LE COUP DE FOUDRE Disclaimer: Ceci est une histoire de fiction. Ne pas essayer à la maison. Cette histoire peut être librement distribuée sur tout site gratuit. Bienvenue aux commentaires, positifs ou négatifs, à l'adresse garnements@fastmail.fm Elle m'emmenait son fils de 2 ans en disant: -L'important, c'est qu'il reçoive une bonne fessée. Pour le reste, tu as carte blanche, mais je veux que son derrière soit bien marqué quand je reviendrai le chercher. J'avais peine à en croire mes oreilles. Je la rassurai, tout en faisant déja mentalement divers plan pour ce petit qui ne se doutait encore de rien. Dilatation anale, nipples work, travail intense des petites couilles, etc. Puis il me sourit. En un éclair, tout bascula, J'étais tombé amoureux. C'était bien la première fois. Ne sachant trop comment réagir, je lui donnai mon doigt à sucer. J'éprouvais un grand sentiment de tendresse pour ce petit bout, un sentiment que je n'avais jamais eu jusque-la. Pas au point de ne plus vouloir le faire souffrir, mais tout était différent maintenant. Je ne voulais plus le punir, ou lui faire mal, mais lui faire prendre la douleur pour moi. Le serrer dans mes bras et le consoler, le féliciter d'être aussi brave, plutot que de le laisser étendu sur ma table comme un jouet. Je voulais gouter ses larmes, lui murmurer des mots doux a l'oreille. Ne laissant rien paraitre, je lui souhaitai un bon week-end, lui disant qu'elle pouvait venir le reprendre dans l'après-midi du lendemain. Une fois seul avec lui, je lui enlevai le pantalon et la culotte d'entrainement. Il ne portait plus qu'une camisole blanche, que je souhaitais remplacer. Je le portai jusqu'à l'étage, où je trouvai exactement ce que j'avais en tête, un joli chandail rose bonbon. Après le lui avoir enfilé, je m'assis, lui bien calé sur mes genoux, et je commençai à le tripoter. Je lui disais comme il était belle, tout en jouant avec son petit pénis immature. Normalement, il serait déja en train de souffrir de terribles douleurs, mais comme je le disais, d'un simple sourire, il m'a volé mon coeur. Il gazouillait sur mes genoux, j'étais complètement séduit. Après une vingtaine de minutes de ces jeux, je décidai qu'il avait tout de même besoin de goûter un peu a la discipline tout de suite, aussi je le ramenai en bas pour lui présenter la règle et la cuillere de bois que j'utilise sur les petits garçons. Après l'avoir positionné correctement, bien ligoté sur ma table rembourrée, je m'attaquai à ses couillettes avec la cuillère de bois. Bien évidemment, il gigota et se débattit dans ses liens, mais les lanières de cuir qui l'immobilisaient étaient solides et rapidement, il cessa de lutter et resta immobile, essayant de son mieux de résister à l'assaut. Cette capitulation hâtive ne changea en rien ma détermination à donner à ses couilles un traitement des plus sévères, aussi je m'acharnai sur son entrejambe longtemps après qu'il soit tombé dans la passivité la plus complète, exténué et en larmes, mais n'ayant plus la force de crier. Quand finalement je m'arrêtai, j'étais certain d'une chose: ce garçon était fait pour moi et deviendrait mien. |