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Published: 22-Dec-2012
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Voici près d'une demi-heure que nous avons laissé la petite Rebecca attachée nue sur la table, les jambes ouvertes, la vulve et l'anus généreusement oints de pommade. Elle a tout le temps de s'acclimater à la situation étrange dans laquelle elle se trouve. Bien sûr, elle songe à l'heure où nous la laisserons rentrer chez elle, elle se demande sans doute ce qu'elle pourra bien raconter à sa mère et espère que cette dernière la consolera de ses malheurs et lui promettra de ne plus jamais l'emmener chez monsieur Jacques et monsieur Nestor. La pauvresse ne sait pas que si l'envie nous en prenait, nous pourrions disposer d'elle chaque soir de la semaine.
Plongée dans ses pensées, les yeux mi-clos, pâle et offerte, elle n'en est que plus excitante. Je lui ai expliqué que madame Elisabeth allait nous rejoindre et qu'elle devait une même obéissance à cette dame qu'à nous autres. Peut-être croit-elle que cette dernière sera moins sévère et exigeante que nous. Elle se trompe. Elisabeth se voue depuis ses vingt ans (elle en a à présent plus de soixante) à l'éducation de garçons et de filles. Elle a élevé les châtiments corporels et les humiliations au rang d'un art. Elle ne souffre pas le plus petit manquement à la discipline.
La grande dame vêtue d'une robe d'un autre âge, un précieux collier autour du cou, des bagues à chaque doigt, fait son entrée à l'heure convenue. Nous la recevons dans notre plus simple appareil (nous nous connaissons depuis tant d'années). Elle sourit en voyant nos braquemarts qui ont à peine perdu de leur raideur dans l'intervalle. -Messieurs, je vous reconnais bien là, toujours prompts à se dévêtir. -Nous goûtons mieux à nos plaisirs lorsque nous sommes nus.
-Comme je vous comprends. Mais il y a des yeux innocents qui pourraient s'en offusquer.
Avec un sourire complice, elle s'efface pour nous présenter sa petite protégée. L'angelot est tout bonnement succulent. C'est une petite brunette dont les cheveux courts rebiquent sur les côtés. Elle est vêtue d'une robe à bretelles rouge très courte, si courte qu'elle ne cache rien de ses cuisses merveilleusement potelées. Elle a tout d'une poupée! Elle nous dévisage de ses grands yeux noirs ou plutôt dévisage ce qui se dresse entre nos jambes.
-Comment t'appelles-tu?
Elle exécute une petite révérence qui nous dévoile inopinément sa petite culotte blanche.
-Je m'appelle Sacha, monsieur.
-Mais tu l'as éduquée? m'étonné-je.
-Les bases, me répond Elisabeth en passant sa main dans les cheveux de l'enfant.
-Alors son petit derrière doit être rouge vif à présent.
-Non, messieurs. Je vous ai dit que nous déboucherions cette bonne bouteille ensemble, ce n'était pas pour l'entamer en douce.
Soudain la fillette nous montre du doigt, et, en attrapant la main ridée d'Elisabeth, dit:
-Madame Elisabeth, pourquoi ils sont tous nus?
La main de notre amie gifle le bras tendu de la fillette.
-Il est mal élevé mon enfant, de montrer de grandes personnes du doigt! La fillette frotte son bras endolori en retenant ses larmes.
-Comme vous voyez, tout reste à faire, soupire madame Elisabeth.
-Mais nous sommes là...
Je prends Sacha par la main pendant que Nestor débarrasse Elisabeth de son châle. Je sens de la résistance dans cette petite main, de l'indiscipline qu'il va falloir sans tarder sanctionner. Nous pénétrons dans le salon. Aussitôt, je mène Sacha auprès de Rebecca.
-Tu vois, Sacha. Voilà ce qui arrive aux petites filles désobéissantes. Elle se met à chougnier en découvrant dans quelle posture humiliante se trouve Rebecca.
-Je veux rentrer chez moi.
-Qu'entends-je? s'exclame Elisabeth. Des récriminations? Messieurs, inculquez-lui les bonnes manières, je vous en prie.
-C'est exactement ce que nous comptions faire, lui répond Nestor.
Je m'agenouille pour me mettre à la hauteur de Sacha et j'attrape ses poignets pour qu'elle arrête de frotter ses yeux larmoyants. Je peux sans peine tenir ses poignets d'une seule main, et de l'autre, j'en profite pour caresser l'arrière de ses cuisses qui ont la douceur veloutée de la meringue. Tout doucement, imperceptiblement, j'incite l'enfant à se pencher en avant. Dans son dos, là où Nestor est naturellement venu se placer, la vue ne manque pas de charme.
