POURQUOI JE SUIS CONTENT DE RENTRER CHEZ MOI (par S.o.S)
(traduit de l'anglais)

title: Pourquoi je suis content de rentrer chez moi
part: Complete
author: S.o.S
language: Francais
age: 05 ans
published: 27/04/2000


« Bienvenue à la maison, papa. Je suis si contente de te voir. Tu viens
 me faire un calin ? » C’est en gros ce qui m’attend quand je rentre à la
 maison après mon travail, tous les jours en fin d’après midi ; ma petite
 sœur Julie. Bon, je vois ce que vous êtes en train de vous dire.
 Pourquoi ma sœur m’appelle-t-elle papa ? C’est simple. Son père avait
 emmené ma mère à une fête, où tout le monde avait bu et se donnait un
 sacré bon temps. Récemment divorcée à l’époque, ma maman désespérait de
 trouver un homme, n’importe lequel, qui aurait pu s’occuper de moi et de
 ma sœur, alors encore toute petite.
 Sur le chemin du retour, et il était long, maman avait entrepris de
 tailler une pipe à celui-qui-était-presque mon beau-père, et au moment
 où celui-ci avait joui, il avait perdu le contrôle de la voiture. Ils
 avaient alors traversé le terre-plein central et étaient morts en 
 s'écrasant contre les véhicules qui arrivaient en sens inverses,
 particulièrement un énorme camion.
 J’avais 15 ans à l’époque et ma tante s’offrit pour prendre de soin de
 ma petite sœur et de moi.
 Après le lycée, quand j’eu passé le baccalauréat, j’ai décroché un
 travail qui me plaisait, ma tante se mit à venir de moins en moins, et à
 reprendre petit à petit les activités qu’elle avait auparavant.
 Aujourd’hui, ni elle, ni aucun de mes parents ne viennent plus nous
 voir, ce qui m’a laissé toute latitude pour transformer la petite Julie
 en cette formidable machine à sucer les bites qu’elle est maintenant.
 En fait, j’ai commencé à jouer avec ma petite sœur quand elle portait
 encore des couches. Je lui donnais un biberon de quelque chose et je
 sortais mon pénis. Elle jouait avec un moment, et puis, quand il était
 dur, se mettait à le sucer comme un hochet. Je crois que je n’ai jamais
 donné de hochet à Julie après qu’elle eut 2 ans. Elle et moi, je crois
 qu’on préférait quand je lui donnais mon pénis à la place.
 Tout le temps que j’ai passé au lycée, je n’ai jamais ressenti le besoin
 d’avoir une petite amie. Ca aurait voulu dire aller à des rendez-vous,
 et faire semblant d’être gentil comme font tous les garçons quand ils
 veulent se faire une fille. Je n’avais pas vraiment envie de m’investir
 dans toutes ces conneries, et j’avais décidé de plutôt persévérer avec
 ma sœur que j’avais si bien entraînée à sucer depuis le plus jeune âge.
 Voyons que je vous raconte comment se passe une de mes journées.
 Je travaille dans une société qui fait du support technique en
 informatique, qui n’a pas énormément de clients, mais qui paie plutôt
 bien. De 9h à 14h, je fais des trucs en ligne pour quelqu’un qui ne sait
 pas démarrer Windows (Allume ton ordinateur, crétin !). Ensuite, un bon
 déjeuner quelque part (je me nourris très bien avec ce que je fais.
 L’assurance paie pour la maison et les charges. Je travaille juste pour
 l’argent de poche). Et le moment que je préfère dans la journée, c’est
 quand je rentre à la maison pour me retrouver avec ma sœur. C’est donc
 généralement en début d’après midi que je reviens. Le bus qui la ramène
 de l’école maternelle est sur le point d’arriver, ou alors elle. est
 déjà là. Je pénètre à l’intérieur de la maison, et on commence à se
 déshabiller, avant de monter prendre un bain ensemble dans la grande
 salle de bain de mes parents. Depuis qu’ils ne sont plus là, je me suis
 installé dans leur chambre.
 D’habitude, Julie me raconte sa journée à l’école, et m’aide à bien me
 laver partout. Après, c’est mon tour. J’adore voir son mignon petit
 corps. C’est la plus belle chose que j’ai jamais vue, et je ne peux
 guère attendre avant de la baiser. Elle m’a laissé la branler avec un
 doigt depuis des mois, et maintenant sa chatte commence à être chaque
 jour plus facile à pénétrer. Une fois le bain terminé, on s’entoure de
 serviettes et je l’emmène jusqu’au lit pour la sécher. Ca arrive qu’en
 route, soit je lui suce la chatte, soit elle me suce la bite.
 Un jour, elle était agenouillée entre mes jambes, pendant que j’étais
 assis au bord du lit à regarder ma queue entrer et sortir de sa bouche
 quand elle a demandé « Papa, est-ce que Corinne pourrait venir dormir à
 la maison Vendredi ? C’est moi qui ferais le lit et qui rangerais mes
 jouets, je te promets, Papa. Alors ? »
 Et je m’en souvenais bien de la petite Corinne, la copine d’école de
 Julie, qui habitait en bas de la rue. Elles se promenaient tout le temps
 ensemble toutes les deux, et il y a environ une semaine de ça, j’avais
 laissé Julie l’inviter à la maison. Julie s’était déshabillé sans se
 gêner devant elle, puis s’était agenouillée devant le fauteuil où
 j’étais assis et avait commencé à me sucer la bite devant son amie de 5
 ans. Dieu merci, la gosse ne s’était pas mise à hurler, ni à appeler la
 police, ou pire encore, ses parents. Moi, j’étais assez absorbé par le
 petit service que Julie était en train de me rendre, alors je restais
 juste assis là, en espérant que Corinne rejoindrait ma petite sœur. Et
 c’est bien ce qu’elle a fini par faire, en commençant par retirer son
 pyjama, et puis en se laissant donner des leçons de suçage de bite par
 sa copine, qui m’utilisait comme ustensile pédagogique.
 Je crois bien me souvenir que Corinne a appris plus que juste tailler
 des pipes cette nuit là. Julie avait voulu que je leur mette un doigt à
 toutes les deux, puis que je fasse un 69 avec chacune, puis que je leur
 montre comment elle pouvaient faire pour s’en faire un entre elles.
 Julie n’était toujours pas fatiguée, mais toujours désireuse de faire
 l’éducation de son amie, et toujours excitée. Elle s’assit sur ma queue
 et commença à me chevaucher en donnant des signes évidents de plaisir,
 de telle sorte que Corinne fut très intéressée et voulut essayer à son
 tour. J’hésitais à pénétrer la gosse sans « entraînement », comme je
 l’avais fait pendant des mois avec ma sœur. Corinne n’aima pas la
 douleur qu’elle commença par sentir, mais elle commença à apprécier ce
 qu’elle sentit après environ dix minutes.
 Quand nous avons arrêté, Corinne me dit combien elle avait aimé et me
 demanda quand est-ce que l’on pourrait recommencer. Cette nuit, le
 nombre de mes esclaves sexuels des jardins d’enfants était passé à deux.
 
