silver.01@hotmail.fr
Published: 1-Sep-2012
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Comme tous les Jeudi depuis un an, j'ai emmenée Eva jouer dans le parc au bout de ma rue. Avec le temps la fillette timide qui fuyait le contact des autres s'est enhardie et joue maintenant régulièrement avec les autres enfants du parc. Il est même dorénavant question de la remettre à l'école, alors que je me suis toujours occupé de son éducation par moi-même jusqu'à présent. Réticent au premier abord, j'ai fini par accepter l'idée. C'est pour son bien. En bon « père », je me dois de laisser Eva reprendre une scolarité normale. La matinée au parc s'est déroulée normalement. Comme à mon habitude je me suis délecté des éclats de rires de mon petit ange pendant que je lisais un livre ou travaillait sur mes textes, un œil sur les écrits et l'autre veillant à sa sécurité.
C'est l'après-midi que tout a changé. Après un bon repas, omelette aux champignons et pommes de terre sautées - Eva a un grand appétit -, nous étions installés sur mon canapé pour regarder une vidéo Ghibli, le voyage de Chihiro, une de nos préférées à tous les deux. Alors que le dessin animé approchait de la fin, alors que l'héroïne embrassait un jeune garçon, j'ai vu ma petite Eva gesticuler sur mes genoux dans une attitude que je lui connais bien.
- Il y a quelque chose qui te perturbe, ma chérie ?
- Tonton ?... - Eva a pris le parti de m'appeler comme ça depuis deux ans, ce qui me plait pas mal -
- Eh bien, parles, qu'est-ce que tu veux savoir ?
- Pourquoi la petite fille elle embrasse le garçon ?
- Parce qu'il lui plait, qu'ils s'aiment, ma puce.
- C'est quoi quand on s'aime ?
- C'est quand on ressent quelque chose de spécial pour quelqu'un… Comme toi et maman, par exemple.
- Et comme toi et moi aussi ?
Eva était descendue de mes genoux et était maintenant en face de moi, avec ses grands yeux bleus me fixant dans un regard inquisiteur. J'arborais un grand sourire après cette question.
- Oui, comme toi et moi, ma chérie.
- Mais toi je t'aime pas comme maman… Eva avait commencé à entortiller ses doigts, une manie qui lui reste de la petite fille timide lorsqu'elle est embarrassée.
- Comment-ça, tu ne m'aime pas comme maman ?
Mon sourire avait disparu.
- Toi je t'aime plus !
A ces mots, Eva a sauté sur mes genoux et planté un baiser sur mes lèvres. Le baiser m'a pris au dépourvu et je me suis senti très étrange à ce moment-là, une boule de chaleur dans le ventre et je devais avoir un sourire idiot ou béat car Eva me regardait en rigolant.
- Pourquoi tu dis rien ? Toi aussi tu m'aime ?
- Oui, mais…
Je n'ai pas pu terminer ma phrase. J'ai regardé Eva d'un œil neuf. Pas comme une petite fille, et en tous les cas pas comme un père regarde sa fille. Elle était vraiment mignonne, une jupe courte vert-pomme et un sweat-shirt vert pâle avec des pressions noires ouvertes jusqu'à sa poitrine juvénile. Elle ne porte pas encore de soutien-gorge car à neuf ans ses seins n'ont pas encore commencé à se former. A ce moment, son sweat-shirt laissait voir ses petits mamelons, et mon sang n'a fait qu'un tour. Sur une impulsion j'ai embrassé Eva à mon tour. D'abord un baiser rapide, puis une seconde fois en forçant ma langue entre ses lèvres rose pâle. Eva a été d'abord surprise et a poussé un petit cri étouffé, puis j'ai senti ses lèvres s'ouvrir et ma langue est partie à la recherche de la sienne. L'ayant trouvée, j'ai commencé à la masser avec mon propre organe buccal. Je pouvais voir les yeux d'Eva écarquillés pendant mon exploration, son regard en attente de la suite. Je l'ai embrassé ainsi pendant une longue minute avant de me retirer et de me laisser retomber lourdement sur le sofa. Mon cœur battait à tout rompre et j'avais maintenant une érection terrible qui me faisait mal.