-Oh, Jacques. Même Manon n'a pas un fessier aussi rebondi.
Un si bel enthousiasme mérite d'être satisfait sans tarder. Nestor s'assoit sur un tabouret pour être le plus à l'aise possible dans ses gestes. Je soulève Sacha et l'allonge sur les genoux du vieux monsieur, le postérieur en l'air. Nestor écarte les jambes de manière à ce que le visage poupon de l'enfant repose sur l'une de ses cuisses et son cul sur l'autre. J'attache les jambes pendantes de Sacha aux barreaux du tabouret car j'ai peur qu'elle ne gigote trop lorsque Nestor commencera son office. La petite fille ne s'en rend même pas compte. Le ventre lourd et velu de Nestor appuie sur son visage. La verge du vieil homme pointe tel un phare au-dessus du flanc gauche de l'enfant. Pour le moment, elle n'ose plus bouger, et se contente d'hoqueter à voix basse qu'elle veut rentrer chez elle.
Sa robe est si courte que Nestor n'a même pas besoin de la lui trousser. Il se contente de baisser sa culotte sur ses cuisses et dévoile un petit cul qui semble n'avoir été conçu que pour être fessé. D'une main, il immobilise les bras de l'enfant, de l'autre, il caresse, pelote le fessier qui à la mollesse de l'argile. Sacha se détend un peu, goûte à ces caresses qui ne sont pas désagréables, puis se remet à pleurer lorsque les doigts de Nestor commencent à fouetter alternativement sa fesse gauche et sa fesse droite, en partant de la base des reins et en descendant vers les cuisses. Il prépare le terrain à des claques plus amples et appuyées. Les larmes de Sacha, à présent abondantes, mouillent le ventre obèse de Nestor.
-Regarde Jacques, comme son cul rougit bien, s'extasie Nestor. Oh, il faut que tu en profites, remplace-moi, je t'en prie.
Comment refuser? Je viens donc prendre la place de Nestor. Mes cuisses sont sans doute moins confortables que les siennes. Peu importe. Je reprends la fessée, achevant de colorer d'un beau rouge vif ce petit derrière. Entre deux claques, mes doigts viennent reposer contre la vulvette bombée de la petite fille.
-Tu n'es pas assez sévère, me fait remarquer Elisabeth. Comment veux-tu obtenir d'elle une totale soumission si tu lui câlines la minette sans cesse?
-Je trouve pour ma part que nous lui administrons une très sévère fessée. -Mais n'est-elle pas méritée?
-Tout à fait méritée.
La fessée prend fin après que j'ai administré une bonne douzaine de claques. Le cul de Sacha est très endolori, elle devrait garder le souvenir de cette fessée durant un bon moment. Nous la détachons, la remettons sur ses pieds, séchons ses yeux et mouchons son nez. Nous l'embrassons à tour de rôle sur la bouche. Puis je la soulève par les aisselles, pour permettre à Nestor d'embrasser son derrière brûlant, ce qu'il fait avec une passion d'ogre, poussant sa langue jusqu'à la petite rondelle dont il goûte la saveur. Puisque j'ai, simultanément à ma disposition un pubis bien dodu, je lui accorde la même dévorante passion. L'enfant se laisse faire. Sa poitrine est encore secouée de hoquets sanglotants, mais elle a compris la leçon, je pense.
C'est alors que la voix de Rebecca se fait entendre.
-Monsieur Jacques? Monsieur, j'ai envie de faire pipi.
-Retiens-toi.
-Monsieur Jacques. Je ne peux plus me retenir.
-Fais un effort.
Elisabeth se penche sur l'enfant attachée.
-Madame... S'il vous plait...
-Tu as entendu monsieur Jacques, il me semble. Il t'a demandé de te retenir... Oh, vilaine...
Rebecca n'a pas su se retenir plus longtemps et l'urine jaillit en fontaine entre ses jambes. Elle coule le long de la table et vient former une flaque sur le parquet.
-Pardon, pardon, pleurniche la pauvresse.
-Mes amis, gronde Elisabeth, me permettez-vous de m'occuper de son cas. Cette incontinence est inacceptable.
-Bien sûr, je t'en prie. Rebecca est toute à toi.
