Ma Fille Chérie

[ FMf, inc, mother/dau ]

by franvel

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Published: 20-Apr-2012

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This work is Copyrighted to the author. All people and events in this story are entirely fictitious.

Depuis la mort accidentelle de mon mari, il y a maintenant trois ans, ma fille Isabelle n'arrivait pas à se remettre de cette tragique disparition. Elle pleurait souvent et je devais toujours la consoler pour la rassurer. Nous étions un couple très uni, la naissance de notre fille nous avait donné un bonheur complet. Aujourd'hui j'ai la quarantaine, j'ai un ami que je vois régulièrement chez lui et oui la vie continue malgré tout. Michel n'était jamais venu chez moi et n'avait jamais vu Isa, j'espérais bien le présenter à ma fille un jour prochain, mais vu ce léger handicap, je repoussais toujours l'échéance.

Jusque là tout paraissait normal et bien non ! Isa faisait des crises de larmes le soir en se couchant, elle venait donc se blottir contre moi dans mon lit malgré son âge.

La tête sur ma poitrine, une main posée sur un sein comme lorsqu'elle était toute petite, je l'apaisais en lui caressant les cheveux. Le drame c'est que cela m'amusait et m'excitait en même temps. Je prenais de plus en plus de plaisir à cette situation, de sentir ses doigts jouer avec mon mamelon à travers ma nuisette à tel point que je mouillais rapidement. Machinalement je caressais son dos, quand un jour je n'ai pu m'empêcher de descendre un peu plus bas et de passer ma main entre ses fesses pour atteindre sa fente à peine velue, j'étais très surprise de voir qu'elle était humide, la mignonne prenait du plaisir elle aussi. C'est depuis ce jour que l'envie d'aller plus loin me tentait considérablement.

Mais avant d'y venir, j'avais parfois avec un léger fond honteux, déjà constaté que mon corps et mes envies s'orientaient peu à peu vers le corps de ma fille à la proximité toujours agréable mais parfois déclencheuse d'effets d'une libido mal maîtrisée. Je me souviens de cette soirée où elle était très contente de me montrer ses bons résultats obtenus à son lycée. Nous étions enchantées toutes les deux de cet événement. Il est des détails parfois bêtes, mais pourtant à l'origine d'idées érotiques fulgurantes qui ne peuvent être compris des jeunes filles. Cette soirée, en allant se coucher, Isabelle était plus tendre que d'habitude, emballée par son succès scolaire. Elle commençait une série de petits câlins qui me paraissaient innocents mais auxquels j'étais très sensible. Sans protester je la laissais faire en lui donnant quelques bisous sur son visage puis je posais mes lèvres sur les siennes me rappelant ce que je lui faisais il y a quelques années, je pris sa lèvre supérieure entre les miennes, Isabelle passa ses bras autour de mon cou et me serra très fort en me disant :

- Maman je t'aime tellement.

Cette soirée a clairement été le moment de l'acceptation au plus profond de moi que le corps de ma fille m'excitait, et créait en moi un désir sexuel fort et incontestable. On commença donc ce rituel, dont je savais secrètement que ce soir là, il ne s'orienterait pas comme à l'habitude. Le silence de la pièce, sa légère respiration, sa nudité donnait une ambiance toute particulière.

- Oh ma chérie ! Moi aussi je t'aime... Je t'aime... Lui dis-je en l'embrassant pour la première fois d'un vrai baiser.

Et nous voila parti pour une exploration de nos bouches, sa langue fouillait ma bouche pour la première fois. Elle fouillait comme si elle cherchait un trésor enfui. Notre baiser dura plusieurs minutes et mon minou fut trempé en quelques secondes. Ses bras me serraient le cou, son corps écrasait ma poitrine, et ses genoux frottaient sur mes cuisses. J'étais prête à jouir tant c'était doux et chaud, je me détachais pour ne pas aller trop loin, mon cœur battait à tout rompre, Je ne bougeais plus, je retenais mon souffle, ma fille soupira dans son demi sommeil. Elle était sur moi comme offerte. Je soulevais doucement le drap pour apercevoir son cul dans la pénombre du lit. Ses hanches se creusaient en une courbe lascive avant de remonter en une pente raide le long de son fessier. Je ne parvenais pas à démêler l'écheveau de mes sentiments où la culpabilité n'est certes pas ma première impression. Je quittais ma chemise de nuit, enlevais son baby doll, nous nous étreignions fortement. L'extrême douceur de sa peau m'enthousiasma pour continuer ma descente aux enfers, je lui caressais le dos, la poitrine, accentua sur ses petits tétons, j'avais peur de la contrarier, mais je n'avais plus honte, mon désir était fort. Je poursuivais vers son bas ventre, elle se laissa faire, quand mon doigt effleura son abricot elle s'est mise à me sucer un sein, je me serais crue dans un paradis tant la sensation était forte, elle se livrait complètement. Le sexe entièrement trempé semblait s'ouvrir sous mon doigt, mais je dûs freiner mon ardeur, dorlotant seulement le clitoris. Je tentais d'approcher ma bouche de cette petite merveille sans désaccoupler la sienne de mon sein, elle est un peu plus petite que moi ce qui facilita ma démarche, mes lèvres arrivaient sur la vulve, une odeur envahie mes narines, je léchais avec gourmandise ce nectar rare, ma fille mord mon mamelon ce qui me donne une petite douleur agréable, elle écarta au maximum ses jambes, je me masturbais discrètement en la suçant quand soudain Isa fut prise de secousses, je jouissais à mon tour d'une façon inconnue pour moi, nous nous sommes endormies ainsi collées l'une à l'autre. Le lendemain matin on s'est levé comme si rien n'était, c'est le soir au cours du dîner que j'ai ouvert la conversation sur ce sujet :

