Les Petites Filles De Joie, Partie 1

[ MM/gg, bd, spank, humil ]

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Published: 23-Dec-2012

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This work is Copyrighted to the author. All people and events in this story are entirely fictitious.

Préambule: Monsieur Jacques et monsieur Nestor, deux riches vieillards aux esprits dévoyés et pervers n'ont d'autre passion que l'éducation des petites filles dont ils se plaisent à user et abuser tout en leur inculquant l'absolue soumission que, à leurs yeux, une enfant doit à un adulte. Pour les familles du quartier ouvrier sur lequel leur maison veille telle une demeure seigneuriale, ils font preuve d'une grande générosité, et les parents leur confient souvent de bon gré leurs fillettes. Jacques et Nestor sont insatiables et inventifs quand il s'agit d'éduquer de nouvelles petites élèves.

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Salle Drouot, tout ce que l'Europe compte de vieux aristocrates dissolus, d'artistes pervers, d'héritiers et de princes aux violons d'Ingres coupables, est réuni. L'automate à fesser, œuvre mécanique anonyme du 18e siècle, a été mis en vente par son actuel propriétaire. Et ce prodigieux robot capable de fesser le petit cul qu'on lui présente pendant plus d'une heure avant d'avoir besoin d'être remonté, tout le monde ici veut l'acquérir. Pas pour en faire un objet de collection caché dans un coffre-fort. Mais pour constater de visu ses vertus éducatives sur le popotin de quelque petit garnement.

Evidemment, Nestor et moi-même comptons parmi les gens présents. Les enchères vont bon train. Elles montent vertigineusement. Et bientôt, il n'y a plus que trois enchérisseurs: moi, un prince arabe représenté par son secrétaire, et le marquis de Kurtenheim. Ce cher marquis dirige un prestigieux (et secret) bordel d'enfants à Calcutta. Il a pour clients de riches Indiens et Chinois, quelques Russes aussi. C'est un homme qui aime déguster filles comme garçons, poupons de quelques mois comme adolescents. Tout ce qui est tant soit peu juvénile et qui passe à sa portée devient pour lui objet de jouissance. Je renchéris, mais je sais que c'est peine perdue. Le prince arabe vient d'abandonner (il se dit sans doute qu'il lui reviendra moins cher d'en faire fabriquer un). Le marquis est immensément riche, capricieux, il veut ce jouet magnifique, et il l'aura.

Quelques instants plus tard, je suis forcé d'abandonner. Les enchères ont atteint une somme qui dépasse largement nos moyens.

Le marquis est radieux. Bon joueur, je vais lui serrer la main. Il me tape sur l'épaule.

-Ah, je suis désolé, Jacques, navré, mais ce jouet, je le voulais!

-C'est le jeu, mon cher marquis.

-Certes, mais permettez-moi de vous offrir de quoi vous consoler.

-C'est inutile, marquis.

-Non, non, j'y tiens... Et, pour parler en toute sincérité, vous m'ôteriez une épine du pied.

-Alors, je m'en voudrais que cette épine vous fasse souffrir.

-Voilà la situation. J'ai un lointain cousin, un homme d'une stupidité crasse, pas du tout de notre monde... Cet homme a divorcé, il y a peu, et il vit à présent seul... Seule avec ses deux filles... Le misérable a repris contact avec moi, il y a quelques mois de cela, désireux de m'extorquer quelques sous, au prétexte que nous sommes parents. Je lui ai suggéré de mettre ses deux filles à contribution, lui promettant même de lui présenter des clients parmi les plus convenables. Il est monté sur ses grands chevaux, puis deux jours plus tard, il m'a rappelé, en me disant qu'il avait réfléchi, et qu'il acceptait cette proposition. Je lui ai alors dit que je ne pouvais décemment pas mettre ma réputation en jeu tant que ses charmantes filles n'auraient pas été convenablement éduquées... Et c'est là, voyez-vous, mon cher Jacques, que vous et votre bon ami, pourriez entrer en lice.

