title : Si je m'attendais. part : complete author : francky email_public : francky54@laposte.net keywords : M.m.F. nombre_de_M : 1 nombre_de_M : 1 nombre_de_F : 1 exh = Exhibitionisme 1st = 1ere_fois language : Francais summary : Elle rouvrit ses yeux, me dévisagea, le regard dans le vide, ce qui me paniqua! recu = 10/10/106 published : 14/10/2006. Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'. ( http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/ ou http://go.to/histoires ) Toutes nos histoires sont purement imaginaires. Toute ressemblance avec une personne vivante ou morte ne serait que coincidence. message_PERSO = Après mes histoires compliquées avec Ben, voici...Victor. Merci,merci. texte = N'hésitez pas à me faire part de vos commentaires, mêmes négatifs....au contraire, cela m'aidera àécrire!francky54@laposte.fr. Si je m'attendais... Hamid est malin, débrouillard et très beau. Il a une espèce de grâce naturelle. Ses gestes, sa façon de parler, de regarder, inspire confiance. Il sait un tas de choses sur ce que veulent les autres, avant qu'ils le sachent eux même. C'est peut-être un don, un truc qu'il a eu en naissant. La première fois que je l'ai vu c'était à la piscine, celle qui a un bassin extérieur. J'étais allongé dans l'herbe sur ma serviette. Je fermais les yeux à cause du soleil. Quand je les ais rouvert, il était à coté de moi. J'ai été surpris. Il me souriait. - Tu rêvais... C'est bien. Si tu ne fais pas, que cela!... Est-ce que je le connaissais ? Non ! Je ne l'avais jamais vu ! Pourtant, c'était comme si, il m'était familier, amical. J'ai mis un certain temps à comprendre ses paroles. Elles raisonnaient de façons étranges, inattendues, comme prophétiques. Bien que je sois à un âge où l'on est réceptif à la nouveauté. Je n'ai rien trouvé d'intelligent à répondre. Je n'ai fais que lui rendre son sourire. Avec l'espoir qu'il poursuive. J'étais flatté d'être l'objet de l'intérêt d'un garçon à l'allure si assurée. Je me suis composé une attitude tranquille, sans inquiétudes, avec juste ce qu'il fallait pensais-je, de curiosité. - Je peux t'aider à en réaliser certains !... - Lesquels ? - Ceux qui sont dans mes cordes. Sa réponse ne m'aidait en rien à comprendre, je poussais plus loin. - C'est quoi tes cordes ? - La mise en relation, l'amitié et quelques affaires. Je te regarde depuis un moment et je me suis dis : voilas un jeune garçon qui voudrait saisir son destin, que quelqu'un ou quelque chose lui arrive. Et me voilas, Hamid, pour te guider dans ta nouvelle vie, si tu veux, bien la saisir. Il avait dans les seize ans, un corps souple, musclé, le teint halé, des cheveux noirs, un regard rieur. Il m'intriguait. Je ne comprenais pas. Où voulait-il en venir ? Est-ce qu'il me draguait ? Je ne percevais rien dans son comportement qui aurait pu le confirmer, ni l'infirmer d'ailleurs. Je cherchais juste à comprendre. - Mais je n'ai...je ne...t'ai... - Je vais te dire: tout le monde veut croire, sentir l'embrasement du désir, ce dire que c'est possible. C'est un jeu que je te propose, je te guiderai, je t'apprendrai. Ils te mangeront dans la main, tu seras un roi. Ils croiront en toi. En la promesse de ta jeunesse. - De quoi tu parles, c'est quoi cet histoire ?!... - Ce soir, je te sors ! Tu comprendras, tu verras, tu jugeras. - Ce soir ?... Mais...mes parents et... je ne te connais pas ! - Tu sauras te débrouiller! Retrouve moi dès que tu le peux, au 8 rue de La Salle, dernier étage. C'est là que j'habite. Tu vois où c'est ? Cela prenait une tournure qui m'intéressait. J'acceptais de me laisser conduire, sans trop chercher à comprendre. - Oui...mais, qu'est-ce qu'on fera exactement, c'est quoi ce plan ? - Je t'emmènerai au temple de la fête et des folies. Une dernière chose, maintenant tu t'appelleras Victor ! - Victor... !? - Tu n'aimes pas ? - Si... mais... ? - A nouvelle vie, nouveau prénom... Victor... mon ami...