- Nous avons fait une grosse bêtise hier soir, je voudrais que tu restes dans ta chambre, ce n'est pas la place d'une jeune fille dans le lit de sa mère.

Évidemment elle s'est mise à pleurer de toutes les larmes de son corps, comme une gamine à qui on aurait arraché sa poupée. Ne pouvant la laisser dans cet état, j'ouvris mes bras où elle est venue rapidement se réfugier. Que faire ? Je suis prise au piège, je n'ai pas la force de la repousser au contraire je suis attirée par ce corps chaud qui se frotte contre le mien, je dus jeter tous scrupules et me rendre à l'évidence, je ne faisais de mal à personne. Je la laissais farfouiller dans mon soutien gorge avec son minois, au bout d'un moment je la repoussais car ma culotte était déjà toute mouillée et lui dis :

- Aller, va faire ta toilette pendant que je débarrasse la table.

Lorsque j'arrivais dans ma chambre, je ne fus pas surprise de la trouver nue dans mon lit, elle ouvrit le drap en me tendant les bras:

- Vient maman chérie, vient me caresser comme hier soir, s'il te plait maman....

Je m'y attendais un peu, et je dois avouer que dans le fond de moi-même, j'éprouvais un énorme plaisir. Je retirais ma nuisette sans précipitation et me coucha, à peine étendue que Isa me sauta dessus en me tenant les bras en croix, elle m'embrassait directement sur les lèvres, sa langue pénétra ma bouche pour me faire un vrai baiser d'amoureux auquel je répondis.

Le fait que ce soit ma fille m'excitait au plus haut point, j'ai bien vu qu'elle en était consciente cette petite dévergondée. Isa s'allongeait sur mon corps les jambes de chaque coté de mon ventre comme si elle voulait faire du cheval, elle frétillait comme un poisson. Je dégageais mes mains pour la caresser, je pelotais ses fesses, avec toujours ce souvenir de ces années où elle était bébé. Je n'avais jamais caressé une femme auparavant mais l'amour que j'avais pour ma fille me poussait à l'extrême. Je passais mon index sur l'anus, sur le périnée et enfin je pénétrais légèrement les lèvres sexuelles encore très surprise de l'humidité abondante qu'elles fournissaient. Je la soulevais un peu pour la remonter vers mon visage afin de mettre sa fente sur ma bouche, je n'avais pas besoin de forcer, elle se prêtait à ce que je voulais et s'installa les genoux de chaque coté de ma tête, elle posait sa chatte au duvet velouté sur mes lèvres, les mains appuyées sur mon front. C'était sublime, j'étais follement enivrée par ce parfum inédit, ma langue fouillait le jeune fruit, tenta de glisser à l'intérieur. Elle glissa son petit cul plus en avant pour me faire gouter le petit trou plissé, la saveur était incroyable, ce fut très rapide, Isa prit son plaisir comme une reine en laissant échapper des petits cris puis elle fit un demi tour, plongea sa frimousse entre mes cuisses, ce qui me gênait terriblement par ma touffe noire très fournie sans compter les odeurs et le jus qui en sortait, je lui ai dit:

- Non ma chérie pas ça, ce n'est pas bien pour toi !

Hélas elle était déjà dans mon intimité les mains passées sous mes fesses, je sentais sa langue explorer mes replis pour s'attaquer au clitoris.

- Ma chérie, comment peux-tu me donner tout ce plaisir ?

Isa me travaillait le corps aussi bien que Michel, je prenais même plus de plaisirs. J'appuyais légèrement sur sa tête pour accentuer l'action, je m'envolais dans un pied incroyable. Quand je reprenais mes esprits, Isa est toujours entre mes cuisses le visage levé et souriant :

- Et bien toi au moins tu ne fais pas semblant !