-Eh bien, cela mérite réflexion, peut-être, dis-je prudemment... Le marquis sourit et sort de sa poche une photo. L'on y voit deux fillettes sous le perron d'une maison. La première est une brunette d'environ neuf ans, absolument divine, avec une bouche pulpeuse, une très belle complexion (par en juger par la couleur, légèrement ambrée de ses cuisses), une manière toute suave de se tenir assise. La seconde est blonde, elle doit avoir un an de plus que sa sœur. Cheveux longs, coiffés en deux couettes qui lui tombent sur les épaules, un corps plus fin que celui de sa sœur, le plus adorable nez qu'il m'ait été donné de voir. Elle porte des lunettes qui lui vont à ravir et a un petit air coquin et rebelle qui ne demande qu'à être mâté.

-Sachez également, me chuchote le marquis dans l'oreille, que pour la bonne éducation de ces deux enfants, vous avez carte blanche. En d'autres termes, si, leurs leçons achevées, elles ne sont plus vierges, personne ne saurait vous en tenir rigueur.

-Bien, dis-je. J'accepte de vous rendre ce... service.

-Avez-vous des instructions particulières?

-Je les veux durant un week-end. Elles nous seront amenées juste après la sortie de l'école, habillées de leurs vêtements de tous les jours.

Leur père leur expliquera qu'il les met en pension pendant le week-end chez deux enseignants à la retraite qui ont en charge de leur apprendre les bonnes manières. De surcroît, je m'attends à des fillettes difficiles m'obligeant à de sévères punitions. Il serait donc prudent, qu'à la fin de ce week-end, elles ne retournent pas à l'école avant une bonne semaine.

-Le marché est conclu... J'ajoute que d'ici quelques semaines, j'organiserai une fête dans mon pavillon d'été. Vous y serez cordialement invités, vous et Nestor, ainsi que toute enfant que vous seriez désireux de nous présenter et de présenter à mon nouvel automate. J'annonce à Nestor que si nous avons perdu l'enchère, nous avons gagné un week-end chargé (mais riche en perspectives). Je lui montre la photo, il les trouve ravissantes.

-Voyez ces airs têtus et coquins! Mais avec l'éducation adéquate, elles feront des petites prostituées très décentes!

Nous avons passé nos costumes les plus stricts pour recevoir nos invitées. Vestes noires, gilets à l'ancienne, cravates aussi tristes qu'un jour d'automne. Ne sommes-nous pas là pour inculquer les bonnes manières. Il est toutefois amusant de songer que sous nos pantalons aux plis impeccables nous ne portons aucun sous-vêtement.

Les fillettes nous sont livrées à l'heure prévue, quelques minutes après la sortie de l'école. Leur père a tout d'un misérable imbécile. Mais ce n'est pas lui qui retient notre attention, et nous nous hâtons de le mettre poliment à la porte, afin de rester seuls avec sa radieuse progéniture.

Des yeux nous les dévorons. Elles sont plus désirables encore que sur la photo. Et l'on ne saurait choisir des deux la plus jolies, d'autant qu'elles sont vêtues à l'identique: une jupe courte et étroite en jean et un simple débardeur blanc, une petite croix en argent autour du cou et une gourmette dorée au poignet. La brunette possède une bouche sublime, la couleur naturelle de ses lèvres a l'incarnat d'une fraise mûre à point. La blonde paraîtrait plus ingrate au premier abord, mais sa peau légèrement dorée et la finesse de ses jambes et de ses bras en font une enfant pleine de charmes. Une odeur de sueur et chewing-gum émane d'elles. Elles ont les genoux et les coudes écorchés. De petites filles très actives sans doute.

Elles nous observent avec méfiance. La plus grande nous lance même un regard un peu hostile. Regard que nous saurons bien vite effacer.

Nous nous asseyons dans nos confortables fauteuils, et leur demandons de s'asseoir sur deux tabourets à quelques mètres de nous. Leurs jupettes glissent contre leurs cuisses. Elles se tortillent pour essayer de les réajuster.

-Bien mademoiselles. Nous allons faire les présentations. Je suis monsieur Jacques. Et voici monsieur Nestor. C'est ainsi qu'il conviendra de nous appeler durant ce week-end. Quelle est ton nom, mon ange.

-Pauline, me répond la brunette.

-Ce n'est pas ainsi qu'une enfant bien élevée doit répondre: tu dois dire, je m'appelle Pauline, pour vous servir, monsieur Jacques.

-Je m'appelle Pauline, pour vous servir, monsieur Jacques.

-Voilà qui est mieux. Et toi?

-Je m'appelle Nadège, pour... vous servir, monsieur Jacques.

