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Published: 22-Dec-2012
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Ah, voilà notre petite Manon qui entre à pas menus dans la pièce ensoleillée où nous l'attendions. Délicieuse enfant. Comme elle sait bien nous plaire. De toutes les fillettes dont nous tirons nos plaisirs, c'est celle qui ne nous déçoit jamais. Jamais il n'est nécessaire de la punir. Il nous arrive de la fesser, gentiment, Car elle a un adorable cul qui rougit comme un fruit au soleil. Elle a choisi de s'habiller d'une petite robe noire, si courte que l'on devine, en penchant la tête le blanc de la culotte, et si ajustée qu'elle met en relief son bedon enfantin que nous aimons tant caresser avec que nos mains ne s'égarent plus bas. Elle tient entre les mains une flûte dont elle se met à jouer sitôt plantée devant nous, les jambes raides, l'air sérieux. Nous l'écoutons jouer, observons le potelé de ses cuisses laiteuses qu'il nous tarde de masser, ses lèvres humides autour de la flûte...D'autres que nous se lasseraient vite, mais nous aimons prendre notre temps, jouir de chaque instant.
-Tu as bien travaillé, la flatte Nestor.
Notre Manon esquisse un sourire timide. Elle pose la flûte sur une table basse, et attend, la tête baisée, les mains jointes devant elle. -Approche-toi, ma chérie.
Manon obéit et vient à distance de nos mains. Nestor lui caresse la joue, essuie la pellicule de salive sur ses lèvres succulentes.
Nestor n'est pas séduisant, c'est un homme âgé au corps alourdi par une vie de luxure. Mais il a l'allure d'un brave papi, et nos princesses ont facilement de l'affection pour lui. Votre humble narrateur a également depuis longtemps quitté l'âge de la séduction. Mais j'entretiens ma ligne, me rase le visage car embrasser de si tendres peaux avec une barbe me déplaît. Nestor n'est pas de cet avis. Il aime piquer, il aime voir grimacer les enfants lorsqu'il les embrasse. Mais nous avons depuis toujours les mêmes goûts et les mêmes manières. Nous aimons les enfants dociles, pleinement offertes à nos plaisirs. Nous n'aimons pas obtenir l'obéissance par la peur. Bien sûr, nous punissons, sévèrement parfois, lorsque cela est justifié (et même lorsque ça ne l'est pas). Pourquoi nous priver de ce plaisir.
Mais nous voulons conserver toute la fraîcheur de nos petites filles sages. Rien n'est plus déplaisant qu'une enfant paralysée par la peur. Manon, qui n'a pas encore sept ans, sait que nous serons doux et aimants (nous le sommes même lorsque nous fessons) et qu'elle n'a qu'à se laisser aller à être ce que nous attendons d'elle: une bonne petite fille qui obéit en tous points aux grandes personnes. Pour elle, c'est aisé, sa personnalité l'incline à la docilité. Avec d'autres enfants, c'est plus délicat, mais nous savons y faire. Cela fait tant d'années que nous inculquons un peu de discipline à de charmants petits oiseaux écervelés. Aucune lassitude. Le plaisir est intact. Chaque petite fille est une saveur nouvelle.
- Baisse ta culotte, ma chérie, lui ordonne Nestor.
Elle s'exécute sans vaine pudeur, avec simplicité. Elle sait qu'en l'absence d'autre instruction elle doit se contenter de descendre sa culotte à mi-cuisse, puis écarter légèrement les jambes pour en tendre l'étoffe et nous laisser constater combien sa culotte est propre, combien elle est une gentille enfant qui prend soin d'elle (nous détestons les souillons). Et l'intérieur de sa culotte est immaculé. - Quelle merveilleuse petite fille tu es, lui dis-je en saisissant son menton et en couvrant son visage de baisers.
