il la rentrait presque entièrement. Ça me plaisait vachement, ça glissait tout seul. À un moment, j'ai senti que ça coulait et j'ai pensé que c'était dommage de pas pouvoir avaler ce bon jus comme les autres fois. Mais comme tu dis souvent, on peut pas tout avoir. Après il a sorti et un de ses copains a mis de la pommade sur sa bite à lui, il m'a donné lui aussi un gros billet que j'ai rangé avec l'autre, et il m'a fait la même chose. C'était de plus en plus bon. Le troisième, il a pas mis de pommade, mais ça rentrait tout seul.
MAMAN — Et pourquoi tu me dis tout ça aujourd'hui seulement ?
CARINE — Et bien, hier i ils se sont venus et ils étaient quatre. Bien sûr, on a été à la cave, comme d'habitude. Au début, ils ont mis un peu de pommade, mais le dernier il en a pas mis et ça rentrait tout seul, le vieux du métro m'avait dit qu'à la fin ça rentrerait comme une lettre à la poste. J'avais déjà cinq billets de 100 balles dans ma poche de survêtement, et d'un seul coup, y en a un qui a dit qu'il aimerait bien se la faire par devant. Mon copain du métro, il a dit que j'étais trop petite pour faire ça. Il a dit que c'était dommage. Ils sont repartis en disant qu'ils arriveraient demain avec trois ou quatre copains. Et si j'ai dit ça aujourd'hui, c'est que j'ai un peu peur, parce que ils me l'ont mis chacun deux fois, ça faisait déjà trois gros billets en plus, mais que maintenant, j'ai mal et que je peux mal m'asseoir. Bien sûr, j'ai six gros billets de plus dans ma tirelire, mais trois ou quatre de plus, je crois que c'est trop. Je lui ai dit et il a dit que ça sera seulement avec trois autres. Alors je lui ai dit aussi que quand ils sont trois ça va mais plus, surtout s'ils le font deux fois...
MAMAN — Écoute, fifille, tu as eu raison de me parler comme ça, il ne faut pas continuer, enfin... avec autant de messieurs.
CARINE — Et si il y en avait moins ? D'abord j'aurais pas mal au cul et en plus je pourrais le faire plus souvent. Parce que, tu sais, à chaque fois ça me fait plaisir et j'ai l'impression que mon ventre, il explose. C'est vachement mieux qu'un doigt dans le noir dans le métro. Alors, si tu pouvais leur dire de venir seulement deux ou trois seulement à chaque fois à chaque fois, ça serait pas mal et ça ferait deux ou trois gros billets. Tu n'as déjà dit que depuis que papa était mort on avait du mal à finir le mois.
MAMAN (après mûre réflexion) — Tu dis que ça fait trop, ça veut dire que trois ou quatre ça suffit...
CARINE — J'ai pas dit ça, deux ou trois ça va, mais plus tous les jours, ça fait un peu trop. Maintenant mon cul est habitué, mais c'est pas quand même...
MAMAN — Qu'est-ce que tu dirais de deux, peut-être de temps en temps trois tous les jours ? Tu nous gagnerais pas mal tous les jours, et on pourrait s'offrir tout ce qu'on veut.
CARINE — Le monsieur, il doit revenir demain, comme tu travailles pas demain, tu pourras attendre que je sorte de piano et tu pourras lui parler pour lui dire. Ses copains pour revenir chacun leur tour, et pourquoi pas ici, ma petite chambre est quand même plus confortable que la cave.
MAMAN — C'est bien sûr. Les temps sont durs, dis-moi, combien tu as gagné pendant ces trois jours ?
CARINE — Attends, six et trois ça fait neuf, et plus les billets de 50 francs, ça doit faire... plus de mille francs, tu sais que je suis pas forte en calcul et on apprend pas à compter avec des gros nombreux au cours préparatoire..
MAMAN — Tu dis plus de 1000 francs en... trois jours ! Moi, à ton âge, je jouais la marelle....
CARINE — C'est quoi, la marelle ?
MAMAN — C'était un vieux jeu. D'accord, mais je ne t'attendrai pas, je vais sortir et je reviendrai vers cinq heures. Comme le piano finit à trois heures, je crois que tu auras largement le temps en deux heures d'avoir plusieurs billets. Tu me raconteras ça quand je rentrerai.
CARINE — D'accord, maman. Tu crois vraiment que le monsieur du métro a raison quand il dit que je suis trop petite pour qu'on me la mette dans ma bite à moi ?
MAMAN — Il a raison. À ton âge, ça te ferait seulement mal et tu n'aurais pas de plaisir comme tu en as par derrière.
CARINE — Comment tu sais ça ?
MAMAN — J'avais tout juste huit ans et un de mes cousins est venu un soir dans ma chambre, pendant les vacances. Il avait un peu trop bu et j'étais couchée sur mon lit et je lisais un illustré il a soulevé le bas de ma chemise de nuit, il m'a tournée et m'a enfoncé sa bite dans mon vagin. Ça m'a fait très mal et j'ai même saigné. Il a fallu que je change de chemise de nuit, elle était toute tachée.
CARINE — C'est quoi un vagin ? C'est un truc à l'intérieur de la bite ?
MAMAN — C'est ça. Et c'est fait pour recevoir une bite. Mais à ton âge, comme moi avec un an de plus que toi en ce moment, il est trop petit. Il vaut mieux ne pas essayer maintenant et attendre d'avoir au moins 12 ans.
CARINE (dubitative) — Bon, je vais voir. Ça fait vraiment très mal ?
MAMAN — Oui ! Si tu essaies, tu verras. Mais je ne te le conseille pas. Ça ne te fera pas plaisir comme tu dis en avoir par derrière.
CARINE — Bien. Alors tu reviens seulement vers cinq heures. En deux heures, ils auront largement le temps...