title : La surprise du parking

part : Complete

author : Thomas Homenstein

email _publique: homenstein [at] usa.com

keywords : M/g , pee

language : Français

age_fille : 5 ans

published : 20 /0 4 /2008

 

 

 

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'.

( http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/ ou http://go.to/histoires )

 

 

 

 

LA SURPRISE DU PARKING

 

 

 

 

 

 

            Je déteste faire les courses. Surtout avec ma femme. Je ne supporte pas de rester vingt minutes à regarder ma femme hésiter entre deux camemberts ou bien, après avoir jauger le gras du jambon sur 50 paquets, de la voir finir par prendre le premier.

            Quand vient l'été c'est différend. C'est un bonheur. Je vais de mon côté pour regarder le rayon bricolage et ensuite je déambule dans l'allée centrale à la recherche de ma moitié. Je jette un oeil à chaque rayon. Les caddies sont souvent remplis de jolies gamines à robe froufroutante. J'adore ce petit siège à l'avant qui leur permet d'écarter leur fines jambes et de montrer innocemment leur culotte.

            Mais quand revient l'automne, ce charme est brisé. Plus de jolies dessous mais de sombres pantalons ou de gros collants cachant l'essentiel. Dans ces temps-là je préfère mille fois attendre dans la voiture. Je m'installe tranquillement en fumant une clope et en mettant la radio. Et des fois, on peut avoir des surprises ! Voici ce qui m'est arrivé une fois.

 

 

 

            C'était un jour ordinaire d'automne. Le temps n'était plus aux longues ballades le long de la mer mais plutôt aux soirées télé. Bref ! J'allumais ma clope que d'habitude ma femme me défend d'allumer dans la voiture et je calais la radio sur ma station favorite. J'ouvrais ma vitre pour aérer l'intérieur. Un vrombissement de moteur me fit tourner la tête. Une superbe blonde à bord d'une décapotable rouge vint se garer à côté de moi.

            Elle baissa légèrement ses lunettes de soleil et me lança un regard méprisant. Elle quitta sa voiture. Une espèce de petit roquet qui était sur le siège avant commença à gémir voyant la maîtresse quitter le véhicule. Elle l'embrassa sur la bouche.

 

-         Kiki sois bien sage. Je n'en ai pas pour longtemps. Quant à toi, tu bouges pas de là sinon ça ira mal!

 

            J'étais interloqué. Je n'avais pas remarqué la fillette sur la banquette arrière. Elle posa à peine les yeux sur sa progéniture que la voilà partie. Je déteste les gens qui traitent mieux les animaux que leurs propres enfants . Je décochais un large sourire en direction de l'enfant. Elle ne devait pas avoir plus de cinq ou six ans. Sa tenue contrastait avec celle de sa mère. Elle portait une espèce de jogging bon marché et une paire de sandale rouge, un peu usée sur le côté. Je sais bien que les enfants salissent vite mais il y a des limites.

            Elle me rendit son sourire et commença à fredonner une comptine tout en jouant avec sa poupée. Je détournais le regard vers ma radio. L'OM venait de marquer un but ! Je suivis le commentaire audio pendant un certain temps jusqu'à ce que mon attention fut de nouveau détournée. Je baissais le son et tendis l'oreille. Il me semblait que la fillette pleurnichait. Je coupais ma radio et lui parla.

 

-         Ben qu'est-ce qui t’arrives ma puce ?

-         J'ai envie de faire pipi.

-         Ben heu tu sais, tu peux aller derrière, y a personne qui te verras.

-         J'peux pas ! Maman elle veut pas que je quitte la voiture. Et si je fais pipi dans ma culotte, elle va me gronder.

 

            Je restais sans voix. Difficile de lui demander de désobéir à sa maman. Et combien même, pourquoi m'écouterais-elle plus que sa maman, je ne suis qu'un inconnu pour elle. Et si quelqu'un passait, je me voie mal expliquer pourquoi je m'intéresse à cette fillette. Sans compter ma bonne femme qui déteste que je me mêle des affaires des autres. Je remis la radio et essayait de penser à autre chose. Au bout de quelques minutes, je ne pus résister à jeter un oeil. La fillette, la main plaquée entre les jambes, pleurait maintenant à chaudes larmes. Sur son visage si lisse roulaient de grosses larmes qui tombaient en cascade sur son jogging. Je devais faire quelque chose.

