La femme de l'industriel était arrivé le Vendredi soir dans le bureau de Robert qui gérait l' établisement. La femme s' était assise:

- Bonjour, salope! Et oui, madame, ici plus de nom propre ni de nom mais ce nom de 'salope'! Car en fait vous en êtes une! N'est ce pas? Vous ne répondez pas? Pas la peine! Vous avez peut-être des bagages?

- Oui monsieur! elle montrait une valise.

- Et bien vous vous en passerez!

- Mais?

- Voici vos habits pour le week-end! Vous aurez cette tenue de soubrette et il faudra la garder propre! La laver au besoin! Mettez-vous nue et enfilez cette tenue!

Elle s'exécuta avec disgrâce.Elle se montra nue, elle était bien faite avec des seins en poire et un cul magnifique.

-Bien! Maintenant nous allons voir si vous êtes capable de rester, une dernière formalité à accomplir!

Il appuya sur une sonnette et deux hommes entrèrent, ils empoignèrent la soubrette , la collèrent sur le bureau en lui retroussant la jupette sur ses reins cambrés . Ils la tournent vers Robert qui l' encule violemment. Aprés un premier moment d'étonnement elle se tait, soumise. On l'oblige à sortir à quatre pattes.

Elle sort de la pièce et se relève un peu plus loin en pensant qu' elle aime ça. Elle allait être servie. Au coin d'un couloir elle rencontre une fillette qui lui demande d' aller cherche un jouet sous le lit. Elle se penche et s'allonge mais la fillette se jette sur elle lui lie les mains dans le dos et la coince sous le lit. La petite fille lui retrousse son tablier de boniche et dévoile ses fesses.

- Tu es à moi, méchante! Tu es vilaine, tu vas souffrir, je vais te faire bobo au cucul!

Et la fillette lui griffa les fesses en la mordant sauvagement. Elle lui écarta les fesses à lui faire mal. Elle dévoile son anus et lui fourre une grosse bille à l' intérieur et la pousse avec un crayon au plus profond de son être.

La salope crie, elle a mal mais en même temps elle aime souffrir, alors elle aime ce que fait la petite fille et en redemande. Mais le jeu est comme cela, elle ne dira rien. Alors la fillette s'en va, décue...

La femme arrive tout de même à se libérer et essaie de retirer cette bille mais sans succés et c'est d'une démarche bancale qu' elle continue son service.

Tout à coup elle entend une petite voix crier:

- Au secours! A moi! Au viol!

Cela se passe dans la pièce d'à côté, elle se précipite et entre pour surprendre la scène suivante. Un gros brun poilu est en train de tringler un petit garçon blond souriant. Mais le petit est consentant et c'est un piège. Le gros homme velu attrape notre esclave de service et la sodomise à sec.

Il lui laboure l'anus sans ménagement et le petit encule son gros velu avec un gros sexe d'ailleurs pour son age. Le petit est si souple et a un sexe si grand qu' il arrive à le mettre dans sa bouche. Elle n'avait jamais vu cela. Aprés l'avoir limé pendant un quart d' heures il relacha la soubrette et puis la reprit lui fourra son sexe dans la bouche et explosa.

Le gros éclata de rire, le petit riait aussi et elle sortit de la pièce, elle avait mal au cul. La bille était remontée dans ses entrailles bien trop profond. Elle traversa un couloir et trouva une salle de bain, elle ota la bille et s'assit dans la baignoire, mais un mécanisme la bloqua et emprisonna ses membres, une trappe s'ouvrit et un sexe mécanique s' enfonca dans son sexe.

Il se mit à bouger et à vibrer. Au début ce fut agréable mais aprés une demi-heure elle commencait à sauter en l' air. Cela dura encore une heure avant que l' appareil s'arrête.

Elle s'était évanouie et se réveilla plus tard dans cette même baignoire, elle sortit de la pièce. Mais elle était attendue par un groupe d'hommes et elle fut obliger de boire leur sperme. Elle suffoquait,elle en était inondée de la tête aux pieds et elle dut reprendre un bain.

Au bout du couloir, elle fut prise en main par une femme en cuir et posée sur un prie-dieu en osier, la femme l' apostropha:

- Tu es nouvelle ici, je ne te connais pas! ou plutôt je ne connais pas ton cul ma salope! Tiens, prends ça! Ne bouge pas ou je te fais encore plus mal!

Elle fouetta la suppliciée pendant longtemps avant de se lasser. Elle l'empêchait de se relever car elle frappait trés fort. Puis elle sonna et deux hommes vinrent la chercher pour lui passer un collier autour du cou et l' emmener dans le jardin. On l'amena dans un enclos ou il y avait un berger allemand visiblement en chaleur. On fit sentir le sexe de la femme au chien qui se jeta sur elle.

Le chien bavait, l'acte fut dégoutant, mais notre esclave jouit telle une bête....Le chien aussi. Elle fut même obligée de tailler une pipe au chien!