DE PÈRE EN FILS ……Maison d’arrêt du nord de la France …mai 2001. - Bonjour Monsieur! Vous êtes? - Bonjour, Je suis Monsieur Fournier, Olivier Fournier; je viens voir mon père, Maurice Fournier! Demande un jeune homme brun à la carrure d’athlète. -Suivez moi! Le maton le conduisit à travers de longs et froids couloirs jusqu’au parloir du quartier de haute sécurité, réservé aux prisonniers difficiles ou à risque. Un homme à la chevelure grisonnante d’une cinquantaine d’années l’attendait à la table, vêtue d’une simple tenue grise de détenu il semblait s’impatienter. - Salut fiston, tu vas bien? Ça fait un bail dit moi? - C’est sur, ça fait un bail! Mais qu’est ce que tu fouts là p’pa? Qu’est ce qui t’arrives? - C’est t’as frangine! Cette conne a été raconter aux flics que j’avais abusé d’elle, que je l’avais touchée, violée et même torturée quand elle était gamine! - La salope! Elle a cafté! S’exclama le fils visiblement au courant du lourd passé familial. - Putain, ça fait presque 15 ans! Elle a fermé sa gueule pendant tout ce temps et comme ça, comme une envie de pisser, elle a été tout balancé! à 4 ans de la prescription! Putain, j’suis là depuis 2 mois; j’ai tout perdu, mon boulot, ma maison, Christine, tout! Mon avocat dit que j’vais en prendre au moins pour 20 ans vu ce qu’elle a été raconter! -Putain! 20 ans! Et c’est vrai toute cette histoire! Je me souviens vaguement que tu la frôlait de près, que tu l’humiliait, la rabaissait… Le père interrompit son fils et fulminant: - Mais bordel, j’en ai jamais voulu d’cette môme et ta mère n’a jamais voulu avorté! J’avais pas les moyens de nourrir 4 personnes alors elle a payé! J’ai rien nié au juge qui la faîtes examiner par des toubibs qui ont trouvé des traces… des traces quoi! - Tu l’as violée! Réellement! - Pendant 5 ans! Avoua t-il. Au début elle devait avoir 9 ou 10 ans, je la frappait sur les fesses pour la corriger! Je la caressais, découvrais son corps en même temps qu’elle! Puis ta mère ne voulant plus ma satisfaire, je l’ai utilisée pour me branler, me sucer; rien de méchant, quoi! Mais à chaque fois j’voyais son p’tit corps, son p’tit cul!… Alors un jour j’ai craqué, j’en pouvais plus, elle devait avoir 11 ans; un mercredi j’ai pris un jour de congé pour que l’on soit que tous les deux! J’bandais dur, putain! J’me souviens elle m’avait bien branlé et sucé pendant une heure, elle savait y faire! Ce jour là je l’ai enculée pour pas laisser de traces des fois qu’elle irait tout raconter! Puis, vu qu’elle disait rien, j’ai continué quelques mercredis puis tous les mercredis dans sa chambre, dans la mienne! Plus tard je l’ai enfin prise… par devant, j’lui ai fait sauter le pucelage en missionnaire, sur son lit! J’me souviens de tout, des images, de ses cris, ses pleures, du sang, des coups! Ce jours la j’ai jouis en elle comme jamais j’avais jouis, je m’en souviendrai toute ma vie! Après, ça a continué avec des godes, des vibros que j’piquais a ta mère! Comme ça jusqu’à ce qu’elle parte au pensionnat, au lycée! - Elle devait avoir 15 ans! Réfléchit le fils. - Quelque chose comme ça, ouais! - Tu l’as violé pendant toutes ces années sans que personne ne s’en aperçoive! - T’as mère savait mais ne disait rien par peur que je ne soit encore plus violent! Du moins je suppose! - Et qu’est-ce que tu veux que je fasses pour te sortir de là, merde tu vas pas rester là 20 ans à cause de cette conne! S’énerva le fils. - Silence! Intervint le garde alerté par le bruit. - J’ai bien une idée mais c’est délicat à demander! - vas-y! Dis moi! - Et bien il faudrait qu’elle paye, qu’elle souffre encore plus! J’lai croisée l’autre semaine dans le tribunal, cette salope est enceinte! Mon avocat m’a dit qu’elle avait déménagé dans le sud avec sa fille! Il faudrait que tu les retrouves, et que tu les fasses disparaître toutes les deux! - Ha ouais quand même! Elle doit avoir 29 ou 30 ans maintenant et c’est vrai qu’elle avait eu une gamine avec ce salop de