title = les filles des autres part = complete author = anon language = Francais summary = petite mais oh combien délurée published = /01/2006. Histoire corrigée par Appius Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'. ( http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/ ou http://go.to/histoires ) Toutes nos histoires sont purement imaginaires. Toute ressemblance avec une personne vivante ou morte ne serait que coincidence. Les filles des autres Lorsque un accident arrive, le malheur ne s’abat pas seulement sur les personnes qui viennent d’avoir l’accident mais aussi sur leur entourage. Un jour sur l’autoroute vers la Mer du Nord une voiture quitte la route et vient s’encastrer sous un pont, chose presque banale, due à la vétusté du véhicule, des pneus, de l’entretien pas ou mal fait, etc. Toutes les hypothèses sont permises. Le fait est que le père la mère et le fils sont morts, dans cet événement. Seule reste une fille de 5 ans s’appelant Coralie, légèrement blessée, très belle de surcroît. Légèrement potelée, cheveux d’or, yeux bleus, pour tout handicap deux os de son pied gauche étaient cassés provoquant une blessure ouverte, et également un hématome sur sa cuise gauche. On l’avait bien pansée, toutefois pas encore mise sous attelle, le médecin en chef de garde avait ordonné qu’on la mette seule dans une chambre jusqu’à ce que son état permette la pose d’une attelle. Mais en aucune façon elle ne devait partir de là avant quelques semaines. Les visites étaient autorisées sans que la malade ne puisse quitter l’hôpital ou tout au plus dans les environnements immédiats de celui-ci et en chaise roulante de surcroît. A la suite de l’annonce de l’événement ses oncles et tantes se sont régulièrement relayés à son chevet avec des intentions louables pour certains et non louables pour d’autres. Commençons par ceux qui avaient des intentions louables et qui avaient décidé de consacrer une part de leur temps à son éducation et aux soins de sa personne. Pour ce faire ils avaient ouvert une place dans leur demeure et dans leur cœur. Pour les autres : les places préconisées par les premiers et, en plus, une visite régulière dans sa culotte, et voilà. Ici commence la vie d’une petite, qui commença par un apprentissage rapide. Un peu avant l’âge légal mais avec amour et gentillesse, la famille qui l’accueillit en premier avait deux grands garçons de 16 et 18 ans. Au début un peu de retenue jusqu’à son rétablissement presque complet. Ils avaient déjà évalué les possibilités de la petite, les doigts ne sont pas restés inactifs lors des visites prolongées. Même à l’hôpital, le plus âgé avait déjà tâté le terrain et l’avait trouvé bien souple pour une si jeune personne, surtout silencieuse lors des palpations de son rectum elle a même basculé sur le côté pour lui permettre une fouille plus profonde, chose qui l’a étonné ; lors de la dernière visite il a même placé jusqu’à trois doigts dedans. Là, elle a manifesté un trop plein, mais ça promettait pour la suite. Il effectua ses palpations lorsque son père et sa mère étaient sortis pour fumer une cigarette, ce qui était seulement autorisé en plein air, depuis certaines lois récentes, ceci n’était bien sûr pas sans être remarqué. Pendant l’absence des personnes et de la surveillante, et pour avoir un regard sur se qui se passe dans cette chambre le docteur a fait placer en secret une camera miniature et une liaison Internet à laquelle lui seul avait la possibilité de se connecter. Les agissements des visiteurs ne sont pas restés sans être vus et enregistrés. Ça peut toujours servir le cas échéant, mais il allait se rendre compte de ce que le grand cherchait chez la petite. Apres les visites il est parti trouver Coralie et lui demanda de lui montrer où il l’avait touchée et comment. Elle regarda le docteur, avec des grands yeux, mais il lui dit : -Je suis ton docteur et je veux savoir pour pouvoir te soigner comme il le faut. Alors elle se retourna et montra sont cul. -Oui, ça je m’en doute mais où encore ? Et elle montre avec son doigt son anus. Le docteur pose un doigt sur le muscle culier et, par miracle il rentre très facilement, il le retire et présente deux doigts. Elle regarde mais ne dit rien, se cabrant pour permettre la chose, et de nouveau ça rentre facilement. -Combien il t’a mis pour que tu aies fait une grimace. Elle ne dit mot mais montre trois doigts de sa petite main. -Qui a mis quelque chose dedans à la maison petite ? -Oh dit-elle, ça fait longtemps que mon frère me chevauche lors de nos jeux. Et pour ne pas tomber, à ce qu’il disait, il plaçait sa lance dans mon trou. Ah ah ! ça fait longtemps, ça, oui, dit-elle, je mettais encore des langes. -Ah, c’est pour ça que… mais, il ne finit pas sa phrase. -Ok, on va te mettre de la pommade trois fois par jour avec un appareil. Ça ne fait pas mal, c’est même agréable et je viens te voir demain, ok ? -Ok dit elle. Après les bon soins elle lui faisait confiance, et il embrasse Coralie sur le coin de la bouche; il prolonge un peu et d’elle-même, elle centre ses lèvres sur celles du docteur, il attend un moment et puis se retire, doucement il la recouche. -Bonne nuit à demain, dit il, elle lui sourit, et lui il ferme la porte, passant prés des infirmières, il regarde qui est de service. -Ah ! Celle qui a les mêmes penchants que lui