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[ MF/gb, humil, rape, nc ]

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Published: 21-Jul-2012

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Story Summary
Disclaimer
All people and events in this story are entirely fictitious.

Ce jour-là à la terrasse d' un café, j' entendis une conversation intéressante entre une mère et sa fille. La mère disait:

- Ce soir, Charles vient , alors reste dans ta chambre cette nuit ou alors essaie de sortir en boite si tu vois ce que je veux dire!

- Oui, tu vas te faire sauter ...

- Et alors, ca te dérange!

- Non pas du tout! Je suis contente pour toi!Il te paye bien au moins!

- Jalouse!

Trés excitant. Je voulais me les faire ... toutes les deux. Une fois la fille partie je draguais la mère et ne tardais pas à me la faire dans la voiture. Elle aimait ma brutalité. Je fis plus ample connaissance et devenais en sorte l' amant de coeur. J'avais le privilège de la culpabiliser. Elle se reprochait peut être de faire l'amour avec son Charles pour du fric. J' en profitais.

Florence, la fille était une dévergondée. Je soumettais la mère à mes caprices. Je la fis se mettre dans des postures trés inconfortables pour elle. Je la sodomisais même. Je lui déclarais même:

- Je veux ta fille!

- Ah! Bon et bien ... prends-là!

- Je veux lui faire l' amour!

- J' ai compris! Je ne suis pas jalouse! De plus elle n'est plus vierge depuis longtemps, tu sais!

Je poussais mon pion plus loin.

- Mais tout les trois ensemble! Toi,elle et moi!

- Non!

Je refusais de la voir pendant quelques temps. Néanmoins par vengeance et par goût personnel je décidais de me faire la gamine et d' en faire une véritable pute. Je la baisais et la payais à chaque fois. Elle était exigeante et voulait plus d'argent. Mais un jour je fis mine d'avoir des problèmes d'argent et cessais de lui en donner.

Mais pour la dépanner j'avais une idée, je rencontrais le riche amant de sa mère et lui présentais Florence. L'idée de se faire la gamine l' excita. Charles était un gros vicieux. Nous fimes l'amour à trois, je l'empalais sur mon dard pendant qu'elle le sucait.

Puis aprés celà elle fut sa maitresse régulière. Sa mère le prit trés mal, non seulement elle se faisait distancer par une plus jeune qu'elle mais en plus c'était sa propre fille.

Quelque jours aprés je présentait Isabelle à Charles et il laissa tomber Flo. Florence était furieuse contre Isabelle.La mère était outrée et vexée et c'est dans cet état d'esprit que je les invitais tous un soir à la maison.

Le repas était tendu comme mon sexe et à la fin du repas, Isabelle passa sous la table comme je lui avais demandé, elle brouta le sexe à la mère pour l'amadouer, elle suça nos deux glands mais Flo refusa de se faire tripoter par ma fillette.

Lorsque tous furent dans le salon, la tension était si importante que je proposais un jeu, la mère enchaîna:

- Bon, arrêtez donc toutes les deux, nous allons jouer à un jeu, vous allez vous battre et celle qui déclarera forfait perdra,sera punie et châtiée par la gagnante!

- D'accord maman!

- Bien madame!!

Elles commencèrent la lutte. Isabelle attaqua et frappa Florence qui tomba, Isabelle prit une bouteille sur la table lança de l'eau sur Flo qui cria:

- Salope, on n'a pas le droit!?

- Mais oui Flo elle a le droit! fit la mère.

Florence ota son chemisier trempé et on put voir son corsage. Elle lança un livre sur Isabelle et l' attrappa par les cheveux.

- Non, Florence, pas ça! fit la mère. Pas par les cheveux!

Isabelle profita de ce moment de répit pour assommer Flo avec un gros livre, Flo tomba, un peu étourdie. Isabelle en profita pour lui verser tout le reste de la bouteille d'eau sur elle, sa jupe était trempée et lui collais aux jambes. Elle la retira, ce strip-tease était délicieux, nous étions excités. Nous nous mettons à l'aise ...

Isabelle était trop forte à ce petit jeu alors j'aidais Florence en faisant tomber son adversaire, Isabelle chute et Florence s'agenouille sur son dos et la bloque. Elle lui soulève sa jupe et lui déchire sa culotte avec des ciseaux, fait de même avec son chemisier, ses seins sont découverts et son corsage arraché. Flo est perverse, elle lui écarte les fesses à lui faire mal et lui frotte les seins contre le tapis. Isabelle a les bouts qui brûlent et la douleur décuple ses forces. Elle se débat et refuse d'abdiquer.

Finalement Isabelle se relève et attaque, elle force Florence à se mettre à genoux, fait une prise, l'immobilise à terre et la gifle plusieurs fois avec une violence sauvage:

- Tu arrêtes!! Tu as perdu! J'ai gagné! et se tournant vers la mère, C'est vrai ,non??!

