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From: MJ AdC <adcmjbe@yahoo.com>
MIME-Version: 1.0
X-ASSTR-Original-Date: Wed, 19 Jun 2002 04:22:49 -0700 (PDT)
Subject: {ASSM} Natacha au Sexe-Shop (FM, in French)
Date: Wed, 19 Jun 2002 13:10:03 -0400
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Hi,
I read the FAQ and I didn't see that posts had to be
in English; therefore I'll take my chances with this
story that I wrote in French. If this isn't
acceptable, just let me know, I'll understand.
Cheers,
MJ
Natacha au Sexe-Shop (FM, in French)
Pourquoi crit-on une histoire? Il peut y avoir un tas
de raisons; celle-ci a commenc par quelques mots en
l'air: "Je vais me lancer dans l' criture d'une grande
saga rotique dont tu seras l'h ro ne," crits une
coll gue apr s un change de messages salaces, faisant
suite une blague qui ne l' tait pas moins. Restait
imaginer un sc nario qui se devait d' tre un rien
crado, l'image des blagues qu'elle affectionne
particuli rement.
Cette coll gue, nous l'appellerons Natacha afin de
pr server son anonymat. Ce nom voquera de nombreux
fantasmes chez les amateurs de bandes dessin es, mais
notre Natacha nous n'a que peu de points communs
avec l'h tesse de l'air qui ber a nos r ves
d'adolescent. Natacha est secr taire, elle a des
cheveux mi-longs, dont la couleur change parfois sans
pr venir et ses yeux sont marrons. Elle est d'une
taille qu'on pourrait qualifier de "normale", est
assez fine et a une poitrine raisonnable - ni trop
grosse, ni trop menue - assez en harmonie avec sa
silhouette. Pour ce qui est du reste, il me faudra
sp culer...
Avec un mari en d placement pour le boulot et les
enfants en vacances chez les beaux-parents, on
s'imagine toujours qu'on va pouvoir faire des tas de
choses. La r alit tait toute autre: les vieux potes
que Natacha comptait revoir n' taient pas disponibles
et le film qu'elle voulait voir depuis des semaines,
mais dont son bonhomme n'avait rien faire, venait
juste d' tre retir de l'affiche. Rien la t l , pas
envie de glander la maison et elle s' tait retrouv e
en balade dans le centre ville 10 heures du soir.
La journ e avait t superbe, il faisait encore chaud
et il y avait beaucoup de gens dans les rues malgr
l'heure tardive - des couples et des groupes pour la
plupart - mais aussi quelques isol s. La plupart des
commerces taient ferm s depuis plusieurs heures et en
dehors des restaurants, d bits de boissons et cin mas,
seuls taient encore ouverts quelques magasins de nuit
et les sexe-shops...
S' tant convaincue qu'elle y allait par curiosit et
non par int r t, Natacha entra sans se retourner en
esp rant que personne ne la verrait. Sur le comptoir,
droite de l'entr e, s' talaient boites de
pr servatifs et jeux de cartes dont les illustrations
allaient du tr s soft au plus extr me. Au-del du
comptoir, toutes sortes de gadgets taient align s sur
des tag res et, de l'autre c t , de nombreux
magazines se chevauchaient sur les pr sentoirs. Comme
il fallait s'y attendre, le vendeur et la
demi-douzaine de clients taient tous des hommes qui,
les uns apr s les autres, tourn rent la t te dans sa
direction lorsqu'elle entra.
Tentant de les ignorer, Natacha se dirigea vers les
magazines et parcourut le rayon du regard. Les photos
de couverture, plus explicites les unes que les
autres, ne laissaient que peu de place
l'imagination. Sur l'une d'elle, une blonde silicon e
cartaient les l vres de sa chatte en faisant une pipe
un homme dont seul le sexe tait visible sur la
photo. Sur une autre deux adolescentes de dix-huit
ans, selon le titre, mais qui en paraissaient
vingt-cinq s'embrassaient goul ment. Sur une
troisi me, une transsexuelle aux seins encore plus
gros que ceux de la blonde de l'autre couverture se
l chait le doigt d'un air inspir .
En traversant le magasin vers le rayon des gadgets,
Natacha remarqua qu'aucun des clients pr sents ne
l'avait l ch e du regard. Loin de la mettre mal
l'aise, cette constatation l' moustilla plut t.
