VACANCES A LA PLAGE () (MM/gf)

title: Vacances a la plage
part: Complete
keywords: MM/gf
language: Francais
age: 03 ans
published: 23/01/2002

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues' le 23 janvier 2002.
( http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/histoires/www/ ou http://go.to/histoires )

userid = Pedinc
auteur = Frank
email = 
titre = Vacances à la plage
codes = MMgf
age_fille = 3
age_garcon = 3
texte = Vacances à la plage.



C'était l'été dernier sur une plage du sud de la France. La journée était
étouffante. Nous avions parié sur une quelconque brise marine pour nous
rafraîchir, mais le pari était perdu. En avançant vers la mer, le sable était
brûlant sous nos pieds. Nous ? Il convient de nous présenter : une famille
française en vacances...... Mon épouse, Isabelle. 32 ans. Brune, élancée. La
peau déjà bien dorée par le soleil. Mon petit garçon, Pierre, 3 ans. Un
blondinet espiègle et joueur, tout en mouvements et sourires. Et moi-même,
Frank, 34 ans, cadre administratif en rupture de bans, fatigué par une année
professionnelle de galères.



Nous avions nos habitudes sur cette plage. Déjà une semaine à se dorer un
soleil omniprésent.....

Il y avait la foule habituelle d'août. Beaucoup de familles avec des enfants
qui courraient partout. Un peu en arrière, des jeunes faisaient un beach volley
en chahutant. Véronique repéra une place et nous l'indiqua. Nous marquâmes
notre nouveau territoire en installant nos nattes en paille. Pierre, après les
recommandations d'usage, couru à l'eau pour jouer à la lisière des vaguelettes.
Véronique le regarda faire, rassurée par le fait qu'il restait à proximité.
Puis s'allongea et, se saisissant du dernier roman la mode, se plongea dans sa
lecture. Pour ma part, je n'aimais pas lire sur la plage. J'avais juste acheté
le journal local pour y faire des mots croisés. J'aimais surtout regarder,
observer mon environnement. Pour être plus précis, voir de beaux corps, jeunes
et à peine voîlés par un bout de tissu. Sur ma gauche, il y avait une famille
nombreuse, entassée sous deux parasols. Les parents, un garçonnet
d'une dizaine d'année, une gamine de cinq ou six ans, et un bébé, en couches
jetables. Sur la droite, deux personnes âgées somnolant sur des chaises. Je fis
la grimace : rien à attendre de ce côté. Mais la gamine de gauche était
mignonne, en bikini sans haut, avec deux petites couettes. Mince et halée. Très
agréable à regarder. Le garçon disparaissait à moitié dans un trou fait dans le
sable, qu'il agrandissait avec célérité. Quant au bébé, 10 mois au plus,
j'attendais l'heure du change pour savoir si c'était un garçon ou une fille.

Car j'aime les enfants. Garçons et filles Oh, pas pour leur faire du mal, non.
Mais j'aime les regarder. J'apprécie leur grâce, leur beauté naturelle. Leur
petit corps lisse et doux. J'aime imaginer leur intimité dans un maillot de
bain qui, une fois mouillé, prend des formes très suggestives.

Voilà pourquoi j'aime les plages. Surtout fréquentées par des familles.

Et pour l'instant, celle située à ma gauche me ravissait. Le maillot de bain de
la gamine, d'un fuchia éclatant, était mal positionné et laissait entrevoir un
demi fesse nerveuse, plus pâle que le reste de son joli corps. Quant au garçon,
lorsqu'il se relevait, son slip de bain laissait entrevoir une bosse
prometteuse entre ses jambes musclées.

Et enfin, comble de bonheur, comme je le pressentais, la mère retira la couche
du bébé et le laissa tout nu sous la ceinture, pour faire prendre l'air et le
soleil à une partie trop souvent enfermée de son anatomie, révêlant ainsi un
superbe génitoire de petit garçon, bien développé pour son âge.

Toutefois, par goût naturel, je préfèrai reporter mon attention sur la fillette
qui, jambes écartées sur le sable chaud, jouait avec des ustensiles de plage.
De temps en temps, je jetai un regard sur Pierre, m'assurant que tout allait
bien pour lui.

