LE CADEAU [ part 3 ] La maison était assez grande, prestement posée au centre d’un vaste parc ceinturé par un mur en pierre (autant dire que nous étions tranquilles). Il y avait deux étages - hors sous-sol et comble -ainsi que deux larges terrasses sur les flancs sud et ouest de l’édifice. Cela faisait une petite demi-heure que moi et Pierre étions dans la cuisine - afin de satisfaire une petite faim - et nous décidâmes d’aller visiter la chambre d’Emilie. Lorsque nous commençâmes à monter l’escalier nous vîmes, au niveau de la dixième marche, un petit papier avec les mots suivant écrits soigneusement à son envers : « je ne vous donne pas trois heures pour découvrir ce mot ainsi que la surprise qui vous attends au-dessus… Porte du fond à droite de l’escalier. Signé : X ». Dois-je préciser l’excitation qui nous prit moi et Pierre, ainsi que la satisfaction de constater que notre ami savait mal jauger de notre patience (nous en étions déjà aux environ de 19h) mais bien de nos instincts ? Nous pressâmes donc le pas en direction de cette « chambre du fond » et ce que nous vîmes nous combla littéralement de joie. Nous devions être dans la chambre d’Emilie, mais en lieu et place de celle-ci se trouvait allongée dans son lit une autre jeune fille… Elle était blonde et devait avoir dans les quinze ans. Elle était vêtue d’une simple culotte blanche très serrée, ses deux pieds étaient ligotés à deux extrémités du lit tandis que ses mains étaient liées dans son dos ; ses yeux étaient bâillonnés d’un épais scotch opaque et un écarteur en latex noir entravait sa bouche. Nous remarquâmes qu’une légère proéminence déformait son sous-vêtement - elle devait avoir un gode anal disposé à son endroit - et nous constatâmes enfin que ses tétons étaient ligotés fermement par un fil en nylon aux pieds du lit, ce qui l’empêchait de se mettre à genoux ou bien tout simplement de bouger convenablement. Cela provoquait de même une douleur constante qui la faisait gémir continuellement… Il y avait par terre un gode anal de dimension dantesque avec un mot à son côté de la même écriture que le précédent : « depuis le temps elle doit être prête pour celui-ci, je vous en prie » et à son envers (notez l’ironie) était noté : « PS : filmez ça s’il vous plaît ». Nous prîmes donc sans nous faire prier la caméra posée en évidence sur l’un des bureaux que comptait la vaste chambre, et commençâmes par enlever l’objet qui entravait ses fesses depuis… Depuis quand nous ne savions pas ! Nous écartâmes d’abord doucement les bords de la culotte et découvrîmes - en même temps que ce fantastique cul imberbe qui nous souriait - un embout en métal, peut-être de l’inox, qui en dépassait d’un petit centimètre. L’embout lui-même était déjà conséquent et lorsque nous tirâmes dessus la gamine se mit à gémir fortement. Nous commençâmes à forcer un peu mais le gode ne voulait pas sortir, et nous voulions la garder prête pour celui - immense je dois l’avouer -que nous étions censés installer à la place de celui-ci : il ne fallait donc pas forcer. Je descendis dans la cuisine chercher un liquide graisseux, et ramenai du beurre ainsi que de l’huile. Nous en badigeonnâmes aussitôt largement les fesses de la jeune fille, non sans élargir doucement au passage son anus en y insérant de temps à autres un ou deux doigts qui la faisaient gémir et baver -sentant au passage, et avec intérêt, la masse d’inox qui se trouvait à l’intérieur -. Après une dizaine de minute de cette opération, mon compère introduisit deux de ses doigts dans le cul de notre nouvelle amie et, pendant qu’il écartait son orifice, je commençai doucement à retirer le gode qui, à l’aide des masses graisseuses, sortait peu à peu. Il fallu bien cinq minutes pour le sortir intégralement sans qu’elle eut trop mal, car il s’était avéré faire une bonne quinzaine de centimètres de long, sur bien deux fois cinq centimètres de diamètre (deux formes ovoïdes sur la longueur, comme une onde). On la sentait essoufflée, elle haletait, et ses fesses étaient évidemment bien dilatées. Nous prîmes alors sans attendre l’énorme dildo d’acier qui trônait au pied du lit et le mirent dans ses mains, de manière à ce qu’elle puisse jauger de ce qui l’attendait : il faisait presque vingt cinq centimètre de long, et trois ondes allaient en grossissant en direction de la base, la plus grande faisant bien dans les huit centimètres de diamètre… La première « onde » rentra sans trop de difficulté. Pour prévenir ses cris nous lui avions ôté l’écarteur de la bouche