Ignorant les poup es gonflables et autres accessoires
clairement r serv s aux hommes, Natacha s'attarda par
contre devant le petit rayon de lingerie:
soutien-gorge en cuir clout , petites culottes
fendues, bodies en latex... Elle se demanda comment
son mari r agirait si elle l'accueillait ainsi v tue
lorsqu'il rentrerait de voyage.
Deux pas sur le c t la men rent devant les godes,
boules de geisha et d'autres accessoires dont, malgr
son imagination fertile en la mati re, elle ne
parvenait pas d terminer l'utilit . Un instant
tent e d'acheter l'une ou l'autre chose dans ce rayon,
elle se ravisa et se tourna vers l'arri re du magasin.
Une ouverture, donnait acc s une autre pi ce moins
clair e que celle dans laquelle elle se trouvait. A
c t de celle-ci, un panneau annon ait que deux cents
films taient visibles en cabines priv es; les jetons
taient en vente la caisse.
Au fond, pourquoi pas? Maintenant qu'elle tait l ,
autant pousser l'exploration jusqu'au bout... Et puis,
il y avait tous ces mecs: si le simple fait de la voir
d ambuler dans le magasin les mettait dans cet tat
la, qu'est-ce que a allait leur faire lorsqu'elle se
dirigerait vers les cabines vid o. Mais au fur et
mesure qu'elle avan ait vers le comptoir, son
assurance commen a s' vaporer et un sentiment de
trac la prit au ventre. Elle faillit continuer son
chemin vers la sortie mais au dernier moment, elle
saisit son porte-monnaie dans son sac et posa devant
le vendeur le premier billet qui en sortit. "Pour
cinquante euros?" lui demanda t'il d'un ton tonn .
Elle baissa les yeux vers le billet qu'elle venait de
d poser, puis elle fit un petit "oui" de la t te au
vendeur; grande gueule la ville et au bureau,
Natacha s' tait mise dans une situation ou elle ne
parvenait plus dissimuler sa r elle nature timide.
Le vendeur d posa m thodiquement dix piles de cinq
jetons sur le comptoir. Natacha s'empressa de les
prendre avant de se pr cipiter vers l'autre pi ce.
Celle-ci tait plong e dans la p nombre. Un bloc de
six cabines - trois de part et d'autre - tait situ
juste apr s l'entr e. Les portes de deux d'entre-elles
taient ferm es et le son qui en sortait t moignait de
leur occupation. Au bout de la pi ce, quatre ou cinq
m tres plus loin, deux cabines c te c te faisaient
face l'entr e. Le long des murs lat raux s parant
les deux blocs de cabines, plusieurs dizaines de
pochettes de cassettes et de DVD taient expos es.
Natacha ne perdit pas de temps choisir un programme
et se dirigea rapidement vers les deux cabines situ es
au bout de la pi ce. Les deux portes taient
entrouvertes et elle p n tra dans celle de gauche. Ce
n'est qu'une fois l'int rieur, la porte verrouill e,
qu'elle retrouva son assurance. Dans la cabine, un
grand cran de t l vision faisait face la porte, sur
laquelle un si ge rabattable tait install . Sur le
mur de gauche, un monnayeur attendait les jetons dont
Natacha allait le nourrir et deux boutons permettaient
de changer de programme. Une odeur rance flottait dans
l'air, m lange de transpiration, de tabac et peut- tre
d'autre chose.
Natacha baissa le si ge et, apr s en avoir v rifi la
propret , se r solu s'y asseoir. Elle portait ce
soir l , t oblige, une jupe courte sans collants et
s'obligea ne poser que les fesses sur la planche,
tant elle craignait que la peau nue de ses jambes
n'entre en contact avec le bois. Elle glissa une pi ce
dans la fente du monnayeur; imm diatement, l' cran
cr pita et s'alluma. Sur le monnayeur, un compteur lui
appris qu'elle regardait le programme soixante-neuf,
ce qui lui arracha un sourire, et un autre qu'elle
avait droit cent vingt secondes, cent dix-neuf, cent
dix-huit,...