Berthibeau! Ça lui fait combien maintenant à la petite,… 6, 7 ans, non? - 7 ans, elle à la rigueur t’en fait ce que tu veux mais la mère, ta sœur, elle doit disparaître, enceinte ou pas! - Je les retrouverai, fais moi confiance, elles vont passer un mauvais quart d’heure! La voix du gardien coupa la discussion: -C’est bon c’est fini! Ça fait une ½ heure! Six moins plus tard à 600kms de là. Olivier vivait seul; à 32 ans il travaillait aux abattoirs nationaux et habitait un modeste pavillon de la banlieue parisienne. Les horaires décalés dus à son travail et la routine d’une vie de banlieusard lui permettaient que très rarement de rencontrer des femmes et éventuelles compagnes. Olivier était simple d’esprit et un peu rustre, d’un naturel aigri et frustré il avait quitté sa famille à l’age de 17 ans et depuis lors il n’avait fréquenté que de rares prostituées et encore, si ses fins de mois le lui permettaient. Les seuls souvenirs qu’il ait gardé de sa sœur, de 4 ans sa cadette, étaient des souvenirs érotiques qui avaient développés chez lui des fantasmes d’adolescents renfermés. Il se souviens plus particulièrement des fois ou il entrait dans la salle de bains sans frapper sachant qu’elle y était; elle avait juste le temps de le jeter dehors que déjà son cerveau fourmillait de pensées salaces… Pendant toutes ces années, il ne se passait pas un mois sans qu’il y repensa; son corps de jeune adolescente, sa fraîcheur, sa beauté tout simplement… Ce lundi matin, Sandrine conduisait, comme tous les matins, sa fille à l’école primaire de son charmant petit village niché au cœur des Pyrénées. Elle tenait par la main une enfant de 7 ou 8 ans plutôt grande, mince, presque anorexique au visage angélique et à la chevelure blonde comme les blés digne des plus belles sirènes. Dans son van, Olivier les suivait discrètement. Il profita de leur passage dans une contre allée déserte pour les devancer, descendre et les intercepter: - Salut soeurette, tu m’remets? Devine qui m’envoie? - Mais!...S’exclama Sandrine en collant sa fille à elle. - On dirait que ça ne te fait pas plaisir de revoir ton grand frère après toutes ces années? - Qu’est ce que tu veux? Qu’est ce que tu fouts là? Elle le vit sortir un long couteau et menacer l’enfant: - Montez! Montez dans le van en silence ou j’écorche la gamine! Menaça t-il. Il fit coulisser la porte arrière et les poussa en dedans avant de reprendre le volant et de démarrer discrètement: - On va faire une balade! - Relâche nous! Bordel relâche nous! Ordonnait Sandrine. - Qui sait?...Demanda l’enfant traumatisée par cette violence soudaine. - Je m’appelle Olivier, je suis ton tonton! Et toi, comment tu t’appelles? - Léa, j’ai 7 ans! - Ne lui parle pas! Protesta sa mère. - N’écoute pas ta maman, tu peux tout me dire! On va bien s’amuser tous les trois! Aujourd’hui j'suis en congé, l’abattoir est fermé mais j’ai récupéré les clés! Expliqua t-il. - Relâche nous merde! Tu veux finir en tôle comme notre père? - Ferme la! J’vais enfin t’avoir pour moi tout seul! Si tu savais combien de fois j’ai rêvé de ce moment! Puis voyant qu’elle était enceinte: - Alors comme ça on en attend un autre! C’est dommage qu’on puisse pas déjà en profiter! Dit moi, c’est pour quand, c’est quoi? Fille, garçon? -Qu’est-ce que ça peux te foutre connard! Lui répondit-elle violement. - De toute façon vu ton état je le saurai bien assez tôt; et peut être même plus tôt que tu ne le crois! - Pffffhhh!! Connard! Cracha t-elle! - Vas-y crache, j’en ai rien à foutre mais je serais toi je garderais ma salive pour plus tard!... Dis moi, ça te fait quel age maintenant, 29 ou 30 je crois! - J’t’emmerde! - T’as raison, peu importe! Il se tourna vers la fillette, la détaillant avec son regard de sadique: - Je suppose qu’elle a jamais vu de queue ta gamine? - Connard! Tu te crois viril à dire ça devant une enfant de 7 ans? T’as rien dans l’froc! Pffffffhh! Cracha t-elle! - Ma virilité, vous allez apprendre à la connaître