Nestor retrousse la robe au-dessus de son nombril. Que de charmes! Nous la faisons se retourner. Ses fesses donnent envie de s'essayer à l'anthropophagie. Nous les lui pelotons avec des commentaires admiratifs (qu'elle doit connaître par cœur). Gentille, elle se penche en avant pour que naturellement son fessier s'entrouvre.
Elle sait qu'en s'offrant de la sorte, elle fera l'objet d'une exploration qu'elle n'apprécie guère. Mais une petite fille sage, consciente de la place qui est la sienne, ne doit pas s'en soucier. Elle ne doit songer qu'au plaisir que l'on tire d'elle. Pendant que je mordille son épaule tendre et sucrée, Nestor écarte ses fesses et lèche la petite étoile rose, propre comme un sou neuf. Après l'avoir bien humidifiée, il y enfonce un doigt, puis un second. Notre petite Manon se cabre. C'est que les doigts de Nestor sont épais. Mais ils glissent sans trop de peine dans le fourreau rectal.
- Ah que ton petit cul est tendre, Manon, s'extasie Nestor. Ce serait un vrai pêché qu'il ne serve qu'à de basses besognes. Heureusement que nous sommes là, n'est-ce pas, Manon?
-Oui, monsieur, soupire l'enfant les dents un peu serrées.
-Sa voix est un enchantement, Nestor, dis-je. Il serait dommage qu'elle s'enroue.
-Tu as raison, mon cher Jacques. Je préconise l'administration d'un sirop. J'acquiesce. Je me lève et viens me placer devant Manon. Voilà une autre raison d'apprécier les jeunes enfants: leurs bouches sont souvent à bonne hauteur. Je souris à Manon qui subit sans se plaindre les doigts envahissants de Nestor. Je fais tomber mon pantalon et mon caleçon sur mes pieds et laisse s'épanouir ma queue bandée sous le nez de la fillette.
Ma verge est imposante et sanguine, sans être un monstre priapique, mais ce n'est ni la première ni la dernière fois que Manon la contemple. Je n'ai rien besoin d'exiger d'elle. Elle sait exactement comment se comporter. Sa bouche s'ouvre et ses lèvres se referment sur la gourmandise que je lui offre. Elle fait de son mieux pour me satisfaire. Que son minois est charmant. Je la sens sucer et lécher cette fraise fade avec tant d'application. Je lui flatte le haut de la tête.
- Quelle merveilleuse petite flûtiste avons-nous là.
-Cela mériterait un plus grand auditoire.
-Il faudra y songer. Tu aimes jouer de cette flûte-là, Manon?
-Mmmm, répond-elle, adorable.
Et ce soupire déclenche mon orgasme. Trop tôt? Non. La pratique de ces plaisirs a fait de nous des insatiables. Cet orgasme n'est qu'un échauffement, une mise ne bouche (Manon me pardonnera le calembour). Nous attendons sous peu un jouet offrant d'autres plaisirs et nous nous en voudrions d'épuiser nos forces avec une fillette que nous adorons mais qui est si prévisible.
Mon foutre s'échappe en flots laiteux de la bouche de Manon qui ravale ce qu'elle peut sans parvenir à retenir une légère (et adorable) grimace. Des gouttes de liquide tombent sur le parquet, mais je serais vraiment cruel de lui en tenir rigueur, d'autant que pour se faire pardonner, elle nettoie mon sexe de sa petite langue et le laisse aussi propre que possible.
Je m'agenouille, nettoie à mon tour son minois avec un mouchoir en tissu. - Que les petites filles sont belles lorsqu'elles sont aussi sages que des images.
Nestor acquiesce. Je lui tends mon mouchoir pour qu'il s'essuie les doigts en constatant qu'il en finit. Nous n'exigeons pas de Manon qu'elle s'acquitte de cette tâche avec sa langue. Nous l'embrassons et la caressons pendant encore quelques instants. Puis Nestor lui demande de remettre sa culotte et de réajuster sa robe. Elle est soulagée que la «leçon» s'achève mais n'en laisse rien paraître. Sagement, elle attend que nous lui donnions la permission de partir. De petites traces de foutre décorent encore la commissure de ses lèvres, et l'on voit à la façon dont elle trémousse son bassin que son rectum la brûle un peu.
