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Published: 13-Jul-2012
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Ce samedi matin-la je passais au bureau, la porte était ouverte, c' était sûrement la femme de ménage, elle était là ... tapant sur le minitel. Mais chose plus excitante, elle était presque nue, en fait elle se touchait, son buste était nu et sa blouse pendait sur ses reins cambrés. Ses seins pointait vers le minitel sur lequel elle tapotait. Elle était belle, elle était jeune , 18 ans peut-être, je l'espionnais sans me faire remarquer : elle tapait 3615 FEMM, un code Mintel pour lesbiennes. Je me cachais et postais mon camescope que j'avais toujours dans le coffre de ma voiture. J'entrais à nouveau, filmais la scène, mais au bout de quelques minutes elle me vit et se leva brusquement, les mains cachant ses seins :
Je la regarde durement et l'insulte:
- Qu'est ce que vous faites là mademoiselle ! Je vais prévenir vos patrons vous faire virer!
Puis changeant de ton:
- Tu es la pour faire le ménage, pas pour t'amuser!
- Mais monsieur....
- Il n' y a pas de mais ! Je vais appeler la police, tu vas aller en prison, je vais porter plainte! J'ai des preuves : le relevé des communications téléphoniques depuis un mois et en plus je te filme depuis un bon quart d'heure !
Je l'accable, elle a peur et se met à genoux et me promet de m'obéir en tout points si je ne dit rien. Je la fais se mettre nue entièrement et s'agenouiller devant moi:
- Comment t'appelles-tu, salope!
- Isabelle... Mais pourquoi m' insultez-vous ?! Pourquoi me tutoyez-vous?
- Tais-toi je fais ce que je veux, tu dois faire ce que je veux ! Lèche moi les pieds!
Elle refusa. Je me fâchais et la frappais violemment au visage avec le plat de la main en criant :
- Tu veux que j'appelle la police!
Elle s'inclina et se mit à genoux , je la forçais à me lècher les chaussures. Je la relève par les cheveux et la frappe à nouveau au visage plusieurs fois, je lui appliquais de violentes claques sur ses têtons puiss la repoussait, elle tombe, je la lève et la pose sur un bureau, les mains attachées dans le dos, le cul tourné vers moi.
Je lui retrousse sa culotte pour voir son petit cul la laisse ainsi et tape sur le minitel pour entrer en contact avec quelqu'un. Je voudrais réussir à joindre une maîtresse femme qui dompterai ma salope si elle l' avait sous la main. Je la trouve, elle se fait appeler DOMINA, on commence par dialoguer au minitel mais bientôt elle veut que ce soit Isabelle qui tape sur le clavier.
Je lui explique qu' elle est attachée. Alors je lui donne le numéro de téléphone, elle va appeller ..... J' oblige la fillette à répondre et je met le haut-parleur. Elle la met en condition, lui demande de se décrire et l'excite au téléphone lui ordonnant de m'obéir:
- Tu es une esclave! Obéis! Il est ton maitre ! Si tu n' obéis pas tu sera chatiée, punie comme tu ne l' a jamais été ... A partir de maintenant tu es une esclave !!!
Je rajoutais:
- Tu va faire ce que veux jusqu' à Dimanche soir ! Compris ! Tu resteras tout ce temps-là avec moi!! Compris!
Elle se rebiffa encore une fois et se débattit en vain car ses mains étaient liées. DOMINA l'obliga à se faire enculer et subir un balai dans son petit cul, elle pleure, je pousse, elle gémit, je pousse encore, elle hurle et s' évanouit. Moi j' en profite en fourrant mon sexe dans son anus. Aprés quelque allers-retours j'explose en lui meutrissant les seins. DOMINA est visiblement excitée au téléphone. Elle veut mon Isabelle pour ce soir.
J'acquiesce et lui propose de l'amener chez elle. Elle est entièrement d' accord et raccroche. Je suis encore chaud et troublé. J'ai envie de m'amuser. Je sors et vais chercher des accessoires pour continuer ce jeu pervers, la laissant là à même le sol. Entre temps elle restera par terre entièrement nue, ligotée avec une corde de chanvre qui lui serrait les chairs à lui faire mal.