Elisabeth défait les liens qui entravent l'enfant. Puis elle la fait mettre debout. L'urine continue à ruisseler le long de ses cuisses. -Regarde les saletés que tu as faites! lui dit Elisabeth en montrant la flaque d'urine. Tu n'es qu'un petit cochon.
-Je m'excuse, madame Elisabeth.
-Puisque tu n'es qu'un petit cochon, je veux que tu te mettes à quatre pattes dans ton propre pipi.
Rebecca nous jette un regard éperdu, mais elle n'obtient de nous que cette seule réponse:
-Obéis.
N'ayant aucune alternative, elle se met à quatre pattes, les mains et les genoux dans son urine. Elisabeth s'empare d'un martinet (son outil favori) dans notre coffre à jouets.
-Je veux que tu répètes après moi: Je suis un vilain petit cochon. -je suis un... vilain... petit cochon, répète Rebecca d'une voix murmurante. Elisabeth cingle son dos avec le martinet. La fillette pousse un cri bref. -Plus fort.
-Je suis un vilain petit cochon.
Nouveau coup de martinet, cette fois sur les fesses zébrées par la badine. -Plus fort.
-Je suis un vilain petit cochon!
-C'est mieux... Mes amis, cette petite a besoin d'une bonne toilette, et d'un costume approprié pour la suite. Si vous le voulez bien, je vais de ce pas la conduire à la salle de bain puis à la penderie.
Nous acquiesçons, évidemment. Elisabeth a été échauffée par ce petit intermède, nous le voyons dans ses yeux. Attendons-nous à de délicieux moments.
-Debout, ordonne Elisabeth.
Rebecca obéit.
-Suis-moi. Et je ne veux pas entendre un mot...
La fillette et notre amie se retirent, nous laissant seuls avec Sacha dont les charmes grassouillets font toujours l'objet de nos attentions. Nous la reposons finalement sur ses pieds, inclinons nos verges et en promenons les têtes écarlates sur son visage. Elle grimace mais n'oppose pas de résistance. Nestor prend ses petites mains et lui fait tâter ses lourdes couilles. C'est évidemment la première fois de sa vie qu'elle manipule de telles choses. Elle met bien peu d'enthousiasme à le faire.
-Soupèse mon cœur, soupèse, lui souffle Nestor. Sens comme elles sont pleines. Si tu es sage, tu pourras goûter à leur lait délicieux. Je fais glisser une bretelle de sa robe et frotte ma verge contre son épaule si douce. Une larme de foutre s'accroche à sa joue. Nestor presse ses testicules sur le visage de l'enfant. Sa verge sème quelques gouttes de sperme dans ses cheveux légers. Vision divine que celle de ce vieillard bedonnant et priapique pressant son sexe veineux sur le visage angélique d'une enfant de cinq ans.
Il pose ensuite son gland humide contre les lèvres de la fillette. -Lèche ce fruit mon cœur... Il est bien mûr. Allons, sors ta petite langue. La fillette fait non de la tête.
-Je crois que Sacha n'a toujours pas assimilé les règles. Ici, le non est inacceptable. Si nous te demandons de faire quelque chose, tu dois sur le champ obéir comme la petite fille sage qui nous aimerions que tu sois.
Elisabeth revient alors avec Rebecca. Elle s'est déshabillée et n'a gardé que ses bijoux luxueux. C'est une vieille dame mais ses seins et son ventre sont encore ferme. Ses poils pubiens sont impeccablement taillés et dessinent entre ses jambes un fer-de-lance couleur argent. Rebecca, quant à elle, porte un petit costume de servante. Une robe noire très courte et un tablier blanc bordé de dentelles. Elisabeth lui a également fait retirer ses souliers et ses soquettes. Elle est nue pied. Elle tient dans une main un seau, dans l'autre, une serpillière et sitôt entrée, elle se met à quatre pattes exhibant à nos yeux ravis son petit cul maigre, et entreprend de nettoyer son urine sur le sol et la table.
-Comment trouvez-vous votre nouvelle petite bonne?
-Charmante et très compétente.
Elisabeth s'assoit sur le tabouret sur lequel nous avons administré une fessée à Sacha. Elle écarte les jambes dévoilant ses lèvres brunes et épaisses d'où saille un clitoris de la taille d'un pouce.
-Alors, messieurs, ma Sacha vous donne du fil à retordre.
