LE CADEAU [ part 2 ] J'avais débandé. Après maintes éjaculations j'étais désormais au repos, mais toujours dans sa bouche. Intégralement, au chaud. Je lui tenais la tête des deux mains et la forçais à malaxer doucement le tout, appréciant la salive et ses glapissements. C'étais la phase d'accalmie. ses mains étaient toujours ligotées, j'étais assis sur une simple chaise, elle à genoux faisant son travail. On lui avait remis un gode anal préalablement enduit de graisse, et Pierre s'amusait calmement à le bouger par touches légères tout en se masturbant. elle était vraiment très belle, et voir ces fesses rondes, galbées, imberbes subir ce léger outrage étais un réel plaisir. Je sentais ses petits seins sur l'intérieur de mes cuisses. Je voyais sa bouche généreuse ouverte et remplie de mes chairs. Je recommencais doucement à bander. Je la prit par les cheveux et la relevai. Nous l'attachâmes par le biais d'un harnais les mains levées au plafond, si bien qu'elle devait se mette sur la pointe des pieds pour soulager ses poignets. Nous prîmes les contacts et autres éléctrodes que nous avait laissé Jacques et en fixâmes les origines à chaque extrémité sensible de son corps. Elle nous regardait en pleurant, n'osant rien dire ou exprimer. Elle poussa pourtant un hurlement délicieux lorsque la première décharge fit vibrer son bassin. elle tortillait des pieds, cherchant tant bien que mal à se soulager, à partir, s'enfuir, sans que rien n'y fut. A la seconde décharge Pierre accompagna l'épreuve d'un terrible coup de fouet. Troisième décharge. Quatrième décharge. Toutes les vingts secondes. Cinquième cri. Cri bref, aigu, intense, mèlé de sanglots, de peur, de souffle coupé. Claquement de fouet. Cri étouffé. La voir ainsi, nue, superbe au milieu de la pièce, offerte malgré elle, les mains entravées, la bouche salivant, se déhanchant en nous offrant la vue de ce corps trahi dans sa chair, était un spectacle en soi. Après un petit quart d'heure de ce jeu et avant qu'elle ne soit exténuée - façon de parler car elle était belle est bien haletante -nous la détachâmes et refixâmes les mains derrière son dos. Pierre amena une de ces boules gonflables que l'on lui mit dans la bouche. Nous appuyames sur la poire jusqu'à ce que ce sa bouche soit littéralement remplie et qu'elle ne puisse plus que professer d'inaudibles gémissements, après quoi nous fîmes de même avec son sexe : la boule était plus grosse, et l'on sentait bien qu'une masse gènante entravait l'intérieur de son bassin. Je ne saurais, honnètement, expliquer son regard. Nous étions tous les trois debout autour d'elle, et nou l'amenâmes très simplement jusqu'à une table dans un coin de la pièce où on l'obligea à allonger son torse dessus. Nous callâmes son cou entre deux accroches au sein desquelles nous fîmes couler une corde, de sorte qu'elle étais comme étranglée à même le bois - elle suffoquais légèrement -, les mains ligotées et relevées sur le dos tandis que son cul, seul orifice libre à ce moment, nous était offert. Je commençai le premier, et me frottai tout d'abord de longue minutes le sexe entre la raie de ses superbes fesses transpirantes, frôlant même d'excitation l'éjaculation. Je prit mon membre à pleine main, et commençai tout doucement mon office, son cul étant encore huileux des outrages postérieurs. Mon gland entra très naturellement, comme avalé en un instant par ce trou imberbe et entrouvert. Je laissai glisser doucement, la tenant par les hanches, l'écoutant haleter en retenant sa respiration, constatant un mouvement du bassin inutile d'esquive - elle essayait comme de s'éloigner de mon membre -, la regardant crisper ses doigts et s'étouffer de la boule gonflée dans sa bouche déformée, resserrant malgré elle les liens autour de son cou. Elle toussa - de l'eau sorti de son nez -, ce qui eu pour effet de terminer mon entrée : mon sexe avait littéralement disparu, j'étais tout entier en elle, et je pouvais voir ainsi mon pubis plaqué contre sa tendre chair. Je me reculai lentement, sur le même rythme, regardant mon membre sortir doucement de son cul, l'écoutant gémir et pleurer. J'avançai alors, doucement toujours, et commençai mes mouvements de va et vient pendant que mes deux amis caressaient ses cheveux, pincaient durement ses seins, la frappaient doucement au visage et sur le dos. J'allai et venai ainsi durant une bonne dizaine de minute avant d'éjaculer enfin, entièrement loti dans son merveilleux bassin. Je me retirais, exténué, excité, laissant la place à mes comparses, réfléchissant à la possible suite des évènements. Je voulais pour l'instant rester classique : ce qui m'intéressait, c'étais d'alterner les phases de redscentes et d'excitation, de profiter de son cul, et surtout de sa bouche. J'avais déjà envie de sa bouche. Je me savais pouvoir y passer des heures, des jours entiers. Il était encore tôt, à peine 18h... |