toutes les deux! Répondit-il en empoignant fortement son sexe par-dessus son jean sous le nez de la gamine qui fit la grimace. Quatre heures plus tard ils arrivèrent à l’abattoir, en fait un immense hangar insalubre construit au milieu d’un champ à betteraves. Toujours sous la menace de son arme, il conduisit les filles jusqu’à une petite pièce très froide, sans fenêtre et éclairée par un néon. Il ferma la porte à clé: - C’est ici qu’on tue et dépèce les lapins; vous pourrez toujours criez ou hurlez, personne ne vous entendra ici! Il se retourna vers sa sœur, en fit le tour en la déshabillant d’un regard sadique qui lui glaça le sang: - T’es toujours aussi bandante, aussi...coquette!... Combien de fois j’ai pu me branler en pensant à tes nichons, à ton p’tit cul que j’apercevais dans la salle de bain. Tu t’rappelles comment tu m’sortais pour pas que j’te vois à poils, tu m’f’saisait ta p’tite scène de la vierge effarouchée! Ah! On fait moins sa maligne maintenant, hein? L’humiliait-il. Il lui retira tous ses vêtements rapidement en la menaçant de la frapper au ventre si elle résistait. Sandrine exhibait bien malgré elle son ventre rond et sa lourde poitrine aux veines hypertrophiées: - Hé ben! Il t’a pas loupé ton étalon, t’en es à combien? Huit, neuf mois? Tu vas pas nous l’faire là quand même! Il griffait son ventre et tirait sur le nombril ressortit: - Arrête! T’es malade! Elle le repoussa. Enervé par sa rébellion il la prit par la mâchoire: - Ecoute bien petite sœur, ne t’avises plus jamais de me repousser! Et il la frappa d’un coup de genou dans le bas ventre qui la fit tousser: - Kreuuuu…kreuuuu! T’es un monstre! …Pffuhhh!.... Elle lui crâcha au visage. - Tiens, salope! Il lui envoya une taloche qui faillit l’assommer. Les esprits se calmèrent et le violeur pu reprendre son inspection: - Mais dis moi, t’as l’minou sacrément poilue frangine! Tu dois tenir ça d’maman! Papa a toujours dit qu’elle avait une fouf d’ourse! En tout cas moi j’aime pas ça et je vais te le tondre pour voir ce qui ce cache derrière! Mais d’abord…j’vais y mettre le feu! Bouge pas 'prends mon briquet dans ma poche! Il en sortit un zippo: - Non, non, arrête tes conneries, qu’est-ce que tu vas faire? Sandrine reculait, effrayée. Il la coinça contre le mur et commença à brûler la toison brune. - Mamaaan! Cria l’enfant qui souffrait de voir sa mère maltraitée. Une odeur de poulet grillé se diffusa dans la pièce: - Aïe!... Aïe! Criait Sandrine en sautillant sur un pied puis sur l’autre. - Calme toi! J’suis sur que c’est pas pire qu’une épilation au rasoir! Quand il eut brûler le plus gros il relâcha sa sœur non sans mettre un dernier coup de flamme sur le nombril: - Tiens, ça va réchauffer bébé! Sourit-il. Mets toi sur le dos, j’vais t’finir à la tondeuse! J’ai tout ce qui faut dans mon casier; j’m’en sers pour les lapins! Il rasa délicatement l’entrecuisse, la raie des fesses et le pourtour de l’anus: - Si tu bouges, j’te coupe! Ce serait dommage, surtout à cet endroit! - Arrête putain! Arrête tu m’fais mal! Protestait-elle en se mordant les lèvres. - Voilà, c’est fini! Toute lisse, comme ta fille sauf que toi t’as les morceaux d’barbaque qui dépassent! Hein ma grande petite sœur! Il fit glisser son majeur dans la fente et tira sur les lèvres: - Tu mouilles déjà salope! Tu sais pas ce qui t’attend mais tu mouilles déjà; c’est bien la preuve que t’es une salope! Salivait le pervers. - Connard! Laisse nous, laisse nous tranquille! - Rêve! Lève les bras que j’inspecte le dessous au lieu de dire des conneries! Sandrine s’exécuta, exhibant des aisselles parfaitement épilées. - C’est bien, c’est déjà au moins ça de fait! Dit-il satisfait. Maintenant j’vais t’faire la boule à zéro! Comme une collabo! Il lui coupa les cheveux court en cinq minutes son crâne blanc apparut à la lumière des spots: - Ah t’es plus belle comme ça, on dirait une cancéreuse! J’vais même t’enlever les sourcils, t’es plus à ça près! Bouge pas! Et d’un