Je suis resté pantelant plusieurs secondes sans savoir ce qui allait se passer maintenant. Je ne pouvais rien dire. Je venais d'embrasser Eva comme on embrasse une femme. J'avais violé son innocence et je n'en revenais pas de mon acte… J'avais peur qu'elle se mette à pleurer ou à crier.
C'est Eva qui m'a encore surprise. Alors que je peinais à me calmer, elle continuait à me regarder et soudain elle a dit :
- Encore !...
Tout d'abord je n'ai rien dit, puis ma conscience a repris le dessus.
- Non, ce n'est pas bien, on ne doit pas faire ça.
- ENCORE-EUH !!!
- No… humpf.
La bouche de la fillette s'était encore collée à la mienne, et cette fois ci c'est sa langue qui pénétrait ma bouche entrouverte. C'en était trop. Je me suis laissé prendre au jeu et j'ai attrapé ma petite princesse un peu en dessous des aisselles. Mes pouces posée sur sa poitrine j'ai commencé à masser tendrement ses tétons alors que sa langue jouait avec la mienne. Sa respiration est devenue plus lourde et Eva a commencé à pousser des petits gémissements de plaisir. Après deux minutes nos bouches se sont décollées et j'ai continué à faire jouer mes mains sur son petit torse. Eva avait fermé les yeux et sa bouche au niveau de mon visage exhalait maintenant un souffle chaud très agréable. Elle a continué à pousser des soupirs et des gémissements jusqu'à ce que je stoppe mes mouvements et retire mes mains de son buste. C'était mal, je ne devais pas faire ça ! Et pourtant, l'envie de continuer me tiraillait. Encore une fois je suis resté dans l'attente de sa réaction.
Elle a gardé les yeux fermés pendant près d'une minute puis elle les a rouvert et m'a souri.
- C'était bien !
Non, c'était mal, je le savais. Je devais rester le représentant du père que j'avais toujours été. Et pourtant je savais que c'était trop tard. C'était déjà au-delà de ça.
- Il faut qu'on arrête. Ce n'est pas bien de faire ça.
- Non, je veux pas qu'on arrête !
- C'est mal de faire ça. Tu es trop jeune pour comprendre. Tu feras ça avec ton amoureux dans quelques années. Avec un adulte c'est mal !
- Mais moi, c'est toi mon amoureux !
Sur ces mots Eva a encore une fois essayé de m'embrasser mais malgré mon envie de la laisser faire, mon conditionnement moral m'a fait glisser ma main entre ses lèvre et les miennes.
- Je veux encore continuer-euh !!
Je voyais ses yeux s'embuer et je savais qu'elle allait pleurer. Ça n'a pas tardé et comme à chaque fois ça m'a brisé le cœur. Mais je ne devais pas laisser dériver cette situation. Elle avait sept ans et moi trente. Non, arrête, Eva. Arrête de pleurer s'il te plait… J'ai posé ma main sur son front et commencé à lui caresser les cheveux d'avant en arrière pour tenter de la clamer. Sans succès. Eva repoussait ma main à chaque fois que je la reposais sur ses cheveux.
- Je veux continuer !!
Les pleurs qui redoublaient ont fini par avoir raison de moi. La torture de voir ma princesse en larmes a été plus forte que ma morale mal placée. Je mourrais aussi d'envie de continuer à l'embrasser, alors si elle aussi le voulait, ce n'est pas comme si je la forçais. Si nous somme tous les deux d'accord et que nous nous aimons, où est le mal ? Ce raisonnement en tête, je lui ai pris les mains qu'elle frottait sur ses yeux rougis en hoquetant.
- D'accord, mon ange, d'accord. Moi aussi j'ai envie de continuer.
J'ai posé un baiser sur son front, puis sur son nez, et enfin sur ses lèvres. Trois simples baisers qui ont suffi à la calmer. Elle me regardait maintenant en hoquetant encore par intermittences mais avec le sourire.