- Tu peux rentrer chez-toi mon ange, finis-je par lui dire. Et tu pourras dire à ta maman que nous sommes très satisfaits de toi.
Manon reprend sa flûte et commence à marcher vers la porte de sortie sans trop montrer de hâte.
- Tu n'oublies pas quelque chose?
La fillette se fige. Elle se retourne, les joues rouges de confusion.
- Merci monsieur Jacques, souffle-t-elle la tête basse. Merci monsieur Nestor.
Je lui fais signe qu'elle peut enfin partir.
- Cela n'aurait-il pas mérité une petite fessée? s'interroge Nestor.
-Nous lui administrerons la prochaine fois, en début de séance.
-Parfait. C'était un agréable apéritif. Quelle suite lui donnons-nous? La nuit va bientôt tomber. La soirée serait bien morne sans des plaisirs plus substantiels.
-Allons. Les plaisirs ne manquent jamais dans cette demeure. Le quartier nous appartient pour ainsi dire. Je ne connais pas une famille qui ne serait ravie à l'idée que nous nous occupions de l'éducation d'une de leurs filles.
-Il est vrai que leurs garçons sont déjà en d'excellentes mains.
-Il y a des mères et même de jeunes grands-mères qui, petites filles ont été éduquées par nos soins. Elles savent que nous faisons de la plus désespérante des diablesses, la plus douce enfant.
-Nous épargnons bien des soucis aux familles.
-Absolument. Voilà quel est le dîner: Huit ans, des yeux bleus ravissants, de jolies taches de rousseur sur le visage, une peau blanche, un corps svelte, des jambes longues et fines.
-Appétissant.
-Oui, et toute son éducation est à faire.
-Une vilaine?
-Non. Du tout. Une petite fille bien élevée, bien polie. Mais qui doit être éduquée.
-Avec une juste sévérité.
-C'est bien cela. Elle a appris à être d'un abord convenable. Nous devons maintenant lui apprendre la soumission.
Belle petite fille aux cheveux Auburn, et aux yeux cristallins, Rebecca paraît devant nous à la nuit tombée. Sa mère nous l'a laissé après lui avoir fait répéter sa promesse d'être sage, promesse que nous espérons par devers nous ne pas voir respectée. La petite est habillée avec le goût qui nous sied: une petite robe à fleurs et à dentelles qui flotte au-dessus du genou, des soquettes blanches et des souliers vernis. Quel homme de notre trempe ne sentirait pas son cœur battre devant tenue si innocente.
La petite est intimidée, elle ne sait pas très bien ce que lui veulent ces deux vieux messieurs qui la dévorent du regard. La pièce dans laquelle nous la recevons n'a rien d'un donjon (nous ne raffolons pas de ce genre de mise en scène) mais elle n'est pas non plus faite pour enjouer une enfant: Plafonds hauts, fauteuils profonds dans lesquels nous nous tenons, parquet nu, une grande bibliothèque (contenant bien des livres ne convenant pas aux petites filles), dans un coin un cheval à bascule, à portée de nos mains, un coffre rempli de jouets (le genre de jouets qu'une petite fille ne commanderait pas au père noël).
-Bonjour Rebecca.
-Bonjour (comme sa voix est tremblante!).
-Rebecca, lorsque tu t'adresses à moi , tu dois m'appeler monsieur Jacques. Et notre ami: Monsieur Nestor.
-Bonjour monsieur Jacques. Bonjour monsieur Nestor.
-Bien. Ce soir, Rebecca, nous serons en quelque sorte tes maîtres d'école... Nous serons de gentils maîtres, patients, attentifs, mais des maîtres toutefois. Et à un maître d'école, on doit... Que doit-on, Rebecca?
-Obéissance, répond l'enfant.
Nous échangeons avec un Nestor un sourire ravi.
