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X-ASSTR-Original-Date: Sat, 27 Apr 2002 08:02:30 +0200
Subject: {ASSM} for french readers Claudine part 1 (teen / pedo )
Date: Thu,  9 May 2002 17:10:02 -0400
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X-Story-Submission: <ckought69@hotmail.com>
X-Moderator-ID: gill-bates, dennyw

  1






  La période des vacances était arrivée et deux des enfants Martet venaient
de prendre le train comme chaque année, pour passer les deux mois d'été chez
leur Oncle. Celui-ci possédait une jolie maison perdue au coeur du massif du
Lubéron. Là, échappant au brumes du Nord, ils pouvaient s'ébattre et s'
amuser. Claudine Martet avait installé sa petite fille Camille qui venait d'
avoir 10 ans et son frère Franck qui avait fêté son 12ème anniversaire le
mois précédent. Seule sa fille Nelly restait avec elle .Claudine se faisait
du soucis pour Nelly. En effet, sa fille avait 13 ans, était mignonne comme
un coeur, et commençait sérieusement à s'intéresser aux choses du sexe. La
nuit précédente, Claudine, passant dans le couloir prés de la chambre de sa
fille, avait entendu le lit grincer d'une manière significative, et des
petits gémissements de plaisir fuser de la gorge de Nelly.


  Le grincement des freins de la voiture réveilla Franck. Allongé sur sa
couchette, il avait réussi à dormir un peu. Le rideau du compartiment était
à demi baissé et le garçon pouvait apercevoir les rails et le quai de l'
autre coté. Sa petite soeur dormait dans la couchette au dessous de lui. Ils
étaient seuls jusqu'à maintenant mais ils n'avaient pas osé choisir d'autres
places. Le train redémarra et l'adolescent allait se rendormir lorsque la
porte du compartiment s'ouvrit pour laisser le passage à un jeune militaire,
qui posa son sac sur la couchette en face de celle de Franck. Le jeune homme
jeta un regard alentours, releva légèrement le rideau du couloir, et à la
lueur de celui-ci; il hissa sa valise dans le porte-bagages. Franck, les
yeux mi-clos l'observait. Le militaire ôta sa chemise ainsi que son pantalon
et se glissa dans sa couchette, s'allongeant au-dessus du drap qu'il avait
juste déployé. En effet, il faisait chaud dans ce compartiment et Franck
lui-même s'était découvert le torse.
Le jeune homme paru sombrer dans le sommeil et Franck ferma les yeux et se
rendormit.

  Un cahot plus fort que les autres réveilla Franck. Il ouvrit les yeux et
se figea en apercevant la scène qui se déroulait dans la couchette en face.
Le jeune militaire avait ôté son slip et était maintenant allongé sur le
dos, nu. Sa main avait empoigné sa queue fine et pointue et la branlait
doucement. Il dégageait bien le gland effilé et se caressait les couilles
poilues de l'autre main. Ses reins se tendaient à chaque mouvement du bras
et il gémissait doucement. Il passait ses doigts sur la prune luisante de
son gland, variant les mouvements, repoussant parfois très loin le prépuce
de sa verge.
  Franck sentit un mouvement dans son slip. Il en était gêné car au cours de
la nuit, il s'était entièrement dégagé du drap qui lui couvrait le corps. Sa
propre queue grossissait rapidement et se trouvait maintenant comprimée dans
la pièce de tissu qui lui couvrait le bas-ventre. Sa position, couché sur le
coté, empêchait son dard de se développer entièrement. Il hésita longtemps à
changer de place, mais il du y arriver. Il essaya de le faire de la manière
la plus naturelle possible pour ne pas attirer l'attention. Il se retrouva
enfin sur le dos, mais maintenant, la bosse insolente que faisait sa queue
dans son slip ne pouvait passer inaperçue. Le jeune militaire avait arrêté
sa branlette lorsque Franck avait commencé à bouger. Il avait tourné la tête
vers le garçon et essayait maintenant de deviner les formes du corps de
Franck. Le bidasse se tourna légèrement vers Franck et tenant toujours sa
belle queue dans la main, il lança un regard inquisiteur vers le slip du
gamin. Franck intimidé mais aussi très excité commença à faire glisser,
centimètres par centimètres son slip vers ses chevilles, puis ni tenant
plus, se redressa rapidement et le retira complètement.

