Les Petites Filles De Joie, Partie 3

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Published: 24-Dec-2012

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This work is Copyrighted to the author. All people and events in this story are entirely fictitious.

Préambule: Voici le troisième chapitre des Petites Filles de Joie, qui en comptera 5. Quant à la prochaine aventure de monsieur Jacques et de son compère, elle devrait ravir un certain Mike (qui a produit ici même une œuvre des plus estimables), car la chair y sera très fraîche. Son titre en sera La Pouponnière d'Hirohito.

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Nous réveillons les fillettes à l'aube. Nous sommes nus et le resterons toute la journée. Elles posent sur nos corps de vieillards pervers un regard tout ensommeillé. Nos verges pendent mollement entre nos cuisses, mais il n'en faudra guère pour les dresser comme des hallebardes. Nous détachons les petites filles et les conduisons d'abord aux toilettes en les prévenant que sous aucun prétexte, elles n'auront le droit d'y retourner avant le début d'après-midi. Ensuite, nous passons par la salle de bain. Le rituel de la toilette au bidet est répété. L'eau glacée n'est pas du goût de nos petites élèves encore engluées dans le sommeil d'où nous les avons arrachées, mais elle a la vertu de les réveiller. La peau humide, tremblantes de froid, elles se brossent soigneusement les dents et se rincent plusieurs fois la bouche. Nous les séchons et passons de la pommade sur leurs fesses. Il n'y a plus guère de traces de la fessée d'hier. Nous les conduisons ensuite dans la pièce qui nous sert de penderies. Elles ouvrent de grands yeux, car il y a là de quoi satisfaire bien des rêves de petites filles... Et de vieux débauchés.

Commence une séance d'essayage qui ravit nos mignonnes et les console de leurs malheurs. Pour Pauline, un bustier rose qui met en valeur sa poitrine grassouillette et laisse son bedon nu, une jupette noire et froufroutante, des bas blancs qui s'arrêtent à mi-cuisse, maintenues par des jarretières en dentelle, et de petits souliers pointus. Pour Nadège, à qui j'ai remis sur le nez ses lunettes, une robe sans manche d'un beau noir corbeau bien échancrée sur le dos et la gorge et tombant à ras de fessier, des bas résilles rose vif tenus par un porte-jarretelles des plus indécents et que j'ai grand plaisir à lui faire enfiler, et des chaussures à talon mi-hauts qui mettent bien en valeur la gracilité de ses jambes. Nous ajoutons pour l'une et l'autre un ruban de velours rouge autour du cou.

Elles sont évidemment un peu déçues de constater que la culotte ne fait partie de leur nouvel uniforme, mais néanmoins flattées de porter des vêtements de grande fille. Nous les coiffons, et les maquillons légèrement (nous ne voulons pas gâcher toute la fraîcheur de leurs visages avec un emplâtre disgracieux).

-Vous voilà belles comme des cœurs, mes chéris, susurre Nestor avec ravissement.

Ensuite, nous leur faisons prendre un petit déjeuner dans le salon, en leur recommandant de bien faire attention à ne pas tacher leurs vêtements. Depuis nos fauteuils, nous les regardons finir leur repas, puis nous leur demandons de venir se placer devant nous, ce qu'elles font en prenant la pose adéquate. Elles ne peuvent s'empêcher de regarder nos verges craignant sans doute si nous ne leur servions du porridge.

-Aujourd'hui sera une longue et difficile journée, commencé-je. Nous allons vous demander beaucoup d'efforts. Vous savez que votre papa a des problèmes d'argent, et vous aurez, je n'en doute pas, à cœur de les résoudre. D'ici quelques jours, des grandes personnes que vous ne connaissez pas, des messieurs et des dames, viendront dans votre maison, dans votre chambre pour prendre du plaisir avec vous. Il faudra leur donner entière satisfaction, il faudra leur obéir au doigt et à l'œil. En échange, ces personnes donneront de l'argent à votre papa, et ils vous feront de beaux cadeaux. Vous comprenez ?

-Oui, monsieur Jacques.

-Oui, monsieur Jacques.

-Bien...

Nous nous levons et nous sortons de notre grand placard à malice, deux pupitres d'écolier que nous installons côte à côte devant nos fauteuils. -La classe commence. Asseyez-vous à vos places.

Les fillettes s'assoient derrière les pupitres et posent sagement leurs bras sur la table.

-Ecartez vos jambes... Encore... Encore. Nous voulons voir vos... zézettes... Les grandes personnes aiment regarder les zézettes des petites filles, surtout quand elles sont aussi jolies que les vôtres.

Nous posons une feuille de papier devant elles.

