title: Mamie et Adrien
part: Chapitre 1
author: Michelle
email_public: michelle.breton[at]caramail.com
keywords: F/m, inc
language: Francais
age_garcon: 13
recu: 28/02/2008
paru : 12/03/2008.

Rappel: Toutes nos histoires sont purement imaginaires.

Toute ressemblance avec une personne vivante ou morte ne serait que coincidence.

Provient des histoires taboues: www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www

La canicule sévissait depuis plus d'une semaine et l'air marin ne parvenait pas
à dissiper la chaleur étouffante. Même la nuit, l'air était irrespirable.
Cet après-midi là, Monique était allongée nue sur son lit, les persiennes de la
fenêtre de sa chambre fermées. Elle somnolait évitant tout mouvement. Adrien
quant à lui était descendu se baigner dans la petite crique en bas de la
propriété. Bien que le chemin des Douaniers permît à n'importe qui d'y accéder,
elle était le plus souvent déserte.

Soudain, elle fut tirée de sa torpeur par les cris d'Adrien dans le hall au
rez-de-chaussée.

-       Mamie, Mamie, vite, je me suis fait piquer par une vive ! J 'ai le pied
paralysé ! J'ai mal ! J'ai mal !

-       Ne bouge pas, je descends, assieds-toi ! J'arrive !

Elle enfila sa robe à la hâte qu'elle boutonna tant bien que mal tout en
descendant l'escalier. Adrien, assis par terre sur le carrelage, tenait son
pied à deux mains. Ce jeune ado de 14 ans semblait désemparé.

- Fais-moi voir ton pied, mon petit chéri. Je sais, ça fait très mal mais je
vais brûler le venin.

Elle alluma une cigarette et approcha le bout incandescent près de la piqûre.

- Ça va passer tu verras la chaleur détruit le venin

Mais tu vas me brûler !

-       Cesse de geindre ! Ce que tu peux être douillet ! Attends, je vais te
frictionner avec du vinaigre.

Lorsqu'elle revient de la cuisine avec la bouteille de vinaigre, elle
s'accroupit sur ses talons et commença à frotter doucement la plante du pied.
Adrien grimaçait tant la douleur était encore intense. Patiemment, elle le
massait remontant le long de la jambe. La douleur s'estompait lentement et le
contact des mains de sa grand-mère sur sa peau lui parut subitement agréable.

Était-ce le fait que pour conserver son équilibre sa grand-mère écartât les
jambes, le tout est qu'il ne pouvait détacher son regard de ses larges cuisses
que la robe légère à moitié boutonnée, découvrait. Elle se dandinait sur ses
talons et il pouvait apercevoir dans la pénombre son sexe à la jointure.
Elle n'avait pas de culotte, il était certain de voir une abondante touffe
noire entre les bourrelets de chair flasque. Il avait bien sûr déjà vu sa
grand-mère en maillot mais cette nudité en partie dissimulée l'émouvait malgré
la honte qu'il ressentait. Il sentit affluer le sang le long de son propre
sexe. Ce n'était plus sa grand-mère mais une femme qui le touchait. Renversé
sur le dos, en appui sur ses coudes, il ne pouvait contrôler ni dissimuler son
début d'érection. Sa verge gonflait son slip encore mouillé qui collait à sa
peau.

Sa grand-mère poursuivit son massage...mais elle avait noté le changement
d'attitude d'Adrien. Elle en conçu un certain trouble, le mouvement de ses
mains se fit plus lent, plus appuyé...devenait caresse. Adrien devenait rouge,
son regard allait de ces cuisses ouvertes à l'ouverture de la blouse qui
laissait voir les seins lourds de sa grand-mère.

Monique se racla la gorge, et elle dit d'une voix rauque :

-       Ca va mieux mon chéri...mamie te fait du bien ?

