LA POUPEE: La promenade de la poupée [ part 3 ] Candice découvre enfin le lieu où elle se trouve captive : c’est un château, un grand château à demi en ruine, entouré d’un parc aux allures de forêt vierge. Il fait froid dehors, surtout pour une petite fille nue et épuisée. D’ailleurs Joseph et Monsieur Manchon ont remis leur vêtement de ville. –Tu as froid Caroline ? demande le comte en caressant son petit bras qui s’est couvert de chair de poule. –Oui, admet la pauvre petite. –Non, Caroline. Les poupées n’ont ni froid ni chaud. Tu as froid, Caroline. –Non, rectifie Candice. –Pourquoi ? –Parce que les petites poupées sages et obéissantes n’ont pas froid... ni chaud. Le comte est ravi de cette réponse. D’une tape sur les fesses, il enjoint Candice à avancer sur un sentier couvert de graviers. Au bout de quelques mètres, ils s’arrêtent devant un banc où se tient une dame habillée d’une belle robe en dentelle. Elle porte sur la tête un chapeau élégant, et est occupé à lire intitulé Eduquer ses Enfants. Candice s’approche timidement de la dame, et elle débite en bafouillant un peu : –Bonjour madame, je suis une poupée et je m’appelle Caroline. Est-ce que vous voulez jouer avec moi ? La dame lève le nez de son livre, et lui sourit très gentiment. –Ma fois oui, Caroline, tu es une belle poupée... Cela m’aurait fait très plaisir de jouer avec toi, mais hélas, je suis trop occupé. Ce sera pour une prochaine fois. Candice improvise : –Merci madame, au revoir madame. Le comte lui caresse la joue. –C’est très bien Caroline... Continuons à nous promener. Ils s’enfoncent plus profondément dans le parc, et dans l’ombre des arbres, ils ne tardent pas à rencontrer un vieux monsieur à la barbe blanche assis sur une souche. Devant lui se tient une petite fille de huit ou neuf ans avec de très beaux cheveux blonds. Elle est vêtue d’un costume vaporeux de fée, mais sa jupe de crinoline et sa culotte blanche sont baissées sur ses chevilles. Ses mains aux ongles vernies tiennent le zizi à demi flasque du monsieur, et ce dernier est quant à lui occupé à enfoncer ce qui semble être une baguette de fée terminée d’une étoile dorée dans les fesses de la petite fille. Candice n’a pas trop envie d’aller le voir, ce vieux monsieur là, mais le comte la pousse en avant, et elle se retrouve face au monsieur. Elle dit alors, en prenant soin de bien baisser les yeux et de garder les bras le long du corps. –Bonjour monsieur, je suis une poupée et je m’appelle Caroline. Est-ce que vous voulez jouer avec moi ? –Bonjour ma jolie Caroline. Tu vois, je suis déjà en train de jouer avec Emmy. Emmy, explique à Caroline, à quel jeu nous jouons. –A la sodomie, répond la petite fille qui essaye de ne pas serrer les dents, car la baguette de fée vient de s’enfoncer d’un bon centimètre. –Et toi, Caroline, demande alors le vieux monsieur, tu voudrais aussi jouer à ce jeu ? Candice va pour répondre non. C’est un jeu qui ne lui plait pas du tout. C’est donc presque avec surprise qu’elle s’entend répondre : –Oui, monsieur. J’aimerais beaucoup y jouer. Le monsieur pose alors sa grande main calleuse sur le derrière de la petite fille, il lui écarte les fesses, glisse un doigt sous la ceinture et appuie sur sa petite rondelle qui cède presque aussitôt. Candice se concentre fort pour ne pas bouger, ni crier, ni montrer son inconfort, car le monsieur lui fait mal, plus mal que le nez du clown énéma. –mmmm tu as reçu un lavement récemment. Tu es toute propre... Mais ceci est encore bien étroit pour que nous puissions vraiment jouer au jeu de la sodomie. Candice apprend cela avec soulagement. Le vieux monsieur retire son doigt de son derrière. Elle s’oblige à dire : –Merci monsieur. Au revoir monsieur. Et la promenade reprend de plus belle. Candice est de plus en plus frigorifiée, mais elle essaye de ne pas trembler. Le sentier de graviers débouche sur une pièce d’eau d’où surgissent des nymphes sculptées tenues à bout de bras par des satyres. Au bord du bassin, une jeune femme portant une toilette tout aussi élégante que la dame du banc, promène une toute petite fille d’à peine quatre ans dans une poussette. La petite est nue à l’exception d’un bonnet avec des oreilles de lapin. Entre ses cuissettes potelées un petit