Nous étions réunis ce jour-là avec quelques amis pour se régaler d'une petite que sa mère avait préparée pour nous. En l'occurrence, il y avait avec moi 5 hommes très vicieux. Nous étions assez impatients car la mère n'était pas encore là. Nous étions habillés en moines et pour corser le tout avions exigés que la fillette soit habillée en rapport avec nos accoutrements. Tout était prêt pour la recevoir, nos esprits s'étaient échauffés et nos corps aussi. Nous avions visionné quelques vidéos pornographiques. La mère était tout de même une véritable salope, elle obligeait sa fille à faire cela pour son plaisir à elle, pour la punir, disait-elle, mais de quoi donc....
La fillette qui allait venir s'appelait Julie et avait à peine 13 ans, elle était consentante et très soumise, du moins d'après ce que nous avait dit sa mère.
La cérémonie allait commencer, la mère entra et on entendit la marche nuptiale de Mendelssohn, la fillette était à son bras et habillée en nonne mais assez dévêtue. Elle portait un porte jarretelle dessous une mini jupe, un haut en dentelle transparente et une cornette de bonne soeur. La demoiselle était brune et habillée d'un blanc virginal qui nous troublait mais ne nous attendrissait pas. Nous approchons d'elle.
Elle était jolie, une brune aux yeux bleus avec une bouche large et un sourire magnifique, une peau bronzée et des cheveux coupés à la garçonne sur une nuque magnifique.
La mère était habillé en noir, en cuir et dentelle assortie, façon sado-maso. Elle parla ainsi parodiant un peu le Divin Marquis :
- Mes chers frères aujourd'hui nous allons introduire au sein de notre communauté cette frêle petite à peine sortie de l'enfance! C'est ma fille, je vous la donne! Veuillez respecter les formalités d'usage! Tout d'abord la communion !
Nous ne savions pas ce dont il s'agissait, elle nous fit signe de s'approcher de la fillette. La mère la fit s'agenouiller et Julie ouvrit la bouche et resta figée ainsi.
La mère déclara :
- Voici un réceptacle pour le sang du Christ, mes frères ! et en s'adressant à Julie, ma chérie ce que tu vas avoir dans ta bouche est sacré, cela est doux, c'est le don de Dieu ! Prenez place mes frères !
Chacun de nous sortant son sexe le mis devant la jeune esclave qui nous tailla une pipe à chacun. La mère continuait à parler:
- Ma fille, tu vas communiquer avec Dieu !
La mère s'excite peu à peu. Nous aussi avions le cul et la bite en feu. Robert approcha de la fillette et lui mis son sexe dans la bouche.
- Mon enfant bois ceci est mon sang ! Je suis ton Dieu! et il ôta sa cornette pour lui tirer les cheveux, il lui déchira son corsage et en froissa les seins:
- Tu dois souffrir pour le Seigneur ! déclara la mère qui avait une bite dans chaque main et une dans le cul. La mère était aux anges. Ensuite nous allions un par un nous soulager dans la fillette qui nous pompait nos sexes trempés... puis tous à la fois nos sexes s'égarèrent dans sa bouche, ses joues gonflèrent : cinq bites à la fois dans la gueule d'une petite femelle c'est pas courant!
- C'est bon mon enfant! Parles!
- Oui! Dit Julie en avalant mon sperme, elle récita :
- Je suis l'épouse du Seigneur! Je le veux pour époux!
Visiblement elle avait bien appris sa leçon. La mère nous fit signe, elle se leva, ôtant tout les sexes de son corps et s'approcha de sa fille. Elle lui ôta sa robe et son haut, la déshabilla et nous la présenta, offerte et de face, debout et toute nue avec seulement son porte-jarretelles :
- Voici la fiancée du Christ ! Venez lui rendre vos hommages, mes frères! en approchant sa fille de nos corps en rut.
Le père de Véro la prit et l'embrocha avec son dard, il la secoua pendant un quart d'heure avant de la passer à son voisin qui fit de même. Tour à tour chacun de nous eu l'occasion de se faire la petite! La mère ne restait pas inactive, elle jasait :
- Prenez, ceci est son corps ! Allez, mes frères, bénissez-là !
Elle tourna sa fille et nous présentait son petit cul. Je pris mon sexe et montait sur la fille et lui perforait l'anus. La fillette était à bout de souffle, elle était amorphe. Je l'enculais mais elle ne bronchait pas. Elle devait avoir l'habitude. Mais cela ne nous convenait pas, nous voulions du sexe, du vrai, du hard, des pleurs et de la douleur. En un mot ses cris auraient décuplé notre plaisir...
La mère s'approcha de nous. Elle tira les cheveux de sa fille et lui parla :
- Comprends que tu a l'honneur de servir notre communauté du sexe! Alors un peu de coeur à l'ouvrage ! Tu dois aimer ça, non !?! Bon ! Je vais ,messires, punir cette mécréante! Ma fille serres tes fesses! Jouis ou alors souffre mais reste pas comme ça!
Mais la fillette était trop fatiguée pour répondre alors la mère se fâcha et monta sur sa fille. Elle prit un fouet à lamelles de cuir et retournant sa fille à nouveau la fit maintenir par quatre d'entre nous et commença à la frapper sur son corps.
La fillette ne riait plus, à chaque coup elle faisait des bonds, elle criait et injuriait sa mère qui redoublait d'intensité. Elle frappa la pauvrette sur ses petits nichons qui furent zébrés de coups. Elle pleura et le père de Véro lècha ses larmes avant de lui cracher à la figure.La gamine se tourna pour éviter les coups mais son petit cul subit les mêmes outrages et rougit sous le fouet expert de la mère.