à ce soir... Il se planta devant moi. Il me tendit tranquillement et naturellement sa main. je la lui serrais. Il s'en alla. Je le suivais du regard. Il plongea et disparu au milieux des baigneurs. Je me retrouvais seul, troublé. Je ne me souvenais pas d'avoir ressentis de telles choses. Ma vie allait effectivement changer. J'étais sous le choc, bouleversé et déçu de ne pas avoir su le retenir, pour en savoir plus, comprendre, discuter. Je me rappelais ce qu'il m'avait dit : l'embrasement du désir. C'est ça, que je ressentais. L'envie folle de vivre quelque chose de différent, de fort, quoi précisément ? J'étais bien incapable de le formuler. Je réfléchissais tout en sachant que ma décision était déjà prise. Ma raison n'avait plus force de loi en cet instant. Ce garçon allait peut-être me permettre d'échapper à mon quotidien, à ma vie compliqué, voir merdique. Cette drôle d'opportunité, j'étais décidé, à la saisir sans trop réfléchir. Je me suis débrouillé. J'ai couru pour arriver au plus vite à l'adresse indiquée. J'ai poussé la porte d'entée d'un immeuble ancien. Il faisait sombre, il y avait juste un peu de lumière diffusée par une petite fenêtre de la conciergerie. J'ai gravi les quatre étages. Hamid habitait sous les combles. Quand j'ai frappé, il a dit d'une voix forte et assurée, comme si nous nous connaissions depuis longtemps : - Entre, Victor ! Victor ! J'avais oublié cette étrange injonction de devoir m'entendre nommé autrement que par le prénom choisi par mes géniteurs. Ne pas trop réfléchir. J'entrais dans une pièce bien aménagée, avec goût, malgré le manque d'espace, un coin salon, des gros poufs, une table basse, pleins de livres, des disques, un coin cuisine avec un bar, des tissus aux couleurs chaudes tendus aux murs. Il y avait de la musique douce, des bougies, de l'encens. J'ai tout de suite aimé cet endroit. Je ressentais la joie enfantine de compter pour quelqu'un. Un truc fort se passait. - Viens me montrer comme tu es beau, je suis là, à coté dans la chambre ! Il a prononcé ces mots simples comme si j'étais un vieil ami. En entrant, on ne pouvait pas louper le tableau, grand et réaliste. Hamid y était représenté nu en érection au sommet d'une colline, il souriait, les mains sur les hanches. Il se dégageait de cette toile une vérité simple et forte, elle m'est tombée dessus et imposée à moi. Il interrompis mon étrange rêverie et m'obligea à reprendre le cours de ce qui ne serait plus tout à fait la réalité. - Mais... tu es mignon comme tout !... Je me tournais vers lui, gêné d'avoir, je le sentais, le visage empourpré à cause du tableau et lui tout près de moi, bien réel, torse nu. Ces éléments agissaient comme des clignotants d'un possible malentendu. Je n'étais pas en mesure de savoir, ni ne pouvoir les gérer. Il était en pantalon blanc très moulant, je n'ai pu m'empêcher de porter mon regard au niveau de son entre jambe. Il s'apprêtait à mettre une chemise blanche, Il la tenait à la main et me détaillait de la tête aux pieds. J'étais heureux d'être là. Bien que la vision inattendue de la représentation d'Hamid, si cru, se confondait avec, ce que Je ne pouvais pas, à cet instant reconnaître, une envie nouvelle et inconnue qui me submergeait, la preuve avérée impossible à formuler de ce que je désirais ou quelque chose qui s'en approchait. Je la déterminerai peut-être plus tard, pour l'instant j'étais l'objet d'une attention que je savourais pleinement. - Le look skateur y'a rien de tel, et puis... ces longs cheveux blond...Victor mon mon ami, c'est parti... Il m'a tenu par l'épaule durant tout le trajet. Il m'a raconté une partie de son histoire, il étudiait chez lui par correspondance. Ces parents étaient partis à l'étranger. Il avait refusé de les suivre. Ils avaient acceptés qu'il reste seul et occupe ce petit appartement qui leurs appartenaient. Je me sentais bien à l'écouter. Je n'avais jamais rencontré quelqu'un d'aussi, libre, intéressant. Je me sentais existé. - Hamid ?...C'est quoi le temple ? - Nous y sommes... T'inquiète, rien de grave ne va t'arriver, que du bonheur. J'y veillerai. Nous étions devant un mur, percé d'une grande porte en bois sombre et d'une plus petite à laquelle