-En effet, dis-je. Elle fait semblant d'être sage, mais n'est pas le moins du monde obéissante. Voyez cette moue grognonne et entêtée. -Ce genre de petites filles doit être traitée avec plus de sévérité
que nous ne l'avons fait jusque-là. Amenez-la-moi s'il vous plait. Nous poussons l'enfant rétif entre les genoux cagneux d'Elisabeth. Elle pose une main sous son menton pour l'obliger à lever les yeux.
-Alors, Sacha, on fait sa vilaine.
De nouvelles larmes viennent mouiller ses yeux ravissants. Elisabeth caresse ses fesses.
-Qu'il est chaud, ce petit cul, chaud comme une brioche sortant du four du boulanger.
Elle saisit du bout du doigt la goutte de sperme sur la joue rose de l'enfant et l'étale sur les lèvres qu'elle tient obstinément close. -Y a-t-il un moyen d'ouvrir cette jolie bouche et de la mettre en travail? J'ai à présent très envie qu'elle me lèche le con.
Disant cela, elle écarte un peu plus les jambes. La petite fille regarde ce sexe décrépi mouillé d'un jus épais qui semble s'ouvrir dans le seul but de la dévorer. Pendant ce temps, Nestor rapporte quelques jouets de notre coffre. Une grosse tétine munie de lacets, un étui à cigare et un pot de vaseline. Avisant cet attirail, Elisabeth lèche ses lèvres lourdement maquillées. Nestor insère la tétine dans sa bouche avec l'aide d'Elisabeth, et je noue les lacets derrière sa tête afin qu'elle ne puisse pas la recracher. Voilà qui l'habituera à avoir la bouche pleine. Ensuite, je rapporte d'une penderie où nous accumulons quelques ustensiles plus volumineux, un siège de bébé. Ce siège couvert d'un molleton plastifié est assez large pour y asseoir confortablement une petite fille, même plus âgée que Sacha. Elle est pourvue de grands arceaux métalliques sur les côtés et est à bonne hauteur pour satisfaire notre lubricité. Aucun des ustensiles dont nous aimons user ne provient de vulgaires boutiques de bondage. Nous préférons les objets usuels auxquels nos imaginations dévoyées trouvent d'autres destinations.
La petite fille est assise dans le fauteuil, après que nous l'ayons débarrassée de sa petite culotte. Nous faisons reposer le creux de ses genoux sur les arceaux ce qui a pour effet de relever et d'écarter en grand ses cuisses (que les petites filles sont souples à cet âge!). Avec des anneaux de velcros, nous attachons ses genoux, puis nous faisons de même avec ses bras.
Sacha nous regarde, interloquée. Sa petite vulvette entrouverte comme une fleur après l'aube, son anus mignon, nous sont offerts dans leur adorable simplicité.
-Messieurs, s'enthousiasme Elisabeth, vous me ravissez!
-Nous n'avons utilisé ce siège, expliqué-je, qu'à trois reprises. Je me doutais qu'il te plairait. Mais il ne convient qu'à des fillettes de moins de huit ans.
-Tu sais bien que mes élèves n'en ont jamais plus de six.
Sacha pousse un petit gémissement, étouffé par la tétine.
-Tu t'impatientes, ma chérie, lui dis-je. Tu veux que l'on s'occupe de toi... Sur ce siège nous n'asseyons que les petites filles qui ont été très désobéissantes et sur qui les fessées restent sans effets. Nous pouvons à cette place les punir de mille façons.
Je caresse l'intérieur de ses cuisses, mes doigts viennent au contact de sa vulve, mon doigt titille l'entrée de son minuscule vagin.
Pendant ce temps, Nestor oint généreusement l'étui à cigare de vaseline. Son format conviendrait fort bien pour dépuceler l'enfant, mais nous préférons pour cela que l'obéissance soit chose parfaitement acquise. Dans le cas présent, son anus sera plus adapté.
Je mouille mon doigt et titille la rondelle pour la préparer à cette intrusion, la massant avec soin et douceur. Je la sens se tendre et se détendre. Ce n'est qu'une toute petite fleur, une délicate petite fleur.
-Je serais à votre place, messieurs, je ferais usage d'un godemiché d'un tout autre calibre, déclare Elisabeth en jetant un œil au travail de Rebecca.
-Je suis sûr que celui-ci suffira à obtenir de cette enfant la docilité escomptée.