coup de tondeuse il fit sauter les derniers poils qui recouvraient le corps de sa sœur! Voilà, j’vais brûler tout ça avec le reste de tes poils de chatte! Il les mit en tas et les enflamma avec son zippo. En trois minutes tout avait disparu laissant une forte odeur de grillé. Il se déshabilla à son tour dévoilant un sexe décalotté intégralement rasé et cerclé d’un cockring métallique mettant en avant une lourde paire de couilles. Il commença à se masturber devant la mère et la fille, exhibant son membre violacé dans diverses postures de sadique pervers. - Mes poulettes vous allez déguster, ça fait 3 semaines que j’me r’tiens! J’ai assez d’jus dans les couilles pour vous remplir toutes les deux mes salopes! Fouts la à poils! Ordonna t-il à Sandrine en empoignant sa queue violacée et en la branlant frénétiquement. - Non! Salaud! T’as pas le droit de faire ça! T’as pas le droit de me demander ça! C’est ma propre fille, c’est une môme, c’est une gamine! Et elle lui cracha au visage. - Tu préfères que je le fasse moi-même! J’te préviens ça va être moins délicat! Sandrine, au bord de la crise de nerf se mit à fondre en larmes en pensant à ce que sont frère allait bien pouvoir faire à sa petite fille. Enervé par toute cette perte de temps et excité comme un taureau, Olivier la prit par l'oreille et la traîna jusqu’aux pieds de sa fille! - Maman!!! Cria l’enfant, terrifiée par ce que l’on faisait à sa mère. - C’est rien mon ange, c’est rien! Maman va t’enlever tes vêtements et tout ira bien! Répondit-elle calmement pour ne pas l’affoler. - Mais je veux pas enlever mes habits… j’ai froid! Je veux rentrer! - Il le faut mon ange, il le faut! Lentement et en pleure Amélie commença par retirer le petit pull rose de sa fille puis elle déboutonna le pantalon avant de s’arrêter… - Je peux pas,… je peux pas faire ça!... Protesta t- elle en bafouillant. - Bon dégage, t’es bonne à rien; j’vais l’faire à ta place! C’est pourtant pas compliqué! Enrageait-il. Il l’a repoussa d’un coup de mollet dans les côtes. - Mon enfant; salop! Protesta la femme enceinte molestée. Ne portant plus le moindre intérêt à la mère il continua de déshabiller l’enfant, baissant le pantalon jusqu’aux chevilles… - Lève,…lève la patte! Insista t-il. Léa leva les pieds pour retirer complètement son pantalon. Ensuite il glissa son tricot de corps par dessus la tête de la gamine dévoilant un ventre plat et une poitrine blanche sur laquelle deux tétons roses contrastaient. En tirant de toutes ses forces il déchira la culotte de coton. La violence du geste traumatisa encore plus la gamine qui, au bord de la crise de nerf, se mit à sautiller, à pleure, à geindre et renifler. De plus le froid quasi glacial de la pièce la faisait frissonner et grelotter. - J’ai froid,…hummmmpff! J’veux rentrer à la maison,…hummmmpff! Reniflait-elle. Sourd à ses suppliques, il observait pour la première fois de sa vie un corps de petite fille, lisse et immaculé comme un nouveau né…Il admirait la perfection de la nature, sans toucher, les yeux à trente centimètres… A cet instant précis il comprit réellement ce qui avait poussé son père à abuser de sa sœur pendant toutes ces années, et c’est lui qui allait prendre la relève…avec sa nièce! - T’es un peu maigre mais ça m’dérange pas! J’aime bien sentir les os, j’ai l’habitude dans mon boulot! Commenta t-il. Elle, se tenait là, debout, un bras ballant le long du corps, une main essuyant son nez morveux. Le corps nu, en souliers et socquettes. Et soudain, alors que la fine entaille de son sexe apparaissait pour la première fois sous le regard de son futur bourreau, elle se mit à pisser de froid et de peur! La pisse ruisselait le long de ses cuisses, de ses mollets, sur ses souliers vernis et formait rapidement une petite flaque autour de ses pieds. - Ben dit donc p’tite pisseuse, en voilà des manières! Tu pisses sur ton tonton, devant les messieurs que tu connais pas! C’est ta mère qui t’a appris çà? Ecarte les