-Pauline, Nadège, intervient Nestor. Votre papa vous a confiées à nous pour que nous fassions votre éducation. Il voudrait des petites filles plus obéissantes. Et c'est ce que nous ferons de vous. Pour commencer, puisque vous êtes assises, nous allons vous apprendre comment il convient de se tenir devant une grande personne. Vos jambes ne doivent jamais être croisées. Vos genoux doivent être légèrement écartés, mais pas trop, vos mains doivent être posées à plat sur vos cuisses, juste au-dessus des genoux, vous devez vous tenir le dos droit, la tête légèrement inclinée... Montrez-nous que vous avez compris.

Les fillettes prennent la pose indiquée après avoir échangé entre elles un regard interrogatif.

-C'est très bien.

Je me lève et m'approche des enfants. Je fais mine de vouloir caresser la joue de Nadège, mais celle-ci a un mouvement de recul.

-Une gentille petite fille ne doit jamais refuser la caresse d'une grande personne. Il est normal qu'une grande personne ait envie de caresser une petite fille. Lorsque vous voyez un chaton, n'avez-vous pas envie de le caresser?

-Mais j'aime pas qu'on me touche, marmonne Nadège en faisant les gros yeux.

-Et alors? Il importe peu que tu aimes ou que tu n'aimes pas. Il importe juste que tu te prêtes au désir des grandes personnes sans ronchonner comme tu viens de le faire...

Je réitère mon geste sur la joue de sa jeune sœur qui ne se rebiffe pas. -Voilà une gentille petite fille. Bon. Nous allons vous apprendre à bien vous tenir lorsque vous êtes debout. Levez-vous.

Les deux sœurs se lèvent.

-Pieds à plat, jambes droites mais pas trop serrées, bras le long du corps, mains ouvertes, dos droit, récite Nestor.

Les fillettes prennent la pose, mais avec un évident manque de bonne volonté. Nous soupirons.

-Votre papa, expliqué-je posément, en vous confiant à nos soins, nous a donné permission d'user de toute méthode que nous jugerions utile, y compris des punitions.

Ce mot fait se raidir les fillettes. Je poursuis.

-Punir les vilaines petites filles, voyez-vous, est une chose que nous faisons avec un certain plaisir. Et nos punitions sont bien plus sévères que celles que peuvent vous infliger vos maîtresses d'école. -Mais vous n'avez pas le droit de nous punir! se récrie Pauline.

Je lui souris.

-Votre papa n'est pas de cet avis.

-Que de travail nous attend, soupire Nestor.

(Et nous pensons tous deux: « que de plaisirs aussi... »)

-Asseyez-vous, maintenant.

Les fillettes se rassoient. Je vois bien qu'elles réfléchissent intensément à ce que je viens de leur dire. Je pourrais presque lire leurs pensées... Elles se demandent si ce sont des menaces en l'air, si nous allons vraiment les punir, et elles finissent par se persuader que nous n'oserons pas. Naïves enfants.

Nestor se lève à son tour.

-Mettez les mains dans le dos, ordonne-t-il d'une voix posée mais néanmoins autoritaire.

-Pourquoi? demande Nadège en fronçant les sourcils.

-Pour nous éviter d'avoir à le faire nous-même, lui réponds-je avant de saisir ses mains et de les attacher dans son dos avec l'une des cordelettes dont la poche de mon veston regorge, que je relie ensuite à un montant horizontal du tabouret. L'enfant est tellement surprise qu'elle n'oppose sur l'instant aucune résistance. Nestor fait de même avec Pauline. Assez habiles à ces jeux de corde à force de pratique, il ne nous faut qu'une poignée de secondes pour entraver de même leurs chevilles aux pieds des tabourets. L'aînée est la première à se mettre sangloter. Mais Pauline, sa cadette d'un an, ne tarde pas à l'imiter.

Elles essayent de se libérer de leurs liens mais comprennent rapidement que cela est vain.

Nous retournons nous asseoir dans nos fauteuils et nous amusons du regard à la fois colérique et effrayé qu'elles nous lancent. Malgré leurs différences, elles sont bien sœurs, il n'y a pas de doute là-dessus. -Ne pleurez pas, mes chéries, leur dis-je. Si nous vous avons attachées de la sorte, c'est seulement pour vous aider, vous aider à comprendre que la seule attitude possible est l'humilité, le respect et l'obéissance. Des choses simples qui ne demandent de votre part qu'un tout petit effort.

