title: Ma mère et moi
part: complete
author: Hervé
email_public: leventredemyriam[at]yahoo.fr (remplacez [at] par @)
keywords: F/m, 1st
language: Francais
age_garcon: 13
recu: 21/10/2008
paru : 30/10/2008.
Rappel: Toutes nos histoires sont purement imaginaires.
Toute ressemblance avec une personne vivante ou morte n'est qu'une coincidence.

Provient des histoires taboues: www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www

Suite au départ de mon père lorsque j'avais 4 ans (il partit vivre à l'autre
bout du monde avec une autre femme et nous ne le revîmes jamais), je grandis
dans un univers essentiellement féminin. Mon entourage immédiat était ma mère,
une femme simple, sans autre ambition que de bien tenir la maison et de me
rendre heureux. Puis, il y avait sa soeur et sa mère, l'une plutôt active
et presque dévergondée comparée à ma mère, et l'autre gentille comme beaucoup
de grand-mères. Ajouté à mon caractère plutôt solitaire et intellectuel, j'eus
une enfance heureuse, de mon point de vue, mais sans copains ni copines, sans
autres divertissements que ma famille.

Vers l'âge de 13 ans, j'eus ce que tous les garçons ont un jour, plus ou moins
tôt : une méchante arrivée des hormones. Mon physique changea en l'espace d'une
année. J'étais plutôt grand et costaud : 1 mètre 75, 70 kg. Je pratiquais la
natation (sport solitaire, évidemment), ce qui me tailla assez bien le torse et
les cuisses. Entre 12 et 13 ans, donc, mon visage changea, mes traits
forcirent, le poil me poussa au menton et sous le nez. Des traits doux et ronds
de gamins, je pris ceux plus droits d'un jeune homme. Quant à mon torse, il
resta plutôt imberbe. Mais mes jambes se couvrirent de poils bruns. Mon sexe,
quant à lui, outre la pilosité importante qui s'intalla à sa base, s'érigeait
de plus en plus fréquemment pour un rien. J'avais éjaculé pour la première fois
dans le bain, en dirigeant le jet de douche sur mon gland : sentant venir un
plaisir intense et inconnu, j'insistais et je déclenchais les spasmes
orgasmiques et les jets de liquide blanc. Après cette première fois, je me
masturbais souvent le soir dans mon lit en pensant à des jolies filles :
Samantha, dans telle série TV, Dana, dans telle autre série...

A l'école, j'étais trop timide pour attirer les filles. Je passais pour un
niais. Je suivais bien les cours, avais de bonnes notes, et rentrais chez moi
dès la classe finie. On me disait dans les jupes à ma mère. Un crétin qui
faisait le cacou à la récréation dit même un jour que je baisais avec ma mère.

Sur le moment, j'eus l'image de ma mère, simple et gentille, devant mes yeux,
et cette parole médisante me mis mal à l'aise. Et d'un, celui qui m'a dit cela
se fiche de moi, et de deux, il insulte quelque part ma mère qui est tout sauf
insultable.

Le soir même de cette parole, je regardai ma mère différemment. Baiser avec ma
mère. Pauvre femme. Elle avait 43 ans, seule avec moi depuis plus de 10 ans.
Une vraie bonne soeur, quand j'y pense. Alors que sa mère et sa soeur lui
avaient dit plusieurs fois de sortir, de se changer les idées, de rencontrer
des hommes, que tous n'étaient pas des salauds comme mon père, elle ne voulut
pas, prétextant que cela risquerait de m'incommoder. Sa soeur sortait beaucoup,
elle, et rencontrait des hommes. A tel point qu'elle n'en gardait aucun,
d'ailleurs. Ma mère trouvait que ce comportement n'était pas bien.

