LA "DÉCOUILLEUSE" L’infirmière guida Sophie, gérante quadragénaire de l'orphelinat voisin, et Emilie, jeune orpheline, jusqu’à la chambre du vieillard quasi centenaire. La femme et la fille pénétrèrent dans une pièce obscure avec pour seul éclairage quelques bougies. A 96 ans, Augustin voulait s’octroyer une ultime jouissance avant la mort. L’homme était là, allongé nu sur le dos et visiblement très affaibli. Il redressa la tête et remonta son oreiller pour mieux voir les deux femmes et la fillette. - Bonjour Madame! Alors voici la petite fille dont vous m’avez parlé, elle est ravissante! Comment tu t’appelles? D’abord intimidée par l’ambiance qui régnait dans la pièce, Emilie s’approcha de la main tendue. - Emilie, j’ai bientôt 5 ans! - C’est bien Emilie, t’es une grande fille déjà! Et comme tu es une grande fille, il va falloir que tu m’aides, que tu me fasses un petit cadeau! - Quoi comme cadeau? - Et bien comme je suis un très vieux monsieur qui va bientôt mourir, …comment dirais-je…mon corps ne me sert plus à rien! Et avec ton aide j’ai envie de t’en donner un morceau! - Vous voulez me donner un morceau de votre corps? Sophie et l’infirmière assistaient attentivement à la discussion. - Et bien en fait il faudrait que tu viennes le chercher toi-même vois tu! Puis regardant sa tutrice tout en caressant le visage d’Emilie: - C’est une bien jolie “découilleuse” que vous m’avez apporté là Madame, et elle ne semble pas farouche pour un sou! - Je vous ai effectivement apporté la plus précoce de toutes les petites filles de mon orphelinat! Il va de soi que pour la tâche qui l’attend elle devait se montrer quelque peu mature si je puis dire! Répondit Sophie en souriant au vieillard. - Je crois que ma petite “découilleuse” comme vous dites fera très bien l’affaire! N’est ce pas Emilie? - C’est quoi une “découilleuse”? Demanda t-elle en se tournant vers Sophie pour se rassurer. - Et bien mon ange; c’est une petite fille qui va prendre elle-même le cadeau que le monsieur va lui donner! - Ah bon et c’est quoi qui va me donner le monsieur, Maman? Comme toutes les filles de l’orphelinat, Emilie appelait Sophie “Maman”. - C’est ça mon p’tit poussin! Répondit froidement l’homme en la tournant ver son entrejambe grandement écarté et totalement épilé. - C’est son zizi? Dit-elle en ouvrant de grands yeux ronds. - Pas vraiment le zizi, c’est juste ce qu’il y a en dessous! Répondit le vieillard. T’as déjà vu des zizis et les petites boules qui vont avec? Dis moi? - Oui, j’en ai déjà vu un la semaine dernière, celui de Mamadou, il est rigolo, il le fait tout dure et tout long et après il joue avec et même qu’une fois il a fait pipi blanc sur ma tête! Hi! Hi! Mais par contre il avait pas les boules! Hein Maman, il a pas les boules Mamadou à son zizi? - Oui chérie il a pas les boules Mamadou! Puis parlant directement au vieil homme: - J’ai du castrer moi-même ce jeune noir qui me sert d’aide dès les premiers jours de sa puberté pour éviter qu’il n’envenime mes plus grandes filles! - Je comprends! Répondit le vieil homme. Bien, je ne veux pas vous faire attendre plus longtemps, passons aux choses sérieuses, si nous commencions l’opération Sylvie, je suis prêt! Dit-il à l’infirmière, en soulevant sa grappe de couilles à pleine main. - Bien Monsieur! Répondit-elle calmement et méthodiquement, rompue aux pratiques perverses du vieux pervers. Elle injecta une demie seringue d’anesthésiant dans les bourses moles et fripées de son patient en faisant bien attention de ne pas toucher un des testicules recroquevillé. - Voilà qui devrait prendre effet dans une dizaine de minute, Monsieur! - Parfait! En attendant ma grande fille tu vas me faire patienter en me faisant voir ton jolie petit corps! Tu veux bien?... Emilie, d’abord surprise et dubitative se tourna vers Sophie qui d’un signe de la main lui signifia de s’exécuter sans réfléchir. - Vas-y, ma fille! Soit bien sage et fait ce qu’on te demande! Lui dit elle. Elle commença par retirer sa veste, son tee-shirt, ses souliers, ses socquettes ainsi que sa jupette pour ne garder que sa culotte. - Ma culotte aussi? Demanda t-elle à Sophie. - Ne me demande pas