-Voici la prière que vous avez récité hier avant d'aller dans vos lits. Vous avez cinq minutes pour l'apprendre par cœur. Ensuite, il faudra nous la réciter sans vous tromper.

Pendant que les petites filles font de leur mieux pour se concentrer, nous tournons autour d'elles, frôlons leurs bras nus avec nos verges bandées. Vers la troisième minute, nous nous penchons par-dessus elles en glissons une main entre leurs jambes. Elles poussent un cri de surprise. Pauline, qui a un souvenir très cuisant de la fessée de la veille, parvient à se maîtriser, mais Nadège ne peut s'empêcher de fermer les jambes. Une petite claque sur la cuisse suffit à les lui faire rouvrir.

-Les grandes personnes n'aiment pas seulement regarder la zézette des petites filles, ils aiment aussi la toucher.

Les larmes au bord des yeux, les fillettes nous laissent explorer de nos doigts leurs fentines, les entrouvrir, toucher le bourgeon de leur clitoris, ramasser une larme d'humeur à l'entrée de leur vagin.

Gourmands, nous léchons nos doigts et annonçons que le temps est écoulé. Sous le regard livide de nos élèves, nous ramassons les feuilles. -À présent, Nadège, lève-toi et viens t'asseoir sur la table du pupitre. Mets tes jambes de part et d'autre comme si tu montais un cheval. La petite fille s'exécute.

-Avance-toi un peu de manière ce que tes fesses reposent sur le bord de la table. Tu m'as l'air d'une petite fille très sportive, je suis certain que tu peux écarter les jambes un peu plus. Voilà qui est mieux. La posture est aussi indécente qu'humiliante. Encadré du porte-jarretelles, son sexe bâille, révélant le détail de son anatomie juvénile.

-Quelle belle petite fille de joie nous avons-là, soupire Nestor en caressant son membre.

-Tu vas réciter ta leçon, Nadège, mais je veux qu'en même temps tu caresses ta jolie minette.

La petite fille commence à se branloter timidement, mais je suis persuadé que ce n'est pas la première fois pour elle. Elle se met à réciter la prière d'une voix sanglotante, les yeux mi-clos, la tête levée. Sait-elle que cette posture la fait ressembler à la pensionnaire déjà aguerrie d'un bordel d'enfants ?

- Dieu le père qui régnez sur les cieux, faites que je sois toujours une petite fille obéissante. Faites que les grandes personnes soient toujours satisfaites de moi. Faites que mon corps leur donne tout le plaisir qu'ils en attendent. Et si je manquais à mes devoirs, faites qu'une juste punition me remette dans le droit chemin que vous avez tracé pour moi. Amen...

-C'est un sans faute, Nadège. Nous sommes très contents de toi. Garde cette pause, continue à te caresser entre les jambes.

-À ton tour Pauline, lance alors Nestor.

Pauline, terrorisée, se hisse sur son pupitre. N'étant pas aussi souple que sa sœur, elle a quelque mal à prendre la pause voulue. Son sexe, plus immature, reste à demi clos. Elle commence à se toucher avec un geste nerveux et précipité.

-Doucement, Pauline, doucement. Prends tout ton temps.

-Dieu le père qui régnez sur les cieux...

Elle s'interrompt, une moue désespérée sur les lèvres.

-Eh bien, Pauline, la suite...

-Mon... père... Je ne sais plus... Oh, s'il vous plait, ne me punissez pas... Elle se met à pleurer à grandes eaux.

-Je dois te punir, Pauline. Sans quoi tu ne progresseras jamais, mon cœur. Mais je te promets de ne pas te fesser.

Pauline lève vers le vieillard des yeux plein d'espoir. Peut-être se contentera-t-il de me donner des lignes à copier, semble-t-elle penser.

-Mets toi à quatre pattes sur ton pupitre, Pauline.

-S'il vous plait...

-Chut ! Pas un mot ! Obéis simplement.

La petite fille se met à quatre pattes et présente ingénument son fessier au vieux prêtre. Celui-ci se lève, trousse la jupe sur les reins de l'enfant et promène ses mains sur ce généreux petit cul.

-Nadège, dis-je, tourne la tête pour regarder ce que fait monsieur Nestor. Mais continue à jouer avec ta zézette.

A présent Nestor promène sa langue sur le cul de Pauline, il l'embrasse et le mordille. Il écarte les fesses de ses mains avides, et darde sa langue contre l'œil clos de son anus parfumé à l'eau de rose. Les pleurs de Pauline se calment peu à peu. Ce que lui fait subir le curé lui semble bizarre, sale, dégoûtant, mais au moins, ce n'est pas douloureux.