ne travaille pas, mais sera de service demain matin. Ok, il écrit dans le livre de soins une recommandation, et puis prend une feuille, et il se ravise : pas de trace possible pour un traitement comme celui qu'il avait décidé de lui administrer. On verra ça demain. Et il sort de l’hôpital, rentre chez lui, ouvre son ordinateur et se branche sur internet. Il voit la chambre de Coralie et laisse tourner, se disant : "Comme ça j’aurai ma conscience tranquille, je pourrai surveiller tout ce qui se passe pendant la nuit. " Le lendemain il rentre a l’hôpital est va directement trouver les infirmières. La choisie était la ; il lui demande de venir avec lui chez Coralie et ensemble, chemin faisant il parle des soins à prodiguer à la malade. Quoi de plus normal que cette conversation là : un docteur qui parle d’une malade à une infirmière. Mais voilà, la malade n’était pas normale : normalement ces soins se prodiguent à une personne d’un certain âge un peu frigide, ce qu’elle, manifestement, n’était pas encore. Ces. Ces soins, prodigués dans ces circonstances, auraient pour effet de booster la malade, c’est ce que le médecin espérait de cette pratique. Le traitement devait commencer de suite. Pour ce faire, le docteur prescrivit les médicaments nécessaires pour cela, toutefois sur le nom d’une patiente où cela était normal ou plausible. L’infirmière alla chercher lesdits médicaments et se mit au travail de suite, non sans avoir fermé la porte a clef. Dès qu’elle eut commencé, Coralie montra des réactions de nature à l’inquiéter. Elle appela le docteur avec son bip, deux minutes après il se présenta à la porte de la chambre. L’infirmière le laissa entrer et là, il dut constater que la prescription ne correspondait pas à ses attentes et qu’elle était trop forte : la patiente rejetait ses draps, ouvrait ses cuisses au maximum et son clitoris sortait très fort hors de son capuchon, même plus qu’il ne l’avait fait lors des précédents attouchements, il réfléchit et, négligemment, plaça son doigt sur le clitoris pour voir sa réaction. Elle réagit de suite et fortement en levant son cul et écartant ses jambes encore plus fort, comme ça ne lui suffisait pas, elle avança son cul par petits sauts vers le doigt qui lui faisait tant de bien. Avec l’autre main il titilla son cul qu’elle leva encore plus haut, il fit pénétrer deux doigts dans son anus, ça la fit se raidir, elle déplaça ses mains de ses cuisses vers les parties charnues de son cul et les écarta au max possible. Elle réclama des caresses plus fortes et des palpations plus profondes, le docteur la fit glisser pour qu’elle ait les fesses au bord du lit et sortit sa verge pour la placer dans sa prune. Elle lui dit : "non, non, dans mon cul !" Le docteur retira sa verge déjà bien enfoncée de sa chagatte et la plongea dans son cul. L’infirmière approcha du lit le docteur plaça sa main sur son cul et la caressa ; elle monta sa robe plus haut que l’emplacement de sa main et il eut le contact avec sa peau nue, il regarda subrepticement mais continua à fourrager sa bite dans le cul de Coralie et un doigt dans la prune de l’infirmière, après le cinquième orgasme de Coralie elle s’endormit. Le docteur retira sa trique et la plaça dans l’infirmière et après deux ou trois aller-retour lui déposa toute sa semence, sachant bien qu’elle ne pouvait pas donner de suite à cette jute. Le docteur reprit son stéthoscope et écouta le cœur de la petite, il battait un peu plus rapidement que d’habitude mais sans s’emballer. Il laissa Coralie dormir et plaça sur la porte de la chambre une plaque "Ne pas déranger, pas de visite." Les visiteurs demandèrent des explications aux infirmières qui répondirent : "Le docteur a donné ordre de ne déranger sous aucun prétexte" ce qui sera suivi à la lettre. Le lendemain, le docteur et l’infirmière se rendirent au chevet de la petite, toute la nuit l’ordinateur du docteur avait été branché, même l’infirmière ne savait pas qu’il y avait une camera installée. N’étant plus de service elle avait fait venir son frère qui lui aussi avait les mêmes goûts que le docteur mais qui en plus était monté comme un petit âne. Elle avait déjà subi les assauts de son frère, c’est pour ça qu’elle ne pouvait pas avoir d’enfants à son grand regret, toutefois, après réflexion, elle l’aurait offert à son frère. Ça elle l’aurait fait, c’est sûr. L’amour pour son frère était bien trop fort pour ne pas prendre tous les risques pour satisfaire les desiderata de celui-ci. Son frère son premier amoureux et qui avait fait d’elle une femme, qui la comblait encore de temps en temps, dès que le mari, qui travaillait au long cours, était parti pour trois mois au moins. Vu les possibilités de Coralie et l’envie du frère elle l’avait fait rentrer dans la chambre en lui demandant de rester calme jusqu’à ce qu’elle revienne, et vers une heure du matin elle est revenue avec une petite potion comme celle qu’elle avait administrée à la petite ce matin. Toutefois elle avait apporté une boule de bouche comme on met quant on fait des jeux sexuels un peu sadiques. Elle avait réveillé Coralie en douceur ; la reconnaissant, celle-ci n’a pas été traumatisée : elle s’est d’elle-même placée les jambes ouvertes et elle a rejeté les draps qui la couvraient. L’infirmière lui administre la potion et, après deux minutes, lui place la