- Merci ma chérie, mais dis-moi, où as-tu appris tout ça ?

- Je dois vraiment te le dire ?

- Ha oui j'y tiens.

- Sur des magazines que la Véronique Delfi apporte au lycée, elle doit les emprunter à ses parents. Il y a de tout, des hommes et des femmes entre eux qui font l'amour dans tous les sens, il y en a pour tous les goûts.

Moi qui pensais avoir une fille encore innocente.

- Vous regardez toutes les deux ces magazines pornos ?

- Ho oui maman plutôt deux fois qu'une et il y en a beaucoup.... J'avais envie d'essayer depuis longtemps ce que nous avons fait toutes les deux et j'ai constaté que c'est exactement comme c'est écrit, mais en plus maman, c'est avec toi !

Je lui pris le visage, l'attira vers moi, elle se dégageait de sa position pour se blottir dans mes bras, un baiser nous unissait. Un amour était en train de naître entre nous, finalement je suis bien.

Les jours passèrent, notre relation amoureuse grandissait, nos jeux prenaient de l'ampleur, ma fille et moi n'avions plus de secret jusqu'au soir où elle vint à me parler de Michel, je devais m'y attendre. Elle me dit que c'est normal qu'elle le connaisse et que je serais aussi bien à la maison plutôt que chez lui pour le weekend. Je lui demandais si elle n'était pas un peu jalouse.

- Je ne peux pas être jalouse de celle que j'aime.

Décidément ma fille était mûre, ça promet. Après ces événements, je devais mettre Michel au courant de mes aventures, ne sachant pas comment il va le prendre mais je ne pouvais plus lui dissimuler cette relation hors du commun.

Il est vrai que Michel m'aimait énormément et c'était réciproque, il connaissait les problèmes que j'avais avec ma fille qu'il n'avait jamais vu. Dans un premier temps je lui ai dit que ma fille est toujours souffreteuse depuis l'absence de son père, qu'elle ne supporte plus d'être seule dans sa chambre et je suis obligée de la laisser venir à mes cotés dans mon lit sinon elle gémit toute la nuit. Ce qui fait que de jour en jour Michel finit par connaître parfaitement les rapports que j'entretenais avec ma fille. J'avais réussi à tout lui dire après trois à quatre mois par de petites phrases bien placées au cours de nos conversations, ce qui a amené mon chéri à me demander s'il peut nous voir toutes les deux dans nos jeux intimes. Cette idée ne m'enchantait pas, ce que je lui fis sentir et en même temps j'avais très envie de lui faire plaisir, encore faut-il que Isabelle soit d'accord, elle qui me serinait toujours quand je vais lui présenter Michel.

Il fallut bien que ce jour arrive, j'organisais donc un week-end pour les rencontres tant attendues où Michel passera la nuit à la maison pour la première fois. Le samedi soir en question, les présentations ont été chaleureuses, c'était pour moi normal, ces deux personnes m'aimaient.

Beaucoup de louanges furent échangés sur la beauté d'Isabelle, et sur le charme de Michel, donc tout va bien pour moi qui appréhendais cette rencontre et finalement ces deux jours ont été formidables, Isabelle et Michel s'entendaient à merveille, elle n'a pas fait son cinéma, elle a dormi sagement, seule dans sa chambre.

Michel m'a fait l'amour comme jamais, certainement qu'il fantasmait sur Isabelle. Le lendemain soir Michel est parti, ma fille m'a rejoint dans mon lit pour venir chercher sa dose de bonheur. Quelle ne fut pas ma surprise quand ma fille me dit qu'elle veut voir ce que je fais avec Michel, cette demande est comme une volonté de sa part et coïncide avec celle de Michel, pour gagner du temps, je lui répondais que je dois demander à Michel, mais je pense que ça ne m'avancera guère. Quand j'ai annoncé la dernière trouvaille de ma fille à Michel, il m'a étreint comme un fou, j'étais coincée entre mes deux chéris et j'étais obligée de céder.

Quelques semaines plus tard, Michel est à la maison, aucune allusion pendant le dîner, à l'heure de se coucher, Isabelle nous dit bonne nuit et quitte la pièce.

Michel et moi papotons encore un peu, passons à la salle de bain et allons nous coucher. J'allume la lampe de chevet, mon regard tombe sur ma fille assise tranquillement dans le fauteuil dans un coin de la chambre, elle est vêtue d'une nuisette et me sourit en voulant dire : « J'attends maman ». Je lui réponds qu'elle ne manque pas de culot, sa réponse fut nette : « NON »

Michel, les yeux pétillant s'assoit sur le lit, retire son peignoir et rentre sous la couette en évitant de montrer son corps nu, je fais comme lui, mais sans cacher ma nudité, je me blottis contre mon amoureux n'ayant pas d'autre choix, quand même un peu gênée par le regard de ma fille. Michel prend l'initiative en commençant une série de préliminaires savants et excitants qui me font vite oublier la présence d'Isabelle.

