Histoire envoyée à notre site des 'Histoires Taboues'. ( http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/ ou http://go.to/histoires ) Toutes nos histoires sont purement imaginaires. Toute ressemblance avec une personne vivante ou morte ne serait que coincidence. author = Theodora mail = d823360@yahoo.fr mail_publique = Oui title = Une maman attentionnée (version 2004) keywords = FFF/b/ggg pedo/WS/femdom language = Francais age_fille = 1 age_garcon = 4 published = / /200. message_PERSO = J'ai réécris cette histoire, publiée en 2002. Elle a été totalement repensée. j'espère qu'elle vous plaira, et qu'elle provoquera des réactions. Amicalement (et bravo pour votre travail) Frank et Theodora texte = Une maman attentionnée (version 2004) Par : Theodora Cela se passait à la fin des années 50. Mon petit garçon, Robert, avait 4 ans à l'époque. Il souffrait depuis la naissance d'un phimosis sévère, qui le gênait de plus en plus. Comme il se mouillait toujours la nuit, son urine macérait dans ses couches en tissu et provoquait à son petit sexe des irritations au niveau de son petit gland, totalement emprisonné par un prépuce très long et à peine ouvert, qui était rouge presque en permanence. Lors de sa toilette matinale, j'essayais bien de le décalotter tout doucement, mais, visiblement, même mes gestes les plus doux le faisaient souffrir. De plus, son petit sexe, hypersensible, se durçissait au moindre contact, ce qui augmentait le tension sur son prépuce et aggravait les choses. Le médecin, consulté, ne voyait comme seule issue que la circoncision. Solution que je refusais, y voyant là une amputation de son intégrité physique. Pendant la journée, il portait la plupart du temps une barboteuse. Ce vêtement, très à la mode chez les petits à l'époque, était très large sous la ceinture, bien bouffant, avec des élastiques qui fermaient les jambes, en haut des cuisses. A l'intérieur de la barboteuse, taillée pour y mettre des couches, je ne lui mettais pas de petite culotte, pour réduire les frictions avec son petit robinet. Au fil du temps, le problème ne faisait que s'aggraver. Chaque matin, je nettoyais le mieux que je pouvais un petit pénis gonflé et rouge. Robert, allongé tout nu sur la table de change, qui devenait trop petite pour lui, s'abandonnait avec résignation à mes soins.Un jour, j’en parlai à Odile, l’une de mes amies, en lui confiant ma résignation de devoir en passer par une opération. Mon amie, attentive à mon embarras, réfléchit longuement, avant de lâcher, presque à regret : « As-tu quelque chose de prévu jeudi prochain, en début d’après-midi ? - Non, je ne pense pas…. - Alors viens passer un moment à la maison. J’ai invité une amie. Nous en parlerons, et peut-être trouverons nous une autre solution. - Tu crois vraiment… ? » Mystérieuse, elle me sourit, avant de répondre : « Tu verras bien…… » Le jeudi, il faisait une chaleur étouffante. Je mis le bébé dans la poussette, et, Robert à mon côté, nous cheminâmes à travers les petites rues jusqu’à la maison de mon amie. Je la trouvai attablée avec ses amies, dans la vaste salle à manger, havre de fraîcheur dans la canicule. Odile, fit brièvement les présentations à Evelyne, accorte jeune femme d’une trentaine d’années, vêtue d’une petite robe d’été en vichy bleu. Je posai le bébé dans le parc que mon amie avait préparé à son intention. Quant à mon Robert, il avait déjà disparu dans le jardin, à la recherche des deux filles de mon amie, qui avaient 3 et 6 ans. Odile nous servit un verre d’alcool de sa fabrication, à base de pêches et de cerises. C’était très frais, et j’avais si chaud….. Je fis claquer ma langue de satisfaction. Sans façon, Odile remplit de nouveau généreusement nos verres. Puis nous devisâmes gaiement. Odile et moi, affublées de maris trop souvent absents du fait de leur travail, nous retrouvions souvent pour tromper de longs après-midi d’ennui. Robert jouait avec ses deux filles. Je ne connaissais pas Evelyne, célibataire endurçie, grande voyageuse, et, accessoirement, psychiatre à Lyon. J’étais subjuguée par sa faconde, son aisance, et sa liberté de pensée. Elle avait des idées sur tout. Et la liqueur de pêche était si fraîche…. A un moment, Evelyne se pencha vers nous, et, baissant la voix, sur le ton de la confidence, lança : « Et si tu nous parlais du petit problème de ton gamin ? » Je me sentais en confiance auprès de cette femme de caractère. Je lui exposai longuement ma difficulté d’avoir recours à la chirurgie. Elle m’écouta avec attention, me faisant préciser certains points, de plus en plus intimes. Odile intervenait rarement, se contentant de hocher la tête de temps à autre. Je crois que nous étions toutes les deux sous le charme. Aussi, lorsque elle commença à m’interroger sur mon petit garçon, je répondis sans hésitation : « Vous dites qu’il se mouille encore la nuit ? - oui, bien qu’il ait quatre ans….. - Comment est-il langé ? - Oh, très simplement… Une couche en tissu, et une culotte plastique par dessus….. - Culotte de pyjama ? - Oui, bien sûr. - Il se mouille beaucoup ? » J’eus un soupir. « Je trouve, oui…… - Des fuites ? Draps mouillés ? - De temps en temps…… » Elle me sourit. « Cela doit vous donner bien du travail…. Je serais de vous, je supprimerais la