En disant cela elle regarda presque fixement la queue raide de ce gamin qui
déformait son slip. Son petit fils bandait pour elle...elle dont le corps
fatigué pouvait encore émouvoir un petit étalon comme cet adolescent. Elle
poursuivi sa caresse sur une jambe puis l'autre. Monique, à son corps
défendant, se sentait flattée. Elle, une femme de 63 ans, était donc encore
désirable. Qu'importe que cette bite en érection fût celle de son petit-fils !
Elle était encore bandante et elle en était tout émue ! Elle ne pouvait
détacher son regard de cette queue juvénile ! Elle sentait cette chaleur bien
connue qui envahissait tout son bas-ventre, ses reins. Et cette moiteur de sa
peau entre ses cuisses. " Je mouille ! " pensa-t-elle. Elle sentait qu'elle ne
se contrôlait plus. Ses mains continuaient à masser doucement les mollets,
remontant sans raison apparente plus haut sur les cuisses. Adrien bandait
ferme. Impudique, le bout de sa queue sortait presque de son slip.

Elle planta son regard dans celui d'Adrien. Ses yeux étaient luisants. Les
siens aussi. Elle avait le souffle court. Déjà de douces et troublantes
effluves les entouraient. Le ton de la voix de Monique montrait son
trouble...presque une invitation à poursuivre. Adrien cambrait son bassin en
avant comme pour mieux exhiber son érection...il était cramoisi, se demandait
s'il n'était pas en train de rêver.

-       oh, Mamie comme c'est bon ce que tu me fais...

-       Hum mon chéri...je vois comme ça te fais du  bien...et puis de regarder
ta mamie...ça te plait aussi hein...ça te donne des idées...

Ils parlaient tous les deux à voix basse et rauque ...comme pour protéger cet
échange de confidences obscènes. Monique fit remonter plus haut ses mains,
Adrien écarta ses cuisses dans une muette approbation. Tous les deux
respiraient vite. Les doigts de Monique passaient déjà sous l'élastique du slip

-       Mais c'est vrai que tu es ému hein petit cochon...ta queue est toute
gonflée, c'est à cause de moi, c'est pour ta mamie que tu bandes...dis moi.

-       Oh mamie...pardon ...c'est...c'est de te voir...ça me donne envie...

-       Dis-moi petit vicieux tu te masturbes déjà hein

-       Oui, je me branle souvent, j'adore ça !

-       Et tu l'as-tu déjà fait avec quelqu'un ?

-       Oh Non, Mamie ! T'es folle !

-       Alors laisse-moi faire, je vais t'aider à te soulager mon petit lapin !

Tu vas voir comme Mamie va s'occuper de son petit !

Tout en parlant, elle releva les jambes de son petit-fils pour faire glisser le
slip. La bite longue et fine, libérée, telle un ressort vint se coller dure et
dressée sur le ventre découvrant ainsi le cul et les couilles du garçon.
Adrien s'abandonnait au bon vouloir de sa grand'mère. Soudain il sentit la
caresse de ses longs cheveux dénoués sur son ventre. Elle avait saisi son sexe,
le serrait dans sa main et tirait doucement sur le prépuce pour décalotter le
gland, rouge vif, gorgé de sang. Tout son corps tressaillit sous les petits
coups de langue dont elle le gratifiait. Il crut défaillir lorsque sa bouche
enroba son sexe et l'aspira. Sous l'intensité de la caresse, la douce chaleur
humide de la muqueuse buccale, tout son corps vibrait. C'était extraordinaire,
nouveau. Jamais il n'avait ressenti un tel plaisir. Elle pompait sa bite
lentement, l'enfonçait au fond de sa gorge puis la faisait ressortir pour jouer
de la pointe de sa langue sur le filet.

Monique préférait ne pas penser au caractère scabreux de la situation. Deux ans
qu'elle n'avait plus sucé une queue, elle qui aimait tant faire décharger son
mari sur sa langue ! Et ces petites couilles qu'elle roulait entre ses doigts,
deux petites noix rien que pour elle !

-       Mamie, arrête ! Je vais jouir ! Arrête, je sens que ça vient !

-       Tais-toi et laisse-toi aller. Ne te retiens pas mon petit amour !