toujours ce que tu dois faire, demande plutôt à Monsieur Dubois! - Je dois aussi retirer ma culotte, Monsieur? - Oui ma fille, t’es une grande fille maintenant et il faut que tu me montres comment les grandes filles sont faîtes! Insista t-il le souffle de plus en plus court au fur et à mesure qu’Emilie se déshabillait. La gamine ôta sa culotte de coton pendant que le vieillard commençait à tripoter sa queue molassone. - J’veux que tu me montres ta zézette et ton popotin pour commencer! Hein! Vas-y monte sur le lit, là à coté de moi! Commanda t-il en tapotant le matelas juste à coté de lui. La gamine, nue comme un ver et naturellement naïve grimpa à genoux sur le matelas en souriant, fière d’être l’attention des trois adultes. - Elle est rose comme un porcelet!...Tiens, allonge toi sur le dos, face à moi, écarte les jambes et fait moi bien voir ta zézette comme une grande! - Comme une grande? Comment? Demanda t-elle en se tournant vers Sophie. - Aidez la Madame, montrez lui! Insista t-il. Sophie se pencha au dessus d’Emilie, faisant apparaître la lourde poitrine d’une femme de 45 ans à peine maintenue par les armatures d’un soutien-gorge de dentelle à balconnets. - Ohhh! Madame je vous en prie, permettez moi de… Sans même attendre de réponse, il glissa une main dans son corsage pendant qu’elle repliait les jambes de la gamine sous elle exhibant de ce fait la fine fente et l’anus. Il sortit un sein de son armature pour le peloter au dessus du ventre de l’enfant. - Déshabillez vous également, Madame nous n'y verrons que mieux et venez vous mettre tête bêche avec votre protégée, le tableau n’en sera que plus beau! Sophie s’exécuta dans un striptease langoureux avant de monter sur le lit enjamber Emile. - Parfait, vous êtes magnifique et parfaitement épilée comme je vous l'avait précisé! Frottez votre sexe sur son nez pour qu’elle puisse respirer votre fumet! Et de cette façon je pourrais contempler vos belles mamelles ballotter sous mes yeux! Ah quel tableau, Madame quel tableau! Le vieillard se masturbait et se tripotait les couilles sans pour autant réussir à bander. - Hi! Hi! Tu m’chatouilles maman! Rigolait la gamine. - Faîtes moi bien voir l’intérieur de sa fente s’il vous plait! - Elle n’a que cinq ans, il n’y a pas grand-chose à voir à cet age! Répondit la maquerelle. - Elle doit dans tous les cas au moins avoir un pucelage! - Ca pour sur, et le sien est particulièrement épais et fermé, regardez! J’en ai pourtant vu des dizaines mais celui là est unique! - Celui qui aura les honneurs et la force de lui prendre sera le plus comblé des hommes, Madame! Dit-il en approchant un doigt. - Hi! Hi! Vous m’chatouillez! S’amusait Emilie le nez dans le sexe de sa protectrice. - Il est déjà réservé à un banquier parisien qui devrait venir le consommer pour son dixième anniversaire! D’ici là je vous demanderais de bien vouloir ne pas trop insister, Monsieur! - Dommage que je ne vive pas assez longtemps pour assister à çà!... Mais je sens que l’anesthésiant fait son effet, je ne sens plus mes couilles et à peine ma queue! Redressez la et agenouillez la entre mes jambes, Madame! Emilie, le museau luisant de mouille regardait le vieillard se caresser la queue et les couilles. - Comme tu es mignonne, adorable et fraîche! Fait moi un grand sourire que je vois tes belles dents! Emilie sourit. - Ce sont encore ses dents de lait mais elle les a toutes! Commenta Sophie. - Je vois, Madame, je vois! Les incisives sont bien aiguisées, ça va être parfait! Puis Emile obnubilée par les mouvements du vieillard demanda: - Qu’est ce que vous lui faîtes à votre zizi, Monsieur? Demanda t-elle surprise de le voir s’astiquer frénétiquement devant son corps de nymphette. - J’essaye de lui faire du bien, tu sais il est très vieux et malade! Tiens prend le dans ta main et prend mes boules dans l’autre! Malhabile, Emilie empoigna le vermisseau et le sac de boules fripé ne sachant qu’en faire. - Tu vois, sur le zizi il faut faire des mouvements de va-et-vient comme ça, voilà! Et le sac de boules il faut le serrer bien fort dans ton autre main pour bien écraser les deux noyaux qui sont dedans! Voilà, comme ça c’est bien! La