culotte de pyjama…. Inutile, si elle doit être lavée si souvent….. Laissez-le en couche apparente. Cela ne gênera personne….. Quant au change, c’est vous qui vous en chargez ? - Oui, bien sûr. - Sur le lit ? Ou une table de change pour bébé ? Peut-être est-il trop grand…. ? - Nnnnon…. Cela m’arrive sur le lit, mais j’aime bien le faire sur une table de change. - Pourquoi ? » J’hésitai…… Puis : « C’est plus pratique je pense….. - Plus pratique ? - Oui…… L’enfant est au bon niveau….. - Assez haut, c’est cela ? - Oui, tout à fait…. - Il est plus facile à nettoyer. - Oui, oui, bien sûr. - Ses organes génitaux sont plus accessibles pour les soins, les diverses manipulations nécessaires à l’hygiène. C’est cela, n’est-ce-pas ? - Oui, oui. Vous avez raison…. » J’observai un silence gêné. Qui ne passa pas inaperçu. Doucement, Evelyne me questionna : « Il y a autre chose, n’est-ce-pas ? » Comme une digue qui se rompt, comme pour une catharsis, je lâchai, détachant bien chaque mot : « Quand je lui soulève sa couche mouillée, sa bibiche est souvent toute dure….. - Cela vous gêne ? - Nnnnonnn…. Enfin… Oui, un peu…. - Vous êtes bien obligée de le toucher à cet endroit, pour le laver… A moins que vous attendiez que cela se passe en le laissant patienter tout nu sur la table de change…. - Non… Non… Je le touche…… - Racontez-moi….. - Je ne peux pas….. - Pourquoi ? - C’est trop…. Intime…… - Je vais vous aider. Arrêtez-moi si je m’égare….. Sur la table de change, vous lui retirez sa couche mouillée… Sa petite bibiche est toute raide….. Vous lui écartez bien les cuisses…. Pour mieux voir…. Puis vous commencez à laver son petit oiseau. Délicatement. Tout doucement…. Vous aimez cela, n’est-ce-pas ? - Oui…. Vous avez raison. - -Vous aimez manipuler, jouer avec sa petite érection de bébé. - Oui dis-je dans un souffle - Vous êtes déçue lorsque, en soulevant sa couche, vous ne découvrez qu’un tout petit sexe minuscule et doux. - Oui… - Alors, vous faites, en le levant, ce qu’il faut pour ne pas être déçue, n’est-ce-pas ? - Oui… - Comment faites-vous , vous passez votre main plusieurs fois entre ses cuisses, ? En appuyant là où il faut ? Ou bien vous glissez votre doigt sous l’élastique de la jambe de la culotte plastique, et l’enfonçai sous les couches mouillées… bien plus loin, bien plus longtemps que nécessaire….. - J’utilise le doigt, lâchai-je en un soupir…. - Vous lui parlez ? Bébé ? - Oui… - Que lui dites vous ? - Je lui demande de bien mouiller sa couche… De faire encore pipi avant le change….» Satisfaite, elle se releva un peu, en souriant. « N’ayez aucune honte. Vous n’imaginez pas le nombre de maman qui s’amusent de cette façon. Les bébés, et encore plus les garçons, nourrissent leur sexualité future avec des câlins de cette nature. Un enfant privé de caresses intimes sera un handicapé du plaisir, plus tard. » Je me sentais plus légère. Cette femme avait tout compris. Je savais pouvoir lui faire confiance. Elle reprit la parole, semblant réfléchir tout haut : « Je pense pouvoir faire quelque chose pour vous. Tout ce que vous me dites me conforme dans cette opinion. Et, après ce que vous venez de me révèler, je sais que vous serez capable de faire le nécessaire. Et si le port de couches mouillées plaît sexuellement à votre petit garçon, c’est un élément à ne pas négliger. Mais allons plus loin. Est-ce la seule occasion où vous avez pu noter chez lui une émotion sexuelle ? C’est plus facile à voir chez un petit garçon que chez une petite fille. Et je vous devine observatrice à ce sujet. » Je décidai d’être franche. Franche avec une femme que je ne connaissais pas une heure auparavant….. « Si, quelquefois dans son bain, quand je le lave. Mais aussi quand je change sa petite sœur, et qu’il la voit toute nue…. - Comment vous en apercevez-vous, puisque vous m’avez dit tout à l’heure qu’il était souvent en barboteuse. » Je pris l’air d’une petite fille prise la main dans le pot à bonbons. « Quelquefois, quand il fait chaud… Et que nous sommes entre nous, sans peur d'être dérangés.... - oui ? - Je ne lui mets pas toujours de barboteuse. - Vous le laissez tout nu ? - Oui……. - C’est tout à fait normal, vous savez. Il n’a que 4 ans…… Ce n’est encore qu’un grand bébé. Et vous aimez le voir jouer tout nu…… - Oui (dans un souffle) - Et quand vous retirez la couche de sa petite sœur, il regarde ? - Je ne cherche pas à l’écarter…… - Et il a des érections ? - Oui. - Vous attendez ses érections ? Vous les espérez ? - Oui. - Le change de la petite sœur n’est pas fortuit ? N’est-ce-pas ? - Non. Quand je prévois de la changer, je le fais venir. - Le change de la petite fille dure longtemps, n’est-ce-pas ? Pour qu’il voit bien…. Toute son intimité….. - Oui, vous avez raison. - Quand il regarde sa fente… Que vous lui écartez, n’est-ce pas ? Est-ce qu’il se touche le sexe ? - Oui, il le prend dans sa main, et il serre…. - Vous l’avez observé ? - Oui. - Il se masturbe ? - Non… Pas vraiment… Il se tripote, c’est tout….. » J’étais gênée par cette révélation. Odile s’en aperçu et prit la parole. Et ce qu’elle me dit me stupéfia : « Nos petits sont des êtres sensuels. Ils n’est pas étonnant qu’ils cherchent à se faire du bien. Même maladroitement, quand ils sont très jeunes. J’ai gardé mon petit