NOTRE PERE A ETE ARRETE (par Anne) (f/f, M/f, histoire vraie)

title: Notre pere a ete arrête
part: Complete
author: Anne
keywords: f/f, M/f
language: Francais
age: 12 ans
published: 04/10/2000

Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues' le 2 oct 2000.



      Ma mère est décédée dans un accident de voiture quand
j'avais cinq ans. J'ai été élevée par mon père et sa
seconde épouse, une femme beaucoup plus jeune mais rarement
là et avec qui je n'ai jamais eu d'affinités. Mon père
avait un poste important à la direction de Thomson. Ma
soeur et moi avons eu en apparence d'une enfance dorée.
Matériellement, nous ne manquions effectivement de rien.
      L'été de mes 14 ans, mon père m'a prise à part. Il m'a
parlé de masturbation et des jeux que les filles ont
parfois entre elles à l'adolescence. Je ne devais pas
m'inquiéter si j'avais déjà fait ce genre de choses, disait
il. Il expliqua que je devais poursuivre si j'en avais
envie. Je devais simplement n'en parler à personne. Je me
souvenais avoir regardé la vulve de ma petite soeur avec
curiosité. Nous avions même eu quelques attouchements,
comme la plupart des pré adolescentes. Selon mon père, cela
signifiait qu'au fond de moi j'avais envie d'aller plus
loin. Il m'a donné un magazine montrant des adolescentes en
pleins ébats lesbiens. J'étais stupéfaite et génée. Mais
mon père semblait savoir de quoi il parlait. Cette
discussion m'a profondément perturbée.
      Ma soeur et moi dormions dans la même chambre. Une nuit je
me suis glissée dans son lit. Nous avons d'abord discuté de
notre sujet favori, les garçons, puis je l'ai convaincue de
se caresser. Elle avait trois ans de moins que moi, ce qui
me donnait un ascendant suffisant. C'était la première fois
que je la voyais faire. J'en retirai une impression
ambigue, pas franchement désagréable.
      Par un étrange concours de circonstances, mon père a
discuté à nouveau avec moi quelques jours plus tard. Il a
su me mettre en confiance, je lui ai raconté ce que j'avais
fait avec Carole. Il m'a encouragée à aller plus loin.
Quelques nuits plus tard, j'ai suivi son conseil.
      Les mois suivants, mon père m'a poussée de plus en plus
loin dans une relation incestueuse avec Carole. A mes
timides expériences nocturnes, il répondait par des
encouragements à surmonter mes inhibitions. Plus je me
laisserai aller, plus ce serait agréable, disait il.
      Au bout d'un an, mon père a commencé à assister à nos
étreintes. Cela se passait le soir quand notre belle mère
était absente. Il a apporté de curieuses idées de mise en
scène. Je mesurais déjà un mètre soixante cinq et j'avais
une forte poitrine, ce qui me donnait une silhouette de
femme. A 12 ans, Carole était petite et avait encore un
corps d'enfant. Je mettais une robe ou un tailleur pris
dans la garde robe de ma belle mère. Ma soeur mettait une
tenue d'écolière achetée pour l'occasion. Notre père nous
faisait jouer des scénettes "mère-fille". Je demandais à
Carole de ranger sa chambre, la félicitais ou la
réprimandais, je me tenais à ses côtés pendant qu'elle
faisait semblant de faire des devoirs. Carole m'appelait
Maman. Elle jouait le jeu, cela nous amusait. Ensuite nous
enlevions nos vêtements et nous flirtions. Notre père nous
avait fait voir des scènes lesbiennes de cassettes X. Nous
nous efforcions d'imiter les gestes et les attitudes des
actrices. Notre père nous regardait, assis au fond de la
chambre. Il ne nous a jamais touchées. Quand il nous
expliquait que notre "jeu" devaient absolument rester
secret, je me sentais de son côté. Je savais que ce que
nous faisions n'était pas accepté par la société. A mes
yeux, les lois qui pouvaient menacer mon père étaient nos
ennemies. Comme n'importe quelle fille de cet âge, j'avais
besoin de mon père.
      Après quelques "représentations", son intérêt pour tout
cela a faibli. Les séances de jeu se sont espacées puis ont
cessé.
      Carole et moi sommes restées des amantes épisodiques tout
en devenant des adeptes des Poppers. Les Poppers sont des
ampoules de gaz. Elles provoquent un tachycardie et
décuplent la sensibilité des parties génitales. Au bon
moment, on brise l'ampoule et on inhale le gaz . C'est
interdit à la vente en France mais notre père se
fournissait en Angleterre. Sur le "conseil" de mon père,
j'ai initiée Carole aux Poppers. J'en prenais moi même.
Aprés quinze minutes de flirt ou rapport sexuel avec
Carole, j'atteignais le bon stade d'excitation pour prendre
un ou deux Poppers et me masturber comme une folle. Je
n'avais jamais eu des orgasmes aussi intenses. Carole
adorait ça elle aussi. Un jour, elle m'avoua qu'elle
prenait des Poppers seule.
      Aprés le bac, j'ai eu ma première vraie relation avec un
garçon. J'aimais faire l'amour avec lui. Mais le plaisir
n'atteignait jamais en intensité le quart de ce que
j'éprouvais avec les Poppers. Cela commenceait à me
préoccuper. J'ai été acceptée dans une école de commerce à
prépa intégrée à Paris. J'avais une studette dans la
résidence des étudiantes. Aux vacances de février, je suis
rentrée à la maison.
      Carole partait à la dérive. Elle venait de se faire
renvoyer pour la deuxième fois d'un lycée. Notre père
fermait les yeux et lui donnait tout l'argent de poche
qu'elle voulait. Elle invitait parfois des copines
douteuses à dormir à la maison. A 16 ans, Carole était
accro aux Poppers et à d'autres substances que lui
procuraient ses nouvelles amies. Je devinais l'influence de
mon père derrière tout cela. Je me suis dit lachement que
je ne pouvais rien faire.