gamine s’amusait à pincer les bourses de toutes ses forces tout en branlant péniblement la queue endormie. - Tu peux serrer encore plus si tu veux, à deux mains même! Je ne sens plus rien et puis c’est la dernière fois que je m’en serre, dans une heure elles seront à toi! - A moi! Répondit-elle en les faisant rouler entre ses doigts. - Oui à toi mais d’abord il va falloir me faire sortir une dernière fois mon pipi blanc! - Pipi blanc! S’étonna t-elle. - Oui, quand les filles font du bien aux garçons ou aux messieurs, ils font pipi blanc, tu verras tout à l’heure! Approche toi un peu que je te caresse! Le vieil homme lui caressait les épaules et les cuisses, lui tirait et pinçait les tétons, lui passait la main dans les cheveux pour faciliter l’érection de son membre presque centenaire. - Vas-y, prend les dans ta bouche ma grande! Prend les! Insista t-il, soumis. Sans que Sophie puisse le voir, le vieux pervers glissa discrètement une main calleuse sous les fesses de la gamine cherchant entre les fesses la précieuse pastille. Les couilles dans la bouche, Emilie ne disant rien. C’est à peine si elle se trémoussait désagréablement sur l’index rugueux qui explorait son intimité. Quand le vieillard parvint enfin à cerner l’étroit orifice, il profita de la négligence de la maquerelle pour tenter d’y insinuer la première phalange de son disgracieux doigt. Mais la surprise et la pression exercée sur son anus fit se redresser instantanément l’enfant qui du coup laissa échapper les couilles. - Maman, il me rentre un doigt dans le trou à caca! Se plaignit –elle en se tournant vers Sophie. - Monsieur! Je vous prie de bien vouloir cesser ce petit jeu tout de suite, rappelez vous nos engagements! S’insurgea Sophie. - Veuillez m’excusez Madame, c’est juste que je n’ai pu résister à la fraîcheur que cette poupée dégage! Tenta t-il d’expliquer, visiblement gêné de s’être fait démasqué. Vous pourriez me laisser lui mettre un doigt,…juste le bout d’un doigt et je vous donne 5000 de plus! - 5000? - 5000, Madame, de suite après l’opération! - C’est entendu mais il faudra tout de même la lubrifier! - Merci Madame; sa salive sur mon doigt fera l’affaire! Emilie ne saisissait pas tout ce qui se tramait autour d’elle. Elle avait néanmoins l’impression que sa mère venait d’autoriser le vieux pédophile à lui mettre un doigt dans la rosette. - Tiens! Lèche mon doigt et reprend mes couilles dans ta bouche! Emilie se résigna et lécha à moitié dégoûtée le vieux doigt fripé avant de se pencher et de reprendre les vieilles couilles moles. - Bon maintenant il va falloir mordre très fort! Dit il en positionnant son doigt sous ses fesses et en appuyant légèrement sur l’anus. Si tu sens que tu as mal, n’hésite pas à mordre encore plus fort avec tes dents de devant! Et il se masturbait de sa main libre en contemplant le visage beaucoup plus crispé de la fillette qui tentait de se défausser sous la pression du doigt. - N’ait pas peur, je ne vais pas te faire de mal et souviens toi bien de mordre très fort si tu sens quelque chose! Ta maman est là qui veille sur toi! Sophie fit un signe rassurant à la fillette qui obéit et commença à serrer des dents au fur et à mesure que la phalange progressait. L’homme commençait à avoir un semblant d’érection et son vieux gland usé se gonflait une dernière fois sous le regard incrédule de l’enfant. - Arghhh! Regardez! Je bande! Je bande! Criait-il au deux femmes qui observaient en silence la scène de viol. Ca fait des années que je n’ai pas bandé comme ça! Si dieu est avec moi, je vais même récompenser cette enfant d’une ultime giclé de foutre! Se pâmait-il. - Faîtes attention à votre cœur, Monsieur! Avertit la jeune infirmière. - Au diable mon cœur, Christine! Si je dois mourir que se soit maintenant! Braillait-il le visage rougit par l’excitation. Par contre elle ne mord définitivement pas assez fort et elle sert les fesses! Je n’arriverai à rien ainsi! Christine, ma fille, veuillez m’apporter quelques grammes de poudre et une noisette de beurre que je fasses découvrir à cette enfant les plaisirs du toucher rectal! - Tout de suite, Monsieur! Répondit-elle. - Vous allez la