Mon amant se montre très amoureux, ses caresses, ses baisers sont des plus efficaces, nous retrouvons têtes bêches, moi dessous, la bouche pleine.

Quand la main de ma fille apparaît sur le périnée de Michel pour saisir les couilles, vraiment cette petite garce est de plus en plus délurée. Mon amoureux a bien senti la caresse osée d'Isabelle, la verge se fait plus dure dans ma bouche. Je pense que ma fille distillait ce désir depuis déjà pas mal de temps.

Ses doigts s'aventurent entre les fesses poilues pour venir encercler la tige plantée entre mes lèvres. Je ne peux que lui laisser l'objet qu'elle saisi, elle le palpe et entame une masturbation lente sous mes yeux. J'accompagne la main d'Isabelle sur la verge luisante en regardant son regard brillant malgré la faible lumière. Son autre main me caresse le visage, je ferme les yeux pour apprécier ces merveilleux instants, mon Michel ne tient plus, il envoie tout ce que ses couilles lui permettent d'expulser, je me jette sur le gland pour en récupérer le maximum, Michel se dégage sur le coté, le sexe ramolli.

On se regarde avec Isa, un sourire communicant nous anime, elle pose ses lèvres sur les miennes, nos langues s'enroulent, elle goûte le sperme de Michel. La chaleur de nos corps grimpe rapidement, je caresse sa petite poitrine d'une main en lui massant le dos de l'autre main. Sa bouche se sépare de la mienne et vient sur mes seins pour finalement descendre dans ma toison. On s'est retrouvées tête bêche en nous gougnottant, la présence de Michel nous surexcite, je me tords de plaisir telle une anguille lorsque ma fille titille mon petit trou de sa langue pour essayer de s'introduire, elle tente de remplacer sa langue par un doigt, à partir de ce moment je ne me suis plus retenue, j'ai joui en étouffant mes gémissements entre ses cuisses. Je crois qu'Isa a voulu faire mieux qu'à l'habitude, elle a pris son pied autant que moi à en juger son état, elle respire fort et s'est affalée sur moi.

Michel ne perd pas une miette, les yeux rivés sur les fesses d'Isa, il caresse son membre qui a vite repris de la vigueur, je me délivre de ma fille inerte en la couchant à coté de moi, je m'étends sur le dos pour que mon chéri me fasse l'amour, j'ai très envie d'une pénétration.

- Vient Chéri, baise-moi tout de suite. Lui dis-je.

Me retrouver dans un tel état d'excitation m'inquiète presque, comment je peux abandonner ma réserve devant ma fille pour me conduire à l'instar d'une vraie femelle en chaleur. Michel n'est pas l'homme à se poser autant de questions, ma position lui convient et il y répond favorablement. Je m'offre en soulevant mon derrière, je ne suis qu'un frisson, tout mon être se concentre sur ce pieu plongé dans mon corps. Je suis labourée et vaincue dans cette joute inégale, à nouveau ma jouissance est immense, Michel risque encore quelques coups de reins, il ouvre ses vannes de flots liquoreux qui courent dans mon ventre.

Dans un soupir de résignation, je me tourne vers Isabelle qui a contemplé nos débats, je suis hors du temps. Un baiser frais sur mon front me ramène sur terre, le contact doux et soyeux de ses mains qui se glissent sous ma tête et me ramène prés de son corps, mon visage sur sa poitrine, son cœur bat très fort en résonnant à mon oreille, Nous restons ainsi sans dire un mot.

Juste des corps qui se reposent, qui tentent de reprendre vie, ce petit sein sous ma joue est chaud, l'élasticité de sa chair et ce téton qui agace mon nez, je bouge la tête pour embrasser le bouton avec dévotion et respect. Mes lèvres s'emparent de ce petit bout de ma fille pour le sucer tandis que mon corps tout entier se love contre le sien, ses bras se referment sur ma nuque. Longuement j'ai suçoté le sein de ma fille, je me suis endormie sur elle, son autre sein enfermé dans ma main.

Le son de la radio me réveille, je suis seule dans le lit, je me lève pour aller vers la cuisine où une odeur de café m'attire, Isabelle et Michel assis de part et d'autre de la table, prennent leur petit déjeuner. Nous exprimions notre connivence complice, l'essence trouble de notre amitié. Cette histoire complice et complexe est vécue comme un désir de plaisirs partagés dans un amour sincère avec en plus une communion d'amitié parfaite.

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