cuisses! Ordonna t-il! La gamine s’exécuta ce qui eut pour conséquence d’orienter le jet d’urine sur le torse d’Olivier. - Ahhh! Bordel! Tu m’en fouts partout mais c’est pas grave, j’aime bien l’urine de p’tite fille! En fait j’aime tout dans les petites filles! Même leur pipi et leur caca! Il lapait la fente comme un chaton jusqu’à ce que la source soit tarit. - Tu sens bon! Tu pisses mais tu sens bon! Avec ses pouces il écarta la vulve: - C’est tout p’tit là d’dans! Il écarta encore plus dévoilant la membrane de l’hymen: - T’as un beau pucelage et un mignon p'tit clito! Tu vois, c’est ici qu’il faut frotter pour faire frétiller les mamans et les petites filles comme toi!...Et il lui mordillait le bouton. Il remonta sa langue jusqu’au nombril et jusqu’aux tétons: - Hummm! Tes p’tits tétons sont délicieux! Dommage que tu n’aies pas quelques années de plus, ils auraient eu le temps de pousser; c’est gaspillé! En fermant les yeux il se redressa et se tourna vers la mère: - Allez, fouts toi à 4 pattes, j’veux entendre ton gros ventre frotter par terre pendant que j’te prends en levrette sous les yeux de ta fiile! L’humiliait-il. - J’vais enfin pouvoir baiser gratis, ça va me changer des vieilles putes vérolées! - Salop, fumier! Gros connaaaard! L’insulta t-elle. - Continue j’aime ça! En plus tu t’en ai déjà fait mettre un dans l’buffet, j’peux bien t’en rajouter quelques giclées pour la route! Faut bien que tu m’serves à quelque chose! Insistait-il en pressant son gland à l’entrée du sexe de sa sœur. J’vois que papa a effectivement déjà bien élargi le passage; ça coulisse comme dans une chatte de grand-mère! Souriait-il au fur et à mesure que sa queue progressait dans la matrice. Mais c’est vrai que pour ce qui est de petits trous resserrés, j’vais bientôt être servi! Ajouta t-il content de lui en se tournant vers Léa. - Fait voir un peu que j’tate tes gros nichons! Ils doivent être pleins de lait vu ton état! Il empoigna les seins à pleines mains et les pressa vers les mamelons. De copieuses giclées de lait s’échappaient dans toutes les directions des mamelles triturées: - T’aimes ça hein! T’aimes ça que j’te tire le lait, hein grosse vache! Il accélérait ses mouvements incestueux et soudain, sentant l’orgasme monter, il écrasa fortement les seins de sa sœur: - AÏÏÏÏËEEE!...... Cria t-elle. Olivier se répandit en d’épaisses giclées de sperme: - ARGHH!.... Ça vient! Je sens que ça vient! ARGHH oui! Arghhh ouiiiiiiiii! Tiens! ARGH! Tiens! Prends ça p’titte sœur! Argh! Salooooope! Il déconna en plein orgasme, un jet s’écrasa sur le dos et sur les fesses de sa sœur: - ARRRGHH!!! Il pressa sur l’anus: - Pousse que j’t’encuuuuuuule! ARRGHH!! Un jet inonda la pastille bistre et servit de lubrifiant pour forcer le passage. Pénétrant d’un coup jusqu’à la garde, Olivier finit de se soulager dans le colon de sa frangine en la tenant par les hanches: - Tiens! ARghhh! Pour papa! Arghh! La pression du sphincter fit ressortir la verge et des coulées de sperme marron: - Ahhhh! Putain d’salope! Tu m’as complètement épongé la prostate, trois semaines de foutre dans ta chatte et dans ton cul d’salope! La queue ballante, le gland luisant et encore rouge, il observait Léa, sa future proie, qui était restée debout pendant toute la saillie. - T’en fait pas ma mignonne, j’me recharge vite! J’suis en pleine force de l’âge comme on dit! - La touche PAAAAAS!!!! Hurla Sandrine qui s’était redressée. - T’as gueule la pute, lave toi le cul, tu pisses le foutre! Et il la gifla. Face à lui, ne sachant que faire, se tenait la fillette encore terrorisée par la scène à laquelle elle venait d’assister: - Toi t’es une gentille petite fille! Olivier bavait d’excitation. - Laisse-la salop! Hurlait Sandrine en lui tapant dessus. Laisse la! - Ta gueule la pute ou j’te fais pondre ton œuf ce soir! Et il la repoussa d’un coup de genou dans le ventre qui l’envoya contre des machines de dépeçage. - Mon bébé! Mon bébé! Fumier! Trouva t-elle