Hamid sonna. Elle s'ouvrit, il nous présenta, nous entrâmes. Devant nous, un grand jardin avec des arbres, des buissons, des fleurs et derrière toute cette végétation, une belle et grande bâtisse avec des colonnes, comme un temple... Nous suivîmes une allée bordée de grosses bougies. En approchant on entendait de la musique, des rires, on distinguait des gens à l'intérieur baignée par une lumière douce. Il y en avait aussi sur la terrasse, d'autres qui se promenaient dans le jardin. Ils se retournaient pour nous saluer, certains...m'appelaient...Victor! - C'est pas possible, c'est qui ce Victor !? Ils ne m'ont jamais vu! - Ici, plus qu'ailleurs, tu es... Victor. - Merde Hamid, c'est quoi ce bordel ? - Du calme, laisse toi porter... Victor. Devient, pour cette nuit ou toute ta vie, celui qu'ils espèrent. Croit en l'histoire. Tu es bel et jeune ami, celui qu'ils veulent, admirer, devenir, ou simplement regarder !...Tu es si fin, si beau... Ca je le savais. On me l'avait suffisamment fait remarquer. Et alors, ma plastique ne m'évitait pas les errances, ni les questionnements communs. C'était juste facile à dire, une image. Je ne comprenais pas tout. Je n'osais pas faire de projections hasardeuses sur ce qui pouvait se passer. Tout cela me restait irréel. Cette grande maison en pleine ville, ce parc, tout ces gens, jeunes et plus âgés. Qui étaient-ils ? qu'avais-je à voir avec eux ? J'aurais voulu rester dans l'appartement d'Hamid, qu'il me parle, qu'il m'écoute que nous fassions vraiment connaissance. - Victor...Mon petit trésor, comme tu es...comme... ce chère Hamid nous l'avais promis... J'espère te croiser tout à l'heure, amuse-toi bien! Une femme d'une quarantaine d'années venait de me serrer dans ses bras comme si j'étais son fils prodige. Elle portait une robe courte et légère. Elle m'a bisé en effleurant mes lèvres. Elle s'est tournée vers Hamid. Il l'a embrassé à pleine bouche. J'étais stupéfait. Je me retrouvais, pétrifié, emplis de son parfum, de l'empreinte de son corps qui s'était pressé contre le mien. J'en n'ai ressenti, une sorte d'accélération, une tournure que prenaient les choses, qui m'échappaient. - Viens ! Entrons, Belle femme hein!...Victor ! Il me glissa à l'oreille que Mireille était la maîtresse de maison. qu'elle était à l'origine de ces fêtes! Nous pénétrâmes dans, ce qui m'apparut comme un décor, une vaste pièce, très haute de plafond, des fauteuils confortables, des banquettes, des lumières, un grand buffet, des gens qui se parlaient se rapprochaient, dansaient. Je sentais leurs regards sur nous, leurs sourires. Il y avait des jeunes gens qui apportaient, des verres, des petits fours. Ils évoluaient comme des danseurs, torses nus, simplement vêtus d'un pagne. J'ai bu, trop, grignoté, c'était délicieux. Hamid saluait plein de monde, me présentait. Tous, semblaient heureux. J'avais du mal à quitter des yeux les serveurs et les serveuses. Hamid m'étreignit. - Alors, on n'est pas bien, là !? C'est le paradis! Lui, c'est le peintre ! Hamid me désigna, un bel et grand homme aux longs cheveux blanc en pleine conversation avec un jeune type, qui s'agitait en lui secouant le bras. L'homme semblait manifestement à rassurer le jeune homme. J'ai pensé qu'Hamid avait perçu ma réaction face au tableau dans sa chambre. J'étais comme sur un bateau qui voguait sur des eaux étrangères. Embarqué sur une croisière qu'il me plaisait de faire, mais dont j'ignorais la destination. A tout bien considérer, Je n'étais pas en danger. J' avais la possibilité d'interrompre ce qu'Hamid m'avait, après tout, présenté comme une sorte de jeu. En fait, tout cela me ravissait, la maison, ces gens, l'ambiance, je me disais que je devais avoir une étoile bien inspirée pour me permettre de me retrouver dans un lieu pareil, j'avais de la chance. Je me suis dit, ne la boude pas ! Hamid ajouta comme pour me ferrer pour de bon, sachant avant moi ce que je désirais : - Il te voudra comme model, c'est sûr, il est très connu. Bon j'ai à faire. Je vais te confier à Anna, elle s'occupera, bien