Nestor me confie le tube argenté. Et pendant que je l'appuie sur la tendre rondelle, il retire l'une des chaussures que porte l'enfant et se met à lécher et mordiller son petit peton. La pauvre Sacha ne sait plus où donner de la tête. Je profite de cet instant de distraction pour enfoncer le tube. L'anus s'ouvre et l'intrus pénètre dans le rectum, y glissant aisément. La fillette se cabre sur son siège, non à cause de la douleur il n'est pas dans mon intention d'en occasionner une trop vive, mais de la surprise. Je poursuis la pénétration aussi lentement que possible pour laisser à Sacha le temps de s'habituer. Sans la tétine qui la bâillonne, elle nous ferait sans doute un cinéma de petite fille capricieuse. Mais nous n'entendons que des gémissements étouffés.
-Voilà mon ange... tout doucement... Tu ne trouves pas ça très agréable, hein? Mai si tu avais été obéissante, tu ne te serais pas retrouvée sur cette chaise. Etait-ce si terrible ce que nous te demandions? Sortir ta petite langue et lécher les friandises que nous t'offrions? Regarde mon cœur la moitié du tuyau est déjà rentré dans ton petit derrière... Allez, encore quelques centimètres...
-Si dieu a mis une langue dans la bouche des petites filles, ajoute Nestor qui fut autrefois curé, ce n'est pas pour qu'elles disent non, mais pour qu'elles lèchent les friandises des grandes personnes. -Voilà un catéchisme à mon goût, réplique Elisabeth.
Les deux tiers de l'étui sont à présent dans le rectum de Sacha. L'intrusion anale est un excellent apprentissage de la discipline. La douleur ne naît que lorsque l'anus se crispe. Pour l'éviter, il faut simplement s'ouvrir, accepter, cesser de résister. Nos plaisirs n'exigent rien d'autre. C'est une leçon que les petites filles comprennent très vite. Et je sens, à la manière dont son anneau rectal fait pressions sur l'étui, que Sacha est en train de l'apprendre.
Nestor n'en finit plus d'embrasser et lécher le pied de l'enfant. Il aime les pieds au moins autant que les culs. Notre petite Sacha a la plante des pieds sensible et cela la chatouille (comme la chatouille ma langue qui joue avec le minuscule bourgeon de son clitoris). Tant de sensations contradictoires pour un si jeune et si malléable esprit. D'ailleurs ses larmes se sont taries après avoir coulé avec abondance, et ses grands yeux regardent simplement dans le vide. Elle découvre qu'il y a un peu de volupté à être attachée, exhibée, embrassée, pénétrée. Tout cela est confus, imprécis, et doit le rester (nous ne cherchons jamais sciemment à faire ressentir du plaisir à nos élèves, seulement parfois à faire naître un trouble qui garantira nos propres plaisirs).
-Tu vas être une gentille petite fille, maintenant, sage comme une image? lui demandé-je.
Elle hoche la tête.
-Ta langue va faire ce qu'on attend d'elle?
Elle hoche à nouveau la tête.
Qu'elle goûte encore quelques minutes au petit godemiché qui à présent va et vient dans son ventre, toujours très lentement, qui ressort entièrement parfois, et qui replonge aussitôt sans laisser le temps à la rondelle de se rétracter.
Rebecca a achevé sa tâche. Elle vient se planter devant Elisabeth, dans une posture de soumission, et dit d'une voix adorable:
-J'ai fini, madame Elisabeth.
-C'est bien, mon joli petit ange. C'est bien. A présent, mets-toi à genoux.
Rebecca obéit.
-Plus près, petit ange, plus près.
La fillette avance entre les genoux d'Elisabeth. La femme pose ses mains de part et d'autre de sa charmante tête.
-Vois comme mon con est mouillé.
Elle écarte plus largement les jambes et presse le visage de Rebecca contre son sexe.
-Montre-moi quelle bonne petite soubrette tu es, fais ma toilette avec ta langue.
Rebecca sort une langue prudente. Elle goûte au jus épais qui perle du sexe fané d'Elisabeth.
-Ne sois pas timorée, Rebecca. Suce mon gros bourgeon. Oui, comme ça, oui, oh! gentille petite fille!
Rebecca s'applique à sucer le clitoris surdimensionné d'Elisabeth, alors que le jus lui coule sur le menton, ruisselle sur son petite tablier blanc, intarissable. Elisabeth balance en rythme son bas-ventre, les yeux mi-clos. Je suis fier et heureux que notre nouvelle élève lui donne autant de plaisir.