Nous étions excités mais pas assez. Je pris un double gode et lui enfilait à la fois dans son sexe et dans son cul, le gode était particulier, je le branchais sur une prise de courant. Je pouvais sur commande lui brûler son cul, sa chatte et même l'électriser. De plus il pouvait gonfler et doubler de taille.
J'actionnais toutes les commandes et Julie fut brûlée sur ces paroles : "brûle démon !" . Elle fut électrifiée et pour finir je fis gonfler le double gode et la laissait dans cet état. La gamine fut lâchée et elle se leva, elle marchait les jambes écartées et à chaque décharge électrique, elle tombait et se tortillait de douleur. Je l'obligeais à me sucer et à lécher la chatte de sa mère...mais je n'avais pas fini avec elle.
Je l'obligeais à réciter la prière du "Je vous salue Marie" :
- Je vous sal... auds! AArgh! fit-elle lorsque je poussait le voltage
- Je vous salue Marie pleine de graAAAAAHHH! ...ce et Jésus le fruit de vos entraaaaaÏe ... est béni!
J'otais le double gode et la mère la fit se relever et lui annonça fièrement :
- Ma fille, tu es reçue chez nous, tes malheurs sont finis !
Et elle l'embrassa .... mais Julie était furieuse et elle voulut se venger, elle attrapa sa mère par les cheveux et lui donna un coup de poing si fort que celle-ci chuta!
La fillette nous apostropha :
- Eh! les mecs, venez m'aider, j'ai une idée hyper bandante! On va dresser cette chienne ! Aidez-moi à me venger!
- Que nous offres-tu en échange ?
Elle réfléchit un instant.
- Une gamine de mon âge pour vous! Ca vous va?
- Oui mais alors pas consentante!
- D'accord!
- Tant mieux! On préfère!
- Attrapez-la mère!
Ce fut le tour de la mère de subir nos outrages. La fille fit mettre sa mère à genoux, le cul tourné vers nous et les seins pendants, telle une chienne. Julie serra son poing le tendit et l'enfonça dans la chatte de sa mère, elle tordit sa main, la mère avait mal :
- Non pas ça!
- Oui Oui !
Elle savourait sa vengeance. Elle sortit sa main et essaya à nouveau mais nous fit signe de la tenir plus fort, elle tendit le bras et mis son poing......DANS LE CUL DE SA MERE. La mère hurlait et la fille tenait bon, la mère se débattait et ses seins allaient et venaient très fort et très vite. La fillette poussa le vice jusqu'à mettre des épingles à linge pour pincer et meurtrir chaque sein. Ses poignets et pieds étaient liés. Julie retournait sa mère et me fis tailler une pipe en enfonçant ma bite au fond du gosier de cette cochonne.
La fille déclara :
- J'ai été soumise depuis que tu m'as forcé à faire l'amour avec toi! Depuis l'âge de 4 ans je veux me venger! Tu m'as violée! Tu m'as donné à d'autres! Tu m'as sodomisée bien avant aujourd'hui! Tu m'as obligée à aller en cours avec des billes dans mon minou! et aussi avec un gode dans le cul! C'est fini! Tu vas m'obéir!!!!!
- Oui mais arrête retires ta main!
- NON! Je veux que tu m'obéisse toujours, et tes amis seront là pour m'aider ! N'est ce pas ?!
Nous lui promettons et mettons la mère nue et attachée à l'arrière de leur voiture. Nous nous proposâmes pour la raccompagner chez elle. On peut être des salauds mais galants hommes....Elle accepta.
La fillette se rhabilla et s'en alla aprés nous avoir promis de nous rammener une fillette.Peu de temps aprés, elle entra seule :
- Bon, j'ai une fille pour vous. Elle a 14 ans, blonde et belle!
-Ou est elle?
- J'ai laissé ma mère à la maison, attachée sur le lit et ma copine est dans la voiture! Descendez et attrapez-là et faîtes-en ce que vous voulez!
Nous eûmes vite fait de descendre la chercher. La rue était déserte, nous allions nous amuser. La fillette attendait sagementdans la voiture. Elle était blonde et assez jolie, habillée d'un T-shirt blanc et d'une jupe courte :
- Salut beauté! Tu es seule!
- Euh.. Non mon papa est en haut chez nous et va revenir!
- Menteuse! fit le père de Véro en la giflant.
- Mais!
- Tais-toi! fis-je en la frappant à nouveau et en la tirant hors du véhicule.
Nous la retournions et l'un aprés l'autre lui trouons le cul. Pour le plaisir je lui mis les seins à l'air en déchirant son T-shirt. Elle se débattait mais nous lui glissions un baillon dans sa bouche, elle pleurait mais cela nous plaisait plus que tout. Pour finir on l'assomma encore et l'allongions nue sur les coussins de l'auto.
On nous avait remarqué, un homme accompagné d'un petit garçon et de sa femme coururent vers nous pour voir ce qu'il se passait. De force le type fut assommé et ligoté tout comme la femme et le gamin qui fut empoigné, son pantalon fut déchiré et son slip de même. Je pouvais voir son petit cul tout frais, sentir ses fesses sous mes mains. Je glissais un mouchoir dans sa bouche et sortant ma bite me fit le cul du petit qui résistais, il était maintenu par deux compères. L'un d'entre eux avait fait de même avec la mère du gosse et se la faisait par le cul mais celle-ci devait supporter un autre homme qui la maltraitait en la frappant. Mon petit cul de garçonnet résistait trop
-Ouvres ton cul ou je te pisse dessus!
En un instant les portes du paradis s'ouvrirent et je pus déverser mon sperme au fond de lui.
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