neveu de 18 mois il y a un an. Il est resté plusieurs jours à la maison. Un matin que le changeais, il m’a pris une pulsion subite. Il était si…choux….. J’ai pris sa main, et je l’ai porté à son sexe. Toujours tenant sa main, j’ai caressé ses organes génitaux avec. Je l’ai lâché. Il reprit sa main et suça son pouce. J‘ai repris sa main et lai ramené à son petit sexe, l’incitant à jouer avec. Plusieurs fois, je ramenai sa main sur son zizi. Jusqu’au moment où il compris l’intérêt de la chose, et sa main resta à tripoter son petit oiseau qui se durçi tout plein. Depuis ce matin là, la première chose qu’il fit dès que sa couche était retirée, était de se toucher sexuellement. Il était incapable de se masturber vraiment, mais cela devait éveiller en lui des sensations certainement agréables. Et je le laissais le plus souvent tout nu à la maison pour qu’il ait un libre accès à son petit sexe. « J’étais comme assommée par cette révélation. Mon amie… Que je croyais connaître….. Je la regardai, ébahie….. Evelyne reprit la parole. « C’est bien mignon, ce que tu nous racontes……. Mais cela nous éloigne de notre sujet : Robert, et son phymosis. Je suis maintenant persuadée qu’il y a une solution. Elle ne peut réussir qu’à plusieurs conditions. Je sais que vous allez être gênée, mais écoutez bien…… Elle me donna tous les détails. J’en avais chaud. Mon sexe aussi était chaud et humide….. Evelyne termina son exposé en souriant. « Vous verrez : si vous vous y prenez ainsi, vous en serez très satisfaite….. » C’est à ce moment là que Robert choisi de revenir, en courant, riant, chantant. Nous le regardâmes en souriant. Mais mon regard sur lui avait-il changé ? Je ne lui avais mis, ce jour là, étant donné la chaleur, qu’un tee-shirt, un maillot de bain et des sandalettes en plastique. Je regardai mes deux amies. Leur regard convergeaient vers mon petit ….. Je me surpris à penser : son petit sexe fait une jolie bosse sur le devant du maillot de bain…. J’avais de plus en plus chaud entre les jambes. La température était caniculaire…. Odile passa lentement sa langue sur ses lèvres. Evelyne dit alors : « Il fait si chaud. Le pauvre trésor doit mourir. Vous devriez le soulager un peu… ; Lui enlever son maillot de bain, par exemple….. » Odile renchérit : « Ce serait une bonne idée. Je vais le faire à mes filles. Elles seront plus à l’aise pour jouer. » J’hésitais encore.. « Ce ne sont encore que des bébés. Personne n’y verra mal. Et les petits garçons sont tellement mignons, tout nus, avec leur petite bibiche bien en vue des parents… » Je me levai, la tête bourdonnante… Je m’accroupis près de mon petit garçon, qui me regardait soudain, une expression de gravité sur le visage. Perversement, je taquinai de l’index la petite bosse sur le devant de son maillot de bain. Puis plaçai mes mains de chaque côté de l’élastique du vêtement léger. « Il est l’heure de montrer ta petite bibiche à mes amies, mon chéri. Tu veux bien ? » Je n’attendais pas de réponse, bien sûr. Je baissai doucement le maillot de bain de mon petit, l’orientant de façon à ce que mes amies puissent profiter du spectacle. Puis, je le retirai complètement, lui faisant soulever ses pieds l’un après l’autre. J’allai même plus loin : m’approchant de sa petite sœur qui dormait dans le parc, je défis les pressions de sa culotte plastique, et ouvrit sa couche, qui était encore sèche. Odile , de son côté, avait enlevé les maillots de bain une pièce de ses deux filles. En un tournemain, les quatre enfants fûrent nus, le sexe à l’air, en pleine vue des adultes. Evelyne, les yeux fixes, laissa échapper : « Qu’ils sont mignons…… » Je lui souris. Elle ajouta : « Nous pourrions profiter de ce moment pour regarder de plus près le sexe de votre petit garçon, afin de nous rendre compte du travail à effectuer…. » Je trouvai que c’était une bonne idée et, je soulevai mon petit pour l’asseoir sur mes genoux. Je lui écartai les cuisses pour mieux leur montrer son petit oiseau. Odile prit sa plus jeune fille de 3 ans contre elle, et lui colla une tétine dans la bouche. Evelyne plaça sa chaise en face de la mienne. Nous contemplâmes presque avidement la petite bibiche de mon garçonnet. Une mignonne petite chose d’à peine trois centimètres, à l’extrémité toute plissée, surmontant deux couillettes lisses et rosées, à peine renflées en leur milieu. Odile avala bruyamment sa salive et dit, en parlant de sa fillette de 6 ans : « Ce serait une belle leçon d’anatomie pour Sarah, mon aînée…. » Joignant le geste à la parole, elle revînt bientôt, toujours portant sa benjamine contre elle. Evelyne installa la gamine, elle aussi toute nue, près de nous. L’enfant s’interressa tout de suite à ce qui lui était montré. Roland restait tranquille sur mes genoux, exposant sans pudeur sa mignonne petite virilité assoupie. Evelyne lui montra, en expliquant, l’anatomie de mon petit garçon. Puis l’incita à toucher…. Timidement, elle effleura les couillettes, s’étonnant de leur douceur. Evelyne guida ses doigts, l’amenant à palper ses petites bourses. « A l’intérieur, il y a comme deux petites billes, qui, plus tard, fabriqueront les bébés. Chez un bébé comme lui, elles sont toutes petites. Là, on ne les sent même pas, car elles ont dû rentrer dans son ventre. Amuse