de toi... D'une main il me poussa en avant et me dirigea vers une merveilleuse jeune fille à laquelle, il me présenta : Victor... Anna, Anna... Victor. Légère, fine et belle : une vraie fée ! Elle portait une petite robe noire. C'était le genre de fille, que même plus grand je n'aurais jamais imaginer pouvoir approcher. Je me suis senti reprendre de la couleur, remettre en place nerveusement mes mèches blondes. Avant d'avoir pu réfléchir à quoi que ce soit, elle m'entraîna joyeusement dans le coin des danseurs, affichant un sourire plein et vrai d'encouragements. Elle se montra pressée de danser, de me tenir dans ces bras ou d'être tenue par les miens. je ne savais plus rien. J'étais un peu plus petit qu'elle. Mon visage arrivait à mi hauteur du sien. Je respirais son odeur, ses cheveux me chatouillaient agréablement. Je me laissais guider par ses pas, ils semblaient savoir, où m'emmener, me diriger. J'ai dû poser ma main droite sur son dos dénudé. Sensations nouvelles et vertigineuses, elle avait croisé ses mains autour de ma taille. Elle m'attirait doucement contre elle. Ca me cognait dans la tête, mon sang affluait de partout, je ne savais plus rien et je ne voulais plus rien savoir, juste me calmer et danser avec elle... longtemps. La danse lui permettait de me serrer contre elle, je sentais ses mains se promener le long de mon dos, sur mes épaules et même sur le bas de mes reins. Mon large pantalon ne les couvrait qu'à peine, elle devait même pouvoir apercevoir mon plus précieux boxer, en dessous de ma chemise de marque, ma préférée. Je m'abandonnais, je n'étais plus capable de penser, juste m'en remettre à ses pas. j'aimais ce qu'elle faisait. Son bas ventre, qui pesait, se frottait contre le mien. Je fermais les yeux, pour mieux en sentir le contact, si proche. Je me sentais fier, comblé d'être dans ses bras, danser sous ces lumières, dans cet endroit si extraordinaire. J'oubliais ce que j'avais bu, je me sentais, naître au monde. Je me suis dit, qu'être Victor avait du bon. Je me laissais gagner par l'enthousiasme contagieux de ma ravissante cavalière. Ma main osa se promener, comme la sienne, en plus sage, sur son dos que sa magnifique robe ne recouvrait pas en totalité. J'ai senti sa peau douce et chaude sous mes doigts. C'était comme un cadeau inespéré. Un truc auquel je n'étais pas préparé. Enfin si...mais, y être pour de vrai, j'avoue que... on m'aurait dit ça ce matin, je serais parti dans un grand éclat de rire. Bordel, sans que je m'y attende, nos bouches se trouvèrent, elle m'embrassa comme si c'était la chose la plus naturelle du monde. C'était ma première fois. j'ai sentis nos souffles et nos langues se mélanger, s'entremêler. la sienne, vive et téméraire parcourait mes lèvres. Sa bouche aspira ma langue. Je me suis retrouvé à bander, grave. J'étais heureux, au paradis. Je me demandais ce que fabriquais Hamid, en même temps, je m'en foutais. je n'osais rien dire qui aurait pu contrarier le chemin de plus en plus osé et direct que prenaient les mains de ma tendre et douce cavalière. A des endroits que je n'avais pas imaginé que l'on puisse me toucher. Dans un souffle, qu'elle avait manifestement à de la peine à contenir, elle m'invita à la suivre. - Viens, charmant cavalier... Elle m'entraîna, en me prenant la main. Nous montâmes d'un étage, elle ouvrit une porte. Il faisait noir. Elle me lâcha, je me suis senti abandonné. Deux appliques s'allumèrent de chaque coté d'un grand lit. J'aurais presque souhaité lui dire qu'après tout, je n'étais qu'un jeune garçon... plutôt inexpérimenté, que... nous ne nous, connaissions qu'à peine, malgré ces quelques danses lascives, pour... Merde, je ne contrôlais rien, la lumière, me semblait, trop forte. Oui, j'avais aimé être embrassé, caressé. Mais me retrouver dans une chambre à devoir me débrouiller, assurer. Je reprenais de vilaines couleurs et lissais sûrement mes longs cheveux blonds de façon mécanique et régulière. Ne sachant pas quelle attitude adopter. Anna s'approcha de moi et m'embrassa à nouveau, comme quand nous