la force de lancer. Tu vas tuer mon bébé! - Fallait y penser avant! Putain! Et il lui redonne deux coups de pied dans la hanche et dans les côtes. Sandrine se tordit de douleur et d’énormes hématomes apparurent. Puis Olivier se tournant vers la fillette: - Fais voir ta main,…tu vas commencer par me branler! Il prit la petite main et la serra autour de sa queue, entamant des mouvements de bas en haut. - T’en fais à peine le tour! Allez continue! Accélère sans t’arrêter! Voilà, comme ça, plus vite! Sa queue bandait à nouveau, prête pour d’autres joutes bien plus délicates cette fois… - Tiens, pèse mes couilles! Touche comme elles sont douces, lourdes et pleines! Pleines du bon jus à tonton! Dommage qu’il te manque encore quelques années pour satisfaire pleinement un homme comme moi et j’ai bien peur que tu sois trop étroite par devant! J’vais laisser ta mère t’ouvrir la mouniche; moi j’vais m’occupé de ton p’tit derrière qui me semble plus élastique! Saliva t-il en passant un doigt dans le sillon des fesses. - Allez! Fini de jouer! Met toi sur le dos, replis et écarte les pattes! Ordonna t-il à la gamine qui s’exécuta malgré elle. Olivier se tourna vers Sandrine qui gisait à terre: - Viens là toi! Il la tira par une oreille. C’est toi qui vas lui ouvrir la chatte! Ça peut être drôle non? “La mère qui dépucelle sa propre fille”! Superbe! Présenta t-il en simulant des guillemets. Malgré la douleur dans son ventre Sandrine se traîna jusqu’à sa fille. - Allez, vas-y! Frotte lui le clito et mets y les doigts! Elle attend que ça! Regarde comme c’est rouge, comme ça brille! S’impatienta t-il en écartant la vulve de sa nièce sous le regard dégoûté de sa soeur. - J’te tuerai, salop! J’te tuerai! Jurai t-elle. - Malheureusement je crains que tu n’en ais pas le loisir! Tu n’est plus vraiment en position de force ici, t’es pas au palais de justice! Rigolait-il. - Maman j’veux pas, il fait maaaal!!!! Pleurait la gamine. - J’peux pas! J’peux pas faire ça! S’énervait la mère. - Vas-y ou j’l’étrangle sous tes yeux! Disant cela il faisait le tour pour serrer la gorge de l’enfant. - Maman il me fait mal! Bafouillait l’enfant. - Vas-y! Insistait le sadique. - Non! Non, j’peux pas! - Tu veux qu’elle crève? Là sous tes yeux? - Ma…man,… j’ai…mal! Bredouillait la fille, le visage rougit par l’asphyxie. Ne voulant pas voir sa fille tuée sous ses yeux, Sandrine se résigna. Elle poussa un doigt en avant… - Non, deux,... mets en deux! Elle peut bien prendre ça! Sandrine joignit son majeur à son index. Son frère observait la scène, son sexe en complète érection sous la tête de la fillette. Sandrine fit une pose au sentir de la fine membrane; mon dieu qu’est-ce qu’on lui faisait faire? Il serra encore un peu plus le frêle cou, la gamine se cabra pour trouver de l’air: - Continue! Ordonna t-il. En serrant les dents, Sandrine déflora sa fille qui se raidit violement sous la vive douleur: - C’est rien, continue! A fond! J’veux que tu touches le fond et que tu fasses des mouvements pour pas que ça cicatrise! Sandrine s’exécuta en fondant en larmes; même le pire des monstres ne pouvait être aussi pervers et immoral: - Pardon ma fille, pardon Léa! Bafouillait-elle. - Retire tes doigts, fais voir! Commanda t-il. Les doigts étaient recouverts de sang: - C’est bien; tu vois quand tu veux! J’suis fier de toi p’tite sœur! Il relâcha le cou de Léa, fit le tour et assainit un nouveau coup de pied dans le ventre de la femme enceinte qui roula sur le coté en se tordant de douleur: - AAAARGHHHH….AAARR….ghhh! Hurla t-elle agonisante, le souffle court. - Retourne toi que j’mate tout p’tit cul d’plus près! C’est ce morceau que je me réserve! La fillette se tourna. - Et maintenant baisse toi en avant! Ordonna t-il. Il l’accompagna en l’agrippant par les hanches puis, remontant le long des côtes il sentait les vagues osseuses de son squelette à peine recouvertes d’une peau fine et soyeuse. Il enserra sa gorge de ses deux mains sans chercher