-C'est cela même. Et ton seul devoir sera celui-ci: obéissance. Tu vois, ce n'est pas très compliqué. A l'instant où tu t'es présentée devant nous, tu es devenue notre élève... notre élève obéissante. Est-ce que tu es d'accord avec ça, Rebecca?
-Oui (un oui qui dit non).
-Oui qui?
-Oui, monsieur Jacques.
Je me tourne vers Nestor.
-Que penses-tu de notre élève, Nestor?
Dans les yeux de mon vieil ami de luxure brille une flamme que je connais bien.
-Parfait, dit-il, parfait. Pour sûr, ce n'est pas Manon. Elle y ressemble au premier abord, mais il ne faut pas s'y fier.
-Je suis de ton avis.
Je reporte mon attention sur Rebecca. Elle se tient un pied dressé sur la pointe, ses mains tirebouchonnent nerveusement les pans de sa robe. Une posture qu'il va falloir à présent corriger.
-Rebecca, tu te tiens mal. Tu dis que tu veux être une élève obéissante, mais ton corps dit le contraire. Si tu veux bien, nous allons y remédier. Tes pieds doivent être à plat, tes jambes droites, bien réunies, mais pas trop serrées l'une contre l'autre. Tes bras doivent pendre simplement le long de ton corps, mains ouvertes. Tu ne dois pas tripoter les pans de ta robe... Montre-moi que tu as compris? Rebecca prend la pose prescrite sans tarder.
-Sois moins raide. Ce n'est pas un «garde à vous!». Voilà, c'est très bien. Ainsi, tu me montres ton désir d'être une petite élève obéissante.
-Oui, monsieur Jacques, soupire-t-elle.
-Nestor, je te laisse la main.
-Bien, fait Nestor d'une voix un peu plus sonore que la mienne. Aie la gentillesse, à présent, de nous réciter la table de cinq, tu la connais n'est-ce pas?
-Oui... Monsieur Nestor.
Rebecca récite d'une voix appliquée.
-La table de six à présent... Celle de sept... Ah, ma chérie, tu viens de commettre une erreur. Combien font sept fois huit?
-Cinquante...six?
-Oui, mais ce n'est pas ce que tu as dit.
La petite fille mord sa lèvre inférieure.
-Non... Je m'excuse, monsieur Nestor.
-Pour que je puisse accepter tes excuses, je veux plus que des paroles. Je veux que tu attrapes le devant de ta robe et que tu le soulèves jusqu'à ce que nous puissions voir ta petite culotte.
Ensuite, tu pourras répéter tes excuses.
Rebecca est stupéfaite. Nous n'en attendions pas moins.
-Tu as compris, chérie? Il me semble que monsieur Nestor t'a demandé quelque chose...
-Mais... Bafouille la fillette alors qu'une larme de désarroi apparaît dans son œil gauche et coule le long de sa joue... Mais ce n'est pas bien de montrer sa culotte...
Son objection est formulée avec tant de candeur, tant d'innocence, que ma verge, jusque-là tranquille, se raidit. La candeur et l'innocence, voilà la vraie source de nos plaisirs.
Calmement, Nestor lui explique:
-Montrer ta culotte est un geste d'humilité à notre égard, une manière de nous dire, je me suis trompée, je ne suis qu'une petite fille écervelée, S'il vous plait, aidez-moi à corriger mes erreurs. Allons obéis, mon enfant.
Notre douceur et notre patience portent ici leurs fruits. Mal à l'aise, troublée, elle obtempère pourtant.
-Oh, les jolies gambettes, s'extasie Nestor alors qu'elle nous dévoile peu à peu ses cuisses blanches et maigres mais si joliment modelées... Plus haut, chérie, plus haut... Encore... Voyons si la culotte que tu portes convient à une petite élève docile.
Rebecca porte une culotte à fleurs, un peu lâche au niveau de l'entrejambe ce qui nous prive de l'empreinte des lèvres de son sexe, mais qui laisse aux doigts de notre imagination de quoi se faufiler. La fillette fait mine de clore l'exhibition.