dansions. Le vif plaisir que j' en ai ressenti, fit s'envoler toutes les questions ou problèmes éthiques que pouvaient me poser la situation, un jeune garçon et une jeune femme. Je ne pouvais plus, me cacher derrière la musique et la danse. Je n'étais qu'une locomotive, pleine de vapeur. Elle défit lentement, les boutons de ma chemise fun et me caressa le torse, les épaules. Elle me touchait librement ma peau de jeune garçon excité, offert, soumis. Je respirais à peine. Incapable de penser. Dans peux de temps à ce rythme, j'allais vite me retrouver à poil. Une idée incroyable et improbable qui me fit bander comme un âne. A ma grande surprise, sans en ressentir de gène particulière. Elle était si douce, si inspirée. Elle me lécha. Elle commença par les oreilles, mon visage, mes épaules... Elle prenait son temps. Ma chemise tomba, ainsi que mon pantalon, qui glissa le long de mes jambes. Elle les caressa, mollets compris, comme des choses importantes et vitales. Elle louangea leurs perfections en passant et repassant ses mains tout du long. Elle finit par agripper et baisser lentement mon slip, dernier rempart qui couvrait encore ma jeune et inexpérimentée virilité. Le truc le pire qui pouvait se produire. Elle me fit lever alternativement mes jambes, qui flageolaient pour me libérer de tous mes vêtements. Elle s'écarta de moi, en s'extasiant sur la taille de ma bite. Difficile de la croire, de par mon jeune âge et l'absence de poils qu'on pouvait s'attendre à trouver à cet endroit. Je me suis inquiété. Je n'avais encore jamais envisagé, être, l'objet d'un regard si intéressé, si merveilleux. Je ne savais plus quoi faire, j'étais piègé, ni plus ni moins qu'un animal qui ne pouvait s'extraire des phares d'une voiture qui fonçait sur lui à vive allure. Anna fit glisser lentement sa robe le long de son corps parfait. Je ne savais plus rien, je devais avoir le regard vague, celui d'un jeune crétin ignare ! Elle s'approcha de moi à me toucher, contact chaud. je me retrouvais comme prisonnier dans une cage de caresses. Elle prenait manifestement beaucoup de plaisir à m'avoir pour elle, à sa disposition. Elle me complimenta sur mon corps, l'explorant sous toutes les coutures. J'étais flatté. D'autant qu'Anna est, comme on dit, très bandante. Je la touchais du bout des doigts par crainte d'interrompre l'exploration systématique quelle faisait de ma jeune et modeste personne. Ses mains allaient et venaient doucement, sa langue se mêlait au charivari de ses caresses manuelles. Elle gémissait en m'embrassant, m'attirait contre elle, peau contre peau, sa nudité splendide se confondant avec la mienne. Je triquais grave, sans plus savoir quoi faire, ni quoi dire. J 'observais, la regardais me caresser, me toucher, me lécher comme une relique en psalmodiant : - Victor tu es... c'est trop fort... j'en peux plus, touche moi.... Je me suis lâché, j'ai touché, caressé, pincé, pénétré des lieux que je ne pensais atteindre que beaucoup plus tard. Anna s'offrait à mes caresses. je doutais de leurs efficacités, mais, à la voir se tortiller comme un ver. Je me suis dit que je devais, m'y prendre assez bien. Je sentais sur ma main droite qui se promenait entre ses cuisses un liquide chaud. Elle s'y frottait, gémissait bruyamment, ça me gênait. Je retenais mes caresses. J'étais trop jeune pour savoir me démerder et agir en conséquence. Elle rouvrit ses yeux, me dévisagea le regard dans le vide, ce qui me paniqua. Elle se ressaisit et m'emmena dans la salle de bain attenante de la chambre. Provient_des_HISTOIRES_TABOUES = http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/ N'oubliez jamais que cela doit rester des fantasmes ... Forcer un enfant au sexe dans la vie réelle mérite la prison ! ------------------------------------------------------ Cette oeuvre reste la propriété de son auteur. Sauf si stipulé autrement, vous pouvez la republier sur un autre site gratuit à condition de ne rien modifier et de laisser les notices de début et de fin. ------------------------------------------------------