boule dans la bouche, resserre l’élastique en lui expliquant qu’il se fait tard et que les infirmières ont beaucoup de travail. Si elle crie, c’est pas grave mais il ne faut pas que les infirmières viennent nous déranger ; le travail est bien assez difficile comme ça. -Tu veux toujours apprendre, je suppose ? demande-t-elle, et Coralie lui dit oui avec la tête. "Alors je vais te mettre sur le bord du lit et monsieur va te tenir pour ne pas que tu tombes. -C’est bon, oui ! dit-elle encore une fois de la tête. Elle n’avait pas remarqué le monsieur qui, étant assis, avait une belle vue sur le lit et, de ce fait, avait déjà un fameux bâton et était prêt à s’en servir. L’infirmière avance le cul de Coralie au bord du lit et se glisse de côté, laissant place à son frère. Lui, place le bout de sa verge sur le lit hors de la vue de la petite. Elle avait repris la position du matin, une main de chaque côté sur la partie la plus charnue de son cul pour donner accès à son anus avec facilité. Elle soufflait et manifestement était très excitée, sa prune coulait, arrosant son trou du cul avec du jus en abondance. Le frère ne pouvant plus attendre leva la tête de sa verge et la fit pénétrer dans la vallée donnant accès au paradis des enculeurs. Elle sentit qu’elle allait être prise comme au matin, mais que l’engin qui voulait faire la chose semblait nettement plus gros que ce qu’elle avait reçu jusqu’à maintenant. Elle ouvrait en forçant sur ses parties charnues, poussant son anus dehors ; tout pour lui faciliter la chose. Lui, plaça ses mains avec les siennes et poussa encore plus fort. Son anus résista, l’infirmière dit : "Arrête, tu vas la déchirer." Obéissant, il arrête et se retire. Elle place encore de la vaseline sur son trou du cul, rentre avec un doigt un peu de cette matière si bonne pour ce genre de moments. Elle lui place un spéculum de vierge dedans et l’écarte au max, le fait coulisser deux à trois fois et le retire ouvert. -Voila, elle est prête, dit-elle. Lui, sans attendre encore, place sa verge sur son trou qui n’était pas encore fermé et pousse. Miracle de la nature et de la vaseline : ça rentre ! La tête est passée, le reste passera, elle est jeune mais c’est long un cul, c’est confortable et accueillant. Elle s’agite dans tous les sens. Elle sent dans son fondement un dard qui la remplit comme elle n’a jamais été remplie. Elle ouvre les yeux, lâche son cul, se frotte le ventre et regarde l’infirmière. Celle-ci la voit et demande à son frère de se retirer un peu, les yeux de Coralie redeviennent normaux, et elle sourit. -Ça va, tu peux continuer mais plus si profond. -Ça va ?" demande-t-elle à Coralie. Elle dit oui de la tête, son con déverse des quantités invraisemblables de mouille, ça lubrifie la verge qui rentre et sort de son cul. Après des orgasmes à répétition elle tombe sur son lit. L’infirmière le voit et dit à son frère de se retirer, mais lui est sur le point d’exploser et ne peut s’arrêter. Il pousse une fois plus loin, ce qui la réveille, elle tire sur la boule mais ne parvient pas à l’arracher. Le frère gicle sa jute dans Coralie, se retire et tombe sur la chaise, Coralie se calme, l’infirmière retire la boule et lui demande "Ça va ? " -J’ai mal au ventre répondit-elle. L’infirmière tâte son ventre et lui administre une piqûre de Valium. -Ça va te faire dormir et demain matin ça sera fini, dors ! dit-elle, et elle lui donne un bisou sur la bouche. Ils sortent en catimini par le parking du personnel en sous-sol et ils rentrent à la maison presque sans rien dire, sauf qu’en sortant de la voiture avant de rentrer à la maison il l’embrasse et lui dit merci. Sa sœur le regarde et lui dit : "tu ne changeras jamais, mais je t’aime comme ça." Lui, demande : "On remet ça", là, elle rit mais réfléchit et lui dit : "Je ne saurais pas te donner une réponse, ne sachant pas combien de temps elle va rester. On verra bien, manifestement ça t’a plu" -Oh oui, si petite et déjà si réceptive. Qui a ouvert la boite de Pandore ? -Ça je ne sais pas, mais le médecin qui l’a ausculté la première fois l’a remarqué de suite, elle avait été montée déjà depuis pas mal de temps, elle avait reçu bien des longueurs dans son popotin, pas des comme la tienne, mais en quantité, certainement plus que ce que tu pourrais lui donner si même on y va tous les jours. Et elle embrasse encore son frère dans le garage de la maison à l’abri des regards. Lui il va vers sa demeure et elle monte dans le living. Le lendemain le docteur appelle l’infirmière. Elle rentre dans son bureau et là, il la regarde sans rien dire, il lui dit de fermer la porte et de coller un papier qu’il avait préparé sur l’aération, il lui fait signe de s’avancer vers lui, elle se place à côté et regarde le film de la nuit se dérouler comme elle le connaît bien : son frère enfile Coralie avec fougue. Il coupe là, et lui demande alors : -Pourquoi, ça ? Et en plus, un hors mesure. -Oui, dit-elle, c’est mon frère. -Et alors ! Que dois-je faire si elle est défoncée, si elle a une occlusion ? Rassure toi elle a déjà subi une radio de l’abdomen et une rectoscopie ; rien d’alarmant, mais des rougeurs que j’ai pu expliquer par un lavement que je lui ai administré ce matin très tôt. Je suis certain que se sera la dernière fois, n’est-ce pas ?..." Il laisse un peu de suspense et alors ajoute : "…sans