title : Ma petite nièce
part : complete
author : Gruber
email_public : gruber_AT_moncanoe.com (remplacez [at] par @)
exh = Exhibitionisme
inc = Inceste
mast = Masturbation
language : Francais
age_fille : 11
summary : Une petite douceur d'un oncle vers sa niéce
recu = 3/01/2009
paru : 17/01/2009.

Rappel = Toutes nos histoires sont purement imaginaires.
Toute ressemblance avec une personne vivante ou morte n'est qu'une coincidence.

Provient des histoires taboues: www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www


texte = Ma petite nièce



Ma petite nièce à onze ans et s’appèle Amélie. Elle toute mignonne de son mètre
trente cinq, ses beaux yeux bruns, ses longs cheveux qui lui descendent au
milieu du dos et une petite poitrine bombant sa légère robe. Oui, elle porte
une délicieuse robe blanche décorée de petites cerises. Nous sommes en plein
été et elle a pu profiter du soleil car elle est toute bronzée. Aujourd’hui
c’est samedi et elle m’a aidé a faire un grand vide dans mon garage.

Rassurez-vous, je ne lui ai pas fait porter de chose trop lourde mais juste de
petit carton et d’elle-même à insister pour nettoyer les étagères et elle m’a
bien aidé.

Au cours de petites poses, j’avais préparé une délicieuse et rafraîchissante
limonade qui nous permettait de nous désaltéré et respirer un peu. Mon regard
n’avais eu de cesse de regarder sa jolie bouche bien dessiner, son nez
légèrement retroussé et sa petite poitrine qui avait accrocher mon regard.
Je me rendit compte que j’était en train de bander juste en matant ma jeune
nièce. Mon grand rangement fût terminer vers cinq heure de l’après-midi et ma
petite Amélie vint se planter devant, un charmant sourire, le rouge au joue,
ces jolies yeux brillant. Je fit semblant de ne pas comprendre et elle fit
semblant de perdre patience (ce qu’elle peut être craquante quant elle fait ça
!!!) Je mis la main à la poche… ce qui provoqua instantanément une réaction de
ma queue qui lentement mais inexorablement retrouva une franche dûretée.
Certains détails de sa peau se plurent à m’apparaître plus nettement. Elle
avait chaud la petite… le col de sa robe était suffisamment lâche pour laisser
mon imagination gambader à folle allure. Je sortit de ma poche un billet de 20
Euros  et lui tendit mais lorsqu’elle s’en saisie, je le retint a son grand
étonnement
- Amélie ma chérie, ta maman m’engueuler si je te laisse rentrer chez toi comme
ça. Tu vas prendre une douche être toute propre pour rentrer
- Si tu veux, dit-elle en haussant les épaules, mais tu préviens maman ?
- T’inquiète. La voici qui monte vers la salle de bain. Je prend le téléphone
et appèle sa mère et pour que personne ne se pose de question, je l’invite à
dîner a la maison puisque sa fille est déjà la. Ma chère sœur est d’accord.
Tout est bien. Je monte vers la salle de bain et j’entend l’eau de la douche
crépiter.  Mon cœur et ma respiration s’accélèrent car c’est comme si je voyais
ma petite nièce nue, l’eau ruisselant sur son jeune corps aux formes
naissantes. Ma queue raide commençait a me faire mal dans mon pantalon.
Tel un robot, j’entrait dans la salle de bain, les yeux grand ouvert devant ce
fabuleux spectacle que m’offrait gracieusement la nudité de ma jeune nièce.
Je n’avais jamais vu ses jolies fesses fermes, son corps commençant à quitter
l’enfance pour la prime adolescence. Elle fit un mouvement qui me fit pivoter
vers l’armoire ainsi, j’avais une raison légitime d’être dans la salle de bain
à se moment là.
- Alain, me demanda-t-elle ?
- Oui ma chérie ? (je fit semblant de détourner le regard car elle était
maintenant retournée et me faisait face.)
- Hi hi, t’es choquée de me voir toute nue ?
- Ben la… tu sais… j’ai l’âge d’être ton père…
- Tu veux bien me frictionner le dos ? j’arrive pas toute seule. Devant ma
paralysie, elle insista
- s’t’eu plais ?
- Bon d’accord. Une partie de moi-même était au paradis, l’autre en enfer.
J’avais le savon dans la main et le passait délicatement sur la peau
délicieusement nacrée de ma nièce. La peau blanche de sa peau tranchait avec
ses bras hâler. Sa peau était d’une extraordinaire douceur. La peau d’un bébé
sur le corps d’une petite fille de dix ans. Je passait le savon dans son dos
comme un massage avec une certaine mensualité. Je la voyait fermer les yeux
avec un sourire sur ses lèvres ainsi qu’un entre aperçu de sa toute jeune
poitrine.
- Descend plus bas … J’exécutait en descendant vers ses jolies fesses bien
fermes. Je lui imprime alors une légère pression au bas de la colonne
vertébrales qui la fit naturellement se pencher. Elle écarta très légèrement
les cuisses et je descendit vers ses fesses. Un joli petit cul ferme et d’une
exquise douceur…. Elle se retourna brusquement me laissant un instant voir ses
petits seins et son ventre plat  Je détourne le regard.
- Quoi ?
- Tu sais, Amé, je pourrai avoir des problèmes si on me vois avec toi toute nue
en train de…
- Tu me masse, tu me fait pas de mal ?
- Ca peut être mal pris tu sais…
- Moi je te le demande, je veux que tu me masse aussi le devant.
- De tes bras jusqu’au nombril
- Nan, les brans c’est fait… Elle me décocha un regard que je n’avais jamais vu
auparavant.
- Mes épaules…. Mes seins… mon ventre… mon ptit minou… mes cuisses…
- Je n’ai pas le droit de toucher a tes seins et encore moins a ton … ptit
minou.
- Tu crois que je vais l’dire ? Et puis tu me fait rien de mal.