  Le jeune bidasse eut alors un geste qui dépassa Franck. Il alluma la
petite lumière placée à la tête de sa couchette et Franck pu enfin détailler
le corps nu de son compagnon de voyage. Le rayon de lumière, comme un fait
exprès, éclairait en plein la verge rouge de plaisir de l'homme. Conscient
que son propre corps restait un peu dans l'ombre, Franck, emporté par l'
érotisme de la scène, alluma lui aussi sa propre lampe. Aussitôt, il pu
sentir les yeux de son vis-à-vis glisser sur son jeune corps imberbe. Sa
jeune verge se dressait fièrement au-dessus de son pubis et de ses couilles
parfaitement vierge de poils. L'homme, ne le quittant pas des yeux,
recommença sa branlette, l'invitant d'un regard à l'imiter. Il laissa alors
sa petite main prendre sa verge fermement et il commença à faire coulisser
la peau tendre d'avant en arrière. Les deux garçon se branlaient maintenant
sur le même rythme, étudiant le plaisir qui montait chez l'autre. Franck
sentit soudain la respiration du bidasse s'accélérer, vit son corps se
tendre, et un écheveau de sperme jaillit de la queue de l'homme. Plusieurs
jets puissants s'écoulèrent de la verge et se spectacle fit jouir Franck
immédiatement. Il sentit ses couilles se rétracter, son bassin se raidir et
le foutre monter dans sa queue. Le jaillissement fut puissant, au point que
plusieurs gouttes de sperme atteignit ses joues et ses lèvres. Entrouvrant
la bouche, il goutta pour la première fois, la saveur du foutre d'homme. Un
peu honteux, les deux garçon éteignirent leurs lumière et se rendormirent.

  Ce fut le soleil qui réveilla Franck. Un coup d'oeil vers la couchette en
face lui apprit le départ du bidasse. Il ne l'avait pas entendu et pensa que
ça n'en était que mieux. Un mouvement sur la couchette du dessous lui appris
le réveil de sa jeune soeur. Comme il était encore nu, il attrapa vivement
son slip et l'enfila. Il se frotta le torse afin de faire disparaître les
traces de sperme de la veille, puis se penchant au bord de sa couchette,
souhaita le bonjour à Camille. La gamine, encore rose de sommeil sourit à
son frère et referma les yeux. Elle du pourtant les rouvrir sur les
injonctions de son frère, en effet ils allaient arriver quelques temps après
à leur destination.




2




  Claudine Martet était arrivée en retard à sa garde de nuit à l'hôpital. Sa
collègue était restée gentiment à son poste, façon d'exprimer à Claudine,
son amitié. Elles étaient toutes les deux dans le vestiaire et Sophie, sa
collègue, lui passait les consignes. Assise sur le banc, elle regardait
Claudine qui se préparait à prendre son service. La jeune femme observait
les doigt de son amie déboutonner le léger chemisier et le faire glisser de
ses épaules. Comme à chaque fois, la vision des deux beaux seins ronds et
fermes la fit sourire. Cette Claudine décidément n'avait aucune pudeur. Elle
détaillait les pointes arrogantes des seins lorsque Claudine retira sa
courte jupe puis après un moment d'hésitation, son slip transparent. Se
penchant en avant, elle laissa entrevoir à Sophie, le petit trou de son anus
et les jolies lèvres délicatement ourlées de sa chatte.
  Excitée par cette vision, Sophie se leva et retira sa blouse blanche. Son
corps d'ébène apparaissait maintenant, seulement vêtu d'un mignon slip noir
qui moulait ses fesses. Ses petits seins, comme ceux d'une gamine, se
dressaient arrogants et les pointes démesurées de ses tétins pointaient d'
excitation. Elle s'approcha de Claudine qui commençait à enfiler sa blouse.
Un mouvement derrière elle la fit se retourner, et elle ressentit un choc
dans les reins lorsqu'elle vit Sophie retirer sa culotte devant elle. Ce n'
était pas la première fois qu'elle la voyait nue, mais l'ambiance érotique
qui régnait ce soir la troublait énormément.