Oh, comment vous la décrire, cette femme : 1 mètre 60 environ, brune, assez
mince, avec un petit peu de ventre sous la ceinture. Le visage doux. L'aspect
un peu vieillot des femmes qui ne se regardent pas devant la glace : une
éternelle robe bleue de ménagère, propre mais sans coquetterie. Les éternelles
chaussures découpées l'été et les bottes de cuir l'hiver. Ses journées, elle
les passait entre la maison et le marché. Souriante, jamais un mot plus haut
que l'autre, jamais elle n'élevait la voix. Lorsque je rentrais le soir, elle
me demandait si j'allais bien, et je faisais de même après lui avoir posé un
baiser sur une joue. A part sa soeur, sa mère et quelques voisines, elle
n'invitait personne à la maison. Elle ne me semblait pas malheureuse, pas du
tout, mais elle semblait juste avoir oublié ce qu'est la vie de femme.

Ce soir-là, je réalisai cela : que ma mère n'était pas une femme alors qu'elle
devrait en être une. D'ailleurs, devenir adulte, c'est un peu cela : réaliser
que ses parents ne sont pas différents des autres individus qui nous entourent,
et que nous mêmes nous sommes comme eux et donc enclins à devenir parents, à
condition de grandir.

Je la regardai doucement, alors qu'elle mangeait sans rien dire. Elle était
belle. Ses mains veinées et blanches, poignets fins et ses bras à la chair pâle
auraient pu être ceux d'une musicienne, celle qu'elle aurait pu devenir si elle
n'avait pas arrêté le conservatoire lorsqu'elle a rencontré mon père, il y a
longtemps. Je ne l'ai jamais entendue, mais il paraît qu'elle jouait du violon
vraiment très bien.

Elle se leva, je regardai sa silhouette, son ventre, ses hanches et ses fesses.
Un joli corps. Non, je ne dois pas penser cela de ma mère. Allons,
concentre-toi sur autre chose, sur ton assiette. Mais en biologie, on venait de
nous enseigner le cycle hormonal, avec une coupe de l'abdomen féminin dans
lequel figurait les ovaires et l'utérus, tout en bas, sous le nombril. On nous
avait aussi appris que ce cycle hormonal stimulait le désir et le plaisir et
que si aucun spermatozoide ne venait féconder l'ovule, alors tout cela était
perdu. Ainsi, dans le ventre de ma mère, des centaines d'ovules étaient
gaspillés, et aucun plaisir fécond ne venait plus lui titiller les sens depuis
bien longtemps.

A ce moment-là, j'eus un fort sentiment de gâchis. Et j'eus la conviction que
ma mère était malheureuse, quelque part.

- Tu es bien silencieux ! dit-elle soudain, me tirant de ma rêverie.

- ...

Je racontai alors qu'on avait étudié les Noces de Figaro, de Mozart, en cours
de musique.

- Ah ! dit-elle. Et ça t'a plu ?

- Oh oui ! J'adore l'air de Chérubin.

- Moi aussi, c'était mon préféré.

Et elle se mit à le fredonner, doucement mais très justement, penchant
légèrement la tête. Je ne l'avais jamais vraiment vue comme cela. Elle me
semblait différente, transformée, soudain juvénile.

Je venais de comprendre : la musique, c'était sa passion de jeunesse. Elle
l'avais occultée à son mariage et ne l'avais plus jamais ressortie de sa
cachette. Il fallait qu'elle renoue avec la musique. Demain j'irai acheter en
cachette des billets pour le prochain concert à l'Opéra.

Le soir, dans mon lit, j'eus une violente envie de me masturber. Mais peu à
peu, mes pensées convergèrent vers ma mère : je revoyai le diagramme de
biologie avec le sexe, les ovaires, l'utérus, le vagin. Je ne savais guère à
quoi cela ressemblait en vrai. D'habitude, je tentais de me figurer Samantha ou
Dana nues, au ventre lisse, au sexe poilu, aux seins comme ceux qu'on voit dans
les films. Ce soir, ma mère voulait se substituer à mes héroines préférées.
Ma mère était plus vieille : comment est le ventre d'une femme de 43 ans ?
Et ses seins ? Et son sexe ? Je n'avais jamais vue ma mère en maillot de bain.
Seul notre médecin de famille la voyait en sous-vêtement une fois ou deux par
an. Mon imagination voguait et divaguait. Après avoir éjaculé avec un rare
plaisir, masi honteux que mes pensées aillent aussi bas, je m'endormis.

