Mon dépucelage par les amants de ma mère

J'ai 16 ans et je m'appelle Aurélia, je vis avec ma mère, elle m'a élevé seule, elle s'est séparée de mon père quand j'étais très jeune.

Ma mère recevait des amants régulièrement et vers l'âge de 10 ans, elle m'expliquât tous sur la sexualité et me permit de me masturber à ma guise, vers 12 ans, je me masturbais tous les jours jusqu'à la jouissance et quelque fois ma mère m'observait mais elle ne voulait pas que je couche avec des garçons, elle prétextait que j'avais le temps et que j'étais un peu jeune.

A 15 ans, j'insistais pour, quand elle recevait un amant, que je me couche entre eux deux, pour me faire caresser par un homme. Ma mère acceptait de temps en temps, en me disant qu'il ne fallait pas en prendre l'habitude. Ses amants, aimaient cela et de plus en plus elle était un peu obligée de me prendre dans son lit mais ne voulait pas que ses amants me baisent.

Après avoir jouis, je regagnais ma chambre pour les laisser baiser à leur guise, avant que ses amants la quittent pour rejoindre leurs femmes.

Souvent, l'entendais les gémissements de ma mère qui prenait son pied, elle avait dans son lit de supers baiseurs et j'allais la retrouver dans la salle de bains pour lui demander comment ça s'était passé et en profitais pour me masturber devant elle.

Quelques fois, je restais avec eux pour faire un pipe à son amant et les voir faire l'amour et je me caressais devant eux, mais pas très souvent à mon goût.

Tous ses amants voulurent me dépuceler et moi je demandais que cela, avoir une grosse queue dans ma chatte et dans mon cul. (Dans ma bouche c'est déjà fait et j'aime le sperme au fond de ma gorge).

Une quinzaine de jours avant mes 16 ans, ma mère m'emmena chez son gynécologue pour me prescrire la pilule. Il s'aperçût en m'auscultant, que j'étais encore vierge et demanda à ma mère si c'est pour bientôt, elle lui répondit que c'était éminent et dès que se sera fait, je reviendrais le voir et qu'il pourra me baiser. En guise d'honoraire, je lui fis une pipe et il baisa ma mère devant moi. (Je pense qu'à chaque visite, c'est sa façon de payer). A ma prochaine visite, j'aurais le droit à sa grosse queue, j'en étais toute retournée et vivement que je revienne.

Dans la semaine, ma mère convoqua tous ses amants avec qui je partageais leur lit, et mit mon pucelage aux enchères, celui qui gagne me baise et m'enculerait devant les autres, et après je baiserais avec tous le monde y compris ma mère.

Les enchères s'élevaient à 1000 euros et j'écartais mes jambes (enfin) pour recevoir sa langue et sa queue, ma mère tenait sa bite et la présenta devant ma chatte et d'un coup sec, me pénétra et me fit un peu mal, tout de suite suivi par un super pied, je jouissais de toutes mes forces et senti bientôt tout son foutre au fond de mon vagin.

Il sorti sa queue de mon sexe et de suite, je m'empalais sur la première bite à ma portée, je senti la main de ma mère passer du gel entre mes fesses et mis son doigt dans mon cul pour l'élargir un peu et mon premier amant, ayant repris de la vigueur, pénétra mon cul de la même manière que dans ma chatte. J'avais deux bite en moi, j'en saisi une autre et la mis dans ma bouche, j'entendis ma mère dire : «Tu es vraiment une salope ma fille ».

Tous ses amants présents me prirent par tous les trous et déversèrent en moi leur superbe liqueur, leur foutre coulait le long de mes jambes et sur mon visage, je vis arriver ma mère, avec un gode ceinture attaché à sa taille et le planta dans mon cul. Je pris un super pied, celui que j'attendais depuis 2 ans.

Après 4heures de baise sans arrêt, tous rentrèrent chez eux et je m'endormi dans les bras de ma mère et elle me disant que j'étais plus pute qu'elle et que maintenant je partagerais ses amants avec elle.

Enfin j'allais pouvoir baiser comme je veux, sans arrêter ma masturbation quotidienne.

Régulièrement (1 fois par mois) j'allais chez le docteur, pour un examen complet de la chatte et de mon cul, puis il me baisait ou m'enculait selon son humeur et comme je restais toujours sur ma faim, en rentrant à la maison, je me finissais avec le gode de maman en attendant le soir l'arrivée d'un amant.