Je voyais tout l'amour qu'elle me portait vraiment pour la première fois. C'en était enivrant. Je ne pouvais plus m'en passer. Nouveau long baiser en fermant les yeux. Sa langue a trouvé la mienne et elle a pris ma main pour la poser sur sa poitrine, passant cette fois sous son sweat-shirt. J'ai titillé alternativement ses deux petits seins pendant une minute puis ma main est descendue sur son ventre, que j'ai caressé pendant une autre minute, formant des cercles autours de de son nombril.
- Mmmmh. Le baiser était fini et elle poussait maintenant de nouveau ses petits gémissements. La bouche fermée, les yeux toujours clos. J'ai poussé mes caresses de plus en plus bas, jusqu'à ce que ma main effleure le tissus de sa petite culotte de coton et continuant de tourner, vienne caresser les tendres valons de chair entre ses jambes. Avec un petit cri de surprise Eva ouvrit les yeux et plongea son regard vers ma main. Au travers du tissu je sentais la chaleur de son intimité. Mon autre main inactive jusqu'à présent est venue se poser sur son fessier délicatement rebondi, détournant le regard de la fillette de la première posée au-dessous de son pelvis. Avec ma seconde main j'ai commencé à caresser la rainure entre ses deux pèches moelleuses tandis que l'autre remontait et descendait le long de sa fente vaginale. Loin d'être choquée par mes attouchements, Eva s'est soulevé pour me donner un meilleur accès. Sa tête relevée, elle a fermé les yeux. Sous l'effet conjoint des caresses de mes deux mains elle gémissait de plus belle, son corps ondulant au rythme des mouvements de mes mains, pour les suivre. Moi-même j'étais aux anges, appréciant la douceur du corps de ma princesse. Je me suis délecté de sa fraicheur sans retenue.
A un moment donné, j'ai glissé ma main sous le coton de sa culotte, tandis que l'autre jouait toujours avec son fessier. Le contact de la peau fragile d'Eva m'a donné des frissons alors que je descendais plus profondément. J'ai trouvé le départ de ses lèves intimes et effleuré son clitoris immature quelques instants.
- Mmmh ! Ooooh !
J'ai senti le corps d'Eva se raidir et vibrer alors que je jouais avec son bouton. Elle n'était plus du tout surprise de sentir mes doigts à divers endroits de son corps. Elle en profitait. Sa respiration était devenue plus lourde et je sentais son souffle chaud dans mon cou alors qu'elle avait posé sa tête sur mon épaule. J'ai continué ma visite, descendant un doigt le long de sa fente alors que je titillais toujours son bouton avec mon pouce. Bon dieu ! Elle est toute humide ! Ses sécrétions trempaient mon index qui courait à l'entrée de son vagin. Les réminiscences de mon petit monde de papa modèle se sont écroulées alors que je provoquais les premiers émois sexuels de la fillette, et que j'aimais ça. J'étais vraiment excité. L'érection que j'avais depuis le début était une véritable torture, je ne me rappelle pas avoir déjà senti mon sexe aussi raide, mais en même temps ça me faisait sentir vivant.
J'ai senti une des mains de ma puce se poser contre la mienne, à travers le tissu de sa culotte, m'encourageant à pousser plus loin mon exploration. Mon index a été rejoint par mon majeur, que j'ai fait pénétrer dans le vagin de la fillette. Le doigt a glissé sans difficulté dans l'orifice, lubrifié comme il l'était, et j'ai commencé à effectuer des petits va et viens de plus en plus rapides et de plus en plus profond, tout en continuant à presser et caresser son bouton vers la droite ou la gauche. Mon doigt est rapidement arrivé au contact avec son hymen, mais je n'ai pas dépassé la fine paroi de sa virginité. Je transpirais. Ma propre respiration était devenue dure, rauque. Je me sentais si bien avec ce simple contact de la chaleur interne de mon ange. J'ai continué un peu mes va et viens puis dans un mouvement de pince j'ai enserré le vagin d'Eva tout en appuyant sur son clitoris. Et tout a explosé.