Aujourd’hui, j’ai tout un fan-club d’une dizaine de gamins qui viennent
 passer la nuit à la maison, juste pour pouvoir se faire mettre ma bite
 quelque part. C’est incroyable, et je ne comprend toujours pas comment
 les choses ont put tourner aussi bien que ça pour moi. Mais je ne veux
 pas forcer ma chance. J’aime les choses comme elles sont, et c’est tout.
 
J’ai dit : « D’accord ma chérie. Tu as été sage cette semaine, pas vrai
 ? Alors Corinne pourra venir dormir ce weekend »
 Elle m’a répondu « Merci papa ! » en embrassant ma bite. « J’aime ton
 zizi papa. Il est si beau et il est tellement bon. » Elle continuait de
 parler, en m’embrassant, ou en me suçotant entre deux phrases. « Je
 t’aime papa, j’aime quand tu me laisse te sucer. Est-ce que je peux
 m’asseoir dessus maintenant ? J’aime bien quand on fait ça, quand je le
 sens dans moi. Allez papa, on peut ? »
 Et voilà que ma petite sœur me grimpe dessus, vient s’agenouiller
 au-dessus de moi, en écartant les cuisses comme un animal, en murmurant
 mon nom, et en m’implorant de ne pas arrêter, jusqu’à ce que nous
 jouissions tous les deux longuement. Après, on se met en position de 69,
 pour qu’elle puisse me nettoyer la bite et que je lui nettoie sa
 mignonne petite fente.
 J’adore aussi les trous des petites amis qu’elles me ramène quelques
 fois de l’école. Je crois sincèrement que les fentes des petites filles
 sont les meilleures de monde. Vous pouvez en manger et en baiser 24/24h,
 7/7j, et en redemander encore. Jamais on n’en a assez, même si, comme
 moi, on a la chance de pouvoir en consommer un bon paquet tous les
 jours.
 

 

þ Ceci provient du site gratuit des HISTOIRES TABOUES créé en 1999 par Pedinc.

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