Une heure s'écoula ainsi. Le bébé fut langé de nouveau, dissimulant ses charmes
sous une épaisse Pampers. Nous étions au plus chaud de l'après-midi. Sur ma
droite, les retraités plièrent bagage. Véronique avait rappelé Pierre, qui
jouait maintenant près de nous à monter sans réussite un château de sable.
J'avançais lentement dans mon mots croisés, jetant de fréquents regards sur les
ravissants enfants qui m'environnaient.

Là encore, je fut comblé par la chance, car la place laissée vacante fut
rapidement occupée par une très jeune femme et une fillette de 2 ou 3 ans.

La jeune femme devait avoir 18 ou 19 ans. Elle était vêtue d'un deux pièces
sobre, qui laissait néanmoins entrevoir de bien agréables perspectives. Elle
installa un ample drap de bain, et, sans façon, s'allongea, après avoir
disséminé autour d'elle les jouets en plastiques de la petite fille. Cette
dernière était adorable, vêtue d'un simple maillot de bain en tissu éponge
jaune. J'étais ravi, ne sachant où porter mon regard.

D'autant que Véronique, sans doute lassée de la médiocrité de son livre, se
leva et m'annonça qu'elle allait faire un tour dans les boutiques le long de la
plage. La connaissant, elle en aurait pour une bonne heure. Elle me laissa la
garde de Pierre, et, après une caresse complice, nous laissa.

La petite fille avait abandonné ses jouets et s'était assise sur le sable
humide, à la limite de l'eau. Elle poussa un petit cri de ravissement quand une
vague se portait plus loin que les autres et mouillait ses petites fesses et
son minou. La jeune fille la regardait alors, lui souriait et refermait les
yeux, s'abandonnant au soleil. Trop jeune pour être sa mère. Sa grande soeur ?
Une babysitter ? Je ne le saurai jamais, quoique quelque chose me fasse pencher
vers cette éventualité.

Au bout d'un moment, la petite fille revînt vers elle, le tissu éponge de son
maillot de bain mouillé par les vagues. Avec surprise et délectation, je vis la
jeune fille passer sa main sur le derrière du maillot de bain et, constatant
qu'il était mouillé, le baissa et le retira, laissant la gamine toute nue.
C'était fréquent de retirer aux plus jeunes leur maillot de bain mouillé pour
qu'ils ne prennent pas froid. Cela ne choquait personne. Et ne me contrariait
en aucune manière, vous le pensez bien !

La petite fille avait le postérieur un peu plus rouge du fait de l'eau de mer.
Son ventre plat et lisse. Et son Mont de Vénus proéminent, comme souvent chez
les fillettes de son âge, fendu en son centre par la jolie ouverture de son
petit sexe.

L'enfant s'était assise, cuisses bien écartées, pour jouer avec le sable.
Malheureusement pas vraiment dans ma direction , ce qui était frustrant.

Je ne regardais plus du tout la famille de gauche. L'enfant jouant était a à
peine trois mètres de moi. De temps en temps, elle se mettait debout, en se
mettant à quatre pattes et levant son petit derrière, me donnait une vue
étonnante d'érotisme sur sa fente enfantine.

Je n'avais plus d'yeux que pour elle, oubliant complètement mon environnement.

Je sentis bientôt un regard posé sur moi. Vous savez, ce sentiment venu d'on ne
sait où d'être observé avec acuité.....

Je vis alors que c'était la jeune fille qui la gardait qui m'observait ainsi.
Embarrassé, je détournai le regard..... pour me rendre compte que mon
insistance à regarder la fillette avait développé en moi une émotion qui
devenait bien visible sur le devant de mon slip de bain.....

Je posai négligemment mon journal, pour voiler mon érection devenue évidente,
tout en sachant qu'il était trop tard.