- Aaaaaaaah !!!!
Ma princesse blonde s'est cabrée sous mes doigts. Son corps s'est raidi et a tremblé emporté par le premier orgasme de sa vie. Elle haletait tout en étant secouée de spasmes. Sa main sur mon épaule s'est crispée à me faire mal, les doigts blanchis par la pression Je sentais ses parois vaginales qui se contractaient autour de mon doigt. Le contact chaud et humide allié à l'idée d'avoir fait jouir la fillette m'a mené à ma propre jouissance. C'était tellement érotique. J'ai vu des étoiles et mon sexe a explosé dans mon pantalon. Mon éruption s'est répandue partout sur mon vendre sous mon T-shirt. Ma main sur les fesses d'Eva est partie s'accrocher au canapé tandis que je venais de plus belle, l'autre main me communiquant toujours les spasmes de la gamine à travers l'étau autour de mon doigt.
Cela dura bien une minute puis Eva est retombée sur mon épaule, exténuée, en peinant à retrouver son souffle. Elle n'a pas tardé pas à s'endormir, ou perdre connaissance, je ne sais pas trop. J'ai retiré ma main de sa chair inerte et je l'ai serrée fort dans mes bras en fermant les yeux. J'ai repassée rapidement toute la scène, n'en revenant pas de ce qui s'était passé, et je me suis endormi à mon tour avec mon petit bout de femme dans les bras.
C'est la sonnette de ma porte qui m'a réveillé trois heures plus tard. Eva aussi l'avait entendue et avait ouvert les yeux. Elle m'a souri d'un de ses plus beaux sourires. Je lui ai posé un baiser sur le front avant de répondre à Rachel qui venait chercher sa fille comme tous les soirs en revenant du travail.
- Une minute, j'arrive !
J'ai regardé mon ange dans les yeux qui me souriait toujours.
- Encore, tonton !
- Non, ma chérie, pas maintenant. Ecoute, il ne faut rien dire à maman de ce qui s'est passé. C'est important ! Elle ne comprendrait pas et je ne pourrais plus te voir. A personne d'autre non plus.
- C'est un secret ?
- Oui, ce sera notre secret.
Après ce qui venait de se passer, j'en voulais plus, moi aussi. Je ne voulais pas que ça s'arrête et quand j'y repense je frissonne à l'idée de ma proposition à la fillette.
- Si tu veux on pourra continuer demain, et faire plein d'autres choses. Mais ça doit rester secret !
- D'accord. T'es mon amoureux secret alors ?
- Oui, ton amoureux secret. Je t'aime, ma puce !
Un simple baiser sur ses lèvres roses et je l'ai mise debout. J'ai reboutonné son sweat-shirt correctement et réajusté mon T-shirt froissé. Etant noir, il était constellé de tâches séchée de ma jouissance, mais je me suis dit à ce moment-là que ça pouvait passer pour du yaourt.
Je me suis retourné une dernière fois en allant vers l'entrée.
- On est d'accord, hein ? C'est notre secret !
Eva a hoché la tête et j'ai ouvert la porte à sa mère. Rachel n'a pas remarqué les taches sur mon T-Shirt ou alors n'en a rien dit. Elle m'a parlé de sa journée quelques minutes puis a pris sa fille dans les bras pour se diriger vers sa maison. Eva m'a envoyé un « bisou volant » avant de disparaître hors de mon jardin. Je lui ai répondu avec le sourire et j'ai fermé ma porte.
Voilà, il est maintenant quatre heures du matin et je n'arrive toujours pas à trouver le sommeil. Après ce qui vient de se passer, je suis toujours fébrile. J'ai confiance en ma princesse et je sais qu'elle ne dira rien à sa mère. Non, ce n'est pas ça. C'est l'excitation qui me tient éveillé. Je n'arrête pas de ressasser la scène sur le canapé. Mais tout va bien, je la vois dans trois heures maintenant. J'ai hâte, il y a tant de chose que je veux lui faire découvrir…
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