  La jeune noire exhibait volontairement sa nudité à son amie. Les yeux de
Claudine parcouraient le corps de la jolie infirmière et s'attardèrent sur
le minou entièrement épilé de sa copine. Celle-ci, amusée par la réaction de
Claudine, desserra les cuisses et passa doucement sa main sur son pubis
glabre. Sa fente rosâtre s'entrouvrit et Claudine put détailler les replis
intimes de son amie. Sophie doucement s'approcha de Claudine, puis lui
prenant la main, la posa doucement sur la peau tendre et fraîche de son
bas-ventre. L'absence de poils à cet endroit rendait la caresse très
excitante et Claudine, glissant un doigt un peu plus bas, sentit une fraîche
humidité suinter de la fente de son amie.

  Une sonnette retentit, et rappelée à l'ordre par celle-ci, Claudine se
dégagea et jetant un regard alangui à la jeune noire, se glissa dans le
couloir en finissant de boutonner sa blouse. Restée seule dans le vestiaire,
Sophie soupira puis se rhabilla tranquillement et repensant à l'émoi qu'elle
avait suscité et ressenti, quitta l'hôpital en souriant.

  Claudine, tout en vaquant à ses occupations de garde de nuit, ne pouvait s
'empêcher de repenser à la scène du vestiaire. Elle n'avait plus ressentit
ce genre d'excitation pour une femme, depuis le lycée. La chaleur qui
continuait à irradier dans son ventre lui rappelait le désir qui vivait
toujours en elle. Depuis le départ de son mari et son divorce, elle n'avait
eu que peu de rapport sexuels satisfaisant et le regrettait maintenant. Bien
sur, elle se branlait régulièrement mais cela ne lui suffisait plus.
  Un signal d'appel retentit doucement au fond du couloir. Un coup d'oeil
aux voyants et elle su qu'il provenait de la chambre de l'adolescent qui s'
était brisé les deux bras à la suite d'un accident. Ce pauvre garçon de 16
ans, l'air sérieux et triste, restait souvent seul toute la journée, ses
parents ne venant le voir que très rarement. Au début de son
hospitalisation, il était resté solitaire longtemps et les infirmières
passaient souvent le voir dans la journée. Mais comme il ne répondait que
rarement à leurs conversations, elles avaient elles aussi abandonné.
Claudine se rendit silencieusement à la chambre et ouvrit la porte. L'ados
était allongé dans son lit, les deux bras plâtrés et retenus au dessus de
lui par une potence médicale. L'ados, gêné, expliqua à Claudine, son besoin
d'uriner. En effet, il était resté un moment avec une sonde urinaire, mais
pour son confort, on la lui avait retirée dans la journée.