Il est temps que Sacha s'acquitte à son tour de ses devoirs. Je calle l'étui métallique contre le rebord de la chaise de manière à ce que son extrémité reste en place dans l'anus de la fillette. Puis je dénoue les lacets qui maintiennent la tétine et lui retire ce puéril bâillon. De la salive coule sur son menton. Je caresse affectueusement sa joue, puis je présent à ses lèvres mon gland qui n'attend que d'être exaucé. D'un air las, la fillette lui donne un coup de langue.
-C'est bien Sacha, l'encouragé-je.
Elle se met à lécher comme un chaton. Sa langue humide est une volupté délicieuse. La jouissance m'envahit. Je pousse mon gland entre ses lèvres. -Ouvre grand la bouche.
Elle obtempère, laisse le fruit entrer dans sa bouche noyée de salive. Ses quenottes de lait le mordille, ajoutant à mon plaisir. Et soudain, le flot brûlant de mon foutre se déverse dans sa bouche menue. Une partie coule directement dans sa gorge, une autre vient poisser son menton, son nez. M'étant reculé pour la laisser respirer, j'éjacule à nouveau sur sa robe, puis dans ses cheveux. Elle toussote, a un haut-le-cœur, mais ne pleure pas. Sa bouche est restée grande ouverte, pleine de mon foutre. Son visage en est absolument recouvert. Pendant une minute ou deux, je ne peux que panteler tant la jouissance a si brusquement envahi mon vieux corps. Mais Nestor a déjà pris ma place. Et la petite langue poisseuse de Sacha s'est remise au travail et ne tarde pas à produire son effet. Et ce que Sacha reçoit en retour est plus abondant encore que la première fois. Une douche. Si Nestor lui épargne d'en avaler, il répand néanmoins sa semence sur ses cuisses, sur son bas ventre, ses bras. La petite fille ruisselle littéralement. Pendant ce temps, Rebecca explore de sa langue, le vagin de la vieille dame qui ne lui laisse même pas l'occasion de reprendre son souffle. Notre soubrette fait de son mieux pour la contenter, elle tire autant qu'elle peut sa langue dans l'antichambre palpitante, alors que son mignon petit nez frotte contre le clitoris rougeoyant.
Notre amie connaît une félicité identique à la nôtre.
Plus tard, après nous être détendu avec un verre d'alcool, nous détachons Sacha, la débarbouillons grossièrement, et lui remettons sa culotte. Nous lui donnons à boire un jus de fruit et nous la félicitons de sa conduite. Nous demandons à Rebecca de retirer son costume et de remettre ses vêtements. Après nous être assis dans les fauteuils, nous les faisons venir face à nous. Elles se tiennent comme il faut., les yeux baissés, la mine soumise.
-Nous sommes satisfaits de vous, dis-je. Et nous ne manquerons pas de dire à vos parents combien ils peuvent être fiers de leurs petites filles. Nous avons été obligés de vous punir, mais nous ne vous en tenons pas rigueur. Maintenant, je veux vous entendre nous dire merci pour les efforts que nous avons déployés à faire votre éducation. -Merci monsieur Jacques, murmure Rebecca, merci monsieur Nestor, merci madame Elisabeth.
-Tu as aimé faire la toilette de mon con? lui demande la vieille dame.
-Oui, madame Elisabeth, s'oblige à mentir la petite fille.
Sacha à son tour nous remercie de sa voix zozotante. Elle est épuisée, le sommeil commence à peser sur ses paupières.
-Il va être l'heure pour elle d'aller au lit, dis-je.
-Mais il n'en est pas question, gronde Elisabeth. Nous allons rentrer à la maison, mais avant d'avoir le droit d'aller dormir, Sacha devra encore s'acquitter de ses derniers devoirs.
-Comme il te plaît, Elisabeth. Elle est ton élève... Rebecca, tu peux à présent rentrer chez-toi... Toute seule, comme une grande... Nous nous reverrons bientôt... Il y a toujours du ménage à faire ici.
-Oui, monsieur Jacques.
La petite fille, accablée à l'idée de revenir dans cette maison, quitte la pièce, la tête basse. Il n'est pas très prudent de laisser une enfant si jeune rentrer seule chez elle au milieu de la nuit. Il a des hommes qui, connaissant nos pratiques, attendent dans le voisinage de notre demeure, de pouvoir goûter à leur part de volupté. Mais cette perspective n'est jamais pour nous déplaire.
C'est ce que Nestor et moi appelons les travaux pratiques.
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