Je laissais ma caméra cachée et changeait la cassette pour une cassette longue durée puis branchait l'alarme qui se mit à sonner. Je griffonnais un mot et le scotchais sur la porte bien en vue à l' attention du gardien :
- Entrez ! Cadeau pour vous ! Faites-vous là!
Signé Le patron.
Comme je l' avais prévu, lorsque je visionnais la cassette, je vis que tout s' était passé comme prévu. Le garde entra, la trouva et bien entendu la viola avec force. Il m'avoua plus tard qu' il avait pu réaliser son fantasme, lui gicler son sperme dans la bouche en la frappant avec son ceinturon. Puis il partit sans oublier de couper l' alarme. C'était un bon employé.
Je reviens une heure plus tard aprés avoir requis les services sexuels de deux "professionnelles" du sexe : deux putes pour l' aprés-midi. Ma salope quand à elle avait encore du sperme sur le visage, j' avais ramené des chaînes dans un sac en cuir, je les pose discrètement par terre et l'emmène déjeuner.
Pour l' amadouer, je lui avait ramené une robe de prix. Elle est étonnée mais contente. Elle la met, mais dans la voiture je la force a ne rien porter dessous sa robe et à mettre un gode dans son sexe. Elle ronchonne mais obéis. Pendant le repas on parle, elle se calme. Je lui explique que j' attends qu' elle soit soumise et en échange je lui donnerais de l'argent. Mais elle doit être sage... Je lui explique aussi qu' elle y trouverait du plaisir.
- Ah non! Jamais!
- Mais si, comment peut-tu savoir sans essayer ! Tu vas subir douze épreuves initiatrices au bout desquelles tu pourra choisir ta voie vers la domination ou la soumission ! Tu seras libérée de moi ! Tranquilise -toi tu viens déjà de passer deux épreuves, enculée et violée !
Elle ne trouva rien à dire la-dessus. On se lève et nous retournons au bureau. Bien entendu les deux putes que j' avais commandé nous attendent. Elles empoignent la gamine, la dénudent et lui attachent les mains. Elle est tremblante et ne comprend pas . Elles lui demandent si elle veut obéir :
-Tu n'es qu'une esclave! OBEIS! OK!
- Ououi!
Isabelle avait peur de leur allure sauvage. La première était blonde et vulgaire, un peu grosse et harnachée de cuir clouté. La deuxième était brune , plutot masculine et trés vicieuse comme vous allez le voir.
Elles cinglent de coups la pauvrette, la fouettent avec un martinet en cuir, elle lui font rougir la peau et lorsqu'elle est à bout, à point, l'allongent et la sodomisent avec le manche en le remuant dans son anus, la boniche bondit . On lui ordonne de se calmer. Si elle obéit elle sera graciée.
- Ah! Tu as bougé! Prends ça! et ça!
Elle s'exécute en pleurnichant. Elle arrête ses soubresauts par peur des représailles.
Elle me lèche le sexe et les deux filles en profitent pour se régaler de son corps. La plus sévère lui broute la chatte et l'autre lui mords les seins mais sans que la suppliciée éclate ni s'excite, elle a trop peur.
Alors la blonde fait un signe à la brune et sortent des instruments étranges de leurs sacs à malices. La blonde attache des cordes et la brune prend la suppliciée à bras le corps et à elles deux lui attachent des pinces un peu partout sur le corps, sur le bout des seins, sur les fesses et même sur le sexe et le nez et les oreilles. La gamine est choquée et étonnée. Les deux putes attachent ces pinces à des cordelettes qu' elles attachent à nouveau un peu partout dans le bureau. Au bout de quelques instants, la jeune Isabelle est étirée de toutes parts. Elle souffre mille morts, les pinces lui meurtrissent son corps.