Je n'osais plus regarder de ce côté. Mon coeur battait fort, certain d'avoir
été percé à jour par la jeune fille. Mon sexe était revenu à sa taille de
repos, sous l'émotion. Des mouvements, sur ma droite. Peut-être pliaient-elles
bagage, écoeurées d'être placées à côté d'un pervers ? C'est le mieux qui
pouvait m'arriver.....

Au bout d'un moment, je jetai un regard furtif dans leur direction, et, émotion !

La fillette jouait de nouveau dans le sable, mais, cette fois, ses jambes
écartées s'ouvraient dans ma direction ! Ce qui plaçait sa petite fente imberbe
bien visible de ma place. Et la jeune fille me regardait avec insistance, en
souriant doucement ! Je ne savais pas quoi penser, confus que j'étais !

Néanmoins, je ne pouvais pas faire autrement que de regarder ce qui s'offrait à
mon regard, et, sous le journal, mon érection recommença.

J'avais du mal à appréhender la situation. Que voulait cette jeune fille, en
plaçant la gamine de cette façon. Car, sans nul doute, c'était elle qui avait
placé l'enfant de façon à me présenter le plus secret de ses charmes à mes
yeux. Cela dura quelques minutes, puis la jeune fille se leva et mis l'enfant
debout. La tournant de nouveau vers moi, elle fit mine de la débarrasser du
sable qui collait à son ventre en la brossant innocemment avec ses doigts. Puis
elle me regarda, et sa main descendit plus bas, balayant doucement son petit
sexe plusieurs reprises , en s'attardant un tout petit peu plus à chaque
passage sur la petite fente.

A ce spectacle, donné en toute évidence à mon intention, je devînt très dur.
Heureusement, le journal me dissimulait bien. La jeune fille, avec deux doigts,
écarta alors la petite fente, dévoilant le rose plus soutenu de l'intérieur, et
le petit pointement discret de son minuscule clitoris. Le tout sous le prétexte
de nettoyer la petite, ce qui, aux yeux de tous passait pour un innocent geste
d'hygiène. Enfin, après un dernier regard, accompagné d'un sourire, elle lui
prit la main et l'entraîna vers l'eau.

Elles s'engagèrent dans les vaguelettes jusqu'à ce que la gamine ait de l'eau
aux genoux, puis, prenant l'enfant contre elle, elle se tourna vers moi, de
façon à me présenter la petite fille de face, et prit de l'eau dans sa main.
Elle se pencha et se mit à rincer la petite fente avec l'eau, passant et
repassant sa main sur le sexe offert de la gamine. Aux yeux des gens, ce geste
innocent ne se remarquait pas. Mais moi, je savais. Et elle savait que je
savais. Pas une parole n'avait été échangée.

Après une dernière ablution, elles revînrent à leur serviette.



La petite fille fut de nouveau placée face à moi, cuisses bien écartées. Puis
la jeune fille s'allongea et me regarda, toujours souriante.



Rien ne se passa, pendant quelques minutes. Je jouissais du spectacle si
obligemment offert, mais je sentais que quelque chose était inachevé. La jeune
fille me regardait, semblant attendre. Mais attendre quoi ? Que pouvait elle
attendre, ici, sur cette plage bondée, de ma part ?

Son regard me quitta alors, pour se poser sur Pierre, qui jouait à mon côté.
Puis revînt à moi. Pour y rester un instant, et repartir sur mon garçonnet.
Quand elle regardait mon bambin, son sourire s'élargissait. Pour revenir sur
moi, insistant.

J'eus peur de comprendre. J'avais compris......

Et elle su que j'avais compris, et son sourire se fit charmeur.

J'avalai ma salive. Je lui souris à mon tour. Le prix à payer.

A ma grande honte, je dois avouer que cela m'excitait. Je me levai doucement et
m'agenouillai près de Pierre, qui, maladroitement, venait de gâcher un nouveau
pâté de sable. Je pris le seau et le plaçai entre ses jambes, pour dissimuler
son entrecuisse au vu de chacun. Puis, je puisai du sable dans ma main,
semblant l'aider à remplir son seau. Ma main toucha son petit sexe à
l'intérieur de son slip. Je m'y attardai, jouant avec, pour le faire
s'allonger, se durcir un peu. Puis, je relâchai, pris du sable, le mis dans le
seau, et ma main replongea entre ses jambes, agaçant ce petit bout qui, sous ma
caresse perverse, pris un peu de volume.