-Quel délicieux, quel suave petit anus nous avons là, Jacques. Tous ceux qui visiteront notre petite Pauline voudront y faire halte. Oh, oui, cette mignonne petite fleur sera très sollicitée.

Ayant généreusement mouillé de salive la source de sa dévorante passion, il entreprend d'y enfoncer son majeur. La petite rondelle cède sans qu'il ait besoin d'insister et son doigt disparaît jusqu'à la dernière phalange. La fillette se cabre.

-Mon père, gémit-elle, vous me faites mal, s'il vous plait.

Le doigt de Nestor va et vient avec un léger mouvement circulaire dans le rectum de l'enfant. Les larmes de celle-ci font « plic ploc » en tombant sur le pupitre, mais la douleur que Pauline dit ressentir n'est qu'imaginaire, c'est surtout l'humiliation de cette exploration intime qui est la cause de ces larmes de crocodile auxquelles il ne faut pas prêter trop d'attentions.

Nadège observe avec un semblable désarroi le traitement que subit sa petite sœur.

Satisfait du confort et de la laxité de ce rectum enfantin, il ajoute à son majeur l'index, provoquant un redoublement de plaintes. Cette fois la dilatation est douloureuse, d'autant que Nestor se fait guère preuve de douceur. Mais après tout, il s'agit d'une punition, non d'un câlin. Et puis Pauline doit s'habituer à de telles intrusions... et à de plus massives. Je suis pour ma part très satisfait de voir que la petite fille, que nous n'avons pas attachée, garde sa posture sans ruer comme une pouliche. Elle se contente de faire le dos creux pour éloigner le plus possible son derrière des doigts lubriques du vieux curé. Ce qui ne fait que la rendre plus désirable.

Je me lève et viens me placer devant elle. Elle me regarde, les yeux humides, la bouche tremblante. Je lui souris et essuie avec un doigt ses larmes dont je goûte ensuite la salinité marine.

-Les grandes personnes n'aiment pas seulement jouer avec la zézette des petites filles, ils aiment aussi leurs petits trous de derrière, et le tien, ma chérie, est très agréable, n'est-ce pas, Nestor ? -Merveilleux. Souple. Accueillant. À croire que Dieu l'a placé là dans le seul dessein qu'il fût pénétré et pénétré encore.

-N'en doutons pas.

Nestor doigte l'anus de Pauline pendant cinq bonnes minutes avant de les en extirper. Il admire son travail. La corolle de l'enfant est rouge et dilatée. Il y colle sa bouche et y enfonce sa langue. Pauline mordille ses lèvres en reniflant. Je glisse une main dans son bustier et pince ses petits tétons. Ils durcissent sous mes doigts, pas comme ceux d'une grande fille, bien sûr, mais assez pour me laisser deviner que Pauline n'est indifférente ni à mes titillements ni à la langue de Nestor.

Nestor se redresse. Nous échangeons un regard entendu. Nous pouvons supposer que l'anus de Pauline supportera sans mal l'intrusion d'un objet plus envahissant.

Nous demandons à la fillette de se rasseoir sur sa chaise, de sécher ses larmes et de faire cette fois l'effort de bien apprendre sa leçon. Ce dont elle s'acquitte en se tortillant sur sa chaise car son rectum doit la lancer.

Quelques minutes plus tard, elle récite sa leçon sans erreur, et reçoit de notre part félicitations et caresses.

-Nadège, dis-je alors, pose à présent tes mains sur tes genoux.

L'enfant obéit, presque à regret. Je m'agenouille entre ses jambes, embrasses ses cuisses puis sa vulvette. Ma langue recueille une larme d'humeur à l'entrée de son vagin. Je ne saurais dire si son clitoris est érigé ou non tant il n'est qu'un menu bourgeon, mais lorsque le bout de ma langue vient le stimuler, j'entends Nadège soupirer... Et c'est un soupire d'aise. Je n'insiste pas plus longtemps. Un professeur n'est pas là pour donner du plaisir à ses élèves.