droguer?...Interrogea Sophie. - Ce ne sont que 3 ou 4 grammes de cocaïne, elle n’en mourra pas et n’aura même aucune séquelle! - Mais elle n’a que 5 ans, Monsieur! - Je sais bien, Madame mais croyez en mon expérience; ça n’en fera ni une toxicomane ni une zombie, soyez sans crainte! Argua t-il. Voyez la jeune Christine qui me sert d’infirmière à domicile, elle est en fait une de mes arrières petites nièces que j’ai récupérée à dix à la suite du décès de ses parents! Et bien figurez vous que j’ai consommé ses deux pucelages 3 mois à peine après son arrivée! Grâce aux quelques grammes de poudre que je lui avais fait prendre elle n’a rien senti! Aujourd’hui encore la pauvre fille ne sait pas pourquoi elle s’est réveillée l’entrejambe parsemé de croûtes de sang! Tenez la voici qui revient! Je racontais justement la fois où tu avais eu tes premières règles! Tu t’en souviens? - Bien sur, je n’avais pas encore 11 ans et elles m’ont fait mal pendant plus de 8 jours! C’est vous, Monsieur qui m’avait fait remarquer qu’à cet instant j’étais devenu une femme prête à satisfaire toutes les envies de l’homme que vous êtes, Monsieur! - C’est exact Christine et dieu sait si j’ai profité de ce privilège, mon enfant! Dit-il en passant la main sous sa jupe au moment où elle déposait le plateau sur son ventre. Emilie relâcha les bourses moles et se redressa sur se genoux. - Maintenant, tu vas ouvrir bien grand la bouche pour que je frictionne tes gencives avec cette farine que tu vois sur ce plateau! Il lui frictionna 1 gramme de chaque coté et lui demanda de sniffer les 2 grammes restant. - Voilà! C’est bien, t’es une grande fille! Dit-il pour la mettre à l’aise. Cette poudre devrait te permettre de te relâcher! Maintenant reprend mes boules dans ta bouche et mord les fort! Quelques minutes après le vieillard vit le regard de l’enfant se vider, sa peau rougir, ses dents serraient plus fort son sac de couilles et enfin un fil de bave coulait des commissures de ses lèvres. C’était le signe que la drogue agissait sur l’innocence rétive de l’enfant. Le vieil homme enduisit son majeur de beurre et le glissa dans le sillon des fesses de l’enfant. L’entrée soudaine de la première phalange la fit relâcher sa pression sur les bourses. - T’arrêtes pas bon sang! Ordonna le vieux en empoignant sa longue chevelure blonde. Mords! La fillette grimaçait sous l’assaut du doigt qui progressait dans son boyau. - Plus t’as mal, plus tu mords; compris! Continua t-il méchamment en lui redressant la tête d’un mouvement sec du poignet. Il lui rabattit si violemment, lui pressant le nez sur la base de sa queue que la gamine rougit d’un coup, suffoqua et cracha des filaments de glaire par le nez. Le regard dans le néant, elle laissait échapper quelques larmes de souffrance. Le vieil homme lui avait quasiment enfoncé la totalité de son plus long doigt mais la pression sur ses couilles était encore loin de les lui sectionner. Il décida donc de retirer discrètement son majeur et de le jumeler avec son index. Il comprenait que la drogue anesthésiait quelque peu la douleur et qu’il lui faudrait plus d’un doigt pour la déchirer et la faire supplier de douleur. Il se devait d’agir à l’insu de la maquerelle qui jamais ne l’aurait laissé faire. Son index était sec et plus froid mais rien n’allait l’arrêter maintenant qu’il bandait comme un jeune premier. De son pouce il fouillait la vulvette cherchant l’orifice de sa jeune matrice. Il sentait bien les petites lèvres à peine développées et dans le haut, le minuscule clitoris et le trou de son urètre humide de pisse et de jus de petite fille. Le vieil homme devait à présent accélérer la procédure de peine de voir son anesthésiant et la drogue ne plus faire effet. Une folie lui traversa l’esprit, pourquoi ne pas lui mettre carrément trois doigts dans les intestins et au même moment lui déchirer l’hymen avec l’ongle de son pouce. Elle hurlerait de douleur c’est sur et sa protectrice croirait aux effets de la drogue. Rien que d’y penser il bandait de plus bel. Il joignit l’annulaire au 2 autres doigts et poussa sur la rondelle plissée. Il sentit la résistance naturelle des sphincters resserrés