  Attrapant un urinal posé sous le lit, et avisant le handicap de l'ados,
Claudine comprit rapidement l'air gêné de celui-ci. L'assurant de son
habitude, elle fit glisser le drap qui recouvrait le jeune homme. Glissant l
'instrument entre les cuisses du garçon, elle ouvrit le pantalon de pyjama
et glissa sa main dans l'entrejambe. Elle fut surprise par la taille de la
verge au repos du garçon. Bien supérieure à celle qu'elle rencontrait
habituellement, elle la prit entre ses doigts et la sortit au dehors.
recouverte sagement par son prépuce, la queue du garçon dépassait largement
de sa paume. Timidement et doucement, elle fit glisser en arrière le replis
de peau et fit apparaître le gland tout fripé. Glissant la tête de la bite
dans l'urinal, elle la maintint tranquillement jusqu'à ce que le garçon ait
fini de se soulager. Lorsqu'il eu terminé, elle tamponna délicatement le
gland et l'orifice de l'urètre avec une gaze puis se leva pour vider l'
urinal.
  A son retour, l'ados n'osait pas la regarder et cette attitude agaça
fortement Claudine. Décidée à lui faire perdre son air de martyr, elle s'
approcha de son lit et se pencha doucement, laissant apparaître son sein
gauche par l'entrebâillement de sa blouse. Sa position penchée fit relever
le tissu tendant ses fesses cambrées et elle avança doucement sa cuisse pour
l'appuyer sur le lit. Le bouton situé en bas de sa blouse se défit et l'ados
pu se rendre compte qu'elle ne portait absolument rien sous sa blouse. Un
tressaillement parcouru le corps du garçon et Claudine en profita pour
prendre délicatement la grosse verge dans sa main, comme ci elle voulait la
remettre dans le pyjama. Mais elle sentit que la consistance de la queue se
modifiait entre ses doigts. Désirant jouer avec le garçon, elle fit
parcourir à sa main, le trajet jusqu'au couilles légèrement poilues, et elle
apprécia le développement de l'engin. La queue se redressait par à-coups, s'
élargissait et se tendait vers le plafond. Ce gamin avait vraiment une queue
énorme. Claudine entretenait cette fabuleuse érection par des frôlements,
des caresses subtiles, puis, empoignant l'énorme mentule, elle fit
apparaître le gland maintenant luisant et violacé du garçon. Tournant la
tête vers l'ados, elle lui demanda s'il se branlait souvent. Une dénégation
de la tête du gamin lui fit comprendre qu'elle avait affaire à un vrai
puceau. Cette idée la troubla tellement qu'elle sentit couler entre ses
cuisses, une mouille de jouissance. Elle venait de jouir uniquement par la
pensée.

  Relâchant l'énorme queue, elle se tourna vers l'ados et retira sa blouse.
Elle lui apparu entièrement nue, les seins braqués vers lui, les cuisses
entrouvertes. Puis elle se pencha vers le gland entièrement découvert et le
goba dans sa bouche. Les reins de l'ados se cambrèrent et elle fit entrer un
peu plus du gros morceau de chair entre ses lèvres. Entreprenant de sucer la
queue du mieux qu'elle pouvait, elle faisait glisser sa langue sur toute la
longueur l'engin, massant d'une main les couilles du garçon. Ce traitement
vint à bout rapidement de l'ados. Poussant un cri d'extase, il éjacula
violemment dans la bouche de son infirmière. Les puissants jets de foutre
glissèrent au fond de la gorge de Claudine et elle les avala, dégustant le
goût âcre de la semence du garçon.
  Claudine n'avait pas relâché la grosse verge et continuait de la sucer. A
son âge, le gamin ne tarderait pas à rebander comme un chef. De ses deux
mains; elle ôta entièrement le pantalon du garçon, et lui écartant les
cuisses, elle entreprit de lui sucer les couilles et le trou du cul. Décidée
à le faire bander, elle reprit la queue dans sa bouche et introduisit
doucement son index dans le fondement de l'ados. Une impulsion de la verge
entre ses lèvres lui fit comprendre qu'il aimait cela et elle entra son
doigt le plus loin possible, lui touillant les intestins.
  La queue du gamin avait reprit une taille respectable, et une fermeté de
bon aloi. Le gland était à nouveau déployé et le sang battait dans toute la
hauteur de la bite. Claudine soudain enjamba le jeune patient, et le fixant
dans les yeux, elle empoigna la queue dans toute sa splendeur et l'ajusta à
l'entrée de sa chatte béante. Elle introduisit le gros gland mafflu et, d'un
coup de rein progressif, elle accueilli la totalité de la verge à l'
intérieur de sa chatte trempée. La sensation de plénitude que Claudine
ressentit alors la fit jouir immédiatement et elle s'abattit sur le torse du
garçon. Celui-ci sentait les parois vaginale de la femme lui masser la queue
au rythme de sa jouissance. Cette sensation lui procurai un bien fou mais
pourtant, il savait d'instinct qu'il pouvait mieux faire. donnant un léger
coup de reins, il ressortit un peu sa queue du trou béant et l'entra de
nouveau. La facilité avec lequel il avait réussi cela lui fit recommencer la
manoeuvre. Des flots de mouille lubrifiait cette pénétration et l'ados
maintenant, défonçait la chatte de l'infirmière. Celle-ci râlant et bavant,
se mit elle aussi dans le rythme et lança son bassin à la rencontre du gros
braquemar du garçon. L'amplitude des mouvement augmenta et la cadence de la
pénétration accéléra. Des râles sourdaient des gorges des deux partenaires.
Claudine qui venait de jouir à nouveau, sentit soudain la grosse queue de l'
ados se figer au fond de sa chatte et exploser de plaisir, les flots de
sperme venant frapper violemment le fond de son utérus. Elle cru que l'
éjaculation ne finirait jamais et elle eu l'impression que des litres de
spermes étaient entrés en elle.