lapin s’agite nerveusement. L’anneau de son nombril a dû être tiré, car elle semble absolument sans réaction. Pour la troisième fois, Candice répète sa rengaine. Mais les tremblements de sa voix trahissent son état. –Tu as froid Caroline, demande la dame ? –Oh non, madame. Je suis une poupée, je n’ai pas froid... –Tu n’es pas encore tout à fait une poupée, tu n’as pas ton anneau à ce que je vois. La dame se penche alors sur la petite fille, et tire sur le petit anneau. Aussitôt l’enfant se met à pleurnicher : –Le lapin, il me fait mal... il me fait mal... La dame tire à nouveau sur l’anneau. La fillette cesse aussitôt ses récriminations. –les toutes petites poupées sont toujours difficile à éduquer, commente le comte. –Mais c’est pourquoi j’en fais la collection. Je les « active » rarement, je préfère les promener. Caroline, tu veux donc que je joue avec toi ? –Oui, madame. La dame sourit en pinçant les tétons durcis par le froid de la petite fille. –Mets toi à quatre pattes. Candice obéit, bien que le souvenir de Chloé (ou de Betty) transformée en chaton l’inquiète fortement. La dame recueille un peu de l’eau glacée du bassin entre ses mains, et la verse sur le dos nu de la fillette ainsi que sur ses fesses. Candice ne peut réfréner un frisson. –Et bien, tu me disais que tu n’avais pas froid ? –Non madame, je n’ai pas froid... Pardon... La pauvrette claque presque des dents. La dame retire alors le lapin d’entre les cuisses de sa petite poupée. Candice constate que le lapin tient entre ses pattes une carotte qui remue d’avant en arrière, et elle comprend vite que la carotte devait s’enfoncer dans la minette de la petite, et que c’était pour ça qu’elle se plaignait d’avoir mal. La dame tourne la poussette vers Candice. –Regarde Caroline, Miny a un bobo. Effectivement, il y a un peu de sang entre les cuissettes ouvertes de Miny. –Monsieur Lapin a encore été méchant... Tu veux bien soigner le bébé, Caroline ? –Oui madame. Candice le veut sincèrement, mais elle ne voit pas trop comment elle va pouvoir s’y prendre. –Lèche le bobo, Caroline. Elle n’avait pas envisagé les choses de la sorte. Elle avance sa tête entre les cuisses de Miny, et commence à lécher sa vulve grassouillette, goûtant à un mélange peu plaisant de sang et de pipi. La dame « réactive » Miny. En l’entendant pleurer, Candice s’applique du mieux qu’elle peut à apaiser ses douleurs avec sa langue. –Il est plus là le méchant lapin, demande la petite ? –Non, ma chérie. Regarde, c’est Caroline, une très gentille poupée qui te fait du bien. –Oui, elle est gentille, admet Miny. Après quelques minutes de traitement, la dame recule la poussette, ouvre les genoux de Miny et après avoir constaté que son sexe est propre, elle replace le lapin dans son terrier favori. –Non, gémit Miny, pas le méchant lapin, pas... Après avoir désactivé ce poupon gémissant et salué le comte, la dame reprend sa promenade autour du bassin. Le comte remet Candice sur ses pieds. Elle grelotte, mais continue pourtant à garder les bras le long du corps. –La promenade est bientôt finie. Nous allons boire un bon chocolat chaud. La promenade reprend, et conduit les trois hommes et la petite fille devant un pavillon de chasse à l’orée d’une forêt de chêne. Le parc semble donc infini ! Le comte frappe à la porte du pavillon. C’est un gros monsieur qui lui ouvre. Jamais Candice n’avait vu un si gros monsieur. Il est torse nu et son ventre tombe en tas sur son pantalon. Chacun de ses bras est aussi large que le corps de Candice. C’est un ogre se dit puérilement la petite fille. –Cher monsieur Landorin, veuillez me pardonner cette visite, mais je promène une future poupée, et elle a froid, je me suis dis que vous nous offririez l’hospitalité pour qu’elle se réchauffe. –Mais comment donc ! Entrez. ! Et bien... Voilà une poupée bien maigrichonne, dit-il en tapotant les fesses de Candice qui débite alors mécaniquement la phrase rituelle. A l’intérieur du pavillon règne une agréable chaleur et Candice reprend quelques couleurs. Partout aux murs sont accrochés des trophées de chasse plutôt effrayants. Un grand chien blanc somnole devant une cheminée. La poupée de monsieur Landorin vient accueillir les visiteurs. –Bonjour, je suis une poupée, et je