Nous les laissons se calmer et s'habituer à leurs entraves. Comme elles se sont un peu agitées, leurs jupes sont remontées un peu plus haut sur leur cuisse, et nous voyons un coin de leurs petites culottes. Celle de Pauline est rose, celle de Nadège, blanche.

Derrière la boutonnière de nos pantalons, nos verges commencent à se dresser.

Au bout de quelques minutes, le visage des fillettes s'adoucit. Nestor entrouvre alors notre coffre à jouets qui se trouve entre nos deux fauteuils et en sort une badine. Cette badine est assez souple pour cingler efficacement, mais assez légère pour ne marquer la peau que d'une rougeur passagère. Il se me debout, son entre-jambe obscènement bombé, et s'approche des deux fillettes. Celles-ci le suivent des yeux. Elles s'osent croire qu'il pourrait se servir du bâton qu'il tient dans la main.

Nestor caresse le visage de Nadège, puis ses cuisses jusqu'aux limites de la jupe dont l'ourlet mord la chair. La fillette ne peut rien faire d'autre que de subir le contact de la main rêche du vieillard le long de ses jambes. Soudain, la badine tombe en sifflant sur ses cuisses.

Elle pousse un petit cri de souris et se remet à sangloter. Sa sœur observe, les yeux écarquillés, la trace rouge qui se peint sur les cuisses de son aînée. Rien de méchant. D'ici une heure, elle aura disparu. Nestor soulève le visage de Nadège et plonge ses yeux dans les siens qui larmoient derrière les carreaux de ses lunettes.

-Dis-moi à présent, mon cœur. Quelle caresse préfères-tu? celle de ma main ou celle de cette badine?

Faute d'une réponse intelligible, Nestor flagelle à nouveau les jambes de l'enfant. Nadège s'empresse cette fois de répondre.

-Votre main! Votre main!

Il caresse avec douceur les cuisses de la fillette, apaisant par la chaleur de sa paume la légère brûlure. Puis il fait de même avec celles de Pauline, lui soufflant à l'oreille.

-Et toi Pauline, quelle caresse préfères-tu?

-Votre main... S'il vous plait... Votre main...

Nestor prolonge ses attouchements sur les jambes de la cadette, poussant ses doigts sous la jupe jusqu'à toucher l'ourlet de sa culotte. L'enfant frémit, mais se laisse absolument faire.

-Tu vois Nadège, dis-je, quand on est une gentille petite fille, on ne reçoit pas de punition.

La blondinette hoche la tête.

-Nous allons à présent vérifier que toutes ces premières leçons ont été comprises.

Nestor détache les deux sœurs avant de retrouver le confort de son fauteuil. Il pose la badine sur le coffre, bien en vue et à portée de main. Je demande aux petites de se mettre debout. Elles s'exécutent.

-Deux petites filles aussi mignonnes, je ne sais pas toi, Nestor, mais moi, j'aurais grande envie de les caresser?

-Quel homme n'en aurait pas envie... Laquelle voudrais-tu caresser, Jacques?

-Eh bien, puisque Nadège a, tout à l'heure refusée le contact de ma main, il serait bon qu'elle se fasse pardonner.

-Tu as entendu, Nadège? Viens voir monsieur Jacques. Allons approche. Bras le long du corps, Nadège... Et toi, Pauline, viens me voir.

Les yeux baissés, les paupières larmoyantes, les deux enfants marchent jusqu'à nous. Les tenant par les hanches, nous les incitons à se rapprocher encore jusqu'à ce que leurs genoux viennent en contact des nôtres. Souriant comme d'affectueux grands-pères, nous commençons par leur caresser les cheveux, puis le visage, m'attardant pour ma part sur le joli nez de Nadège piqué de minuscules taches de rousseur, pendant que Nestor passe ses doigts sur les lèvres délectables de Pauline. Puis nous câlinons leurs épaules et leurs bras nus. Ceux de Nadège sont couverts d'un très fin duvet que se hérisse sous ma main. Nos mains, enfin, se posent sur leurs ventres et se glissent tout doucement sous leur débardeur. Nous observons leurs réactions. Elles sont très tendues et jettent de fréquents coups d'œil vers la badine, ce qui suffit à les faire tenir sages.