      Notre père a été arrété l'année où je terminais mes études.
Il faisait partie d'un réseau où s'échangeaient des photos
et des vidéos en France et en Belgique. On y voyait des
enfants et des adolescentes s'adonner à des pratiques
sexuelles variées. Dès le départ, les encouragements que
mon père m'avait prodigués étaient motivés par une caméra
dissimulée derrière une grille de climatisation de notre
chambre. Lors d'une perquisition, la police a retrouvé des
tas de cassettes de mes ébats avec Carole et de petites
drogue party-partouzes qu'elle faisait avec ses trois ou
quatre copines. Des films qui avaient sans doute fait la
joie de nombreux amateurs. Carole sortait de sa deuxième
cure de désintoxication. Elle fit une tentative de suicide.

      Notre père fut condamné à neuf ans de prison. Ma soeur et
moi avons changé de nom de famille. Nous avons plus jamais
eu le moindre contact avec notre père.
Sans diplome ni argent, Carole est partie vivre dans une
communauté à San Francisco et je n'ai plus eu de nouvelles.
Aprés cinq ans de thérapie, et grâce au soutien d'un mari
aimant et compréhensif, j'ai surmonté le fardeau de
culpabilité et de haine qui a pesé sur mes épaules durant
l'essentiel de ma vie adulte. Mais c'est le fait de voir ma
soeur retrouver le chemin du bonheur qui a été le remède
décisif.
      Carole est rentrée en France l'an dernier. Elle a
définitivement décroché de la drogue et vit avec le
chanteur du plus mauvais groupe de rock que j'ai jamais
entendu. En tant que manager du groupe, elle a acquis un
talent précieux : m'extorquer des sommes scandaleuses.
Quand je l'écoute faire des projets de tournées ou se
moquer avec tendresse de la voix de fausset de son
compagnon, je sais que les heures sombres appartiennent au
passé, que nous allons pouvoir oublier nos vieux démons et
enfin être heureuses.


 

þ Ceci provient du site gratuit des HISTOIRES TABOUES créé en 1999 par Pedinc.

http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/histoires/www/  ou  http://go.to/histoires

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N'oubliez jamais que cela doit rester des fantasmes ...
Forcer un enfant au sexe dans la vie réelle mérite la prison !

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