ma présence." ce qui la rassura. Elle descendit son regard vers ses jambes et remarqua que sa blouse était ouverte et que sa verge était bandée. Elle releva sa robe et descendit vers sa verge qu’elle prit et mit dans sa bouche, et commença à le sucer avec force. Il se recula dans le fond de son fauteuil et laissa faire, lui caressant la tête continuellement jusqu’à ce qu’il lui ait rempli la bouche généreusement. Elle se releva et lui présenta son cul nu, lui disant : -Tu fais de moi ce que tu veux, tu me prends comme tu veux, si tu veux faire une partie a trois, j’ai un partenaire de toute confiance, mais ne me renvoie pas. -Ok dit-il, tu restes avec ton mari, tu fais comme si rien ne s’était passé. En temps opportun je te rappellerai ce que tu viens de dire. Ça va comme ça ? Elle dit oui de la tête, arrache le papier sur l’aération, le jette dans la poubelle et part vers son travail. Dix minutes après elle revient vers le docteur et lui demande on continue avec Coralie ? -Mais oui, rien n’a changé, il faut la soigner au mieux. Elle fait ce qu’ils ont commencer hier, elle se présente dans la chambre de la petite. De la visite est là, mais gentiment elle demande de dire au revoir, qu’elle va encore subir des examens approfondis et qu’elle dormira tout l’après midi. Les visiteurs, (la tante avec un de ses gamins) sont tristes mais ne sauraient pas s’opposer à la demande de l’infirmière, tout au plus peuvent-ils demander des explications au docteur qui, par hasard, vient juste de rentrer aussi dans la chambre. Il prend la tante de côté et lui explique les attouchements subis par Coralie de la part de son frère, ce qu’elle ne met pas en doute. -Pas de précipitation mais les examens ont révélé une souplesse non négligeable côté rectal et vaginal : elle n’est plus vierge. Cela a été constaté dès son arrivée, le médecin d’urgence à fait un rapport à ce sujet, nous avons vérifié par deux fois pour ne pas se tromper vu l’âge du sujet, effectivement, c’est le cas. À ça, on ne peut rien changer. Par contre, l’hématome de sa cuisse est résorbé, sa main est aussi prête à la pose de l’attelle. Ça sera fait cet après midi, après un dernier examen par le parquet. -Oh, Oh ! Qu’est-ce qui se passe. Demande la tante. -Madame, les règles sont les règles nous devons les respecter comme tout le monde, c’est le parquet qui prendra une décision. Ce n’est plus de mon ressort, moi j’ai fait mon possible, il serait possible que Coralie soit confiée à un institut, mais c’est le juge qui décide de ça. A demain madame. Elle part sans se retourner. Dès à présent le médecin place la pancarte sur la porte et la ferme. L’infirmière est partie chercher la potion miracle, on va encore bien s’amuser. Une demi-heure après, l’infirmière l’appelle à la chambre de la petite, il va vers la chambre et sur le chemin il rencontre le frère de l’infirmière dans les couloirs, il le prend par le bras et le fait rentrer dans la chambre. -Que fais-tu là ? demande le médecin, cette nuit c’est pas assez ? -Non ! Elle est trop bonne, je veux la monter encore une fois ! dit-il avec une lueur dans les yeux. -Ok, ok, mais cette fois ci avec une capote. -Oh oui et vous ? -Je regarderai et interviendrai si nécessaire. On n’a pas beaucoup de temps, elle est prête ? demanda-t-il à l’infirmière en fermant la porte. -Oui dit-elle, même plus que prête regardez ! Et effectivement elle avait déjà pris la position que les hommes préféraient chez un si jeune sujet : les mains sur les parties les plus charnues de son cul, tirées pour donner accès au max à son anus qui reluisait déjà. Elle mouillait du cul, ce qui, à cet âge, est chose encore plus rare sauf si elle avait été préparée de longue date à ces jeux sexuels. Le docteur demande au frère de l’infirmière de se tenir prêt, ce qu’il était déjà depuis un certain temps, il demanda à l’infirmière de lui placer la capote, ce qu’elle fit d’une manière plus que professionnelle, montrant une habitude certaine. Il avança vers Coralie, elle tira encore plus sur ses fesses pour dégager au mieux son cul. Il plaça le bout sur son anneau et força légèrement et il rentra. Elle n’avait pas encore oublié la monte de cette nuit, il avança un peu plus, elle lui demanda avec des mot qui disaient long sur ce qu’elle ressentait : Oh ! Oh ! oui monsieur plus fort, plus loin Oh !Oh ! monsieur encore, "Aaaaah ouiiiiiiiiiii ooooooohhhh c’est booooooon !! alleeeez yyyyy aaaaahhh nggggggg ooooohhhh !! encore, Oh ! comme ça, Oui ! encore ! comme ça, plus vite." Le frère se démena, Coralie commença à jouir avec des bruits gutturaux entrecoupés de "encore Oh oui monsieur encore, Oh c’est bon c’est bon encore." Le docteur se posait la question de savoir s’il était possible à cet âge d’avoir des orgasmes à répétition comme ça. Apparemment oui, en voila la preuve. Il faut la préparer de longue date. Il continua à presque la défoncer tellement elle l’encourageait à continuer et à faire plus vite et plus fort sa monte. Le docteur avait placé une main sur le cul de l’infirmière. Il avait rentré un doigt dans son cul, pourtant pas la voie qu’elle préférait mais qui du fait de l’excitation était ouverte également, son frère l’avait déjà empruntée, de ce fait, l’ouverture était praticable. Le temps était compté et la fifille commençait à montrer des signes de fatigue, il décida d’arrêter