J’était a genoux, littéralement plié en deux, d’une part pour ma trique visible
et douloureuse. Elle vint se coller à moi et je me retrouve ainsi, ma joue
collé a son ventre légèrement en dessous de son nombril, sa jolie fente
parfaitement imberbe ….

Je ruisselait d’eau et me défit doucement de tendre étreinte. J’était
complètement trempé.  J’enlève ma chemise  et commence mon massage. D’abord ses
épaules fermes (car elle fait du sport la coquine)  puis je descendit vers ses
seins. Deux tout petits seins aux belles aréoles colorées et aux tétons
fièrement dresser. Pas possible de les soupeser et les masser comme ceux d’une
adolescente plus âgée. Ceci étant dis, on commençait a bien les sentir, surtout
les tétons, bien dure… Amélie partit a rire.
- Quoi ?
- Ton zizi est tout dure.
- Ben la …

Elle baissa prestement mon pantalon et ma queue dresser se retrouva fièrrement 
dresser au niveau de son nombril.  Elle posa la main dessus et commença a ma
branler tout doucement.
- Met ton doigt dans mon minou et tourne, demanda-t-elle.
- Ou t’a appris ça ?
- Chut ! Tu me laisse faire et si tu dis rien, je dirai rien.

Je me laissait donc faire…. Aux anges…. Son petit minou était très serrer.
Je fit coulisser mon doigt un peu plus profond. La elle fit une grimace.
Elle était toujours vierge.
- Si tu me fait mal, je te la tord, dit-elle en rigolant.

Je trouve sans problème son clito que je commence a titiller du doigt. La voici
qu’elle commence a soupirer, elle ferme les yeux et ouvre la bouche.

Moi je ne tiens plus et, accompagné de trois râle, je lâche de belles giclées
de sperme sur le bas de son ventre qu’elle regarde coulé… Puis, le plus
simplement, elle passe le jet la douche pour laver le sperme et me donne un
doux baiser sur la bouche avant de me rendre la liberté.

FIN






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