Le programme soixante-neuf portait bien son num ro:
deux filles, blondes toutes les deux, s'adonnaient
cette pratique avec beaucoup d'enthousiasme. Natacha,
regarda quelques instants sans grande conviction avant
de changer de programme. Une blonde avec d' normes
seins se faisait prendre en levrette sur le canal
soixante-huit. Une autre blonde chevauchait son
partenaire sur le soixante-sept. Tandis que sur le
soixante-six, une blonde en sodomisait une autre au
moyen d'un gode fix au centre de son pubis au moyen
d'un harnais et, chose remarquable, les deux filles
semblaient y prendre un plaisir immense. Natacha
commen ait d j se sentir un peu frustr e: et les
brunes dans tout a? Elles comptaient pour des prunes
peut- tre? Fallait-il vraiment tre d color e et
silicon e pour attirer le public de ce genre de film?
Avant que Natacha puisse r pondre ses questions,
l' cran s' teignit. Elle glissa un nouveau jeton dans
le monnayeur et changea de nouveau de programme.
Le programme soixante-cinq mettait en sc ne deux
hommes se su ant mutuellement avec, apparemment,
autant de plaisir que les deux blondes de tout
l'heure. Elle se relaxa et regarda; "Apr s tout," se
dit-elle, "si a excite les mecs de voir deux nanas se
brouter le minou, pourquoi j'aurais honte de regarder
deux mecs mignons se faire reluire?" Elle les regarda
tellement longtemps que l' cran s' teignit de nouveau.
Apr s un troisi me jeton et quelques secondes de plus
regarder les deux homos, elle passa au
soixante-quatre et regretta imm diatement de ne
pouvoir prendre une copie de la sc ne pour l'envoyer
ses petits camarades par courrier lectronique.
C' tait le genre de truc qu'elle affectionnait tout
particuli rement: un type urinait dans un verre c t
d'une fille - blonde videment - genoux qui
attendait, l'air faussement inquiet, qu'il ait fini.
Elle prit le verre et sans une once de d gout en avala
le contenu comme s'il s' tait agit d'un coca light
(les blondes ne boivent que du light, c'est bien
connu). Puis, la fille se mit sucer le type et
Natacha perdit tout int r t pour la sc ne.
Sur le canal soixante-trois, une brune enfin - mais
moche! Il ne restait que quelques secondes au compteur
sur le monnayeur et Natacha s'empressa d'y glisser un
nouveau jeton. Sur le soixante-deux, de nouveau une
blonde, mais habill e celle-l , servait des
rafra chissements trois ouvriers travaillant dans ce
qui devait tre sa maison. "Salope!" pensa Natacha,
"C'est pas moi qui aurais la chance d'en avoir trois
bien foutus comme a la maison." Le plombier et
l' lectricien qui avaient tous deux travaill chez
elle r cemment avaient tous les deux largement l' ge
de la retraite; il faut dire que c'est son mari qui
les avait choisis. C'est le moment que choisit un des
ouvriers pour mettre la main aux fesses de la blonde.
Au lieu de lui coller une baffe, la blonde se blottit
contre lui en l'embrassant et en lui glissant une main
l'int rieur du pantalon. "Salope!" s'exclama de
nouveau Natacha, voix haute cette fois, en regardant
un des autres mecs se glisser derri re la blonde et
d boutonner sa blouse. C'est ce moment que l' cran
devint noir.
Pour viter d'autres mauvaises surprises, Natacha mit
trois jetons dans le monnayeur qui lui confirma
qu'elle avait droit six minutes de tranquillit et
l'image revint. La blonde tait pr sent en
soutien-gorge, bas et porte-jarretelles, mais ne
portait pas de culotte. "Salope!" Le soutien-gorge ne
fit pas long feu mais les trois mecs ne montr rent
videment aucun empressement retirer ses bas et son
porte-jarretelles. Un d'eux se mit lui embrasser les
seins pendant que les deux autres retiraient leurs
v tements. Natacha, elle, avait gliss sa main
l'int rieur de sa culotte et se caressait doucement la
chatte.
La blonde se mit genoux devant les deux types nus et
se mit en sucer un alors qu'elle branlait le
deuxi me. Peu de temps apr s, le troisi me, nu
lui-aussi, se mit genoux derri re elle et lui
caressa les seins d'une main et le sexe de l'autre. La
blonde su ait pr sent le deuxi me type et caressait
le premier. Natacha, elle, avait baiss sa culotte sur
ses cuisses, afin de mieux se caresser.