là, mais elle demanda plus. Le docteur dut la persuader que la nuit et le lendemain, les jeux pourraient reprendre aussi longtemps qu’elle serait gentille et qu’elle ne dirait mot de ceci. -Alors, ce soir et demain les jeux seront repris, ça va ? demanda le docteur, et elle, du haut de ses 5 ans, dit oui. Les magistrat sont venus l’interroger avec le médecin à ses côtés, ils lui ont demandé comment et où et elle a répondu avec le moins de mots possible, son avocat commis d’office, secondé par l’avocat de l’hôpital a répondu à sa place d’après les rapports rédigés par les urgentistes et le médecin lui-même. Il fut décidé de confier Coralie à l’hôpital pour ses soins et ensuite à une famille d’accueil. Sa famille directe, vu la situation et après les dires des magistrats ne voulait pas prendre la responsabilité. Alors le médecin se posa en candidat. Vu les soins à donner, vu sa situation de famille et son aisance financière et vu l’urgence, les choses ont fait qu’après discussion entre eux, elle fut confiée au médecin. La famille pouvait si elle le souhaitait venir en visite le samedi ou le dimanche, ce fut acté et les magistrats quittèrent la chambre. Dès que les magistrats eurent quitté la chambre, le médecin les conduisit à la grande porte. Sur le chemin, l’infirmière vint le rappeler. Il s’excusa de ce que le service l’appelle, serrant les mains il s’en retourna et suivit l’infirmière. Arrivé prés de la chambre il ne put passer sans rentrer de nouveau lui faire une grosse bise. Il rentra sa main sous le drap et elle ouvrit déjà ses jambes. -On va bien s’amuser nous deux, tu viens avec moi ? dit-il -Oh oui monsieur ! on fera encore ça ? " dit-elle en le regardant de ses yeux bleu ciel -Oui mon chou, tous les jours. Elle retira ses draps et se mit à rêver. Le docteur, sortant de la chambre, demanda à l’infirmière si elle voulait rester avec son homme actuel et elle, de suite, répondit : -Pourquoi tu me demandes ça ? -Parce que j’ai besoin de quelqu'un comme toi chez moi. Ton frère peut venir aussi s'il y trouve son compte. -Tu me permets de réfléchir ? demanda-t-elle. -Oui, bien sûr ! Mais pas trop longtemps. Ça doit se faire pour au plus tard à la sortie de Coralie (c’est le nom de notre petite trouvée.) Je dois savoir si c’est oui ou non ! L’infirmière avait un mari absent pour trois mois ou plus d’affilée. Il restait un mois à la maison et en suite repartait de nouveau pour la même période. Ça fait qu’elle le voyait trois fois par an. Effectivement ça ne faisait pas grand- chose même s’il lui rapportait des cadeaux somptueux et qu’elle était à l’abri du besoin, rien ne pourrait remplacer un être cher près de soi. Le lendemain elle rappela au docteur que son homme ne restait à la maison que trois mois par an, mais le docteur lui répliqua : -Non, c’est tout ou rien, chez moi tu as tout, la Coralie en prime, ton frère et la possibilité de rester à la maison si tu le souhaites, la seule chose que je te demande, c’est qu’à partir de maintenant tu portes une culotte sauf en ma présence. Même avec ton frère la culotte est de mise, il se fera à ça. -Oui docteur. -Tu peux m’appeler Henri. -Ok doc…Henri. -Voilà qui est mieux, allez voir Coralie, je finis mes visites et je viens, attends dix minutes avant de lui mettre la pommade, je n’aurai pas terminé si vite mais dès que tu lui as mise, bipe moi. -Ok doc.. Henri." Le docteur la regarde s’éloigner et constate qu’elle n’avait pas encore mis de culotte, quelle allumeuse ! Il rentre dans la première chambre et fait sa tournée plus vite que d’habitude, pressé qu'il est de retourner voir Coralie. Lorsqu’il est au bout de l’étage, un bip se fait entendre de la part de l’infirmière. Il se dit : "Voilà, c’est reparti." Il se précipite et rentre dans la chambre, ferme la porte à clef, la petite est de nouveau au bord du lit, en transe, les yeux pétillant d’excitation, elle ne demandait qu'à être pourfendue. -Je vois que cette médication est, du moins que l’on puisse dire, efficace. Un essai s’impose sur la dame du 22, son mari se plaint de sa perpétuelle froideur. -Oh, Henri, que proposes tu là, oui je vais de ce pas le suggérer au mari mais sous quel prétexte ? Et deuxième chose, avec ou sans lui, voilà la question que je me pose ? -On va essayer sans lui dans une heure. Tu n’as qu’à faire venir ton frère, il est disponible je suppose ? -Oui Henri, il faut juste lui téléphoner et il sera là. -Ok dit Henri. Nous lui mettrons une blouse blanche, comme ça il passera inaperçu, comme un collègue prêt a mettre la main à la pâte, en somme. Quelle heure est-il ? Dix-huit heures déjà ! C’est l’Heure des essais. Normalement, le mari est à la maison et elle, elle s’ennuie ici. Je vais lui présenter la chose et on verra. Si ça marche on pourra faire un essai avec le mari mais plus soft. -Oh oui Henri !" Il toque à la porte de la 22. La malade est là et lui dit qu’elle est visible et qu’il peut rentrer. Le docteur lui dit bonsoir et, sautant dans le plat à pieds joints, il lui propose un traitement contre la frigidité soft mais rapide ; une ou deux séances et ça doit être suffisant pour autant que son souhait est de se débarrasser de ce petit inconvénient passager. Elle hoche la tête pour dire oui, mais le docteur enchaîne : "Mais la présence d’un collègue est nécessaire pour le bon déroulement de la séance, ainsi