Pour être des putes, nos philippins avaient néanmoins des sentiments. Le tailleur de pipes tomba amoureux de Philippe qui ne demandait pas mieux que de se faire sucer à la fois par sa soeur et par José. Chiquita avait un faible pour moi et je ne refusais pas, tout en prodiguant mes faveurs à Christophe. En effet ce petit faisait l'amour à merveille. Cathy se réservait Flora et Francesco lorgnait du côté du père de Véronique qui s' il ne rechignait pas à lui mettre un petit coup dans le cul de temps en temps, préférait les rondeurs de sa fille. La mère de Véro et même la mère de Julie et Sylvie fouettait et maltraitait Manuella qui adorait ça surtout que ses deux et même ses trois salopes de filles assistaient au spectacle.
Quant Robert, il voyait fréquemment Christophe qui se laissait faire par amour pour moi. Tout ça est un peu compliqué, je vous l'avoue mais si pervers, si vicieux, si mmmmm....erveilleux.
Vous voyez, nous n'étions pas des tyrans! Avec tout l'argent que nous avions gagné, nous avons décidé de monter une deuxième expédition aux Philippines pour y acheter des tas de gamins afin d'augmenter notre cheptel et passer du stade artisanal au stade industriel par tranche de 50 petits enfants.
Nous allions faire cesser cette misère aux Philippines. Il vaut mieux bouffer à sa faim avec une bite dans le cul plutôt que de ne rien avoir à manger.
Il fallait les faire venir en masse, nous devions y aller tous ensemble, cette fois-ci, il fallait surtout en ramener beaucoup et discrètement. Le moyen était trouvé, nous avons donc pris l'avion, Cathy et moi, laissant le SEX-SHOP à Robert et à la mère de Julie et Sylvie, qui nous avoua au retour ne pas avoir fermé l'oeil de la nuit pendant la semaine qu'à duré le voyage.
La première chose en arrivant fut de contacter notre agent sur place, le Commandant Henrique Rodriguez, qui nous a reçu trés amicalement dans sa villa de la banlieue de Manille, c'était un partisan du régime en place et le soutenait à fond, en échange la police fermant les yeux sur ses agissements. Il attrapait les petits, les triait et les revendait aux réseaux pédophiles.
Il nous proposa le marché suivant, il nous fournirait les petits gosses en quantité contre une rémunération de 3000 dollars US par enfant, pour ce prix-là, les enfants auront des papiers en règle, des certificats d'adoption en blanc, et tout les vaccins. Les enfants proviennent de rafles effectuées dans les bas- quartiers. Aprés une heure de négociation ardue, nous tombions d'accord sur une somme de 2000$ et nous voulions voir la marchandise. Nous allions faire venir l'argent par Robert, comme convenu. Nous en avons commandé 50 et eu 5 en cadeau. . .
Nous étions invité par le Cdt Rodriguez, il nous servit un bon repas et au dessert nous fit passer au salon. Sur le tapis, 5 petits corps nus allongés avec une coupe sur les reins, avec de la glace à l'intérieur. Il aimait la chair fraiche lui aussi, cela n'avait pas l'air d'inquiéter sa femme, assez jolie, 30 ans au plus, l'air vicieuse et sournoise.
Cathy déclara:
- Charmante attention, senor Commandante!
- Allez-y, régalez-vous! Faites comme chez vous!
- Si senor ! Vous n' auriez pas de fouet! ni de chaînes?
- Ma si! Regardez!
Et il entrouvrit une armoire pleine d' accessoires de SM, des chaines cloutées, des godes monstrueux, des liens en cuir, des anneaux de fer, tout ce qui fallait!
Cathy se servit et prit des chaines pour ligoter le petit. Elle le pétrissait ensuite et le mordit à plusieurs reprises à pleines dents, à chaque fois elle laissait une marque sur sa peau. Elle astiquait son sexe et le força à juter, un peu son de lait blanc coula de son sexe, elle le prit et le mordit puis prenant ma bite prête à exploser la secoua provoquant un jet de sperme qui alla s'accrocher aux dents nacrées du petit garçon, elle le força à avaler. Elle prit la bouche du garçonnet et se fit lécher sa chatte mouillée.