  Après une visite nécessaire à la salle de bain et après avoir doucement
nettoyé les traces de cette baise sauvage, Claudine laissa son jeune amant s
'endormir, un peu gênée de ces débordements qu'elle avait provoqués.













3





  Franck et Camille avaient été accueillis à la gare par leur oncle préféré
: Gilles. En fait, ils n'en avaient qu'un et l'adoraient. Ils leurs faisait
toujours des petits cadeaux et leurs donnait plus d'argent de poche que leur
maman. C'était un bel homme célibataire d'une trentaine d'année, et il
gagnait fort bien sa vie comme photographe-illustrateur. La route jusqu'au
mas retiré de Gilles fut émaillée d'éclats de rire et de démonstration de
joie. Les enfants reprirent rapidement leurs marques après avoir retrouvés
leur chambres respectives, et refait connaissance avec Rex, le labrador de
la maison.

  La journée s'était passée le mieux du monde, les enfants avaient
réexplorés l'immense jardin, avaient admirés le nouveau matériel de photos
numérique de leur oncle puis en fin d'après-midi, s'étaient baignés dans la
grande piscine. Gilles, allongé en short sur un transat au bord du bassin,
regardait son neveu et sa nièce s'ébrouer dans le bassin. Elle comme lui ne
portaient qu'un petit maillot de bain, celui de la petite fille rendu
presque transparent par l'humidité. La raie de ses fesses se dessinait
joliment sous le tissu couleur corail. L'oncle détaillait aussi la minceur
du torse de Camille et le comparait au torse blanc de Franck, déjà un peu
musclé, comme l'est celui es jeunes garçons. Une idée lui courait dans la
tête depuis l'année précédente et il espérait qu'il arriverai à la mettre en
pratique. Gilles s'excitait à cette idée, et il décidât de la mettre en
route le soir même.