que celle d'une infirmière." Ça la tranquillise encore plus et elle répond : -Voilà, vous pouvez commencer. -0k, ok je vais de ce pas prévenir l’infirmière pour qu’elle vous prépare, toutefois je dois vous mettre en garde, d’après votre fiche pas de problèmes cardiaque, mais ça va chauffer fort. On peut ? -Oui, oui pas de problème ! Il sort de la chambre 22 et se dirige vers celle de Caroline. La Caroline et l’Infirmière étaient en train de se lécher à qui mieux mieux. Henri sortit sa verge et la rentra dans le premier trou rencontré ; c’était la prune de Coralie. Elle se demanda qui était là, mais pas longtemps. L’infirmière se redresse, Henri lui dit : "Il faut préparer la malade de la chambre 22 et téléphoner à ton frère. Elle est d’accord et oui, elle veut se débarrasser de ce petit inconvénient." Elle téléphone a son frère et lui dit de venir de toute urgence. Elle se dirige après vers la chambre 22. Arrivée là, elle demande à la malade : -Vous êtes rasée madame ? Celle-ci regarde l’infirmière : -Mais non ! Pour quelle raison ? -Mais pour votre petite intervention ! Le docteur m’a demandé de faire le nécessaire pour que vous soyez prête, alors je vais vous chercher le nécessaire. Elle repart, mais une minute plus tard, elle est de retour et demande à la dame d’enlever sa culotte et elle place un drap sous elle. Elle commence à la savonner avec un blaireau en passant souvent sur son clitoris. Elle voit que celui-ci ne sort pas de son cocon, même après dix minutes d’action dessus. Son frère rentre en blouse blanche, voyant la dame les cuises ouvertes il regarde mais ne dit rien, l’infirmière le présente comme docteur et ça la calme. L’infirmière commence à la raser, passant prés de sa vulve, elle place subrepticement une partie de la préparation dedans. Elle continue à la raser et lors de son retour sur l’autre lèvre qui commence déjà à mieux réagir elle replace une deuxième partie de la potion et demande à la malade de se retourner. Celle-ci se retourne sur le ventre mais garde les jambes closes. L’infirmière lui écarte les jambes un peu et commence à enduire sa vallée et son anus. Elle commence à ouvrir de plus en plus ses jambes. L’infirmière pousse pour écarter ses chairs autour de son anus pour y avoir accès, elle demande à son frère de tenir une fesse, ce qu’il fait. Elle rase le contour de l’anus, elle place un cousin sous le ventre de la patiente et la tire vers le bord du lit. Là, les deux orifices apparaissent dans toute leur splendeur. Elle place un doigt dans la vulve et constate qu’elle commence à mouiller. Elle fait signe à son frère le pouce levé que c’est parti. Elle fait pénétrer deux doigts dans la vulve pour tirer sur les grandes lèvres et continue à raser le peu de poils restant. Elle s’enhardit et place un troisième doigt ; elle entend un soupir de la part de la dame. L’infirmière laisse la place à son frère sans toutefois retirer ses doigts. Elle lui désigne l’anus. Lui, y place un doigt et la dame réagit. Il fait rentrer son doigt sur toute la longueur toujours sans parler, puis il demande : -Ça va madame ? et elle lui répond : "Oui, ça va !" avec une petite voix. Il tire encore un peu sur son corps pour mieux l’ajuster à sa verge et plante celle-ci dans son con. Surprise elle s’exclame : -Oh ! oh ! que c’est gros ce que vous me mettez là. Ça ne passera jamais. -Mais si, mais si ! Et il continue son avance lentement mais sûrement. Lorsque dix centimètres sont rentrés, elle se soulève pour lui permettre de mieux la travailler. Elle commence à geindre avec des "Oh !" et des "Encore ! C’est bon, continue !" Il commence à se retirer. Là, elle dit: "Oh non ! pas partir déjà." Il redouble sa poussée et lui met tout d’un coup la totalité, la elle perd pied et elle reste bouche bée une seconde ou deux, puis, lorsqu’il se retire elle pousse elle-même son cul vers la verge. Trois minutes lui ont suffi pour commencer ses cris de joie. Elle jouissait à profusion, "Aaaaah ouiiiiiiiiiii ooooooohhhh c’est booooooon !! alleeeez yyyyy aaaaahhh nggggggg ooooohhhh !! " au moins six fois. Lorsqu’elle eut fini sa sixième montée au ciel, il se retira et planta sa verge dans son cul sans ménagement. Elle, de surprise, en resta sans voix. Lorsqu’il commença ses allers-retours elle réagit en donnant des coups de cul en disant aïe ou oh, mais donna des coups de cul de plus en plus violents. Après vingt minutes elle jouit de nouveau mais cette fois par son cul. Elle disait : "Que c’est bon !" "Continue plus fort !" ou "Encore !" Après dix orgasmes de ce côté, elle s’écroula et se mit à ronfler. N’ayant pas giclé dans la femme du 22 il demanda à sa sœur de le terminer ; elle le prit en bouche et peu de temps après, il se libéra. Le docteur les attendait à la sortie et leur demanda : "Alors ?" L’infirmière dit : -Oui, ça a été, mais il faut voir si c’est permanent. Demain on remet ça et si elle est aussi réceptive que maintenant c’est gagné. -Je vois, vous voulez un autre essai mais alors je serai présent. -Ok, pas de problème pour moi, dit le frère. On peut la prendre à deux si vous voulez. -C’est une possibilité, on verra demain. En attendant on va s’occuper de Caroline, regarder comment elle est maintenant. L’infirmière va vers le desk et regarde si éventuellement Caroline n’est pas susceptible d’avoir des soins. Effectivement elle