- Oui, Flo, désolée, elle a gagnée, relève-toi et Isabelle arrête de la gifler, viens ici ma fille!!

Florence avança, elle était à moitié nue et trempée.

- Enlèves ces vêtement mouillés! Tu vas prendre froid! Allez! et demande pardon à Isabelle!

Elle s' éxécuta de mauvaise grâce,restant en petite culotte. Isabelle déclara:

- Je peux en faire ce que je veux!

- Oui bien sûr!

- Alors D'abord qu'elle me demande pardon mais comme il faut! A genoux!

Elle ota le corsage de Florence et dévoila ses gros nibards. Elle lui fit glisser sa petite culotte jusqu'à mi-hauteur et caressa les seins offerts à sa convoitise. Elle les suça, mais soudain elle les prit entre le pouce et l'index de chaque main les pinça et la força à la suivre à genoux. Florence était forcée de la suivre et elle lui faisait mal. Flo était furieuse mais obéissait. Elle lui fit dire pardon:

- Je te demande pardon Isabelle...aïe, mes seins!

La mère arrêta ce petit jeu cruel et humiliant:

- Bon, cela suffit maintenant! Quel est ton gage!

- Je veux jouer aux indiens! Hein, Charles!

- C'est quoi!

Charles s'approcha de Flo la fit mettre à quatre pattes et expliqua à l'assemblée ce jeu érotique:

- Flo va faire le cheval et nous les indiens!

- Oui, bonne idée!!! comment cela? fit la mère.

- Je vais vous montrer!

Florence déclara:

- Si vous voulez....!! fit -elle d'un air las, elle avait cessé de combattre...Peut être se sentait elle excitée par ces jeux érotiques.. Elle était naturellement vicieuse, la salope!

Isabelle revint avec la laisse du chien et en fit un mors qu'elle glissa entre les dents de Florence. Elle la fit se mettre à quatre pattes, elle lui caressa les fesses et son sexe et lui glissa un doigt dans le cul. Elle monta sur son dos et la fit avancer en la frappant avec une cravache appartenant à Flo. Florence avait les nichons qui pendouillaient et son cul était exposé à tout les désirs. Charles se mit nu et nous aussi. Isabelle fit avancer sa monture à petits pas autour de la table du salon puis accéléra l'allure.On voyait les lèvres du sexe de Florence rougir peu à peu par le frottement.

Isabelle cria:

-Faites les indiens!!

Nous scandons le rythme de la cavalcade avec nos pieds et commencèrent à lui jeter ce qui nous tombait sous la main, des coussins ...et petit à petit nous y primes goût. Charles lui lança des souliers, un d'entre eux faillit l'assommer,la mère lui lançait un livre et moi une fourchette qui l'atteignit et lui piqua les fesses ....Charles fut vicieux, il lui écrasa un oeuf sur la tête, ses cheveux dégoulinaient, elle était furieuse mais isa la touchait

Les seins de Florence se tendent de désir et battent la mesure et Isabelle la cravache de coups sur les flancs et sur le postérieur. Elle ne fléchit pas et Charles excité par ce spectacle se fait reluire par la mère, moi à chaque passage je fesse ma Florence qui subit mille outrages. Mais la gamine en a marre:

- Bon maman, on arrête!

- Pas encore ma chérie, on continue....

- Allez, Charles on arrête.

- Non tais-toi! Il s'approche des deux filles et fourre un mouchoir dans la bouche de Flo qui ne peut plus rien dire.

Charles s'approche de la mère lui parle à l'oreille. Il fait se relever Florence qui le remercie mais il la pousse doucement devant lui et l'amène devant la mère qui déclara:

- Viens ma chérie! Embrasses-moi!

Elle fit venir Florence jusqu'à elle et la baisa sur la bouche d'un baiser langoureux: un baiser de Judas. Charles caressait les fesses de Florence et la mère lui captivait les mains, elle était prise entre deux feux.

- Quelles belles fesses! Quel beau cul! Je le veux!

- Viens, Charles, elle est à toi!!

Charles lui ouvrit les fesses et la sodomisa. Florence cria pour le principe mais elle ne pouvait rien faire et elle avait besoin de jouir. Charles la fit se pencher et se mettre à quatre pattes comme une chienne, il écarta ses fesses et lui labourais le cul en cadence et moi je me faisais tailler une pipe en même temps. Flo obéissait et me suçait la bite goulûment , sa langue me mouillait et humectait tout mon sexe. Je jutais sur ses seins je lui inondais les nichons étalant mon sperme sur sa poitrine avec ses mains, Isabelle trempa un doigt dans sa chatte et la fit jouir puis lui fit lécher son doigt.

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