La douleur arrive peu à peu. Les deux putes la contemplent. Isabelle est sur le ventre. Les deux putes se moquent d'elle. Dans les rapports sexuels sado-maso, il est important de diminuer le partenaire au point de vue physique mais aussi psychique. Elles l' appellent Isa et non plus Isabelle ou bien même Isalope... De temps en temps, elles la giflent ou la mordent sur les parties sensibles, seins et fesses.
Isalope, comme elles-disent, est excitée malgré la douleur. Elle remue malgré les pinces. Chaque mouvement lui fait mal. La brune voit qu' Isa va atteindre l' orgasme malgré ses tourments. J' aimerais l' en empêcher, elle n'en a pas le droit.
Je demande à la brune de l' arrêter. Elle lui jette un seau d' eau dessus et lui assène un coup sur la tête.Elle s'écroule, assommée.
Mais ces malheurs ne sont pas tout. Il y a une suite. J'avais fini avec les putes, je voulais les payer, elles refusèrent, prétextant que la séance leur avait beaucoup plu et qu' elle préféraient comme paiement l' avoir à elles pendant une journée et lui faire subir milles tourments délicieux ....
Délicieux pour elles mais surement pas pour Isa .... Je leur promis tout ce qu'elles voulaient. Je sortais du bureau pour aller sur le chantier voisin, j'en ramenais trois solides gaillards en prétextant une partouze. Les salauds lui ont tout fait. Elle fut violée, sodomisée, fouettée, frappée sur les seins et même mordue et dut subir un humiliant shampooing au sperme. Aprés cela, elle était exténuée et s'est endormie sur le sol.
Je la ramassais et l' emmenais chez la maîtresse DOMINA. Je la mis nue dans la voiture. J' arrivais dans la villa de DOMINA. Il faisait sombre. Je descendis de voiture et actionnait une sonnette prés d' une porte. Un interphone me demande le motif de ma visite. Aprés les présentations, le portail s' ouvre et deux filles nues avec des chaines aux chevilles apparaissent :
- Bonsoir,nous allons vous conduire à Madame! Mets-toi à quatre pattes!
Mon esclave fut obligée de se trainer sur le sol froid et dur. Je les suivais en voiture et elles à pie. Devant la maison, DOMINA est là, belle femme d' une quarantaine d' années: l' air froid et dur.
- Elle est à vous jusqu ' à demain matin 7H au bureau, je la veux la-bas , nue et domptée !
Je lui remis les clefs du bureau et partais. La scène suivante et les autres me furent rapportées par DOMINA. DOMINA fis emmener la jeune femme à l' intérieur par ses "amies" intimes. Chez elle, l' organisation est trés stricte : les hommes et les relations hétérosexuelles sont bannies. La loi est ainsi faite. Les plus jeunes sont regroupées dans la classe "babies" jusqu' à 7/8 ans et n'ont pas le droit de connaître le plaisir personnel mais doivent servir celui des autres. Ce sont elles qui lèchent les chattes des plus grandes, les lavent ou les punissent selon le cas.
Puis viennent les « lolitas », qui de 8 ans à 14 ans sont les reines de ce harem féminin. Elles ont tout les droits sur les autres classes aprés leur initiation sexuelle qui vient à l' age de 15/16 ans. Ensuite elles partent aprés leur majorité.
Mon Isabelle était agée de 18 ans et donc elle ne rentrait pas dans ce schéma du vice et de prostitution enfantine. C'était une invitée. DOMINA n' y avait pas pensé en l' invitant chez elle. Elle allait donc innover. Elle fit venir ses babies, elles étaient une dizaine qui servaient donc de culs à tout faire.
Elle leur expliqua:
- Voici un cadeau pour vous! Vous pouvez en faire ce que vous voulez ! Si elle me plait je la reprendrais! et elle leur fit amener Isabelle qui avait été costumée pour l' occasion. Elle portait un voile transparent qui laissait tout deviner de ses charmes.
Les fillettes étaient excitées et se regardant entre elles, décidèrent de ce qu' elles allaient faire. Elles allaient s'amuser mais peut-être pas Isalope....
La plus jeune des petites lanca:
- On va lui faire pipi dessus!