reçoit des soins au sous-sol par une équipe pluridisciplinaire composée d’infirmiers, de docteurs et de stagiaires en bandages. Normalement elle remonte dans dix minutes. Elle bipe le docteur et se place prés du téléphone, il sonne et Henri est au bout du fil. Elle lui dit où est Coralie et Henri lui dit : -Va la chercher, je téléphone de suite et je pense que ses soins seront terminés. Elle descend et entre dans le service près de la porte du local de soins. Elle arrête, stoppée par le bruit d’une voix bien connue, elle entend des paroles déjà souvent entendues entrecoupées par d'autres voix : des "A moi ! A moi !" des "Oh ! Oh ! encore !" et des "Plus fort ! Oui ! Oui ! Là, là, c’est bon !" Elle entend le téléphone sonner et une voix répondre : "Oui, encore un instant." et la voix étouffée continuer de dire "Oh ! Oh, encore, comme ça !" Manifestement, là aussi Coralie n’a pas pu se retenir, dès qu’ils ont touché sa cuisse ou une zone érogène, elle a démarré comme à son habitude. On ne peut pas leur en vouloir mais ça ne peut pas durer trop longtemps. L'infirmière sonne à la porte et entend : "Allez les gars, restons en là ! L’infirmière est là pour venir la chercher." Un instant après, la porte s'ouvre, et un lit sort avec Caroline dessus, couverte d’un drap de lit. L’infirmier légèrement ébouriffé lui dit : "La voilà ! Elle est bien brave. À ce soir." et elle lui répond "Ok." L’infirmière guide le lit vers l’ascenseur et une fois rentrée dans celui-ci, elle demande -Ce soir ? Que veut-il dire par là, Caroline ? Caroline regarde l’infirmière avec un petit sourire. Oui. dit-elle, tous les soirs je reçois la visite de deux, voire trois infirmiers. Ils disent que je suis la plus belle de l’Hôpital, ils disent de moi que je ne me cache pas pour exprimer mes préférences sexuelles, et ils ont eu la confirmation lorsqu’ils ont enlevé mon attelle. L’un d’eux a touché les lèvres de ma prune en même temps qu’un autre a touché mon cul. Ce fut comme une explosion pour moi. Je me suis mise à demander qu’on fasse du bien à mon cul comme à ma prune et ils n’ont pas été long pour me remplir des deux côtés en même temps. -En même temps ? répète l’infirmière -Oui, oui" dit Caroline. Un m’a couchée sur lui et a fait rentrer sont dard dans ma prune. En même temps, un autre en a placé un gros dans mon cul. Sens comme il est encore ouvert. Caroline se soulève au perroquet, l’infirmière passe sa main sous le drap et elle introduit son doigt dans son cul pour tâter, mais effectivement son cul est encore bien ouvert. -Dès qu’on sera dans la chambre, je te donnerai des soins appropriés. " Mais elle ne pensait pas que le service de bandagistes avait un infirmier si bien monté. "Ça ne doit plus durer" pensa-t-elle, "il faut que je renseigne Henri dès que mon service est fini pour que ça cesse et que les contrevenants soient punis et que Caroline quitte l’Hôpital au plus vite." Elle regarda sa montre et constata qu’il lui restait juste trois quarts d’heure à travailler. Elle bipa Henri pour tout lui raconter. Henri se rend chez le directeur et lui explique la situation. Celui-ci se rend au bureau de surveillance, reprend la casette de la vidéo surveillance et fait venir le responsable du service dans son bureau, il place la casette dans son lecteur et la rembobine, met en marche la lecture et voit qu’effectivement les infirmiers sont en train de découper le plâtre de Caroline. La vision devient moins claire mais le son est toujours aussi parfait. S’adressant à Henri il dit : -Il faut bien admettre que la petite est loin de ne pas vouloir, mais ça n’excuse rien. Ok ! Fais lui les soins réclamés par son état, tu la reprends aujourd’hui sans attendre pour ne pas avoir encore des exactions, et tu prends sur ton temps pour la soigner et même la dorloter sur le compte de l’hôpital. C’est ok comme ça ? demande le directeur en fin d’argument. Henri répondit "Oui, je prends cette semaine, et je prends aussi mon infirmière avec moi. Tu me le permets, je suppose ?" "Oh oui, c’est normal" dit le directeur coincé, et Henri sort juste quand le chef de service des bandagistes rentre chez le directeur. -Bonjour, dit le chef de service et Henri le regarde mais ne dit rien. -J’ai une crasse sur mon nez, demande-t-il au directeur. -Non, je suppose que non, mais tu en auras une si tu ne surveilles pas mieux tes gars." -Mes gars, mes gars, qu’ont-ils fait mes gars ? -Attends et tu comprendras vite, et il fait marche arrière avec son lecteur, recommence et dit : -Regarde ! C’est bien tes gars qui sont en train de travailler ? -Oh oui, dit le chef, et alors c’est normal il y a Joseph, Vittorio, Arturo et Dominique. Et alors ? -Et la petite du 4 gauche, tu vois ? -Ça se peut. -Attends un peu, après la scène devient un peu plus floue mais on entend distinctement les protagonistes quémander les services personnels et spéciaux à prodiguer à la malade. "On peut même dire des service très spéciaux," se dit le directeur. Vu son âge c’est même interdit de toute façon et punissable par la loi ! Je te propose deux choses : tu te défais de tes gars petit à petit, toutefois tu les postes ensembles aussi longtemps qu’il sont encore à l’hôpital, sans contact avec les nouveaux, sous aucun prétexte. Tu formes les nouveaux en prenant garde que le service du Docteur Henri soit servi avec les plus