toi avec le petit tuyau, ma chérie. Tu va voir comme c’est rigolo… » A ce moment, Odile donna à mon petit quelque chose, que je reconnu immédiatement comme étant la culotte plastique de Julie, la plus jeune des filles. Robert s’en empara, et mit à jouer avec, étirant les élastiques, faisant bruisser le caoutchouc…. Ce contact, sans doute érotisant pour mon bébé, joint au jeu maladroit de la fillette rappela à la vie le petit robinet, qui, sous nos yeux, commença à s’allonger, à se durcir, pour devenir très rapidement une petite tige d’à peine 6 centimètres de chair rose , dressée à la verticale. Au milieu de la petite hampe, le renflement du gland était bien repérable, complètement recouvert par la fine peau, qui se terminait par une pointe d’un rose plus soutenu. Sa forme rappelait fortement celle d’une têtine de biberon…. La gamine s’extasia devant cette transformation. Odile lui apprit alors que le petit bâtonnet servait à entrer dans sa fente, et que cela faisait beaucoup de bien….. Encore plus que quand elle jouait avec son minou dans son lit, le soir….. La petite fille rougit, devant l’exposition publique de ses masturbations vespérales. Evelyne observait le petit bout devenu tout dur. « Je pense que nous pourrons guérir cela. A certaines conditions… » J’intervîns… « Comment ? - Le traitement ne sera efficace qu’à condition que les tissus soient le plus sollicité possible. Il faut donc multiplier les occasions d’érection. Je vois trois axes… » Disant cela, elle prit la culotte plastique des mains de Robert, et la mis en forme. Puis, elle présenta les trous des jambes devant les pieds de mon bébé. Robert y introduisit ses jambes, et Evelyne remonta la culotte le long de ses mollets, pour s’arrêter au-dessus des genoux. Il convenait de ne pas cacher les trésors de mon petit amour ! « Nous avons des pistes, n’est-ce-pas ? Ses érections lors des changes…. Il faudra le remettre en couches le plus longtemps possible. Et ne pas se presser pour le changer…. Ainsi, son petit sexe va baigner au milieu des couches trempées, frottera, et s’excitera tout seul. Et puis un garçonnet déjà grand se promenant à l’extérieur la barboteuse bien remplie de couches trempées, c’est mignon, non ? Lors des changes, et même entre, multiplier les calins, les chatouilles, les jeux à caractère sexuels…. » Je fronçai les sourcils. Evelyne précisa : « Une main qui s’attarde entre ses cuisses, à palper son entrejambe, prolonger la toilette intime, glisser le doigt sous la couche pour vérifier son humidité, et le laisser plus longtemps que nécessaire…. Les exemples sont nombreux. Et vous en trouverez d’autres… Et puis, on peux jouer sur son attirance pour le sexe des petites filles. Continuez à lui présenter celui de votre bébé. Amenez-le à se tripoter en regardant : il fera le lien entre le jeu avec son sexe et la petite fente d’une fillette. Cela devrait être générateur d’érection. Enfin, je pense à l’humiliation. Humiliation de devoir se mouiller, se salir. Surtout devant d’autres personnes. Humiliations liées à son sexe : l’amener à diminuer sa pudeur, à s’exposer plus souvent. Toujours en présence de tiers. Au bout de quelques jours, il deviendra incontinent, comme un bébé. Et n’aura pas plus de pudeur à voir ses organes génitaux regardés, touchés, caressés qu’un nourrisson de 6 mois. » Tout cela me laissait songeuse. Et toute bizarre. Un mélange de répulsion-attirance qui me faisait chaud dans le ventre. Chaud et humide dans mon sexe…. Je remonta doucement la culotte plastique et l’ajustai. Puis, à travers le caoutchouc, je m’emparai de son petit bâton chaud, et le serrai doucement, plusieurs fois. Nous rîmes à l’unisson….. Puis l’enfant donna des signes de lassitude, se tortillant sur mes genoux. Je lui rendis sa liberté et, émue, le regardai s’éloigner avec Sarah, lui en bambinette et elle toute nue. Nous nous retrouvâmes entre adultes, à deviser. Je demandai à Evelyne si elle accepterait de venir m’aider, pour la première séance, à guérir Robert. Ma nouvelle amie hésita, puis fini par accepter, avec plaisir, me sembla-t-il. Odile nous écoutait. Elle portait toujours sa Julie de trois ans contre elle. La gamine, la joue reposant sur l’épaule de mon amie, semblait dormir. Détentue, reposée. Seule, sa tétine s’agitait avec régularité. Mon amie, avait placé sa main ouverte sous son postérieur, pour la soutenir. Elle empaumait parfaitement le petit derrière nu et sa mignonne vulvette. Je me rendais bien compte que son majeur, placé comme il l’était, séparait parfaitement les lèvres charnues de la petite fente. Ce qui me surpris, c’était le petit mouvement d’avant en arrière du doigt maternel, tout le long de la petite crevasse. Assez enfoncé dans l’intimité enfantine, pour que les grandes lèvres se soient écartées pour lui faire place. Le doigt, sans doute bien lubréfié par le suc intime de l’enfant, coulissait sans peine. Il ne faisait aucun doute que la maman caressait doucement son bébé. Odile se rendit compte que je m’étais aperçu de son jeu… Elle quêta silencieusement mon approbation, sans pour autant arrêter son geste incestueux. Je lui souris… Soulagée, elle me dit que cela calmait la petite. A voir le visage reposé de cette dernière, je la crus sans peine. L’après-midi