d’une gosse d’à peine 5 ans. Les muscles ne cédaient pas encore mais il sentait tout doucement que 2 doigts arrivaient à écarter l’anus, il les regroupa le plus resserré qu’il pouvait et parvint finalement à positionner le troisième au milieu des deux autres. Emilie pleurait de douleur et mordait les couilles avec toute la force de son jeune age. Les doigts pénétraient de plus en plus dans l’étroitesse d’un passage encore jamais exploré dans ce sens. Pendant que 3 doigts forçaient le passage derrière; le pouce avait localisé l’épaisse membrane qui obstruait le vagin de la pucelle. Il caressait le pucelage de son ongle jaune et crasseux fantasmant sur l’instant où il allait voler à la maquerelle cette mine d’or. De temps en temps il délaissait sa queue pour tirer sur les tétons androgynes de la donzelle qui petit à petit réalisait les sévices et outrages que le sadique était en train de lui affliger sous le regard complice de sa “maman”. Il en prit un, le pinça entre le pouce et l’index puis en griffa et gratta l’extrémité avec son ongle jusqu’à en faire perler une goutte de sang qu’il étala sur son corps d’albâtre. - Il est dommage que je ne vive pas assez vieux pour les voir pointer, pousser, se remplir et gonfler pour enfin rivaliser avec les votre, Madame. Le vieux pervers apercevait maintenant quelques traces de sang autour de ses couilles et sur les lèvres d’Emilie. Les trois doigts qui lui déchiraient les entrailles et son téton à vif avaient eu raison de la fine peau des couilles du vieux. Restait maintenant à finir le travail et sectionner les cordons, derniers vestiges de sa virilité mais d’abord il lui fallait jouir et cracher son foutre une dernière fois. Il reprit sa queue et se branla de plus belle poussant ses doigts au plus profond du jeune rectum. Il sentit un liquide s’écouler entre ses doigts et l’aider à progresser toujours un peu plus; serait-ce du sang? Certainement, vu l’étroitesse; la gamine mettrait plusieurs semaines à s’en remettre et il aurait droit à un sermonnage en règle de sa tutrice mais à cet instant précis il s’en foutait, il était tellement proche d’un orgasme monstrueux que tout lui était égal; les blessures faîtes à l’enfant, les menaces faîtes par la chaperonne, l’exhibition sans retenu et devant deux femmes de ses fantasmes les plus inhumains, tout lui était égal. Sauf peut être de savoir si sa vieille prostate allait répondre présente au moment fatidique; il voulait honorer la gamine du plus violant jet de semence qu’elle connaîtrait dans sa longue carrière de fille de joie. Au bout d’un bon quart d’heure, les dents acérées de l’enfant progressaient dans la chair tendre de ses cordons testiculaires. Le vieux pédophile faisait tourner ses doigts dans l’anus, s’amusait à les écarter et attendait le point de non retour pour pousser son pouce plus en avant dans la matrice. Savoir qu’il était en train de traumatiser cette enfant d’à peine 5 cinq pour le restant de sa vie l’excitait au plus haut point; il espérait qu'en la violant ainsi elle s’en souviendrait chaque heure et chaque jour que dieu lui ferait vivre. Il allait même jusqu’à souhaiter qu’elle se suicide à force de culpabiliser. Il l’imaginait dans quelques s’années s’ouvrant les veines et agonisant dans une marre de sang… - Maintenez-la moi en position voulez vous, Christine! La jeune femme s’approcha et constata que le vieux se vidait de son sang. - Vous perdez beaucoup de sang, Monsieur! Avertit la jeune infirmière. - Je sais ma fille mais c’est tellement bon! Il rabattit sa chevelure blonde par-dessus la tête de l’enfant; enroula des mèches autour de son sexe vermillon, d’autres baignaient dans la mare de sang, et continua à se branler. De cette façon le visage marqué de la pucelle n’alerterait pas sa tutrice zélée. Il continuait à gratter l’hymen de son ongle crasseux et quand enfin il se sentit partir, il poussa son pouce plus en avant mais l’épaisseur était telle qu’il manqua son coup et le déchira qu’à moitié. Cependant, la douleur fut si vive qu’Emilie resserra les cuisses et geignit de plus bel dans les couilles du vieux: - ARRGHH…ÏEEE! Lâcha t-elle. Mais Christine qui la maintenait