Le père de Véro pris la coupe de glace offerte et la posa à côté, retourna le petit corps rose, c'était un petit garçon, il le donna à Cathy en échange d'une petite fillette brune au corps bronzé. Il la prit, la gifla pour la réveiller mais sans effet, elle dormait. La nuit dernière elle avait beaucoup souffert précisa El Commandante.
Il la prit, la posa face à lui, et ouvrant son minou, glissa la glace dedans. La gamine se réveilla, il enfila son sexe à l'intérieur en frissonnant de froid, il se colla à elle. Elle était réveillée, au début elle ne comprenait pas ce qui arrivait, mais elle compris et tenta de se dégager, peine perdue. Il avait le dessus, il la baisait en force. Il éclata, son sperme se mélangea à la glace et coula hors de la petite lorsqu'il se retira.
L'atmosphère était trés "chaude", les regards étaient plein de sous-entendus. Le Commandante attrappe un petit garçon et le pose à plat-ventre, appelle sa femme qui allait attaquer son petit elle aussi et avait commencé à lui sucer le sexe et à le malmener.
Elle se mit nue en face de lui et prenant le visage du petiot l'amena contre sa chatte. Le mari prend le gamin et lui écarte les cuisses et apercevant son anus tout petit et tout rose, dégage son sexe de son slip et l'encule.
Le gamin ne sent rien, le Commandant le réveille en lui versant la glace sur la tête et lui frottant la tête comme avec un shampooing. Il crie, il se fait réprimander, le militaire en rut le frappe avec sa cravache, le pince, la femme lui tire les cheveux, la salope le gifle. Le mari pousse, mais son sexe est trop gros et ça ne rentre pas. Il le faut pourtant, alors sa femme l'aide en poussant le gamin par les épaules. Le gamin se défend et le mari le frappe:
-Andiamo, caballito, muy rapido!!!!!
Il le cravache, ses reins sont zébrés, la femme en profite pour le frapper, elle plonge sa main vers le sexe du petit et lui tripote les couilles à lui faire mal, elle le frappe sur les parties, le mord aux couilles, à la poitrine et sur les parties potelées de son jeune corps d'enfant torturé.
L'enfant se révolte, se dégage de la femme et la pousse, il s'évade, et en partant, se décolle du sexe du militaire qui en jute d'étonnement sans parvenir à l'orgasme. La femme le rattrappe, le coince, le jette à terre et prenant une chaise lui enfonce le barreau dans le cul, le petit gueule comme un veau, le mari en profite pour jouir dans sa bouche. . .
Il fait venir un petit blond trés effeminé, une merveille, un corps de fillette, un bijou qu'il refuse de nous vendre mais veut bien nous le prêter. Il est habillé en soie, un peignoir blanc bordé de dentelles délicates sur un torse nu et une culotte bouffante rose, un peu comme les pages du Moyen-Age. Il l'appelle José. Le Commandant le baise et le retourne, lui bouffe le cul avec sa langue. José semble loin et distrait. Le Commandant lui demande:
- Tu m'aimes José!
- Si Commandante! Beaucoup!
- Alors je veux que tu fasses plaisir à mes amis.
- Si je veux bien, tout ce que vous voulez mais pas par le cul!
- Pourquoi José.
- Votre sexe est bien trop gros Commandante! J'ai encore mal pour hier! Le gode! Vous savez bien!
- Mais non, tu vas voir et puis c'est de ta faute, tu n'as pas qu'a m'exciter si fort! José !! Et mes amis sont trés doux tu vas voir!
A genoux maintenant tu commences à me fatiguer! Andiamo!!
Il le pousse en avant, il tombe sur ses genoux et on relève son peignoir et fait tomber sa culotte. On passe derrière lui et chacun son tour lui trouons le cul. Il souffre et le dit mais on l'ignore. Les femelles ne sont pas en reste et emploient la main ou un gode pour molester ce petit cohen rose qui met son cul à notre disposition. José pleure mais nous sommes rassasiés. Du sperme coule de ses fesses lorsqu'il se met péniblement debout.
The reviewing period for this story has ended. |