***

Trois jours après, j'offris à ma mère deux billets pour un concert symphonique
se tenant la semaine suivante. Elle était ravie et m'embrassa, toute
rougissante. Puis, elle me dit :

- Tu aimes la musique, toi ? Tu tiens de moi alors...

Et après un silence, elle rajouta :

- Ca fait 20 ans que je n'ai plus mis les pieds dans une salle de concert.

- Pourquoi ? demandai-je, presque par réflexe.

- Ton père n'aimait pas du tout la musique classique, dit-elle en refermant son
visage.

Puis, rangeant précieusement les billets dans le tiroir de la commode, elle
dit, en souriant d'un sourire presque coquin que je ne lui avais jamais vu :

- Et en plus, je n'ai rien à me mettre !

***

Le grand soir arriva. Je me mis mon plus beau pantalon, ma plus belle chemise,
mes plus belles chaussures, et me coiffai avec une attention particulière.
Je voulais ressembler à un monsieur.

Soudain, ma mère parut dans ma chambre : elle portait une robe rouge, qui lui
laissait les épaules et les jambes nues. Elle avait mis des sandales rouges à
talonnettes, un collier doré et une montre dorée. Ah, aussi, des jolies boucles
d'oreilles pendantes. Je restai muet.

- Hé bien ?

- Ca te va bien... dis-je laconiquement.

- C'était ma robe de concours, l'année où j'ai passé mon prix. J'avais 20 ans.
J'ai un peu tiré pour que ça rentre, mais ça va !

Je sentis que la soirée allait se passer différemment d'une soirée normale.
Je veux dire que, soudain, c'est moi qui me sentis presque mal à l'aise.
J'étais content de voir ma mère aussi heureuse, mais celle que j'avais à mon
bras n'était plus ma mère, c'était une femme. Comment allait-on nous regarder,
elle et moi ? Comme une mère et son fils ? Comme un couple ? Elle faisait jeune
!

Lorsque nous eûmes gagné nos sièges, je jetai un oeil alentour. Il y en avait
des couples. Et des jeunes couples. Pratiquement tous le monde était par deux.
Et je ne cessai de poser mes yeux sur des filles sublimes. Celle-ci, avec ses
jambes si bien faites, celle-là avec un décolleté parfait... Et ces hommes qui
auront la chance, ce soir, de rentrer chez eux, de se dévêtir et de pouvoir
tenir contre eux le corps nu et chaud de ces merveilleuses compagnes.

... érection dans mon pantalon, heureusement invisible...

Elle et moi, cette belle femme en robe rouge près de moi, et moi, jeune homme
bien habillé mais de tout juste 14 ans, nous ne nous enlacerons pas ce soir.
Mes yeux roulent sur ses jambes qu'elle a croisées, sur ses bras qu'elle a posé
sur ses genoux. Ce soir, dans ce contexte inhabituel, sous ces lumières, cette
chair pâle était d'une sensualité débordante. J'avais envie d'y toucher,
mais...

Les lumières descendirent et le concert commença. Tout au long, je sentis ma
mère transportée. Je l'entendais murmurer, respirer, souffler, je voyais
parfois ses muscles se tendre, se relâcher, ses jambes s'agiter discrètement.
Quel plaisir elle ressentait ! Elle a renoncé à ce plaisir pour mon père !
Lui apportait-il plus de plaisir ? Et quel plaisir ? Sexuel ? Ma mère
pouvait-elle préférer le sexe à la musique ? Comment était-elle au lit ?

Ces idées occupèrent mon esprit tout au long du concert.