  Le repas était achevé depuis longtemps quand Camille, un peu somnolente,
décida de monter se coucher. Gilles lui proposa de l'accompagner et invita
Franck à choisir un programme TV ou une cassette vidéo classées dans le
placard. Il espérait ainsi conserver le jeune garçon dans l'immense salon.
Arrivés dans la chambre de la gamine, il lui ouvrit son lit, lui proposant
de l'aider à se déshabiller. La petite qui pourtant le faisait seule depuis
quelques mois, accepta de bon coeur, se rappelant les chatouilles qu'il lui
prodiguait l'année précédente. Agenouillé devant elle, il déboutonna
tranquillement la courte robe bleue de la gamine et la lui ôta. Elle apparu
vêtue seulement d'un joli petit slip blanc qui lui moulait le pubis et les
fesses joliment rebondies. Gilles fit glisser ses mains douces sur le torse
de la gamine, agaçant un peu les petites aréoles des futurs seins de sa
nièce puis les fit glisser sur les flancs palpitants. Il commença des
discrètes chatouilles puis amplifia celle-ci. La gamine se tortillait,
retenait son rire, puis éclater sa joie. Elle se pliait dans les bras de
Gilles et celui-ci en profita pour effleurer les fesses et l'intérieur des
cuisses de la gamine. La présence de Franck dans le salon lui fit
interrompre ses caresses et il laissa la petite se glisser dans le lit, puis
après l'avoir embrassée à la commissure des lèvres, il sortit de la chambre.

  Franck, pendant ce temps, avait écumé toutes les chaînes sans rien trouver
de passionnant à regarder. L'été précédent, son oncle et lui avaient passés
de longues soirées comme celle-ci. Il aimait bien son oncle, même quand
celui-ci le frôlait de ses mains. Il lui posait souvent la main sur les
cuisses, sur les hanches et Franck reconnaissait le trouble que cela lui
apportait. Souvent, assis tous les deux dans l'immense canapé, il sentait la
douceur de la cuisse de son oncle le long de la sienne, et surprenait les
regards intenses qu'il lui lançait.
  Il était debout devant l'immense armoire où son oncle rangeait ses
cassettes vidéos et hésitait entre un film de SF ou un concert d'un groupe
de hard-rock lorsqu'il se rendit compte que la porte du haut était
entrouverte. Il s'était souvent demandé ce que contenait cette partie de l'
armoire. Jetant un regard circulaire vers la porte d'entrée, il inspecta
cette nouvelle partie de l'armoire. Il y avait là des disquettes d'
ordinateur, des CD rom et des cassettes vidéos sans jaquettes. Il en prit
une au hasard et ne vit indiqué sur l'étiquette que : " Ibiza 1998". Que
pouvait-il y avoir dessus ?

  Lorsque Gilles entra dans le salon, il vit son neveu, une cassette
extraite de sa collection personnelle à la main. Il avait laissé cette
partie de l'armoire ouverte, en espérant que la curiosité du gamin ferait
son oeuvre. Il était passé par sa chambre auparavant et avait remplacé son
pantalon de toile par un short blanc et s'était mit torse nu. Le bruit qu'il
fit en refermant la porte fit se retourner son neveu. Il était toujours en
caleçon de bain et portait une chemisette ouverte. Il ne savait que faire et
bafouilla un peu lorsque son oncle lui demanda ce qu'il avait trouvé à
visionner. Le gamin tendit la cassette mystérieuse à son oncle qui le
regardait intensément. A la demande du petit, l'oncle lui expliqua que c'
était une cassette sur les vacances d'un groupe d'enfants. Gilles proposa à
Franck de la regarder et le garçon, curieux, hocha la tête.