            Je jetais un oeil aux alentours pour m'assurer qu'il n'y ait personne. Les gens sont parfois tellement bêtes. Je me tournais vers la petite.

 

-         Tu t'appelles comment ?

-         Laurie, dit-elle entre deux sanglots.

-         Et bien Laurie, j'ai une idée pour ton petit problème.

-         C'est quoi m'sieur ?

-         Et bien, si tu baisses ton pantalon et ta culotte et que tu t'assoies sur le rebord avec ton derrière à l'extérieur, tu pourras faire pipi dehors tout en restant dans la voiture. Comme ça tu n'auras pas désobéi à ta maman.

 

 

            Un éclair de joie transforma son visage. C'est comme si j'avais résolu le problème de la faim dans le monde. Sans plus attendre et ne faisant aucun cas de moi, elle se mit debout sur le siège et baissa vivement pantalon et culotte. Elle avait un petit cul à croquer. Petit, ferme et bien rebondi, j'en aurais bien goûté un morceau. Elle s'assit prestement sur le rebord de la vitre. Mon coeur bondissait dans la poitrine. Une idée folle me traversa la tête.

 

-         Attends ! Attends !

-         Mais j'ai envie m'sieur !

-         Oui mais tu peux pas comme ça. Tu es trop près et tu risques d'éclabousser la peinture. Et là, ta maman elle a pas finie de te gronder.

 

            Son regard s'affola. Elle resta comme pétrifiée, ne pouvant se décider à choisir entre son envie pressente et son obéissance envers sa maman.

 

-         Il faudrait que tu recules plus.

-         Oui m'sieur.

 

            Elle se remis debout et essaya de reculer le plus possible. Mettre son derrière comme ça dans le vide n'est pas chose aisée. Elle essaya mais chaque fois je lui disais que cela n'était pas assez.

 

.

-         Non pas encore. Encore plus loin.

-         Mais j'y arrive pas m'sieur !! J'vais tomber si je recule encore.

-         Bouges pas j'arrive.

 

            Je sortis en un éclair de ma voiture et me plaça face à elle. J'agrippais à pleine main son petit derrière. Il était si petit qu'un globe entier tenait sans peine dans le creux de ma main. Je serrais fort ce petit cul dans mes mains. Je posais une fraction de seconde mon index sur son sexe. Je la sentais humide et prête à exploser. Je reculais doucement jusqu'à ce qu'il n'y ait plus que ses chevilles reposant sur la voiture. Je plaçais un doigt sur ses grosses lèvres que j'écartais le plus possible. Je lui soufflais quelques mots dans l'oreille.

 

-         voilà comme ça c'est bien. Tu es encore dans la voiture.

 

            Pour toute réponse, j'entendis le bruit sourd du jet d'urine qui éclaboussait le bitume. Le jet était droit et fort bruyant. Le jet se tarit au bout d'une longue minute. Elle était vraiment pressée. Je la secouais un peu pour faire tomber la dernière goutte, ce qui la fit rire. Je sortis un mouchoir en papier de ma poche et tapotait consciencieusement l'entrejambe de la fillette. Je plaçais une main sur son entrejambe tandis que l'autre la soutenait au niveau de la taille. Je la soulevais un peu pour que son sexe appuie sur ma main avec le poids de son corps. Je la reposais doucement dans la voiture.

            Elle se retourna et me remercia. Je ne la regardais guère, mes yeux étant fixé sur sa fentine luisante. Elle remonta prestement sa culotte et je vis disparaître à regret son petit berlingot. Elle remonta son pantalon et me fis un gros poutou. Elle visa mal et son baiser atterrit sur le coin de ma bouche. Une décharge électrique me parcourut le dos. Je remontais dans ma voiture et démarrais.

            Je vins me garer un peu plus loin. J'ouvris ma braguette et me branla deux fois de suite. Ma femme fut surprise et crut avoir des pertes de mémoire en me trouvant garer à une autre place.

 

 

FIN

 

 

 

þ Ceci provient du site gratuit des HISTOIRES TABOUES (pd, inc, ...)

 

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Forcer un enfant au sexe dans la vie réelle mérite la prison !

 

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