Bonne idée ! Isabelle dégoutée, tenta de s'enfuir mais on lui avait attaché au pied une chaîne qui sans l' immobiliser totalement, la gênait considérablement pour marcher et qui plus est pour courir. Elle essaya tout de même, les fillettes la rattrapèrent dehors et la plaquèrent dans la boue, elle ne pouvait plus bouger, elles fut souillée par les pisseuses.
Puis DOMINA la fit laver par ses petites graines de bourreaux et frotter au gant de crin avant de la faire revenir au salon ou DOMINA se faisait pomper le jus par deux ou trois blondinettes en culotte de cuir.
DOMINA était excitée, elle fit amener la reine du harem. Elle était belle comme une statue, blonde, menue , potelée, 14 ans, des seins en poire, parfaite. Elle s' appelait Mathilde.
DOMINA fit enrouler Isa dans du papier crépon et l' offrit à Mathilde, les deux filles s'enlacèrent tendrement et ce fut éblouissant. Les deux corps s'embrasèrent longtemps, longtemps si longtemps que la maitresse fut jalouse de l'élève. DOMINA attrapa Isa et le trio fit des étincelles jusqu' au matin. Pour parfaire le tout, DOMINA fit donner l' arrière-garde avec les babies qui sucèrent, lèchèrent, pétrirent, tatèrent les trois gouines.
Le lendemain matin, à peine levé, je fonce au bureau ou je trouve ma salope toute joyeuse, J' étais vexé, elle préférais les femmes!!! Je devais me VENGER!!!
Je lui demande:
- As-tu de la famille?
- Oui, pouquoi?
- Comme ça ..... un frère une soeur?
- Les deux : Laura et Eric pourquoi?
- Parce que je t' ordonne de me donner ta soeur ou ton frère pour que je les soumette eux aussi !
Elle refuse, en échange lui donne un gage , elle l' admet : je lui donne comme punition de se donner à une femme dans la rue. Elle accepte mais je veux quand même sa soeur et je l' aurais.
Je préviens Sophie ma petite copine pour qu'elle m'aide à séduire la fillette. Je la voulais pervertie et soumise. Je lui demande d'inviter la soeur d' Isabelle chez elle à un soi-disant anniversaire. Le lendemain on va la chercher chez sa mère avec Robert dans le rôle respectable du père. La petite Sophie se présente comme la copine d' une copine et emmène la petite par la main.
La mine sage de ma Sophie rassure la maman. On la fait monter dans l' auto elle ne se doute de rien. Ils entrent dans notre bordel. Sophie emmène Laura dans sa chambre et discrètement la fait boire. La boisson est droguée. La fillette a chaud et sophie la dévêt peu à peu. Elle l' embrasse tendrement et la force mais pas trop, le vice doit naître en elle.
Tout est filmé bien entendu pour que je puisse tout voir par la suite. Elle lui glisse un doigt quelque part et la titille, la petite est séduite, Sophie la suce, la lèche, la cajole. C'est doux et troublant, deux fillettes, une perverse et l' autre innocente.
A ce moment-là Robert qui je vous le rappelle se faisait passer pour son père entre dans la pièce. La gamine est effrayée par l' homme. Il s' excuse et en douceur caresse la fillette intimidée mais sort bientôt de la pièce pour ne pas lui faire peur, Laura est rassurée.
Pendant ce temps-là mon esclave Isabelle est en train de lécher la chatte d' une pute en chaleur dans un bordel. La pute essaie de ne pas y prendre goût mais c'est difficile. Elle résiste mais elle craque et commence à jouir. Elle appelle son mac au téléphone , il est dans une chambre à côté avec une fillette de 14-15 ans. Il entre avec elle. Il est en érection et la fille est nue "vissée" sur son sexe et il la pousse devant lui. Pas jaloux pour un sous, il la couche sur "sa" femme et continue de ramoner sa petite. Il me permet d' utiliser la petite fille qui se voit obligée de me téter le noeud. En échange je lui offre Isabelle.
Pendant ce temps Laura est toujours sous l' emprise de Sophie qui l'excite, elle lui parle :
- Tu viens on va faire des photos!