  Ils étaient maintenant installé dans le canapé, face à l'immense écran de
la TV. La cassette avait été glissée dans le magnétoscope et Gilles
enclencha la touche Play de la télécommande. Le film commença par un long
travelling sur une superbe plage de sable fin. L'objectif se fixa sur un
groupe de jeunes gens qui approchaient. Franck tressailli lorsqu'il se
rendit compte que les enfants étaient nus. Il pouvait maintenant détailler
les petites verges qui reposaient sur des couilles imberbes. Les gamins de
10 à 12 ans se tenaient par la taille et semblaient beaucoup rire. La caméra
s'attarda sur les sexes au repos des gamins, tournant autour d'eux pour leur
filmer les fesses intégralement bronzées. Franck n'osait plus tourner la
tête vers son oncle, hypnotisé par les images. Le plan d'après montra les
gamins allongés sur de grandes serviettes, les cuisses ouvertes et leurs
petites queues offertes à la caméra. L'air sérieux, les enfants avaient
empoignés leurs verges et commençaient une lente branlette, dégageant au
maximum leurs petits glands maintenant rouges d'excitation. Cette image
rappela à Franck l'extraordinaire jouissance qu'il avait ressenti dans le
train. Il sentit son ventre se nouer et ses cuisses se crisper lorsqu'un des
gamin, le plus jeune visiblement, se pencha vers son ami et se mit en devoir
d'avaler la belle petite érection. En voyant les jeunes joues se gonfler
autour de la prune violacée, Franck sentit son sexe se gonfler. Son érection
se déploya rapidement et vint tendre le tissu de son caleçon. Il coula un
regard vers son entre jambe et il vit avec effroi une grosseur énorme qui
déformait son short.

  Le gamin sur l'écran avait bu la semence de son ami et souriait à la
caméra lorsque un homme apparut. Il retira le pantalon qu'il portait et
exhiba un énorme sexe en érection. Franck poussa un soupir et se raidit
lorsqu'il vit les trois gamins empoigner cette énorme queue et la sucer à
tour de rôle. Ils enfournaient avec gourmandise le gros gland violacé de l'
homme, et ne cessaient de se branler eux même. La queue de Franck était
dressée maintenant, excitée par ce spectacle. Il tressaillit lorsqu'il
sentit la douce main de son oncle se poser sur sa cuisse. Il ne pouvait plus
se concentrer sur l'écran attentif aux sensations nouvelles que lui
procurait les mouvements insidieux de cette main. Son oncle la faisait
glisser doucement vers l'intérieur des cuisses, là où la peau est plus
tendre, s'insinuait à l'intérieur de la jambe de son caleçon, venant frôler
le bas de ses couilles. Puis soudain, la main quitta la cuisse et vint se
poser à la limite de l'élastique de son caleçon, puis elle s'insinua à l'
intérieur. Elle se glissa entre sa verge en érection et son pubis puis
remonta et commença à faire descendre le caleçon sur ses cuisses. Franck,
les yeux fermés, souleva doucement ses fesses pour faciliter son déculotage.
La main douce de son oncle lui saisi sa queue raidie par l'excitation et
doucement, progressivement, lui décalotta le gland. Une paume chaude glissa
sur celui-ci, comme pour tester la douceur de la chair. Puis son oncle
commença un lent mouvement de bas en haut, enveloppant la totalité de la
verge dans sa main. Franck ouvrit les yeux, se tourna vers son oncle et lui
sourit. Il contempla la nudité de gilles, ses yeux s'attardant vers la queue
dressée de son oncle. Elle vibrait de désir, très longue mais fine et
pointue. Franck la compara à la bite plus trapue du bidasse et estima qu'il
préférait celle de Gilles.

  L'oncle contemple la belle érection du jeune garçon, se régalant des
frissons qu'il faisait naître dans ce jeune corps. Franck s'offrait
maintenant totalement aux caresses, écartant ses jeunes cuisses afin de bien
dégager les couilles frémissantes. Il osa un geste vers la queue dressée de
l'homme assis à coté de lui. Le contact de la verge au creux de sa main lui
arracha un gémissement. Jamais il n'avait ressenti un plaisir aussi extrême.
Il branla doucement la queue dressée de son oncle, le regard fixé sur l'
écran de télé. La scène avait changé : il vit entrer un couple bronzé suivi
par une garçon et une fille. Ils ressemblaient étonnement à la femme et
Franck compris que c'étaient les enfants du couple. La fillette s'approcha
de son papa et, lui ouvrant la braguette de son pantalon, glissa vivement la
main à l'intérieur. Elle la ressorti aussitôt, tenant une superbe verge déjà
à demi dressée. approchant la tête de cet engin, elle enfoui vivement la
mentule dans sa jeune bouche. L'étrangeté de la scène fit presque jouir
Franck. son oncle qui avait ressenti le sursaut violent du gamin cessa
immédiatement ses caresses puis se laissa glisser sur les genoux et approcha
sa tête de l'entrejambe du petit.