A la sortie, dans la foule, elle attrapa mon bras et s'y accrocha. La dominant
en taille, j'eus la sensation fière d'être un monsieur accompagnant sa belle
dame, la protégeant et lui offrant la plus belle des soirées.

- Et si on allait au restaurant ? dis-je.

- Oh oui ! Bonne idée.

Elle parlait comme ennivrée. Sa démarche avait changé. Elle dansait presque.
Je ne la reconnaissais plus. J'avais doublement la mission de la protéger...

Nous choisîmes un joli restaurant dans lequel on nous donna une table à deux
ornée d'un petit bouquet de fleur et d'une bougie. Prenant mon courage à deux
mains, je demandai à ma mère de me raconter sa jeunesse musicale, un sujet dont
nous n'avions jamais parlé car elle considérait cela comme une autre vie, et
semblerait-il, une vie gâchée. J'appris mille choses : élève douée, passionnée,
éprise même d'un professeur. Puis elle rencontra mon père et voulut le suivre.
Celui-ci, gentil mais peu attentionné quant aux valeurs artistiques de sa
femme, ne la soutint pas sur une éventuelle carrière de professeur, lui
prétextant que son travail à lui suffisait largement pour vivre, ce qui était
vrai. Il était homme d'affaire, et fit une petite fortune pour elle et lui en
achetant plusieurs appartements qu'ils louèrent. Ma mère s'occupa donc de gérer
ces affaires-là et en oublia peu à peu la musique. Mon père voyageait beaucoup
pour son travail et était souvent absent. Peu à peu, elle se rendit compte
qu'il était un gros égoiste. Mais elle commuait son ennui en espoir : un jour
il travaillerait moins, il serait plus présent. Et puis elle voulait un enfant,
qui tarda à venir car monsieur voyait cela d'un mauvais oeil : il ne pourrait
plus aussi bien profiter de sa femme. Puis, je finis par venir au monde et ma
mère s'épanouit en m'élevant. Et un jour, mon père annonça qu'il la quittait
pour une autre femme à Tahiti. Il lui laissait tout. Nous pourrions vivre de
rentes.

Ma mère l'accepta mal dans un premier temps puis, ne vivant que pour moi, les
années passèrent et sa philosophie de vie calme et sans grands besoins prit le
dessus. Nous  avions de l'argent des appartements, elle travaillait au marché
comme vendeuse sur un stand de pains et brioches, et cela suffisait à son
bonheur. Ce qui comptait pour elle, c'était que moi je sois heureux.

- Et la musique ? Tu n'as jamais voulu reprendre ?

- On perd vite, le violon. Et j'avais la sensation que tout cela était loin et
que j'avais gâché une partie de mon existence...

Elle perdit son sourire. Je vis le moment où elle allait laisser une larme
s'échapper. Mais elle reprit du vin et me sourit.

La bouteille descendit vite. Très vite. Elle n'avait pas l'habitude et fut très
vite gaie. Nous rentrâmes à la maison à pied. Ma mère riait d'un rien. Elle
était un peu saoule, en fait... Et moi aussi... En marchant, elle tenait mon
bras, et son pas incertain manqua de nous faire tomber plusieurs fois. L'alcool
et la nuit aidans, des pensées me vinrent. Rentrer à la maison, la dévêtir, la
serrer nue contre moi, carresser son corps... Je bandai à en avoir mal.

Je refermai la porte. Elle marcha jusqu'au salon, respira un grand coup, se
frotta la ventre, desserra sa ceinture, et me regarda :

- Je crois que j'ai bien mangé mais j'ai trop bu... J'ai envie de faire pipi...
vite...