à l’affoler mais suffisamment pour la stresser et la faire se cambrer. Il glissa à nouveau ses gros doigts froids et rêches jusqu’à ses fesses qu’il caressa et claqua gentiment … - Que t’es belle et mignonne ma nièce! J’aimerais te garder comme ça pour toujours, mais…j’comprends pourquoi mon salop d’père s’est tapé ma sœur pendant toutes ces années…Ah le fumier il en a bien profité, et bien maintenant ça va être mon tour. Il frottait et essuyait son gland visqueux sur le postérieur de la jeune pucelle. - OooohhhhhArghhh! T’as l’cul plus doux que ta mère! Attends, j’ai une idée! Bouge pas, reste comme ça à quatre pattes! Creuse les reins, comme ça! Olivier retira la ceinture de son pantalon, il la prit par la boucle et fouetta l’air 2 ou 3 fois! - Parfais, j’ai trouvé quelque chose qui devrait mettre de la couleur sur tes reins et sur tes fesses! Il lui fourra sa culotte dans la bouche: - Serre ça fort dans ta bouche! Et surtout ne bouge pas ou je te tords le cou! Menaçait-il. Olivier prit son élan et d’un mouvement ample fouetta la jeune croupe: - AAAAAAAAAAHHG! Grognait-il entre ses dents. La douleur extrême provoqué par le claquement de ceinture obligea Léa à se coucher sur le coté. - Bouge pas j’t’ai dit! Il repositionna la fillette en larmes et grimaçante, l’implorant du regard pour qu’il arrête tout ça. Une zébrure rouge traversait les deux petites fesses d’opale. - AAAAHHG! Un second coup venait croisé le premier des omoplates au creux des reins. Puis un troisième, un quatrième et un cinquième, tous aussi violents les uns que les autres. Olivier maintenait la gamine d’une main pour qu’elle reste sur ses genoux. Maintenant des boursouflures violacées et des gouttelettes de sang apparaissaient sur la fine peau de l’enfant. A chaque coup Léa cru succomber mais la main d’Olivier était là, ferme, qui la secouait et la ranimait à chaque fois qu’elle s’affaissait. Enfin il reposa la ceinture et se repositionna derrière elle, le sexe posé sur ses fesses. - Voilà, comme ça t’es parfaite! Contempla t-il. Ta pute de mère j’vais la crever, elle va finir ici avec son chiard dans l’bide! Par contre toi j’vais te laisser vivre avec ça dans le crâne pour que tu souffres chaque jour que dieu fait jusqu’à ta mort! Hein petite salope? Répond! Oui ou non? Tu veux vivre ou non? - Oui, oui je veux vivre, s’il vous plait! Implorait-elle. - Très bien, on va bien s’amuser tous les deux mais d’abord, j’veux garder un souvenir de toi! J’vais te raser la tête comme à ta mère pour conserver ta belle chevelure dorée de poupée! Il ramassa la tondeuse et enjamba la petite tête: - Tiens, prend ça dans ton bec, ça t’empêchera de geindre! Il l’a mit à genoux et il lui enfourna son sexe à moitié mou dans la bouche. Terrorisé et souffrant des coups de ceinture, l’enfant n’osait bouger. D’une main il maintenait la tête, de l’autre il coupait aux ciseaux à 3 centimètres du crâne avant de la raser totalement. En cinq minutes, la gamine se retrouvait chauve comme un nouveau né; ce qui avait fait d’elle une ravissante petite fille recouvrait la plante de ses pieds et les blessures de ses fesses. - Voilà, t’as une belle tête d’œuf, comme ta mère! J’vais ramasser tout ça et les mettre dans mon oreiller comme ça je sentirai ton odeur en me branlant dans mon pieu! Il ramassa les cheveux, les mis de coté et reprit son scénario: - Allez, remets toi à quatre pattes! Dit-il en lui tapotant le crâne. Derrière elle, il appuyait son gland enduit de pré-sperme sur l’œillet de son fondement. Plusieurs fois son sexe ripa pour glisser dans le sillon de la vulve et entre les jambes. - Pousse! Pousse comme pour faire caca! Insistait-il et il appuyait sur la petite pastille. Finalement le gland entra: - Aïe! Aïeïeïeïïïïïïïïïïïe! La gamine hurlait comme une jeune truie qu’on égorge! - Connard! Fumier! Sadique! J’vais te tuer! Jurait la mère de l’enfant. - ARGHHH! Ç’est fait, j’suis d’dans! Putain comme tu m’sers la bite! La vache! Il cherchait