  Franck n'osai plus bouger, il sentait le souffle chaud de son oncle sur
ses petites couilles contractées et attendait le contact plus intime de la
bouche de l'homme. Celui-ci effleura l'intérieur des cuisses puis les boules
fermes des couilles avec sa langue. la verge du gamin pulsait d'un désir
retenu et le gémissement rauque du gamin fit sentir à gilles que l'enfant
était désormais tout à lui. Lorsqu'il pris enfin la queue dans sa bouche et
qu'il la fit glisser jusqu'au fond de sa gorge, le gamin cria de plaisir et
se vida presque aussitôt. Les jets de sperme juvéniles vinrent frapper le
fond de la gorge de l'oncle qui avala avec délectation, cette preuve de
jouissance intense de l'enfant. Laissant enfin la verge luisante, l'oncle
fit glisser sa langue sur les couilles puis sur l'anus dilaté du garçon. Il
poussa, entra le plus loin possible la langue à l'intérieur du fondement,
saliva abondamment dans le trou et fit enfin glisser un doigt dans le cul du
gamin. Franck se prêta à cette intrusion et essaya de faciliter l'entrée du
deuxième puis du troisième doigt. Il se sentait pénétré jusqu'au fond de ses
intestins et tout en laissant son oncle faire, empoigna sa jeune queue qui
revenait à la vie. Il savait d'instinct ce que son oncle allait lui faire et
malgré la douleur qu'il imaginait, était prêt à accepter cette partie de son
initiation.

  Gilles glissa une main dans le tiroir de la table basse et la ressorti
avec un tube de lubrifiant. Il en badigeonna copieusement l'anus du gamin,
enfouissant ses doigts glissant dans les entrailles de son neveu. il le prit
enfin par les cuisses, invitant le gamin à dégager entièrement le trou de
son cul, puis dardant sa verge dure comme de la pierre, il se la lubrifia
soigneusement. Il approcha le gland effilé et luisant de la rosette du gamin
et commença doucement à pousser. Après un moment d'une douceur infinie, le
gland réussi à se glisser dans les entrailles du gamin. Celui-ci laissait
échapper un gémissement continu, concentré sur la sensation de plénitude que
lui apportait cette lente pénétration. Exaspéré par la lenteur de la
progression, Franck donna un léger coup de reins, invitant ainsi son oncle à
parfaire l'enculage. Gilles amplifia sa poussée et un cri strident
accompagna l'intrusion complète de l'anus. Après un long moment de
plénitude, il commença un léger va et vient dans le cul de son neveu, lui
arrachant des sanglots de souffrance. Il sentait sa verge comprimée par les
parois internes de l'enfant, puis petit à petit une aisance plus importante.
Les mouvements régulier de son bassin se faisaient plus amples, plus
réguliers. Il déculait presque à chaque mouvement, amenant le gland de sa
queue presque au bord du trou écarquillé. La vergette du gamin recommençait
à gonfler et Gilles, prenant un peu de lubrifiant, vint la branler à l'aide
de mouvements rapides et fermes. Il défonçait maintenant l'anus de l'ados,
gouttant cette sensation inouïe du dévergondage d'un gamin. Franck venait de
gicler encore une fois lorsque Gilles sentit le sperme monter dans ses
reins. Retirant vivement sa queue du fondement de l'enfant, il laissa
éclater sa jouissance en aspergeant de plusieurs jets puissants, l'abdomen
et la poitrine de l'enfant.

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