tirait à sa fin…. J’avais remis une couche à Suzy, qui était restée bien propre, et l’avait réinstallée dans la poussette. Julie avait été couchée dans sa chambre et reposée (sans doute bien fatiguée par le jeu de sa maman). Sarah et Robert jouaient gentiment. Odile récupéra la culotte plastique de son bébé, et je m’apprêtais à remettre son maillot de bain à mon fils, lorsque Evelyne intervînt : « N’oubliez pas que l’humiliation est l’un des éléments importants de notre programme. - Que voulez-vous dire ? - Peut-être conviendrait-il que Robert fasse dès aujourd’hui l’expérience de la nudité en public. Et si vous ne lui remettiez pas son maillot de bain ? Qu’il rentre à la maison en tee-shirt et en sandalettes ? Son petit sexe de bébé bien à la vue des passants ? Il n’a que 4 ans : personne ne s’offusquera…. » Je réfléchis un instant : tout cela était tellement nouveau pour moi…. Peut-être n’oserais-je pas ? Pas encore…. Une idée germa alors. Encore plus perverse, me sembla-t-il, que la nudité intégrale qui m’était proposée. Je pris le petit maillot de bain, en tissu éponge jaune, de mon gamin, et isolai l’ouverture d’une jambe. D’un coup sec, je fis casser l’élastique qui serrait la cuisse. Puis j’entrepris de l’enfiler en l’état à mon petit garçon. Bien évidemment, l’ouverture d’une jambe béait largement. D’un index agile, pénétrant par la cuisse, j’allai extraire la petite langue de chair rose, comme pour un petit pipi. Puis, me relevant, j’admirai mon travail : le petit sexe de l’enfant dépassait, bien modestement, mais de façon toute à fait évidente. Comme si le petit, après la miction, avait omit de remettre le petit robinet en place…. Mes amies trouvèrent l’idée excellente, et le spectacle mignon tout plein…. Je revis Evelyne quelques semaines plus tard. Je lui confiai ma hâte qu’elle s’occupe de mon enfant. Elle m’interrogea longuement sur Robert…… Avec un grand sourire, je lui narrai notre retour, Robert qui se plaignait que sa bibiche pendant à l’extérieur le gênait. Puis, au bout de 5 minutes, il n’y pensait plus. En riant, je lui racontai que nous avions croisé trois fois le même jeune homme… qui ne s’intéressait visiblement pas aux couleurs du ciel. A la maison, Robert était maintenant systématiquement langé. Il portait des couches sous sa barboteuse. Dans le jardin, il sortait maintenant sans trop rechigner en culotte plastique. Il se mouillait et se salissait régulièrement. Au début, il protestait toujours, mais, maintenant, cela ne posait plus de problèmes. Il lui arrivait de plus en plus souvent de faire pipi alors qu’il était sur mes genoux, ma main posée entre ses cuisses écartées. Il restait des heures à jouer la couche trempée. Lors des changes, je prenais beaucoup de temps à passer de la crème sur ses organes génitaux, et sur ses fesses. Et même entre ses fesses. Je lui racontai que je lui prenais souvent sa température rectalement. C’était, entre nous, l’occasion d’un nouveau jeu avec le thermomètre. Bien allongé sur le ventre, je faisais doucement entrer et sortir le thermomètre de son rectum si serré. L’érection était quasi immédiate. Evelyne me confia que c’était un moyen bien connu de violer les bébés garçons. Puis elle m’interrogea à propos de sa petite sœur. Je lui racontai que je la mettais de plus en plus souvent toute nue, et que je l’encourageais à la regarder. Il m’était même arrivé de le faire rentrer dans son parc pour qu’il la touche, l’explore intimement. Comme il était garni, je ne sais pas si cela le rendait dur, mais j’en aurais mis ma main à couper…. Evelyne me parla alors de Pierre, mon mari. De ce côté, je n’avais pas de soucis. Mon homme me faisait toute confiance pour l’éducation des petits. Il avait été surpris que je remette Robert en couches, mais il me laissa faire. Et le fait que notre fille soit souvent toute nue sembla lui plaire…. Nous avons rit en cœur. Evelyne me promis de venir le jeudi suivant. C’est le cœur battant que l’allai ouvrir au coup de sonnette. Evelyne était à la porte, souriante, comme d’habitude. Elle était vêtue d’une légère robe en mousseline. Une fois entrée, je fermai la porte derrière elle. A clé. Je m’étais arrangé pour être certaine de ne pas être dérangée. « Les enfants jouent dans une chambre de l’étage….. - Parfait. Nous allons faire quelques aménagements, puis nous pourrons commencer. Vous êtes toujours d’accord pour opérer aujourd’hui ? - oui ! l’interrompis-je fermement. - Très bien. J‘aurais besoin de deux serviettes de toilette, bien épaisses et absorbantes. » Je soulevai un sourcil interrogatif. Evelyne précisa : « J’accepte de vous aider. Je vais même m’occuper moi-même de ce qu’il faut faire. Comme cela, vous n’aurez plus qu’à observer. - Bien sûr, Evelyne. Vous avez carte blanche….. » J’allai chercher les serviettes. Elle en installa une sur le fauteuil avec soin, prenant du temps pour faire un renflement, une petite crête, en son centre. Elle me parla : « Nous allons procéder en deux temps. Tout d’abord, provoquer l’érection de son petit pénis. Ce sera votre travail, mais je vous aiderez : j’ai amené quelque chose pour cela. Le gamin sera sur mes genoux. Vous, accroupie devant nous, entre nos cuisses…. Puis le traitement lui-même. Je m’en occupe, pour vous