-Ton ventre est bien dodu, susurre Nestor. J'aime les petites filles un peu dodues, tu sais.

Il est vrai que Pauline, sans être grosse, est bien en chair. Il faudra que je dise à son père de surveiller son alimentation. En l'état, elle est une petite personne tout à fait désirable, mais quelques kilos de plus lui feraient perdre de sa beauté... et de sa valeur.

Nadège a quant à elle un ventre plat. Je titille son nombril. Elle esquisse un geste. « Bras le long du corps! » Elle obtempère aussitôt. Nos mains remontent vers leurs poitrines et ce faisant soulèvent au passage leurs débardeurs. Nous sentons à mesure croître leur gêne. Leurs genoux s'agitent contre les nôtres.

-Oh, s'enthousiasme Nestor. Pauline a de petits seins! Pauline, ma chérie, montre tes petits seins à monsieur Jacques.

Il tourne l'enfant dans ma direction. La mignonne fait une moue éplorée.

-Allons, ne tarde pas, soulève ton débardeur... À moins que tu ne préfères les montrer à la badine.

L'argument porte aussitôt ses fruits. Timidement, les lèvres tremblantes, Pauline relève son débardeur, exhibant son ventre bien rond, puis l'esquisse de deux seins qui ne sont pas le produit d'une puberté précoce, mais simplement les rondeurs d'un corps potelé. Des tétons d'un rose tendre les surmontent comme deux petites fleurs des champs. Nestor se met à les peloter à deux mains, d'une manière qui n'est plus le moins du monde celle d'un grand-père affectueux.

Mes propres doigts ont atteint la poitrine de Nadège qui est, elle, plate comme celle d'un garçon.

-Il serait juste que tu fasses comme ta sœur, lui dis-je.

-Non, grogne-t-elle, je ne veux pas.

-Que de vilains mots dans une seule phrase... Que de mots que nous ne voulons entendre dans la bouche d'une petite fille sous aucun prétexte. Le non est inacceptable, Nadège, inacceptable. Je veux bien, exceptionnellement, et parce que votre formation ne fait que commencer, te donner une deuxième chance: soulève ton débardeur et montre ta poitrine à monsieur Nestor.

Nadège se résout à obéir, mais elle le fait avec une mauvaise volonté qui gâche notre plaisir. Sa poitrine plate enfin nous apparaît. Son torse est ravissant, bien proportionné, doux et frais. Ses tétons sont légèrement érigés, suffisamment pour que mes doigts puissent les pincer. Nous jouons un moment avec les poitrines des enfants. Leurs joues sont rouges de honte, une coloration qui ne les rend que plus jolies.

Enfin, satisfaits de leur docilité, nous réajustons leurs débardeurs. -Alors, Nadège, ce n'est pas si terrible que ça d'être l'objet de caresses... Quand une grande personne veut caresser une petite fille, la petite fille doit s'offrir en toute simplicité. Il n'y a pas un endroit de son corps qu'elle doive dérober à sa main. Pas un seul, comprends-tu?

-Oui, monsieur Jacques.

Nestor saisit entre ses doigts épais la croix d'argent que Pauline porte autour du cou.

-Tu crois en Dieu, mon cœur?

-Oui, monsieur Nestor.

-Tu y crois très fort?

-Oui.

-Pries-tu?

-Oui, monsieur Nestor, moi et ma sœur, nous prions tous les soirs.

-Sache que je suis curé, mon enfant.

Nestor ne ment pas. Il est bien curé, ou du moins il l'a été jusqu'à ce qu'il perde son sacerdoce pour une raison que nos lecteurs imagineront sans peine. Bien sûr, il ne croit pas en Dieu, mais il aime avoir l'occasion de se rappeler de son ancienne fonction.

-Tu vas au catéchisme, j'imagine?

-Oui, monsieur Nestor.

-Peut-être devrais-tu m'appeler « mon père »?

-Oui... Mon père...

Nestor lui caresse affectueusement les cheveux.

-Sais-tu pourquoi Dieu a créé les petites filles?

-Non, mon père.

-Dieu a créé les petites filles pour qu'elles donnent du plaisir aux grandes personnes.

Il l'embrasse furtivement sur les lèvres.

-Et nous allons vous apprendre à bien servir le bon dieu, je vous le promets.