-T'ai-je donné la permission de lâcher le devant de ta robe? lui demande Nestor.
-Non, monsieur Nestor, reconnaît l'enfant.
-Alors, veux-tu relever ta robe comme il faut!
Rebecca obéit. Ses joues ont pris une teinte écarlate. Cette fois, elle laisse nos regards disposer d'elle à leur guise. Et nous en profitons. Nous profitons de sa gêne aussi, nous laissons le temps à son esprit de se faire à l'idée qu'une petite fille doit montrer sans honte sa culotte si des grandes personnes en émettent le désir.
Nestor les préfère un peu potelées. Son insatiable passion pour les culs (7 ouvrages, qu'il appelle sa «voie lactée», recensent sous forme de dessins et de photographies toutes les petites rondelles qu'il a embrassées, chatouillées, explorées) peut l'expliquer. Pour ma part, j'apprécie les corps minces, les cuisses fines, et Rebecca répond à mes attentes. Durant cinq longues, très longues minutes pour la fillette, elle est l'objet de toutes nos attentions. Aucune écorchure, aucun bleu n'échappent à nos regards.
-Bien, ma chérie. Tu peux lâcher ta robe.
Rebecca s'exécute avec soulagement. Elle reprend la pose précédemment prescrite.
-Maintenant, tu sais comment il convient de t'excuser.
-Oui, monsieur Nestor.
Nestor se lève et s'approche de l'enfant. Elle saisit son menton et lui fait lever la tête plongeant son regard dans celui, azuré, de Rebecca. -Cela valait-il vraiment la peine de verser une larme?
-Non, monsieur Nestor, concède Rebecca.
Nestor se penche et embrasse les lèvres de l'enfant qui sent avec déplaisir sur sa peau si douce la barbe rugueuse du vieux débauché. -Nous allons passer à un autre genre d'exercice, dis-je en ouvrant le coffre à jouet et en en sortant une cordelette.
Je me lève à mon tour, saisis les mains de Rebecca pendant que Nestor embrasse son nez et son front et les attache dans son dos en prenant soin de ne pas trop serrer. La petite fille est évidemment surprise de ce traitement, mais n'y oppose aucune résistance.
-Sais-tu pourquoi je t'ai attaché les mains?
-Non, monsieur Jacques.
-Pour t'aider à te montrer obéissante.
Je défais un à un les boutons qui ferment sa robe, dévoilant ses omoplates soyeuses. Nestor darde sa langue contre les lèvres closes de l'enfant. Si je ne la tenais pas par les épaules, elle reculerait pour échapper à ce contact humide.
-Ouvre tes lèvres, chérie, l'encourage Nestor.
Elle fait non de la tête alors que des larmes commencent à emplir ses yeux.
-C'est si simple pourtant d'obéir, lui soufflé-je à l'oreille avant de lécher la partie de son dos que je viens de dénuder.
Sa peau a un goût de savon et de lavande.
-Avec nous, poursuit Nestor, les petites filles qui n'obéissent pas finissent toujours par obtenir ce qu'elles méritent. Allons, ouvre tes lèvres.
-Non, je ne veux pas. C'est sale.
-Ne sois pas insolente, Rebecca.
-Tu sais, dis-je en dénudant ses épaules, nous ne punissons nos élèves que lorsque cela est nécessaire, mais il ne faut pas croire que cela nous navre de le faire.
-Au contraire.
Le thème de la punition entame la volonté de l'enfant. Ses lèvres se desserrent et la langue de Nestor s'insinue dans sa bouche. Elle goûte à sa salive de vieillard et lui goûte à sa salive d'enfant, si parfait nectar. Nestor ne l'embrasse pas en profondeur. Il ne fait qu'effleurer sa langue avant de se redresser. Rebecca le regarde avec un air courroucé.
-Mon dieu! Ce regard! Il ne convient pas du tout à une élève docile et respectueuse.