m’appelle Tina. Et j’ai très envie que vous me fassiez l’amour. Tina est une fillette d’une douzaine d’années. Elle est habillée d’un porte-jarretelles, de bas résilles, et d’un bustier qui comprime ses petits seins en devenir. Ses longs cheveux bruns sont réunis en un chignon et son visage est outrageusement maquillé. –Tina est une poupée exclusivement faire pour le sexe, explique monsieur Landorin. Tous mes invités peuvent en jouir selon leur bon vouloir. –Merci, décline poliment le comte, mais Caroline doit être équipée de son anneau ce soir, et vous savez que je dois consacrer à cela beaucoup de mes forces. –Et bien, fait Joseph, si vous n’y voyez pas d’inconvénient... –Nullement, Tina est là pour ça. Pendant que Joseph et monsieur Manchon couchent Tina sur une table basse, monsieur Landorin conduit le Comte et Candice aux cuisines... De fastueuses cuisines croulant de mets variés, de viandes, de gibiers, de fruits exotiques. Trois petites filles, habillées d’un simple tablier blanc, s’activent autour des fourneaux. Elles ont une dizaine d’années et présentent toutes des formes généreuses, et des fesses bien rebondies. –Ah ! mes petites poupées cuisinières, s’extasient le gros monsieur en prenant place dans un fauteuil. Celles là, je ne les prête pas. Elles sont pour moi uniquement. Lola, sers un bon chocolat à Caroline. Lola, une enfant à l’embonpoint charmant, sert à Candice un bol de chocolat chaud. La petite fille attend sagement la permission du comte pour y tremper les lèvres. –Tu peux le boire, lui dit le comte. Elle ne se fait pas prier. Il est bon onctueux, crémeux, et il vient réchauffer son ventre. –Alors, quel genre de poupée va-t-elle devenir, demande monsieur Landorin ? Une poupée pour le sexe, pour les punitions, une pisseuse, un poupon ? –Sans doute tout à la fois, déclare le comte en riant. –Tu as fini ton chocolat, Caroline ? Il était bon ? –Oui monsieur. Merci monsieur. –Tu entends Tina en train de gémir ? –Oui monsieur. –Elle s’amuse bien. Et nous aussi, nous allons peut-être nous amuser un petit peu ? –Oui monsieur. Si vous voulez. Monsieur Landorin retire alors son pantalon dont chaque jambe pourrait contenir plusieurs fois Candice. Sous d’énormes replis graisseux, entre deux rouleaux de chair blanche et celluliteuse, se dresse un petit zizi brun, qui ressemble plus à un champignon qu’au membre surdimensionné de Joseph. –Tu as l’air surprise, ricane le gros monsieur en maniant démonstrativement son minuscule engin. –Non monsieur, s’empresse de dire Candice, une poupée n’est pas surprise. –Je n’ai certes pas été gâté par la nature, certes, mais j’ai mes poupées, et je les choisi autant pour leur étroitesse que pour leurs dons culinaires. Il soulève la fillette et l’assoit littéralement sur sa bedaine. Puis il commence à lui lécher soigneusement son visage avec une grosse langue chargée, débordante de salive, n’oubliant ni le nez ni les yeux, ni les oreilles. Candice s’inquiète réellement lorsqu’il se met à la mordiller, avalant en entier ses petites mains puis ses pieds, les suçant comme on suce un os de poulet. –Tu as très bon goût Caroline. Il l’enserre ensuite entre l’étau de ses cuisses. Candice a la désagréable impression qu’il va la broyer, surtout qu’il presse sa tête contre sa poitrine flasque. Le comte surveille la moindre des réactions de la poupée Caroline. Il est très satisfait. Elle a assimilé la façon dont il convenait de se comporter, et se montre docile même dans les situations les plus inconfortables. A présent, Candice est à genoux entre les cuisses éléphantesques du gros monsieur. Seul le sommet de sa tête dépasse d’un océan adipeux. Monsieur Landorin frotte son hideux membre courtaud sur le visage de Candice. Puis en soupirant de plaisir, et après avoir prévenu la petite fille que sonnait « l’heure du goûter », il l’arrose d’une semence épaisse. –Mange, Caroline, mange tout, ne gâche pas... La fillette avale cette semence riche et écoeurante qui sort par à coup du zizi de monsieur Landorin. Elle a la vague impression d’aspirer un tube de lait concentré, mais en beaucoup moins bon. La crème lui poisse la bouche, lui brûle la gorge, mais pourtant, elle veille à ne pas la gâcher. Les poupées ne gâchent pas la nourriture. |