grand soins, et tu prends en charge dans ton budget tous les soins que le Docteur Henri demande pour sa malade." Le chef voulut dire quelque chose, mais le directeur le reprit de suite : -Sans limite tant dans la quantité que dans le temps, c’est compris ? -Oui directeur" et il sortit du bureau. Le soir même, Caroline rentre chez le docteur sa chambre au premier, spacieuse, très claire, des rideaux saumon, de la peinture rose bonbon. On en aurait bien mangé un bout. Une frise à motifs de signes du zodiaque séparait les murs du plafond et terminait avec soin la décoration. La lumière était encastrée dans une goulotte et diffusait son halo par réverbération sur le plafond. Une lumière indirecte en somme mais suffisante pour une chambre. Elle s’installe sur le lit et de sa main bandée elle montre la fenêtre. -Que voit-on de là " demande-t-elle. -Mais va voir toi-même !" dit le docteur. Elle saute sur ses pieds, va vers la fenêtre, écarte les rideaux et voit le jardin avec des buissons partout. Un cabanon dans le lointain attire son attention. Elle se retourne et demande : -C’est quoi ça ? -Le sauna. C’est pas encore pour toi mais ça le sera dans peu de temps. C’est de la vapeur produite par des pierres de lave, préalablement chauffées, -C’est quoi préalablement chauffées ? -Ça veut dire qu'avant de mettre de l’eau sur les pierres on les chauffe et alors ça produit de la vapeur. -C’est quoi de la vapeur ? -C’’est de l’eau qu’on chauffe, comme une bouilloire qu’on chauffe pour faire du café par exemple. C’est blanc et chaud quant ça sort. -Ha ! Ha ! ? Oui, comme hors d’une verge, dit-elle en riant. C’est aussi blanc et chaud mais pas bouillant, Hi ! Hi ! Hi ! " Elle descend les escaliers pour aller dans la cuisine où l’infirmière était en train de préparer le goûter. -Te voilà, dit-elle. Tu descends déjà ? -Oh oui ! J’ai tout vu de là haut, même le cabanon avec le sauna. -Ha ! Ha ! Tu en sais plus que moi maintenant, et tu peux y aller ? Elle fait grise mine. -Non, pas encore, je dois attendre, mais je voudrais bien visiter moi ! -"Ça c’est sûrement possible mais on le fera après le goûter. Ça te va comme ça ? -Voui ! dit-elle, et elle saute dans les bras de l’infirmière. Elle se penche sur le côté et lui demande : -Mais comment t’appelles tu, toi ? Moi c’est Caroline, mais ça tu le sais déjà, non ? -Oh oui, ça je sais. Moi je m’appelle Jozéfine ! -Jozéfine, Jozéfine, dit Caroline c’est un beau nom. -Va chercher Henri. dit Jozéfine ! – -Henri ? Henri ? " dit Caroline. C’est qui ça ? -Mais c’est Monsieur le docteur. -Oh ? Je le savais pas moi ! Ok je vais le chercher. Et elle part en courrant dans les escaliers. Jozéfine la gronde : -On ne court pas dans les escaliers Caroline. Elle regarde en arrière et prend un air angélique. Jozéfine montre un doigt et lui dit : -Attention fifille, je vais te botter les fesses. Henri entendant du bruit dans l’escalier sort de la chambre en petite tenue. -Qui doit se faire botter les fesses ? demande-t-il. -C’est Caroline. dit Jozéfine. -Et pourquoi ? -Elle court dans les escaliers. -Ah, c’est pas bien ça, viens ici, je vais de ce pas te donner ce que l’infirmière t’a promis. Elle le regarde et dit: -Elle s’appelle Jozéfine. -Ah tu sais des choses, toi, comment tu dis ? Jozéfine ! Ha ! Ha ! mais pourquoi as tu monté les escaliers ? Le goûter est prêt. Il la prend par la main et dit : -Viens, on y va. Elle fait des petit pas dans l’escalier, deux sur chaque marche. Après la deuxième, Henri s’arrête et la prend dans ses bras. Elle lui donne un papou et il lui dit : -Comme ça, ça va plus vite, tu n’as pas faim toi ? -Voui ! Arrivés dans la salle à manger, effectivement tout est sur la table. Henri regarde Jozéfine et lui dit: -Merci, et cuisinière en plus ! Mais j’aurais dû te prendre bien avant. Comment t’appelles tu ? On ne me l’a jamais dit a l’hôpital : toujours madame Verboven, Verboven, mais jamais ton prénom. Caroline dit : -Elle s’appelle Jozéfine. -Ah, maintenant je le sais, merci, Et ton frère ? demande Henri a l’adresse de Jozéfine, car on est censés le rencontrer bientôt, non ? -Oh oui, de la place tu n’en manques pas." dit-elle. -Non, pourquoi ? Tu espères le voir s’installer ici ? -Oh oui, je l’avais compris comme ça ! -Bon, ça ne pose pas de problème mais mettons nous bien d’accord : tu dors avec moi ou pas ? -Oh, ça peut se concevoir" dit Jozéfine, et mon frère, dans l’aile nord. -J’ai encore de belles chambres là, pas encore visitées, on fera le tour de la propriété après le goûter, ça va ? -J’ai promis à Caroline qu’on visiterait la cabane au fond du jardin ! -Oui c’est possible, on ira voir là aussi. Pas de visite ? Pas de travail prévu cet après midi ? demande Henri. -Non dit Jozéfine c’est une demi-journée libre. Le reste s’il en faut un, pour la prochaine fois, et bien a vous. Provient_des_HISTOIRES_TABOUES = http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/ N'oubliez jamais que cela doit rester des fantasmes ... Forcer un enfant au sexe dans la vie réelle mérite la prison ! ------------------------------------------------------ Cette oeuvre reste la propriété de son auteur. Sauf si stipulé autrement, vous pouvez la republier sur un autre site gratuit à condition de ne rien modifier et de laisser les notices de début et de fin. ------------------------------------------------------