De l'extérieur, je n'étais qu'un papa jouant au sable avec son fils.

Je repassai ma main une dernière fois. Son petit zizi avait bien grandi, sans
être dur. L'enfant n'avait même pas protesté, tout à sa joie de jouer au sable
avec son père. Je le mis debout, et brossai ses cuisses du plat de la main,
mettant bien en évidence le devant de son maillot de bain, où l'emplacement de
son sexe était maintenant bien marqué et proéminent. Mon regard croisa celui de
la jeune fille qui me sourit, en guise d'encouragement.

Faisant mine de remarquer l'humidité de son maillot de bain, je glissai mes
pouce de chaque côté de l'élastique du ventre du vêtement léger, et, tout
naturellement, le baissai, et le retirai. Comme un bon papa attentif.

Je le laissai un moment tout nu, face à la jeune fille, qui avait le regard
maintenant fixé sur l'intimité de mon petit. Son mignon petit sexe était à demi
gonflé. Non circoncis, son prépuce recouvrait complètement le gland, et se
terminait en pointe. Deux petites couillettes serrées complétaient le tableau.

Puis, une inspiration. Je ramassai une pelle en plastique, et lui demandai de
l'apporter à la jeune fille. Ce que fit Pierre, obéissant.

La jeune fille l'accueilli gentiment, et prit la pelle, et pu ainsi avoir un
regard bien rapproché du sexe de mon gamin. Elle sortit un biscuit de son sac,
et le lui donna, prolongeant ainsi sa présence à côté d'elle. Allongée sur son
drap de bain, posée sur un coude, elle avait le visage, la bouche tout près du
petit oiseau innocent du garçonnet. Cela sembla durer une éternité. Puis Pierre
revînt près de moi, brandissant son biscuit victorieusement, son petit zizi
toujours un peu enflé ballottant de droite et de gauche.

Je l'incitai à aller jouer avec la petite fille.

Et bientôt, j'eus sous les yeux le mignon spectacle des deux petits jouant tout
nus dans le sable.



Je fus bientôt interrompu dans ma contemplation par le retour de mon épouse.

Elle nous apportait à chacun une glace. Elle s'étonna à peine de trouver Pierre
tout nu. Je lui expliquai que son maillot de bain était mouillé et plein de
sable.

Mon épouse n'y trouva rien à redire, et nous laissâmes Pierre s'amuser tout
naturellement le reste de l'après-midi, les fesses bien à l'air.

Peu de temps après le retour de mon épouse, la jeune fille se leva et remit à
la fillette son maillot de bain.

Puis, sans un regard vers nous, reprit ses affaires et quitta la plage, donnant
la main à la gamine.



Le lendemain, je m'arrangeai pour revenir au même endroit, vers la même heure.
Elles ne vînrent pas.

Pas plus le surlendemain, ni le reste des vacances. Ma femme s'inquiéta de mon
soudain intérêt pour la plage, moi qui n'en étais pas amateur à ce point. Je me
contentai de lui sourire.



Je ne revis jamais ni la jeune fille ni la gamine. N'étaient-elles que de
passage ? Pas un mot ne fut échangé entre nous.....

Cela reste pour moi un mystère. Un mystère charmant et éphémère.... Comme des
vacances à la plage.......


Frank


Merci de me dire ce que vous pensez de cette histoire, et si vous en voulez
d'autres.

Bien-sûr, tout ceci n'est qu'une fiction, et n'est dû qu'à une imagination
malade et dépravée.

d82360@yahoo.fr



þ Ceci provient du site gratuit des HISTOIRES TABOUES créé en 1999 par Pedinc.

http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/histoires/www/  ou  http://go.to/histoires

Vous y trouverez la plus grande collection d'histoires en français sur le sujet.

N'oubliez jamais que cela doit rester des fantasmes ...
Forcer un enfant au sexe dans la vie réelle mérite la prison !

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