montrez. Vous n’aurez qu’à le maintenir cuisses bien écartées. Et vous serez aux premières loges pour tout voir….. » Elle se releva. « Est-il en couches ? - Non. Exceptionnellement, il n’a rien sous sa barboteuse. Sinon, comme vous me l’aviez dit, il est presque incontinent, maintenant. - Question pudeur ? - Très bien. Il n’a pas plus de pudeur que sa petite sœur de un an. » Je souris à cette évocation….. « Il fait chaud.. je peux me mettre à l’aise ? - Bien sûr….. » Surprise, je la vis retirer sa culotte, sans plus de façon. Puis elle s’assit dans le fauteuil et plaça le renflement de la serviette en contact avec son intimité. Elle serra les cuisses plusieurs fois, et, satisfaite, me dit : »Vous pouvez le faire venir, maintenant. » Pendant que j’allai le chercher, elle sortit de son sac un petit pot d’onguent, et un livre à couverture unie bleue, qui ne laissait rien deviner de son contenu. Je tenais mon petit par la main. Comme je l’avais annoncé à mon amie, en prévision de sa venue, je ne lui avais mis qu’une simple barboteuse, de celles qui se boutonnent dans le dos et entre les jambes. Avec des petites manches ballons, et un lapin brodé sur le plastron en smock. Evelyne lui fit un grand sourire et lui tendit les bras : « Voici mon petit pisseur…. » Je saisis la balle au bond « C’est mon grand bébé. Veux-tu montrer ta petite bibiche à la dame ? » L’enfant n’hésita pas et glissant sa main sous l’élastique d’une jambe de la barboteuse, il l’écarta sur l’autre côté pour me montrer son joli petit zizi. Nous rîmes de bon cœur, et j’ajustai de nouveau la culotte enfantine. Evelyne étala la seconde serviette sur ses genoux. « Viens sur mes genoux, mon bébé…… » Docile, l’enfant obéit. Evelyne l’installa dos contre son ventre, les jambes bien écartées de chaque côté des siennes, le ventre offert. A un geste de mon amie, je m’agenouillai face à eux, entre les cuisses nues de mon petit. Mon visage était à hauteur de son bas ventre…… J’avais du mal à réaliser que son petit robinet minuscule était maintenant caché dans un repli du fin tissu, à quelques centimètres de mes lèvres….. Evelyne me fit poser une main sur chaque genou du gamin. Puis, tout doucement, mes mains remontèrent par l’intérieur de ses cuissettes nues, avec force caresses. Je déposai un baiser encore un peu plus haut, près de l’endroit où les élastiques des jambes du vêtement enfantin mordaient la chair rose, laissant sur la peau une fine ligne rouge. « Mmmm Maman a fait un petit bisou tout près de ton zizi, mon chéri… Tu aimes bien ? » Evelyne baissa encore la voix… « Je voudrais que tu fasses un petit pipi dans ta barboteuse, mon mignon…. Un tout petit pipi…. » Interrogateur, l’enfant leva les yeux vers elle……. « Tu veux bien me montrer comme tu mouilles bien ta culotte, mon bébé… maman ne t’a pas mis de couches… Ce sera facile…. « Ebranlée par cette demande inattendue, je n’en continuai pas moins à progresser doucement vers le havre de son entrejambe… Mon index, butant maintenant contre les élastiques de la barboteuse, soulignaient d’un toucher léger cette frontière… J’en profitais pour remonter doucement les élastiques le plus haut possible. Perversement, Evelyne agrippa le devant de la barboteuse au niveau e la poitrine de l’enfant, et remonta le fin tissu. Ce qui eut pour effet de le tendre entre les cuisses du petit, et de révéler enfin le petit pointement de son sexe….. Evelyne prit le livre à son côté… « Si tu fais un beau pipi bien mouillé, je te montrerai de belles images. De petits garçons et de petites filles de ton âge, ou de celui de ta petite sœur. Quelquefois avec leur papa et leur maman….. Je suis certaine que cela va beaucoup plaire à ton petit robinet…… Tu veux bien mouiller ta barboteuse ? » L’enfant fit oui de la tête et commença à se concentrer. Souriante, Evelyne ouvrit le livre…. »Je l’ai acheté en Hollande. Il n’y a que là que l’on puisse en trouver avec des enfants si jeunes. » De l’index, je commençai à agacer son petit oiseau, à travers le tissu… Je ne voyais pas bien les images, mais Evelyne, pour en accroitre l’impact, les commentait à l’enfant. « Ca, c’est une maman qui fait faire pipi à son petit garçon…Regarde bien comme le petit oiseau qu’elle tient entre ses doigts est tout dur…. Son petit robinet tressaillit sous l’étoffe. Je commençai alors un léger massage de sa petite saucisse., de façon à encourager ce bon début. « Là, on dirait ta petite sœur, toute nue… Tu l’as déjà vue toute nue ? - Oh, oui ! - Mais que fait sa maman ? Un bisou sur sa fente…Non, regarde, elle glisse sa langue dans le minou du bébé… Comme c’est mignon…. Le bébé est tout mouillé de salive…. » Cette fois, sa bibiche s’était bien raidie . c’est alors qu’apparu une petite tache à l’emplacement de son sexe… tache qui s’élargit rapidement… Robert faisait pipi… Evelyne s’en aperçu et l’encouragea……. Cela ne me gênait pas, et je tripotais franchement maintenant cette petite fontaine dure et chaude, toujours invisible sous le tissu maintenant trempé… Revenant au livre, elle montra au gamin la maman qui suçait le minuscule sexe gonflé du garçonnet. Riant, Robert s’écria : « Elle fait comme maman ! » Evelyne me lança un regard amusé. Je bredouillai : « Quand je le change, j’aime bien lui nettoyer