fortement lui rabattit la tête et le cri fut étouffé. - Ce n’est rien, ce n’est rien! Le manque d’habitude s’en doute! Tenta t-elle de rassurer en se tournant vers Sophie qui s’était rapproché. Au même moment un premier jet de foutre passa par dessus la tête de l’enfant et s’écrasa sur sa chute de reins parsemant au passage l'avant-bras de Christine de quelques gouttes blanches. - OUHHHhhhh! ARGHHHhh! Hurla t-il en se cabrant sur le visage ensanglanté de la demie-pucelle pour la faire taire. Il poussa son pouce dans la déchirure du pucelage qui cette fois ci rompit totalement. - AÏEEEeee! Laissa t-elle échapper. Un deuxième jet retomba sur sa tête et se perdit dans sa chevelure. - ARGHHH! Râla-t-il. Il planta son pouce entièrement dans le vagin et planta son ongle dans le col de la vierge. - Aïeeee…! Gémissait elle alors que son sexe et son anus saignaient fortement. Deux autres giclées atterrirent sur sa tête et ruisselaient sur son front. -ARRGHHGNN! ARRghhhhgnn! Beuglait t-il le corps crispé en serrant les dents. Il fit quelques va et viens dans le conin tout neuf de la pucelle en glissant son pouce sur la fine paroi de chair qui le séparait des trois doigts sodomites; il avait l’impression d’être dans un gant de chirurgien. Le sperme finissait de s’écouler en grumeaux sur la joue de la gamine. A chaque mouvement du pouce le vieux plantait et tailladait le col fragile de la gamine qui, poussée par la douleur extrême de son bas ventre, fini par sectionner complètement les testicules. Christine relâcha son étreinte; le vieux soufflait comme un bœuf alors qu’Emilie redressait la tête en pleure, les couilles dans la bouche les cordons pendant sur son menton. - Quel charmant tableau! Souffla t-il en retirant ses doigts et du cul et du con déchirés. Christine s’empressa de suturer la plaie béante pour stopper l’hémorragie et sauver le vieillard d’une mort certaine mais le souffle était court et le regard vitreux; s’en doute venait il de jeter ses dernières forces dans cet ultime orgasme. Emilie se redressa, descendit du lit et recracha les couilles mortes dans la paume de Christine qui les essuya et les déposa dans une soucoupe d’argent. - Que c’est triste de voir gaspiller des couilles qui crachent autant de jus que les vôtres, Monsieur! Déclara Christine en montrant la soucoupe au vieillard agonisant. - Gardez-les, gardez-les en ma mémoire, ma fille! Répondit-il en lui caressant la cuisse. - Mais Monsieur, vous n’êtes pas… - Mais, …mais vous me…vous me l’avez complètement charcutée! Ma chérie fait moi voir! Interrompit Sophie. Elle allongea l’enfant sur le dos, jambes rabattues sur un coin du lit. - Oh ma pauvre enfant, ce qu’il t’a fait! Vous êtes un pervers, un malade, un monstre; faire ça à une gamine de 5 ans! Mon dieu! Tu es complètement déchirée! Ma pauvre fille! Se larmoyait Sophie qui réalisait en même temps qu’elle venait de perdre le magot qui lui avait été promis pour ce pucelage. - Recousez la, vous! Pendant que je lui essuie le visage et les cheveux! Ordonna t-elle à la jeune Christine. - Faîtes mon enfant, faîtes! Bafouilla le vieillard. - Bien, Madame tout de suite! Christine lâcha la queue du vieux et posa quelques points de sutures à vif sur la rondelle de l’enfant qui hurlait de douleur; ne pouvant atteindre le col, elle y déposa une compresse. - Vous me l’avez complètement déchirée, qu’est-ce que je vais en faire maintenant?...Monsieur, vous vous êtes montré indigne de ma confiance! Vous êtes un goujat, un escroc, un violeur et un détraqué sexuel! Regardez moi ça! L’insulta t-elle en montrant les tâches de sang sur les draps. La gamine, debout, serrée contre elle et terrifiée le fusillait du regard en essayant en vain de retenir des larmes de douleur. - Je,…je vous ferai parvenir des adresses le client hollandais fortunés désireux de …de s’attachés les services de bonnes… - Des amis dans votre genre, qui ne tiennent pas leurs promesses, merci bien Monsieur et au revoir! Emilie, rhabille toi, on part de suite! Elle remit sa lingerie, prit ses vêtements et ceux de la fillette et elles quittèrent la pièce laissant là le vieux mourant et son amante à son chevet… |