Elle avait enchainé les phrases de façon incongrue. Elle était réellement ivre.
Elle marcha avec difficulté jusqu'aux toilettes, y entra et ne ferma pas la
porte. J'entendis le jet d'urine dans la cuvette. J'allai dans ma chambre, les
idées peu claires. Je n'avais pas fermé la porte non plus. Je ne pensais qu'à
elle. J'avais envie qu'elle me voit nu lorsqu'elle sortirait des toilettes et
passerait dans le couloir. La pudeur qui d'habitude s'empare de moi le soir
lorsque je dois me mettre au lit était absente. Je me déshabillai comme tous
les soirs, et je restai en slip, la porte de ma chambre grande ouverte.
Je me mirai un instant dans la glace de mon armoire : plutôt beau mec,
pensai-je... Mon slip était déformé par la bosse de mon sexe bien dur.
J'enlevai mon slip et le jetai avec le reste de mes habits sur le fauteuil.
J'étais nu comme un ver, le sexe libre et droit. Je décallotai mon gland et
récupérai sur mes doigts l'écume incolore qui précède la semence.

Puis, ressentant une envie d'uriner, je me dirigeai vers les toilettes à mon
tour. La porte entr'ouverte et la lumière ne m'interpellèrent pas. J'entrai.
Ma mère était encore assise sur la cuvette. Elle avait complètement retiré sa
robe et était en soutien-gorge blanc, sa culotte de coton blanc descendue à
mi-mollets. Elle avait aussi abandonné ses sandales. J'eus la sensation que mon
instant d'immobilité admirative dura des heures : je fixai son ventre, étroit
mais un peu enflé et plissé, son sexe qui apparaissait couvert de poils noirs
entre ses cuisses légèrement écartées. Ses cuisses blanches et bien faites...
ses mollets... ses bras... sa poitrine...

Elle, elle me regarda de haut en bas, puis revint sur mon sexe érigé et pointé
vers elle, puis me regarda dans les yeux et fit, en me tendant les mains :

- Aide-moi... décidément, j'ai pas l'habitude de boire...

Une fois debout, la culotte lui glissa sur les chevilles et elle manqua de
tomber. Je m'accroupis à ses pieds pour la lui enlever. Au passage, je
carressai ses mollets et ses chevilles... Etait-ce le moment ? Ma mère semblait
fin saoule et prête à n'importe quoi, et moi je m'en sentais le courage.
Un peu d'urine coulait le long de son entre-cuisses. C'était la première fois
que je voyais un sexe de femme d'aussi près. J'avais envie de poser mes lèvres
sur son bas-ventre et de sucer cette entre-jambe qui m'avait fait naître.

- Relève-toi, dit-elle avec une faiblesse dans la voix.

- Tu es saoule maman ?

- Oui... je crois...

En me redressant, j'effleurai volontairement son sexe de ma main. Elle réagit
par un frisson.

- Attention... je suis ta mère, dit-elle sans conviction réelle. J'ai...
j'ai la tête qui tourne... Je...

Je la soutins jusqu'à ma chambre où je l'étendis, sur mon lit, sur le dos,
jambes nues, sexe nu, ventre nu. Seul, le soutien-gorge la préservait de la
nudité complète.

- Tu trouveras des filles mieux que moi, murmura-t-elle, sentant ce qui allait
se passer, mais ne résitant pas vraiment.

Mieux, elle écarta doucement les cuisses, comme résignée à me recevoir en elle.
Moi, je me mis au-dessus d'elle, en appui sur les bras, mon sexe pendant au
niveau de son bas-ventre, et d'une main, je le guidai vers sa vulve. Sans
succès. Finalement, après deux ou trois tentatives, je finis par trouver
l'entrée d'un royaume de douceur, de chaleur et d'humidité. M'allongeant
entièrement sur elle, collant mon ventre au sien, mélant mon souffle au sien,
je sentis venir l'éjaculation.

- Non... murmura-t-elle, c'est pas bien ce qu'on fait, là !

- On ira à d'autres concerts ? demandai-je.

- Oui...

Et je répandis ma semence en elle.

Si vous avez aimé ce texte, remerciez Hervé, c'est une motivation pour
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N'oubliez jamais que cela doit rester des fantasmes ...
Forcer un enfant au sexe dans la vie réelle mérite la prison !

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