- Comment ça?
- Bien, toutes les deux avec papa! Tu as peur ! De qui ? De papa ou bien de moi!? ajouta t' elle d' un air innocent.
- Mais non! De personne!
- Alors viens!
Et Sophie l'emmène dans le salon. Robert est prêt et commence les photos. Sages au début, elles deviennent osées puis érotiques... Au début, Laura est habillée puis Sophie lui fait entrouvrir sa robe puis montrer les épaules et les jambes. Un peu d' alcool fait passer sa pudeur au deuxième plan. Elle se met nue.
Elle est mise à genoux les reins relevés devoilant son petit minou de fillette. Sophie ne peut résister et lui lèche tout en lui caressant les fesses...Robert ne se tenant plus lui troue le cul.
De mon côté, la fillette du mac se venge de ma pipe et par dépit glisse un ou deux doigts dans le cul de mon Isabelle. Isabelle est surprise et se venge en mordant la pute. Isabelle est frappée par le mac qui ne veut pas que l'on abîme sa marchandise. Le mac est excité et sort sa ceinture et en frappe les femelles, j' en fais de même.
Nous crions et frappons, les femmes courent tout autour de la chambre, on les coince sur le lit, les fesses à l'air et on les lacère de coups. On les encule à sec et on explose dans la bouche d' Isabelle.
La petite Laura est toujours nue sous les caresses de Sophie. Robert la fait poser, puis la touche, la tourne, la retourne. Il la caresse sous de fallacieux prétextes. Sophie est froide, perverse et se propose de l' offrir à Robert :
- Tiens! Regarde elle est vierge! Je te la donne pour 500 francs sinon rien!
Robert sort un billet et lui donne et s' approche de la petite fille qui git nue, Sophie l' aide et à deux lui font tout ce qu' ils ont envie. Il éclate dans elle en la pénétrant.
De mon côté, je fais lever mon esclave si soumise et lui fais enfiler ... une blouse et puis non, rien du tout, elle sort nue dans la rue et monte en voiture pour arriver chez Sophie, elle marche dans le jardin, le fond de l'air est frais. Je tiens à vous dire que chez Sophie se donnent rendez-vous des femmes du monde qui aiment être punies et subissent des sévices sexuels. Cela est important pour la suite.
Ce soir-là et pour tout le week-end, nous avions une soubrette rousse et de peau blanche pour satisfaire nos caprices. C' était la femme d' un industriel trés haut placé qui malheureusement pour elle et heureusement pour nous délaissait sa femme ou plutot sa chienne de femme.
La petite Laura était endormie. Elle fut réveillée à coups de ceinturons par .... sa soeur. Je les avait toutes les deux masquées et harnachées de façon à les rendre méconnaissables.
Laura était sous l' emprise de l'alcool et se réveilla avec un fouet dans la main. Elle était excitée et voulut se défendre. Elle en frappa sa soeur. Isa était furieuse qu' une fillette plus jeune qu'elle ait pu la frapper, de plus elle avait mal toléré les ébats de tout à l' heure...
Isabelle frappa Laura. Le combat fut violent. Les deux salopes se battirent pendant un long moment avant de s' entreméler sur le sol. Les deux femelles se tirent les cheveux et tentent de se frapper mais elles sont à bout. Laura git sur le tapis, les yeux fixes, l' alcool a décuplé ses forces mais elle est hs. Isabelle en a plein le dos de se battre. Elles s' enlacent mais un déclic se produit. Laura et Isabelle s' embrassent et se collent l'une à l'autre. Elles se lèchent et sucent sans vergogne mais avec délice. Je suis excité et Sophie aussi. Robert n'en perd pas une et commence à se toucher. Il sort un gros gode et le donne à Sophie qui encule sa soeur avec méthode.
Je prend Sophie qui se laisse embrocher par Robert et moi, je retire leurs masques aux femelles. Elle se regardent et avec stupeur se reconnaissent enfin. On s' approche d' elles et on les encule à tout les 3.
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