-       Mais je vais jouir dans ta bouche

-       Oui, je sais ! Vide-toi sur ma langue ! Je veux ton sperme dans ma
bouche, le sentir gicler et l'avaler !

-       Mais c'est dégoûtant, Mamie !

-       Tais-toi, laisse moi te finir ! Ta bite est toute dure ! Bande pour ta
Mamie, bande fort

La violence de l'éjaculation la surprit alors que le gland était au plus
profond de sa gorge. Elle suffoqua étonnée par la quantité de sperme qui
jaillissait. Le liquide chaud et onctueux tapissait l'intérieur de sa bouche.
Elle faillit s'étrangler ! Rien à voir avec celui de Bernard, son époux, les
derniers temps avant qu'il ne disparût !

Elle déglutit avec gourmandise tout le foutre qui fondait sur sa langue.
D'une main elle tripotait les couilles d'Adrien tandis que, de l'autre, elle
pressait le bout de la hampe pour en extraire les dernières gouttes qu'elle
recueillit religieusement sur la pointe de sa langue. Sans attendre, elle
s'allongea sur le garçon et forçant ses lèvres, elle enfouit sa langue dans sa
bouche. Insensible au mouvement de recul de son petit-fils, sa langue jouait
avec celle d'Adrien. Elle pesait de tout son poids sur le corps du gamin.
Elle ne se contrôlait plus. Elle était redevenue la chienne qu'elle avait
toujours été. Une chienne en chaleur qui avait besoin de s'envoyer en l'air.
Depuis deux ans elle vivait dans l'abstinence et voilà que soudain tout
remontait à la surface. Un besoin de se faire prendre ; tout son corps, trop
longtemps privé, réclamait ! Qu'importe que ce fût son petit-fils ! L'inceste
ne la gênait pas, au contraire cela l'excitait même ! Elle se frottait contre
lui, écrasant sa poitrine contre le corps nu du garçon. Qu'il la pelote, qu'il
lui masse les fesses, qu'il la touche ! Son bassin ondulait sur la bite qui
collait à son ventre, encore chaude et gluante.

Elle allait tout lui apprendre, elle serait son initiatrice. Ce serait un
secret entre eux deux. Elle serait sa femelle et lui pourrait faire ce qu'il
voudrait d'elle !

-       Tiens goûte ton sperme, petit salaud ! Goûte ce que tu m'as fait gicler
dans la gorge !

-       Mamie, tu m'étouffes ! Tu m'écrases !

Adrien essaya de se dégager. Les cuisses chaudes de sa grand-mère enserraient
son sexe qui débandait. Les deux mamelles ballottaient au-dessus de ses yeux.
Il les empoigna et mordit les deux bouts.

-       Aïe ! Pas si fort ! Tu m'abandonnes déjà ? Tu n'as pas aimé ?

-       Si, bien sûr ! Mais il faut que j'aille me laver les dents !

-       Ah bon ! C'est parce que j'ai fourré ma langue pleine de ton foutre
dans ta bouche ? Tu n'as pas aimé le goût ? Tu apprendras ! Les cochonneries,
il n'y a rien de meilleur, mon petit chéri !

Elle se souleva enfin. Elle était moite de partout. Ses cuisses poissaient.
Mais ce n'était pas uniquement dû à la fournaise ambiante. Elle ôta sa robe
dégageant sa nudité. Impudique. Debout jambes écartées au-dessus du garçon,
elle frottait son entrecuisses avec la robe roulée en chiffon.

-       Je coule de partout ! Regarde dans quel état tu me mets, petit cochon !
Touche ma peau, elle dégouline de sueur ! Putain, je mouille de partout !

-       Tu n'as qu'à prendre une douche, ça te rafraîchira !

-       Entendu, mais alors on la prend ensemble. Tu me frotteras le dos, viens!

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N'oubliez jamais que cela doit rester des fantasmes ...
Forcer un enfant au sexe dans la vie réelle mérite la prison !

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