Un des types s'assit sur le divan et la blonde vint
s'empaler sur lui. Elle su ait un deuxi me et branlait
le troisi me. Natacha avait, quant elle, gliss un
doigt l'int rieur de sa chatte. Elle jeta un rapide
coup d'oeil vers le monnayeur et eut la pr sence
d'esprit d'y glisser de nouveau quelques jetons. Alors
que la blonde, toujours assise sur le premier type
essayait de prendre simultan ment les deux autres dans
sa bouche, Natacha entendit un l ger bruit venant de
sa droite, comme si quelqu'un dans la cabine voisine
frappait la paroi. Tournant la t te instinctivement,
elle aper ut pour la premi re fois, un peu plus haut
que son visage, un trou de cinq ou six centim tres de
diam tre dans la paroi. Et, alors qu'elle le
regardait, elle vit un sexe en rection en sortir.
Sans arr ter de se masturber, partag e entre le
sentiment de d gout et d'excitation qui
l'envahissaient, Natacha enroula sa main autour de lui
et commen a le caresser.
A l' cran, la blonde s' tait allong e sur un des
types. Le deuxi me, genoux derri re elle, la
sodomisait joyeusement, tandis que le troisi me avait
les honneurs de sa bouche. Natacha, dont la
respiration devenait de plus en plus saccad e,
caressait des deux mains d'un m me entrain; enfon ant
un doigt de la gauche en elle aussi profond ment
qu'elle le pouvait et masturbant son voisin de cabine.
Natacha jouit avant la blonde, serrant les cuisses
autour de sa main et emprisonnant ses doigts
l'int rieur de sa chatte, sans rel cher son rythme ou
la pression de sa main sur le sexe anonyme. Elle
sentit que le mec situ de l'autre c t tait, lui
aussi, proche du plaisir et, sans autre forme de
proc s, elle tourna la t te vers lui, ouvrit la bouche
et se mit le sucer. Le type se mit bouger d'avant
en arri re et Natacha, visage coll contre la paroi,
laissa l'inconnu lui baiser la bouche.
Elle le sentit bient t proche de l'orgasme et eut,
trop tard, le r flexe de se retirer: il jouit
abondamment et sur le visage de Natacha. Elle entendit
un r le de plaisir de l'autre c t de la paroi; puis,
apr s quelques longues secondes, lui vint une
proposition qui la laissa perplexe: "Donne-moi ta
bitte, je veux te sucer moi aussi."
"Un p d !" Natacha n'avait pas r fl chit qui pouvait
se trouver dans l'autre cabine; il lui avait sembl
vident qu'un des clients du sexe-shop plus hardi que
les autres l'avait suivie et essay de profiter de
l'aubaine. Mais non, celui-ci devait tre arriv apr s
qu'elle ait quitt le magasin et avait d croire que
la cabine voisine tait aussi occup e par un mec.
Combien de femmes fr quentait cet endroit? Et puis, ce
ne devait pas tre par hasard que ces deux cabines
taient s par es des autres et qu'il y avait perc un
trou dans la paroi. Essayant de prendre une voix la
plus masculine possible, Natacha r pondit, "Pas
besoin, je me suis d j occup de moi." "Comme tu
veux," lui r pondit la voix, " un de ces jours,
j'esp re." Quelques instants plus tard, Natacha
entendit le bruit de la porte qui s'ouvrait et son
voisin quitta sa cabine.
Sur l' cran, la blonde tait en train de se faire
jaculer sur les seins et le visage par ses trois
partenaires. Cela rappela un petit d tail Natacha.
Ne trouvant rien pour s'essuyer le visage dans son
sac, elle se r solut utiliser sa petite culotte,
esp rant que son maquillage n'en souffrirait pas trop.
Puis, abandonnant sa culotte sur le sol de la cabine,
elle ouvrit la porte et sortit. Elle glissa les jetons
qui lui restaient dans son sac et c'est sans culotte
et v tue d'une jupe tr s courte qu'elle revint dans le
sexe-shop.
D'un air assur , elle se dirigea vers la sortie mais
en passant le long de gadgets, elle eut une h sitation
et s'arr ta.
Natacha va t'elle sortir sans rien acheter ou craquera
t'elle pour un petit souvenir de sa visite au
sexe-shop? Que va t'elle acheter? Je suis ouvert
toutes les suggestions; c'est elles qui d cideront de
la suite ventuelle cette histoire.
Tous les commentaires seront appr ci s et si l'un de
vous veut y inclure un petit message personnel pour
Natacha, je m'engage le lui transmettre. Et si
d'aventure, elle d cidait d'y r pondre, je promets de
faire suivre sa r ponse.
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