à entamer des mouvements de va et vient sans succès: - Pousse bordel pousse! - Aïïïïïee! Ça fait maaal! Mamaaaan! Implorait la gamine. Un filet de sang coulait de l’anus vers la vulve; preuve s’il en était que l’enfant était déchirée mais la bête derrière elle esquissait ses mouvements en faisant bien attention de ne pas retirer son gland. Au bout de cinq minutes, le sexe pénétrait plus en avant et le sang agissant comme un lubrifiant, Olivier sentit monter son deuxième orgasme: - Regarde soeurette, regarde comme je baise ta fille; ma nièce! J’ai quand même fini par lui ouvrir le cul à cette pucelle! Maintenant j’vais le lui remplir! - J’vais t’tuer et après j’t’aracherai les couilles pour les donner à manger aux porc de ton espèce! Répondit Sancrine toujours étendue sur le sol. - Ah ça vient!Ça viennnt! Putain oui ÇA VIENNNT!!! Ah c’est booon!!!! Ah OUIIIII salope! Ton p’tit cul; SALOOOOOPE!!! Olivier comme une bête en furie, se tordait, se crispait, bavait, crachait sur la croupe lacérée! - AÏE! AÏEÏEÏEÏÏÏÏÏÏÏEEEEE!!!! Criait et pleurait la donzelle les fesses en sang! AÏÏÏÏE!!!! - J’vais t’remplir moi, salope!… Putain! J’vais t’remplir le cul juqsu’à ras bord, comme à ta pute de géniteuseeeee! ARGHHH!!!!! Putain qu’est-ce que c’est bon! Putainnnn!!!! Ah j’en peux plus moi, j’vais tout lâcher!!!! Putain! C’est partiiii!!! ARGH! ARGH! ARGHHHH! Serre tes fesses; serre tes fesses sur ma queueeee! ARGH! Encoooore! ARGH! ArghARGHHHH!!!!!!! Dans les boyaux, p’tite salope! Arghhhh! Tu vas chier blanc et rouge pendant huit jours! Arghhh!! Il l’empoignait aux côtes lui compressant la cage thoracique. - AÏE!!! ARGHHAÏIIE!!!! Hurlait la jeune enfant; les reins pilonnés par le monstre. Il s’affaissa sur le dos de l’enfant en poussant de longs râles. Son sexe se ramollit avant de se faire expulser par le sphincter. Un bruit de succion et de bulles crépitantes signalait le rejet par le colon d’une bonne quantité de sperme qui attestait des capacités de récupération de son violeur. Olivier se redressa sur les genoux et caressa d’un doigt l’anus ensanglanté dégorgeant de foutre. - Wouah!!! T‘as morflé ma cocotte! J’t’avais prévenu qu’à ton age ça risquait de forcer un peu! C’est que j’en ai jamais enculé des aussi jeunes que toi alors là forcement ça pisse un peu et pourtant je t’ai mis que l’bout! T’imagines si j’avais insisté! J’taurais sûrement ouverte en deux et déchiré les boyaux ma pauv’chérie! Dissertait Olivier en contemplant son œuvre. Il se mit debout, fit le tour et présenta son gland souillé aux lèvres de Léa. - Tiens, lèche moi le bout! Ça finira le travail! Léa lapa naïvement le gland luisant de sécrétions. Rétive à prendre le sexe dans sa bouche, le goût du sperme la fit grimacer. Olivier n’insista pas de peur qu’elle ne le morde: - Allez dégage! Tu sais même pas sucer une bite! Il dégagea son sexe et se tourna vers la mère comateuse: - Bon j‘vais finir le boulot maintenant! Dit-il en se tournant vers Sandrine qui gisait sur le sol, à demi consciente et qui tenait son ventre blessé. - Non s’il te plait, NOOOOON! Suppliait la jeune femme en fixant le regard noir de son frère. Il était trop tard: - Adieu petite sœur! Toi et ton avorton ferez du bon terreau pour mes salades! Le fœtus ne bougeait déjà plus dans l‘utérus tuméfié quand il lui assainit une volée de coups de pied dans le bas-ventre tellement violents que sous le choc elle vomit tout ce qu’elle avait dans l'estomac, et par la bouche et par le nez. Sandrine fut prise de terribles convulsions, du sang suintait de son ventre… Le souffle coupé elle suffoqua et s’évanouit les mains sur un ventre recouvert d’ecchymoses, le visage baignant dans un mélange d’acide gastrique et de jus de tomate, le regard hagards… - Voilà salope! Ça t’apprendra à cafter! Léa venait de voir sa mère être battue à mort par son oncle; s’en était trop pour la fillette de 7 ans qui s’évanouit… …Restait à Olivier la corvée de se débarrasser des corps mutilés... |