la bibiche avec ma bouche… ; » Je palpai son petit oiseau qui soulevait maintenant le tissu victorieusement, pour tester sa rigidité. Elle me semblai très satisfaisante ; Evelyne m’enjoignit alors de déboutonner la barboteuse entre ses cuisses. Pendant que je m’exécutais, elle lui montra une dernière image :celle d’un petit enfant de 5 ans au sexe bien tendu, tenu par sa maman, qui le dirigeait vers la fente d’un bébé, que le papa, le soutenant sous les bras, descendait doucement, empallant la toute petite fille sur le zizi de son grand frère. Mes yeux s’arrêtèrent sur le petit zizi, déjà bien engagé dans le chaud et moite fourreau incestueux. Il ne faisait pas de doute que le papa faisait aller et venir le bébé sur la petite pointe dressée. Je dégageai complètement le bas ventre de mon fils. Sa bibiche était toute raide. « Tenez lui bien les cuisses écartées… » Elle prit un peu de pommade sur un doigt et saisi le petit membre dressé. Le petit bout était tout rouge, le prépuce bien tendu… Elle déposa la pommade dans le repli de peau terminal, et le fit doucement, par un lent massage, pénétrer… Elle recommença plusieurs fois… L’extrémité du sexe de mon fils était tout luisant. Robert ne cherchait pas à refermer ses cuisses. Au contraire, il semblait apprécier le traitement. Puis, délaissant la pommade, Evelyne entreprit de le masturber lentement, afin de l'amener à son maximum de tension. Robert protesta, mais elle n'en avais cure. Tout en regardant mon amie jouer avec son petit zizi, je commençai lui fredonner une berceuse, comme quand il était tout petit et que je changeais sa couche, sur sa table à langer. Comme quand, lors de ces occasions où nous étions seuls tous les deux (privilège des mamans), sans crainte d'être dérangée, la tête en folie, je me penchais sur lui, lèvres entrouvertes et que je lui faisais un gros bisou sur son intimité...... Comme quand, ouvrant la bouche un peu plus, ma langue déposait une salive apaisante sur son petit membre dressé, cherchant naïvement à soulager son inflammation ...... Comme quand, dans une pulsion d'amour, ces mêmes lèvres se refermaient doucement sur son petit zizi tout dur, pour une caresse buccale bien peu maternelle...... Un peu comme si j'avais voulu, inconsciemment, par le lent et chaud va-et-vient de ma langue sur son petit membre, le consoler de cette bénigne, mais douloureuse infirmité, dont je me sentais sottement un peu coupable. Mais je m'égare....... Son entrecuisse imberbe sentait l’urine fraîche….. Lorsque son petit oiseau sembla complètement dur, Evelyne repris un peu de pommade sur l'extrémité de mon index, et le posai sur la mince ouverture par laquelle son pipi faisait son chemin, tout au bout du replis de peau du prépuce, là où c'était bien rouge et enflammé. Elle frotta doucement pour faire pénétrer le produit. Quand il fut totalement disparu par l'étroite fente, elle recommença l'opération, en insistant un peu plus, pour faciliter sa dispersion à l'intérieur de la peau toute plissée. Le produit était gras. Avec mon autre main, elle affermit sa prise sur le petit membre tout raide la moitié de sa hauteur, entre le pouce et l'index, et commença à tirer la peau vers le bas. Le gamin protesta de nouveau à cette nouvelle torture. Il chercha à s’échapper, sans aucun succès, bien sûr. C’est alors que je remarquai le lent mouvement de mon amie sur la serviette… Je remarquai les crispations de ses jambes. Evelyne se caressait, en se frottant contre le tissu éponge….. En masturbant mon petit. J’en eus une bouffée de chaleur. Et pris conscience que mon sexe reclamait, lui aussi. Evelyne tira plus fort, vers la base du pénis enfantin. Robert hurla. Mon amie rit, et recommença, plus fort. Le prépuce commençait à se décoller. La peau du bout, tout plissée, était maintenant tendue, et coulissait très lentement sur le renflement du gland. le prépuce s'écartait légèrement, sous la traction opérée par l'autre main. Puis Evelyne relâcha, et l'ouverture se referma. Le gosse soupira d'aise, mais son répit fut de courte durée, et elle tira de nouveau, plus fort. Cette fois, l'extrémité d'un petit gland violacé et congestionné apparu, alors que le petit commençait à pleurer. Un regard suppliant à mon amie. Elle lâcha, d’un débit saccadé par son propre mouvement masturbatoire qui s’était beaucoup amplifié : « Il a mal, le gniard… Mais ce n’est rien par rapport à la souffrance d’une petite fille dont le sexe énorme du papa va percer l’hymen…le prépuce, c’est l »hymen des petits garçons. Et il faut qu’ils souffrent pour en passer par là… Hein mon mignon… Tu as mal, n’est-ce-pas ? (Elle força encore plus fort. Robert hurla. J’avais beaucoup de mal à maintenir ses cuissettes convulsées écartées. Puis, Evelyne s’arrêta et regarda : C'était la première fois que je voyais apparaître son minuscule gland. Encouragée par ce succès, elle remit de la pommade, relâcha, tira de nouveau, et, enfin, elle commença avec ma main gauche un très lent mouvement masturbatoire, tout en continuant de masser son petit gland entre le pouce et l’index de la main droite, pour bien faire pénétrer l'onguent et assouplir le prépuce. Robert cherchait s'échapper de ses genoux, mais je le tenais bien serré. Il se résigna bien vite, et se laissa