-Il va donc nous falloir te punir, soupiré-je avec un regret des plus factices.
-A l'évidence.
Nous nous écartons de l'enfant et retournons nous asseoir dans nos fauteuils. La petite pleurniche mais nous épargne les grandes eaux. C'est heureux. Ses yeux mouillés la rendent si jolie. L'un de nos principes est de ne jamais hausser le ton même lorsque nous sommes très mécontents. Il est inutile et vulgaire d'aboyer. Au contraire, un ton égal, calme, convint plus facilement l'enfant de la justesse de nos décisions.
-Approche-toi de nous.
Rebecca obtempère à pas menus.
-Une punition s'impose, mais sache que nous ne sommes pas en colère contre toi, lui expliqué-je en nouant cette fois une cordelette autour de ses chevilles.
Je la saisis, et l'allonge sur mes genoux en faisant reposer sa tête contre l'accoudoir. Je trousse sa robe sur sa taille et baisse sa culotte sur ses cuisses. Elle se trémousse pour le plus grand délice de ma verge bandée qu'il me tarde de libérer. Son cul maigre et blanc nous apparaît, ravissant.
-Ce n'est pas un cul à fessée, ça, constate Nestor avant de se lever et de fouiller dans le coffre.
Il en ressort une petite badine souple et légère, rien qui puisse causer grand mal. J'acquiesce à ce choix. Mes grandes mains ridées se posent sur les mollets et le dos de la fillette.
-Echauffons ce petit fessier.
Le premier coup appliqué par Nestor arrache un cri à Rebecca, mais les suivants sont acceptés en silence. Nestor se montre particulièrement doux. La badine zèbre les fesses de traces rosées, car la peau blanche de Rebecca marque facilement, mais notre petite élève ressent plus de honte que de douleur.
Rebecca reçoit en tout dix coups de badine avant que nous ne la remettions sur ses pieds. Je mouche son petit nez morveux, essuie les larmes qui ont coulé sur ses joues et la félicite d'avoir accepté sa punition sans récriminations. Son regard est baissé, humble comme il convient. Voilà une punition qui a porté ses fruits.
Nestor réitère alors son baiser, et Rebecca le laisse faire. Je l'embrasse à mon tour. Sa bouche est délicieuse. Je ne sens plus de résistance de sa part. Je dénoue ses liens. Sa culotte a glissé sur ses chevilles. Adorables menottes de tissu. Elle veut la remonter. Je l'en empêche.
-Ta culotte est très bien où elle se trouve.
Alors elle reprend la pose que nous lui avons apprise, attendant, presque abandonnée, la suite des évènements.
-Tu dois t'excuser de nous avoir obligé à te punir.
Elle n'a qu'un instant d'hésitation avant de soulever sa robe et de nous offrir la vue de son ravissant pubis à peine bombé.
Je m'extasie: «Quel précieux joyau. Plus précieux encore doit être ce qu'il cache.»
-Ma chère enfant, commence Nestor, nous allons sortir de cette pièce pendant quelques instants. Nous voulons, à notre retour, découvrir que ta jolie robe a rejoint ta culotte.
Rebecca met quelques instants à comprendre ce que cela implique.
-Ma robe? dit-elle accablée.
-Rebecca, nous avons dans ce coffre de quoi te punir avec plus de sévérité que nous ne l'avons fait. La seule chose que nous aimerions t'entendre dire c'est: oui, monsieur Nestor, oui, monsieur Jacques. La mort dans l'âme la fillette anone: «Oui, monsieur Nestor, oui monsieur Jacques.»
-Bien. Il est évident que nous serions très déçus si à notre retour, nous découvrions que tu ne nous as pas obéi.
