LE CADEAU [ part 1 ] Jacque nous avait laissé Emilie pour quelques jours. Nous étions tous amis de longues dates, et avions pour habitude d'organiser ce genre de week-end depuis plusieurs années. Habituellement nous prenions une prostituée relativement jeune ou nous nous déplacions dans des pays où il était possible d'acheter des "esclaves" sans problèmes, mais cette fois Jacques avait décidé de nous donner sa fille. Son unique souhait était de pouvoir filmer la scène. Nous étions arrivés en début d'après-midi et cela faisait une petite demi-heure que nous étions attablés dans la cuisine, à discuter des modalités du séjours : nous trouverions Emilie attachée dans la cave, le matériel vidéo filmait déjà depuis le matin, et Jacques nous avait spécialement acheté tout un assortiment de jouets dont nous saurions faire usage. Il ne voulait de nous aucune pitié, condescendance ou respect eut égard à la situationde notre nouvelle victime. Il termina son verre, inspira un grand coup, puis quitta la maison d'un pas franc et décidé. Notre réaction fut tout aussi immédiate : nous étions tellement excités à l'idée du week-end qui s'annonçait que nous filâmes vers la cave dés que la porte fut refermée. Jacques n'avait pas menti : Emilie était au milieu de la pièce, ses yeux étaient bandés et une énorme boule noire entravait sa bouche. Elle avait les mains liés dans le dos, était simplement vétue d'un maillot de bain deux pièces blanc que nous connaissions bien et était pendue à un tuyau du plafond qui la forçait à se tenir debout. En nous entendant arriver elle avait commencé à sangloter. Par terre étaient disposés godes de diverses dimensions, un générateur avec des fils et des broches, des cordes et autres spéculum, et une baignoire remplie d'eau ornait le coin de cette pièce de béton sans fenêtre. Nous entendions à l'avance les cri de la jeune fille. Je démarrai sans attendre, mes deux compères commençant à se masturber. Je m'approchai d'elle lentement, regardant son corps de 12ans déjà bien formé frémir et trembler. je la pris par sa queue de cheval après avoir défait les liens de son cou, et la serra contre moi. J'apprèciais sa résistance et je serrais et malaxais fermement ses fesses et ses seins tour à tour. Je la fit mettre à genoux, et enlevai impatiemment la boule de sa bouche. Je collai son visage contre mon caleçon, sa bouche contre mon sexe déjà dur. "-Ne mords pas, écoute bien ce conseil. Tu fera tout ce que nous voudrons, libre à toi de hurler, mais ne mord pas". Je m'assis par terre, l'"invitant" à s'allonger. elle avait toujours la bouche ouverte sur le tissu gonflé, elle pleurait, et de la salive commençait à sortir du coin de ses lèvres. Pierre se rapprocha, saisi un gode anal de dimension raisonnable, et vint s'asseoir en face de moi. Il commença à enfoncer le gode dans ses fesses sans avoir enlevé le maillot de bain. Emilie commençat à crier et à se débattre, ce qui m'excitait terriblement à la vue du maillot qui commencait à entraver ses fesses, des mains qui se crispaient, des mouvements de contraction. Je baissai alors mon maillot et elle engloutit en gémissant longuement les centimètres de chair et de veines qui constituaient mon sexe. Elle avait des hauts le coeur et je maintenais sa tête enfoncée sur le membre, tandis que mon ami avit retiré prestement le bas de maillot de notre chêre et tendre. Elle poussa un hurlement lorqu'il introduit violemment le gode tout de même enduit de graisse entre ses fesses. Il se masturbait en regardant le spectacle. Nous étions lachés, il fallait qu'elle souffre pour amplifier notre désir. Nous la relevâmes, elle semblait choquée, et notre dernier ami entra dans la scène. Nous le laissâmes l'emmener de force jusqu'à la baignoire, et nous le regardions la prendre en levrette tout en lui plongeant longuement la tête dans l'eau. Nous eumes le temps de fumer une cigarette et lorsqu'il eut finit, il la plongea toute entière dans la baignoire pour la laver, puis nous la redonna aussitôt, sans mot dire. Elle pleurait littéralement. Ses mains attachées étaient terriblement excitante. nous la miment à genoux et elle nous sucait à tour de rôle, très lentement et profondément, manquant de vomir à chaque mouvement. Je mit mes couilles dans sa bouche et je vis l'éclair de compréhension qui effraya son regard lorsque j'enlevai le bandeau. Je remit aussitôt mon sexe dans sa bouche, puis celui de Pierre, en appuyant fortement. Il s'assit alors par terre tout en maintenant comme à l'habitude son nez appuyé contre son ventre, et elle dû se mettre à genoux. Je passai derrière elle, remplaçant le gode qui entrait dans ses fesses par mon propre sexe. Je la sodomisais violemment en la tenant par ses mains attachées avec force. Elle criait, vomissait, pleurait, et je contemplais mon sexe tout entier enfoncé dans son merveilleux cul. Je restai ainsi de longue minute, appréciant le calme, le silence uniquement brisé par les sanglots et les haut le coeur d'Emilie qui étouffait littéralement du sexe de mon ami. Il pouvait sentir sa salive et le vomi couler sur ses couilles, j'avais envie de changer de place, de comme lui malaxer durement ses petits seins tout en éjaculant régulièrement dans sa bouche. Il était environ 15h30, nous avions jusqu'à demain soir pour profiter d'elle... |