Une nouvelle leçon commence. Nous distribuons aux fillettes un cahier que nous avons fait imprimer il y a de cela quelques années, à la demande d'une tenancière de bordel (un très bon établissement qui a hélas fermé). Cet opuscule a pour titre « Les Devoirs d'une Petite Fille de Joie ». Sur la couverture, un dessin dans un style enfantin montre une petite fille habillée en putain, adossée à un mur. Elle tend la main à un homme de dos qui pose dans sa paume quelques piécettes. À l'intérieur, les pages alternent récits brefs écrits dans un style simple, gravures du dix-neuvième siècle (tirées d'un ouvrage interdit et anonyme), et photographies prises par nos soins. Nous invitons d'abord nos élèves à feuilleter le cahier et nous amusons de leurs grimaces quand elles découvrent au fil des pages tout ce que le corps d'une petite fille a à offrir. Ensuite, nous leur demandons de lire à voix haute quelques textes. Toujours des histoires de fillettes qui se vendent à de vieux messieurs. Nadège lit d'une voix claire et appliquée. Pauline a plus de difficulté, mais elle est plus jeune d'un an. Plus écervelée aussi. Mais on n'attend pas d'une petite fille de joie qu'elle ait de la cervelle.

Il est délectable en tout cas d'entendre des voix si pleines d'innocence, de candeur, nous narrer des épisodes obscènes.

La séance de lecture dure une heure. Nous la faisons suivre d'une séance de copie. Au bout d'une demi-heure, alors que nous fumons tranquillement un cigare de Cuba, Nadège lève la main.

-Oui, mon cœur ?

-Monsieur Jacques, j'ai très envie de faire pipi.

-Non. Pas avant quelques heures. Retiens-toi.

-Mais monsieur, j'ai vraiment très envie.

-Nadège, si tu fais pipi sur ta robe, nous te punirons très sévèrement.

-Monsieur Jacques... S'il vous plait...

Nestor et moi échangeons un regard complice.

-Et toi, Pauline, tu as envie de faire pipi ?

-Un peu, confesse la fillette.

-Exceptionnellement, nous allons vous autoriser à faire pipi...

Qu'est-ce qu'on dit ?

-Merci monsieur Jacques... Merci mon père...

-Toutefois nous ne pouvons perdre un temps précieux avec un aller-retour aux toilettes. Vous allez donc faire pipi ici même.

Je tire du coffre à jouet une simple bassine en plastique. La tenant devant moi, je fais signe à Nadège d'approcher. Nadège me regarde avec des yeux effarés.

-Eh, bien, tu n'as plus envie ?

-Si, monsieur Jacques...

-Alors viens.

Elle s'approche de moi, craintivement. Je pose une main sur son ventre, puis je trousse le devant de sa robe.

-Ecarte les jambes... Encore un peu... Maintenant, avec tes deux mains, je veux que tu ouvres le plus possible ta zézette. Tu ne voudrais pas que ça te dégouline sur les jambes.

Elle ouvre sa tendre minette. Je glisse la bassine entre ses jambes.

-Soulage-toi...

Elle est tellement honteuse que ses sphincters refusent pendant un instant de se relâcher. Puis l'urine fuse en chantant contre le fond de la bassine.

-C'était une très grosse envie, dis-je... Il y a des grandes personnes qui aiment voir les petites filles faire pipi.

-C'est notre cas, soupire Nestor.

Je recueille les dernières gouttes ambrées sur mes doigts et m'exclame benoîtement :

-Oh, Nadège, tu as fait pipi sur mes doigts.

-Je m'excuse, monsieur Jacques... Je... Je n'ai pas fait exprès...

-Ce n'est pas grave, mon ange, cette bêtise est facile à réparer.

J'approche mes doigts de sa bouche.

-Suce mes doigts pour les nettoyer.

-Mais c'est dégoûtant.

-Je t'ai demandé quelque chose, et je n'attends pas d'autre commentaire que oui monsieur Jacques.

La petite fille murmure tout bas :

-Oui, monsieur Jacques.

Et elle suce mes doigts humides de son urine en faisant la grimace.

-C'est bien Nadège. Laisse ta place à Pauline.

-Monsieur Jacques, gémit cette dernière, je n'ai plus envie.

-Capricieuse enfant. Je te veux te voir faire pipi dans cette bassine comme ta grande sœur.

-Oui, monsieur Jacques.

Pauline s'approche de moi et écarte les jambes. Sa jupe est si courte que je n'ai même pas besoin de la lui trousser. Ses petites mains fébriles ouvrent les pétales de son sexe au-dessus de la bassine contenant l'urine tiède de sa soeur. Elle force, se trémousse, crispe son bedon, mais l'urine refuse de venir. Des larmes se mettent à couler sur ses joues.

-Pardon, monsieur Jacques, je n'y arrive pas... S'il vous plait, ne me punissez pas...

Je pose la bassine sur le sol, et caresse affectueusement le visage de l'enfant.

-Ne pleure pas, mon cœur, je vais t'aider.