Nous nous retirons dans une autre pièce. Un miroir sans tain nous permet d'observer ce qui se passe dans la pièce voisine, et alors que nous déshabillons entièrement, nous avons la satisfaction de constater que Rebecca fait glisser la robe que j'ai déjà déboutonnée sur ses chevilles, nous apparaissant dans toute sa fragile nudité. Nestor et moi bandons radieusement. La nudité de nos élèves n'est qu'une étape. Elle facilite l'apprentissage de la docilité, mais nous sommes aussi fétichistes l'un que l'autre et possédons une impressionnante
collection de vêtements dont nous aimons vêtir et dévêtir nos fillettes. Oh! Quelle fabuleuse expression se peint sur son visage lorsqu'elle nous découvre aussi nue qu'elle, nos verges dressées comme de solides mâts. Elle ne s'attendait pas à cela et reste stupéfaite.
-Bien, Rebecca, tu t'es montrée obéissante. Maintenant, je veux que tu prennes ta robe et que tu l'étales sur la chaise qui se trouve à tes côtés. Ta maman ne serait pas contente si tu la froissais.
La petite fille obéit. Forcée de se tourner, elle nous donne à voir le petit cul que Nestor a coloré.
-Garde ta culotte à la main. Je ne t'ai pas demandé de la ranger avec ta robe... Viens me la donner.
Timidement, l'enfant me tend sa petite culotte. Prise de pudeur, elle veut cacher son pubis de ses mains jointes.
-Bras le long du corps lui rappelle Nestor.
Nous humons le sous-vêtement. Il sent le propre, à peine un léger fumet de petite fille. Pendant ce temps, Rebecca ne peut détacher son regard de nos membres virils. Ayant abandonné la culotte froissée à mes pieds, je saisis les hanches de la fillette.
-Ferme tes jolis yeux.
Ses paupières se ferment. J'écarte les genoux et l'attire plus près de moi. La tête de mon sexe se pose sur son nombril. Nestor s'empare de sa main et la place sur son propre sexe. Rebecca est parfaitement consciente de ce qu'elle touche et de ce qui la touche. Mes mains parcourent ses fesses et le bas de ses cuisses, pendant que Nestor imprime à sa petite main un mouvement de bas en haut.
-Cette punition t'a été bénéfique, dit Nestor alors que ses mains remplacent les miennes sur le cul de l'enfant, l'entrouvrent et chatouillent le bouton mignon de son anus, jaugeant son étroitesse et semblant satisfait de ce qu'il découvre.
Je mordille son menton, agace les deux tétons qui ornent sa poitrine plate. Elle s'abandonne de plus en plus. Sa main fait bien son travail le long de la queue de Nestor. Une importante étape de son éducation vient d'être franchie.
Il est temps d'avancer.
-Rouvre les yeux.
Rebecca ouvre ses yeux larmoyants et observe l'obscénité qui danse contre son ventre et la seconde obscénité que sa petite main comble d'aise.
-Tu es en train de nous donner du plaisir Rebecca, lui expliqué-je. Ton corps nous donne du plaisir. Tes yeux nous donnent du plaisir. Tes larmes. Ta docilité. Il n'y a rien que nous attendions d'autre de toi. Juste du plaisir. Et comme tu es belle et gentille, nous allons en prendre beaucoup en ta compagnie. Et ta maman sera très très fière de toi... Tu vois la table recouverte d'un drap?
Je lui tourne la tête dans la bonne direction.
-Oui, monsieur Jacques.
-Je veux que tu y ailles, que tu retires le drap, et que tu t'allonges sur la table Elle me lance un regard inquiet. Je la rassure d'un sourire.
Finalement, soulagée en vérité de s'éloigner de nos turgescences inquiétantes, elle va vers la table et retire le drap. Il s'agit d'une table basse en fer forgé, aux angles ronds, aux pieds arachnéens, presque aussi large que longue. Récemment achetée, elle attendait d'être étrennée.
