Cette année-là nous passions nos vacances dans le village de Moiboutou au Sénégal. Nous n'avions vraiment aucune idée derrière la tête, nous désirions simplement profiter du soleil et nous reposer. En effet la marchandise noire était sans intérêt car elle se vendait trés mal auprès des pédophiles à part les nostalgiques et les légionnaires. Les pédophiles aiment les enfants blancs et blonds.

Un jour nous étions partis faire du cheval, il faisait chaud et les chevaux devaient s' arrêter pour boire, il y avait une rivière proche dans laquelle des enfants se baignaient. Ils étaient nus et joyeux. Nous nous sommes approchés et avons fait boire les chevaux. Les enfants nous ont abordés en parlant un pseudo-français :

- Bonjou' les toubabs!

- Bonjour les petit culs! lança Laura.

Et je ne sais comment ce mot réveilla nos instincts pervers ravivés par une longue chevauchée. Robert cavala et s'intéressa de très très près aux petits garçons et Laura aux petites filles. Pour ma part j'observais la scène qui m'excitait.

Robert attrapa un petit et lui fit mal en lui tirant sur le sexe. Le petit noir ne comprenait pas. Il s' approcha et Robert l'attrapa à nouveau et le gifla, il en profita aussi pour donner des coups de pied dans les parties génitales aux autres gamins. Les petits tentaient de s'enfuir. Il avait l' avantage du cheval, il les rattrapa et les frappa, il les prit un par un et les encula tous sur le cheval. J' étais admiratif.

Les fillettes au début étaient surprises mais pas effrayées. Mais Laura décida de les courser, elle sortit son fouet et les cingla de coups, elle les frappait sans retenue. Les fillettes criaient.Une d' entre elles réussit à s' échapper et à se cacher derrière un baobab géant mais je l' avais vue et m' occcuperais d' elle plus tard.

Laura les attrapait elle aussi mais les trainait par les cheveux dans la boue avant de les forcer à lui lècher son sexe. J'étais excité par ces ébats et je me dirigeais vers le baobab ou ma gamine était cachée. Elle ne m'avait pas vue arriver :

- Alors petite ça va!

- Oui missié beaucou' malheu'!! Toubabs méchants! Et toi?? Méchant aussi??

Elle levait vers moi des yeux inquisiteurs. Je jouais au gentil avec elle pour mieux l' amadouer. Je laissais mon cheval près de nous,posais une couverture à terre et fis asseoir ma négresse dessus. Je lui fit boire un peu d' eau et la calmais. Elle fut séduite, elle avait besoin de douceur, en fait. Elle s'allongea d' elle-même et je commençais à la caliner, mais sans l' embrasser. Je n'aimais pas les négresses et j'étais plutôt curieux d'examiner son corps.

Je fis signe à mes amis d' approcher. Robert poussait ses six esclaves masculins devant lui et Laura avait son petit harem, une dizaine de petites fillettes pubères dont certaines avaient déjà des seins pointus. Ma négresse ne voyait rien car elle fermait les yeux de plaisir. Je lui tripotais les seins et lui meutrissais les bouts entre le pouce et l'index. Mes amis s' installaient non loin de nous et je fis avancer mon cheval, la négresse gémissait, elle me voulait et était confiante. Je fis avancer Laura. Robert avait attaché les enfants ensemble par les mains et les surveillait tout en tripotant un petit noir grassouillet avec de grosses fesses.

Laura fis avancer le cheval vers moi, elle avait compris mes intentions. Elle fis sortir le sexe du cheval et l'astiqua. Elle se fit aider par les négros et les négresses. Elles les fit s'activer en silence forçant même certains gamins à sucer le sexe du cheval. Quand à moi je fis écarter les jambes à la fillette. Puis brusquement sur mon initiative Laura lui pris les mains et je l' embrochais sur le chibre du cheval. Le sexe avait du mal à entrer dans sa petite fente alors je me glissais sous elle et poussais....

J' étais en nage, j' en profitais pour lui trouer le cul, à chaque coup de boutoir le cheval l' écartelais et à chaque fois elle s' empalais sur mon sexe. Elle hurlait de douleur. Robert fit approcher ses oisillons et Laura son troupeau de femelles, les petits négros furent forcés de branler le cheval et de le maintenir dans le sexe de la fillette. Ce qui devait arriva et le cheval déchargea son jus dans la fille, Robert fit diriger le jet vers les gamins qui furent inondés. Laura les jeta à terre et ils furent jetés dans la boue. Robert les fouetta et on les battit comme platre. A la fin le cheval leur pissa dessus....