faire. Les yeux fascinés, je regardais coulisser lentement la petite peau, qui couvrait et découvrait le petit fruit défendu. Le petit bâton, qui n’excédait guère 6 cm sans le secours de son long prépuce, semblait palpiter entre les doigts experts de mon amie. Puis, petit à petit, je le vis donner des petits coups de rein, amorce des mouvements du plaisir. Attentive, Evelyne ralentit encore les mouvements de ses doigts. Elle tenait tout mon enfant entre le pouce et l’index. Frustré, le petit garçon, avançait le ventre à la rencontre de la main complice. Avec perversité, la jeune femme cessa presque le mouvement de masturbation, n’accordant que de brèves secousses destinées à maintenir l’excitation enfantine à son maximum. « Même à cet âge si tendre, on peut les rendre fous….. En ce moment, vous pouvez lui demander n’importe quoi… » Elle arrêta complètement le petit mouvement et lâcha le petit membre palpitant…. « Et là, ce n’est qu’un petit garçon qui ne gicle pas encore. Vous imaginez le pouvoir d’une femme sur un homme, dans cette situation…. « Elle reprit le petit bout, et dégagea complètement le minuscule gland congestionné…. « Le pouvoir d’une maman sur son petit bébé……. » Elle reprit tout doucement la caresse. Robert exprima sa satisfaction par de petits couinements aigüs. Il avançait tellement le ventre à la rencontre de la main qui lui faisait tant de bien que ses petites fesses rebondies décollaient des genoux de mon amie. Moi, je me fouillais du doigt de plus en plus profondément. Puis mon petit sembla soudain sortir de son rêve éveillé. Les yeux fixés sur moi, il gémit : « Maman, maman……. » Affirmant sa prise, et accélérant légèrement son rythme, Evelyne eut un petit rire de gorge. « Ils disent tous cela…… » Ce fut rapide. Robert, les yeux écarquillés, devenu totalement immobile, le ventre offert, les membres comme tétanisés, la respiration suspendue en un gémissement étonné. Etonné de ce que son corps lui offrait. Puis, il retomba, apaisé. Inerte, le ventre offert. Evelyne avait lâché son petit sexe, offrant à mes yeux ce petit bout brûlant qui tressautait encore spasmodiquement contre son pubis de bébé. Evelyne, les yeux perdus dans l’infini, lui murmura : « Voilà, mon chéri… Ta petite bibiche t’a fait du bien… ? » Le gosse ne répondit pas, anéanti. Je sortis mon index de mon vagin. Il luisait des sécrétions du plaisir. Je le donnai à têter à mon petit, le promenant sur ses lèvres, y abandonnant un reflet luisant, qui collait légèrement. Avec fascination, je regardais son petit bout reprendre sa taille de bébé. Alangui sur son ventre blanc, plissé, minuscule. Puéril…… Epuisé, il avait fermé les yeux… Un article sur les nourrices qui endormaient les bébés de cette façon dans le Morvan, au XIXème siècle me revînt en mémoire. Evelyne avait tout doucement entrepris de le débarrasser complètement de sa barboteuse trempée. Je me levai, péniblement, assaillie par une foule de sentiments contradictoires. Je le pris dans mes bras, et le transportai dans sa chambre, où je le langeai et le laissai reposer. Losque je redescendi au rez-de-chaussée, Evelyne était rhabillée, et prête au départ. Elle me donna de nouveaux conseils, qui était de favoriser, voir provoquer chez mon petit de fréquentes érections. Et de le caresser régulièrement, ce que je comptais bien faire. Le moment du change restait pour ce faire, un moment à privilégier, avec le bain. L’attitude de mon mari fut évoquée. Mais je me faisais fort de l’amener tout doucement à partager mes vues. Avant de partir, je jetai un regard sur son petit livre. Je m’arrêtai à l’image du viol du bébé fille par son grand frère, avec la complicité active des parents. « Ils ont l’âge des miens…. Vous croyez que….. » Evelyne rangea le livre, et me dit, avant de partir : « Essayez… Vous verrez bien. » Mais ceci est une autre histoire……. Voilà. J’ai mis dans cette histoire (inventée en grande partie, rassurez-vous) beaucoup de moi-même. Il m’est difficile d’aller plus loin. J’ai exploré mes thèmes favoris aussi loin que mon imagination me le permettait. Toutes critiques constructives, suggestions, idées de votre part seront les bienvenues. Les injures et menaces seront ignorées. Je souhaite qu’un dialogue puisse s’installer entre nous. Si vos fantasmes recoupent les miens, dialoguons. Et si lire cette histoire vous permet de vous faire du bien, j’en serai ravie Théodora (avec l’accord et la collaboration active de Frank, auteur de l’idée originale, dont je me suis librement inspirée). d823360@yahoo.fr þ Ceci provient du site gratuit des HISTOIRES TABOUES (pd, inc, ...) http://www.asstr-mirror.org/files/Authors/Histoires_Fr/www/ ou http://go.to/histoires Vous y trouverez la plus grande collection d'histoires en français sur le sujet. N'oubliez jamais que cela doit rester des fantasmes ... Forcer un enfant au sexe dans la vie réelle mérite la prison ! ----------------------------------------------------------------- -------------- Cette oeuvre reste la propriété de son auteur. Sauf si stipulé autrement, vous pouvez la republier sur un autre site gratuit à condition de ne rien modifier et de laisser les notices de début et de fin. ----------------------------------------------------------------- --------------