Je vois que mon vieil ami est dans d'excellentes dispositions. Avoir deux ferventes petites croyantes à sa disposition l'excite au plus haut point.

-Tu as compris, dis-je à Nadège, dorénavant, tu devras appeler monsieur Nestor, mon père.

-Oui, monsieur Jacques.

-Bon... retournez toutes les deux vous asseoir sur les tabourets.

Les petites filles s'empressent d'obéir, trop heureuses de mettre entre elles et les vieux messieurs que nous sommes quelques mètres de distance. Elles prennent sagement la pose que nous leur avons inculquée.

-Une gentille petite fille doit toujours être irréprochable quant à son hygiène, expliqué-je alors. Ce sera le sujet de notre nouvelle leçon. Pour cela, nous allons nous rendre dans une autre pièce de la maison. Puis viendra l'heure de dîner et d'une dernière leçon. Levez-vous et suivez-nous sans un bruit.

Les fillettes ouvrent des yeux stupéfaits quand elles découvrent la salle de bain dans laquelle nous les avons conduites. Elle est au cœur même de la maison. Privée de fenêtre, il y règne une humidité un peu étouffante. Le sol est couvert d'un carrelage azuré et les murs de faïences anciennes. Mais ce qui surprend le plus nos deux jeunes élèves, c'est l'absence de douche ou de baignoire. Il n'y a pour seul point d'eau que trois bidets assez larges, et pour seuls meubles qu'une table en fer forgée recouverte d'une grande plaque en marbre blanc, une patère et une armoire aux portes vitrées.

-Pour pouvoir vous apprendre comment il convient à une petite fille de faire sa toilette, il va falloir maintenant vous déshabiller.

Les fillettes lèvent vers moi un regard plaintif.

-Mais... bafouille Nadège... Monsieur... Vous n'allez pas nous regarder?

-Ma chère petite, comment veux-tu que nous vous apprenions quoi que ce soit si nous ne vous regardons pas? A présent, gentiment, sans discuter, vous allez retirer vos vêtements et les accrocher proprement à la patère. Commencez par vos débardeurs. Vite! Vous nous avez fait assez attendre.

Les fillettes obtempèrent. Elles retirent leurs débardeurs et les accrochent à la patère. Les petits seins de Pauline portent encore la trace des doigts de Nestor. La croix d'argent qui pend sur leurs poitrails dénudés ajoute une délicieuse touche d'innocence.

-Maintenant, vos baskets. Quand je pense que vos pieds y macèrent depuis des heures...

Les sœurs se défont de leurs chaussures, en sautillant alternativement sur un pied et sur l'autre. Elles nous offrent une jolie vue de leurs petites culottes dont bientôt, elles seront soulagées.

-Vos jupes.

Elles défont la boutonnière de leurs jupettes, les font glisser le long de leurs jambes et vont les accrocher à la patère.

Vêtues seulement de leurs petites culottes, qui ont le bon goût d'être assez moulantes pour souligner la fentine, leurs charmes nous apparaissent avec plus de clarté. Effectivement, Pauline est dodue, son derrière est rond comma la lune, ses cuisses sont bien pleines. Ce vieil ogre de Nestor doit la trouver fort à son goût. Nadège n'a pas le potelé de sa sœur, mais elle n'est pas maigre pour autant, elle a un corps dynamique, sportif, un corps qui a soif d'apprendre. Je lui retire ses lunettes qui ne l'enlaidissent pas, bien au contraire, et les glisse dans ma poche. On n'a pas besoin de lunettes pour faire sa toilette.

-Vos petites culottes à présent.

Nadège fronce les sourcils:

-Non, j'enlèverai pas ma culotte!

-Moi non plus, renchérit sa sœur en attrapant sa main.

-A quoi bon faire preuve de tant de patience et de gentillesse, soupiré-je.

-Elisabeth a raison, Jacques, nous sommes trop gentils. Ces demoiselles doivent comprendre ce qu'il en coûte de désobéir.

Nous attrapons les fillettes par les épaules. Elles n'osent réellement opposer de résistance, elles se contentent de se tortiller en aboyant d'odieux, insupportables, « laissez-moi! » qui ne feront qu'accentuer notre sévérité.

Tout cela n'est que caprices et simagrées. Il est plus que temps de leur apprendre ce qu'obéir signifie.

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