pour le remplacer par une gagball avec pénis (elle aussi posée près du lit) qui lui prenait tout l’intérieur de la cavité buccale - de fait elle ne pouvait que pousser des gémissements qui ressemblaient presque à des soupirs -. Entre les deux elle nous avait supplié de ne pas « mettre le truc » dans ses fesses… que nenni. Elle remua fortement lors de la deuxième « onde » : le gode eut alors du mal à rentrer, et il fallu bien deux à trois minutes pour le voir disparaître dans son orifice. Nous pensâmes alors à notre ami au sous-sol, et décidâmes d’un commun accord, malgré notre excitation grandissante, de lui faire partager l’insertion de la troisième « onde ». Pour son malheur nous retirâmes doucement l’objet pour mieux recommencer en bas, nous détachâmes les fils de nylons non pas de ses seins mais des pieds du lit, puis ses pieds, nous la soulevâmes par sa queue de cheval doucement et prirent le chemin de la cave… Lorsque nous arrivâmes Matthieu était dans la gorge d’Emilie. Ses mains à elle étaient toujours liées dans son dos mais une masse complexe de cordes semblait fixer son visage au pubis de notre ami : effectivement elle ne pouvait que très légèrement bouger et se retrouvait obliger de sucer la quasi intégralité du membre qui encombrait sa bouche. Elle était sujette à de forts halètements, des nausées constantes, et son corps admirable frémissait de convulsions. D’importants filets de bave coulaient de sa bouche et Matthieu, confortablement assit, semblait savourer l’instant. Lorsqu’il nous aperçu avec (désignons là par) « Valérie » ses yeux s’écarquillèrent de joie. Nous lui fîmes signe de ne pas bouger -le spectacle d’Emilie à genoux, tremblante, poussant divers sons venus de sa gorge, le fessier offert, était des plus excitant - et nous nous installâmes en face d’eux. Nous détachâmes les mains du dos de Valérie pour mieux les lier à une accroche située au plafond de manière à ce qu’elle soit exactement sur la plante de ses pieds lorsqu’elle se tenait à la verticale. Elle faisait face à un poteau sur lequel, à hauteur de son visage, nous fixâmes un gode en latex noir relativement conséquent : après avoir retiré la gagball à pénis qui lui bâillonnait la bouche, c’est un dildo d’un autre calibre qui vint la mettre dans la même position qu’Emilie, en ce sens que par le biais d’un système de harnais nous lui fixâmes le visage contre le poteau, de manière à ce que le dildo qui y était fixé toucha presque sa gorge et lui empli toute la bouche, sans qu’elle puisse rien faire pour l’y ôter. Les halètements furent instantanés. Nous écartâmes ensuite ses jambes à l’aide d’une barre en métal relativement longue dont chaque embout était fixé à l’une de ses chevilles. Sous ses talons nous fixâmes enfin des cales en acier reliées à une batterie électrique, elle-même reliée par des câbles à diverses zones érogènes de son corps ainsi posé : tétons, clitoris et oreilles. Le principe était simple : elle était dés lors obligée de se tenir sur la pointe des pieds car au moindre relâchement ses talons touchaient les cales qui libéraient automatiquement de l’électricité en direction des zones concernées. Lorsque nous activâmes la batterie un gémissement mêlé de cri nous signala qu’elle avait elle-même compris la chose. Nous commençâmes l’insertion du gode laissé par notre hôte. La première « onde » passa donc sans grande difficulté, la seconde demandant encore un peu de temps : son anus s’écartait alors grandement, et son souffle semblait comme posé dans le vide, elle ne respirait alors presque pas, attendant que la chose aie pénétré dans son intégralité. La seconde onde passée elle eut un « relâchement », ce qui eu pour effet immédiat de l’électrocuter et de lui faire pousser un cri des plus aigus. Elle commençait à pleurer. Nous prîmes alors deux chaises et nous nous installâmes à côté de notre ami qui se faisait tranquillement sucer, et nous nous masturbâmes calmement en la regardant sangloter. On pouvait voir ses mollets trembler sous l’effort, et nous n’attendions que la prochaine décharge, nous demandant combien de temps elle allait ainsi tenir. Le dildo était dans ses fesses bien enfoncé et calé, et la troisième « onde » posait comme en apesanteur devant son cul, tremblant en même temps qu’elle, attendant son tour. Nous restions là à jouir du spectacle, nous masturbant avec délice, en prenant notre temps… Nous n’étions que vendredi soir, il était à peine 20h30, et nous avions quartier libre jusqu’à dimanche soir… Elle poussa un cri strident. |