Frémissante, notre petite élève s'y allonge, bras et jambes bien parallèles. Nous la rejoignons. Elle observe, inquiète, nos corps nus penchés sur elle. Je m'agenouille. Je prends ses mains et les joint au-dessus de sa tête avant de les attacher à l'aide d'une cordelette aux pieds de la table, en évitant d'infliger à ses bras une trop vive tension. Nestor noue de semblables cordes à ses chevilles, lui écarte les jambes et les attache de part et d'autre de la table. Un coussin est glissé sous ses reins pour relever son bas ventre et mieux offrir à nos yeux le délicat spectacle de sa vulvette d'un rose printanier. -Sans défense... Offerte...
L'enfant, marie d'être ainsi exhibée, se remet à pleurer. Nous nous relayons Nestor et moi pour boire ses larmes sur ses joues jusqu'à ce qu'elle recouvre son calme.
-Voilà qui est mieux. A quoi bon pleurer, petite Rebecca quand il n'y a pas de raison de le faire...
-Mais, ajoute Nestor, tout à l'heure, tu n'as pas fini de réciter tes tables. J'aimerais entendre celle de huit... Maintenant, Rebecca, pas demain.
La fillette se met à réciter d'une voix qui n'est qu'un soupir, sa table de multiplication, mais elle commet la même erreur qu'avec sa table de sept.
-Tu n'aimes pas le nombre 56, Rebecca. Répéter une erreur est regrettable.
-Je crains en effet qu'une nouvelle punition ne devienne nécessaire.
Tu ne crois pas, Rebecca.
Vaincue, Rebecca acquiesce.
-Oui, monsieur Jacques.
Je lui souris, l'embrasse sur son petit nez que je me verrais bien croquer. Pendant ce temps, Nestor tire du coffre ce qui sera nécessaire à l'administration de cette punition... et des suivantes. Il s'assoit devant les cuisses ouvertes de la fillette et débouche un tube de pommade contre les brûlures. Nous en aimons tous deux l'odeur, et cette pommade, normalement destinée à apaiser, sait aussi se faire mordante sur les muqueuses sensibles, ainsi que Rebecca va en faire l'expérience.
Alors que j'écarte, avec délicatesse, les lèvres de son sexe qui bâillent comme un fruit mûr sur l'entrée discrète de son vagin, Nestor applique l'onguent aux abords de ce trou que nous n'oserions forcer sans mille et une précautions préalables. La fillette ne tarde pas à réagir.
-Ca me brûle, dit-elle d'une voix plaintive.
-C'est ta punition, Rebecca. A-t-on déjà vu une punition agréable? Ne te crispe pas.
Nestor continue à oindre la vulve de l'enfant, jusqu'à la lisière des cuisses. Il en dépose une petite noisette sur son anus et recommence son onction. Nous savons pertinemment que cette punition n'est pas si désagréable que ça, que passée la sensation de brûlure, s'installe une impression de fraîcheur. D'ailleurs, Rebecca ne se plaint déjà plus. Nous retournons à nos fauteuils d'où nous pouvons admirer le sexe luisant de notre petite élève. Le téléphone, qui traîne sur le sol, retentit alors. Je décroche. Une voix féminine répond.
-Mes chers amis! Comment vous portez-vous?
-Au mieux, Elisabeth. Occupés avec une charmante demoiselle.
-J'en suis ravi. Figurez-vous que j'ai moi-même à mes côtés quelque chose de ravissant. Et il en va des fillettes comme des bouteilles de vins, il est plus plaisant de les ouvrir en bonne compagnie.
-Et vous voudriez nous faire goûter de ce cru, n'est-ce pas Elisabeth? -Cela me ferait le plus grand plaisir.
-Et de quelle année est cette dive bouteille?
-Dis ton âge au monsieur.
Une voix aigue et nasillarde se fait entendre:
-J'ai cinq ans, monsieur.
-J'ajoute, reprend la femme, que c'est un vin potelé comme la divine Shirley.
Je me tourne vers Nestor.
-C'est Elisabeth qui voudrait nous rendre visite, avec une petite chose âgée de cinq ans... Une petite chose bien potelée.
Nestor se pourlèche.
-Cinq ans. Nos plaisirs s'annoncent radieux.
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