Je soulève la petite fille par la taille. Elle n'est pas légère, mais l'âge n'a pas encore fait perdre toute vigueur à mes muscles. Je l'installe de manière à ce que ses pieds reposent sur les accoudoirs du fauteuil et que son bassin soit à hauteur de ma bouche. Puis je colle mes lèvres sur son joli et dodu petit sexe. Ma langue s'y glisse et se met à titiller le chat d'aiguille de son méat pendant que ma bouche fait ventouse. La stimulation a vite l'effet escompté. L'urine tiède et un peu fade de l'enfant se met à couler. Je la bois comme s'il s'agissait du plus précieux nectar. Lorsque Pauline a fini de se soulager, je lèche soigneusement sa vulve avant de reposer l'enfant sur le sol. Je ne peux m'empêcher de rire en voyant ses yeux écarquillés et sa mine abasourdie.

-Comme je vous l'ai expliqué, il y a des grandes personnes qui prennent plaisir à voir les petites filles faire pipi, il y a aussi de grandes personnes qui aiment boire le pipi des petites filles. Il y a enfin des grandes personnes qui aiment donner aux petites filles leur pipi à boire.

-Mais c'est sale, maugrée Pauline.

-Il y a des choses plus sales encore, mon ange, bien plus sales... des choses que nous laisserons à d'autres le soin de t'apprendre. Il y a tant de manières de jouir de vous. Allez, retournez à vos pupitres et reprenez votre travail.

Le travail se poursuit jusqu'à l'heure du déjeuner. Nous faisons apprendre par cœur aux fillettes une chanson de circonstance intitulée les Petites Pisseuses.

«Sous un réverbère dans la nuit, La petite fille accroupie, Fait couler une fontaine d'or, Et les messieurs s'exclament : encore !» Nous les écoutons nous la chanter de leurs voix d'ange à plusieurs reprises. Enfin, en guise de récréation nous leur faisons dessiner nos sexes bandés. La dizaine de dessins naïfs produits, sous lesquels les petites inscrivent d'une écriture pataude « le zizi de monsieur Jacques » ou « le zizi du père Nestor », sera du plus bel effet sur les murs de nos chambres.

Le repas que nous servons pour midi n'est composé que de plats évoquant par leur consistance et leur couleur, le foutre : un consommé de tapioca, une purée très liquide et un riz au lait. Nos petites élèves doivent s'accoutumer à cette consistance, car leurs bouches en seront souvent pleines (une de nos connaissances, dont je tairai le nom, car il est un homme politique en vue, a même l'habitude de donner à manger à ses petites maîtresses la semence des étalons dont il fait l'élevage).

Nous les asseyons sur nos genoux, et les nourrissons à la petite cuillère comme des bébés. Entre chaque bouchée, nous les embrassons sur les lèvres, y glissons nos langues. Elles n'aiment guère cela, d'autant que nos salives ont pris le goût du tabac, mais il faut qu'elles s'habituent aux arrière-goûts de tabac et d'alcool. -Une gentille petite fille ne fait pas la grimace quand une grande personne l'embrasse.

Le repas fini, nous demandons à nos élèves de se glisser sous la table et de s'agenouiller entre nos jambes. Elles sont assez malignes pour deviner quel genre d'entremet nous nous apprêtons à leur donner. Cette fois, c'est de mon foutre dont se régalera Pauline et Nadège pourra apprécier celui de Nestor. Elles ont vu assez d'images montrant des petites filles suçant des messieurs durant la matinée pour savoir quoi faire.

Nous sirotons un excellent cognac pendant que nos élèves font entre nos jambes leurs travaux pratiques. Nous les abreuvons de conseils qu'elles suivent à la lettre. Je les préviens qu'elles seront punies si une seule goutte de semence venait à tacher leurs vêtements. -Elles vont devenir d'excellentes suceuses, commente Nestor. -C'est encore timide mais elles auront rapidement de la pratique. Pour éviter qu'elles n'aient la tentation de gâcher l'excellente liqueur de nos couilles, nous posons nos mains sur leurs têtes, et dans un soupir de félicité nous éjaculons dans leurs bouches. Le flot tiède de notre foutre coule dans leurs gorges. Elles déglutissent tant bien que mal. Lorsque nous avons donné tout ce que nous avions à donner, nous leur demandons de se mettre debout et d'ouvrir largement la bouche pour nous prouver qu'elles ont bien tout avalé. Nous les félicitons

-Est-ce que mon foutre était aussi bon que celui du père Nestor ?

demandé-je perfidement à Pauline.

-Oui, monsieur Jacques, fait la petite en prenant un air malheureux.

-Tu aimes boire le foutre des messieurs, n'est-ce pas ?

-Oui, monsieur Jacques.

-Tu es une petite gourmande, Pauline, dis-je en lui caressant le ventre.

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